Le géant américain de l’industrie pharmaceutique a annoncé lundi 13 mars le rachat de la biotech Seagen. L’opération à 43 milliards de dollars, qui doit être autorisée par l’autorité antitrust, devrait lui rapporter 10 milliards de chiffre d’affaires d’ici 2030.
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Publié le 2 octobre 2022 par pgibertie
La biotech a attiré l’attention de ses pairs grâce à sa gamme d’ADC, des traitements qui ciblent les cellules tumorales en épargnant les cellules saines. En 2022, un autre géant américain du secteur, Merck, avait envisagé de le racheter, mais les deux entreprises “n’avaient pas réussi à se mettre d’accord sur un prix”.
Le numéro un mondial réalise l’une des plus importantes acquisitions de ces dernières années. Pfizer a en effet annoncé avoir conclu un accord de fusion définitif, en vertu duquel le laboratoire va réaliser l’acquisition de Seagen. L’été dernier, MSD avait, un temps, été annoncé comme un candidat au rachat de cette biotech américaine.
Seagen développe et commercialise des composés positionnés en oncologie, en particulier des conjugués anticorps-médicaments (ADC). Les ADC sont une classe de plus en plus importante de candidats-médicaments conçus pour le traitement ciblé de cancers. Ces molécules ont la particularité d’être constituées de trois composants : un anticorps, une première molécule chimique servant de charge cytotoxique biologiquement active pour tuer les cellules cancéreuses et une deuxième appelée espaceur ou linker, permettant de relier les deux.
« Pfizer déploie ses ressources financières pour faire progresser la lutte contre le cancer, l’une des principales causes de décès dans le monde, avec un impact significatif sur la santé publique », a déclaré le Dr Albert Bourla, le p-dg de Pfizer.
Dix milliards de dollars de ventes à l’horizon 2030
Fondée en 1997, Seagen est loin d’être une biotech débutante. Son portefeuille compte déjà quatre médicaments sur le marché pour le traitement des tumeurs solides et des hémopathies malignes : trois ADC, l’Adcetris (brentuximab vedotin), le Padcev (enfortumab vedotin) et le Tivdak (tisotumab védotine), et un inhibiteur, le Tukysa (tucatinib).
Pour 2023, Seagen estime que ces composés lui rapporteront 2,2 Mrds $ de revenus, soit une croissance de 12 %, en tablant sur les royalties et les revenus des accords de collaboration et de licence. Mais Pfizer se projette déjà vers 2030.
En plus du portefeuille de Seagen, le laboratoire peut s’appuyer sur son pipeline fourni, qui compte des programmes de développement en cours pour chacun de ces médicaments, pour de nouveaux types de tumeurs potentiels ou des indications élargies dans des lignes de traitement antérieures. Des décisions réglementaires sont attendues, chaque année, jusqu’en 2027. En fonction de l’avis des agences sanitaires, Pfizer espère jusqu’à 10 Mrds de ventes, à l’horizon 2030.
« Ensemble, Pfizer et Seagen cherchent à accélérer la prochaine génération de percées dans le domaine du cancer et à apporter de nouvelles solutions aux patients, en combinant la puissance de la technologie de conjugués anticorps-médicaments (ADC) de Seagen, et l’échelle et la force des capacités et de l’expertise de Pfizer », a ajouté Albert Bourla.
L’oncologie pour préparer l’après-Covid ?
Si Pfizer a su tirer son épingle du jeu grâce à son vaccin contre le Covid-19, en se hissant à la place de numéro un mondial, détrônant au passage Johnson & Johnson (J&J), le laboratoire sait qu’il ne pourra pas compter éternellement sur les ventes de son Comirnaty. À l’annonce de ses résultats annuels, le mois dernier, Pfizer annonçait un recul des ventes de son vaccin à ARNm, de 37,8 Mrds $ à 13,5 Mrds $, compte tenu de l’évolution de la pandémie et des campagnes de vaccination. Et pour pallier cette chute de revenu, le laboratoire semble avoir fait le choix de l’oncologie, avec le rachat de Seagen.
« L’oncologie continue d’être le principal moteur de croissance de la médecine mondiale, et cette acquisition renforcera la position de Pfizer dans cet espace important et contribuera de manière significative à la réalisation des objectifs financiers à court et à long termes de Pfizer », a précisé le p-dg de Pfizer.
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
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En clair : plus il y aura de cancers provoqués par ses vaxxins, davantage et d’avantages Pfizer se fera du pognon.
C’est ce que l’on présumait depuis 3 ans : ce cirque sinistre ne procède que d’une spéculation industrielle et financière.
Rien de la bonne santé du consommateur n’est prioritaire chez Pfizer, car cela importe d’une maladie que Pfizer parvienne finalement à la provoquer pour pouvoir la traiter. La traiter, sans toutefois s’engager à la guérir. Evidemment ! un peuple malade perpétuel est mieux rentable qu’un peuple en bonne santé.
C’est la revanche du bourreau Mengele devenu roi, et consul de l’Empire US … tandis que Pfizer avait obtenu de l’Ursula qu’en fait de responsabilité sur des effets secondaires indésirables prévisibles fortuits, la prise en charge et la réparation des dommages occasionnés par la vaxx incomberaient aux Etats contractants.
Ce que le ministre allemand de la maladie vient de confirmer !
Entretemps, j’aime écouter Alexandra Henrion-Caude (sur RadioCourtoisie – LigneDroite, vidéo diffusée le 14 mars 2023, durée 57:19) qui s’évertue à nous présenter ses expertises :
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Ce cauchemar finira à coups de scalp, soyons-en sûrs !
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Je me souviens qu’en Andorre, la responsable en charge de la santé publique de cette principauté improbable était parvenue à convaincre (temporairement ?) en septembre 2020 ! ses autorités consulaires de ne pas imposer la vaxx annoncée par ARNm à la population andorrienne :
-« Je me refuse à faire prendre de terribles risques aux générations futures avec ce qui s’avère être un traitement génique » !
C’était en septembre 2020 … quelques semaines avant une rencontre internationale de tous les « complotistes avertis », à Stockholm à laquelle elle s’apprêtait à participer.
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Entretemps et après Paris Washington Moscou Varsovie Kiev (…), la boîte-à-baffes du Guignol du Corona Circus consacrée à l’EMmerdeur est désormais visitée par Pékin ; voyez ici :
https://www.openstreetmap.org/?mlat=39.9143&mlon=116.3861&zoom=10#map=10/39.9143/116.3861
où sont comptabilisées ce jour quelque 4 651 820 giroflées à 5 pétales offertes au triste sire !
Ce serait sympa que Xi Jinpin s’y adonne d’un geste leste diplomatique amical :
https://sentrais.eu/baffes/baffes-test-6.php
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créer le problème et proposer la solution, le B-A BA du commerce
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Une chose est sûre, Pfizer n’investira pas dans le vaccin contre le « concer » ou la connerie ; c’est son gagne-pain la connerie (voir Molière). Revoir et méditer le dessin de Serre, datant des années 70. Un patient chez son médecin, la tête farcie d’électrodes ; ce dernier : -Vous êtes con ! – Ah ! Et c’est grave, docteur ?
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Fichtre ! Bigre ! Parlsembleu ! Diable ! Par tous les saints !
Mais sans omettre, évidemment qu’un peuple n’abandonne pas sa dynamique propre. Laquelle, effectivement apparaîtrait singulière si l’on omettait de considérer qu’au premier coup-de-bâton-sur-la-tête le peuple ne manquait pas d’organiser un commerce (bien curieux, je vous l’accorde !) avec sa condition misérable où il prétendra disposer de quelque avantage de cette condition … d’esclave.
L’histoire de l’être humain est si dynamique que … rien n’est jamais écrit dans les étoiles de ce que serait son destin unique inéluctable inexorable.
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Ping : APRES AVOIR FAIT EXPLOSER LE NOMBRE DE CANCERS, c’ est intelligent pour PFIZER, d’investir dans la production de médicaments pour les soigner MERCI AU BLOG DE NOTRE AMI GIBERTIE – PAGE GAULLISTE DE RÉINFORMATION . LES MÉDIAS NOUS MANIPULENT
John Beaudoin est un parfait inconnu ni avocat ni rien et il suffit de twitter ce qui vous intéresse pour etre presenté comme une source fiable et universelle.
Je reste pantois.
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