La charge virale était plus élevée chez les contaminés vaccinés que chez les contaminés non vaccc

Encore une étude allant dans le sens d’une efficacité NEGATIVE des injections , la charge virale trouvée dans les excrétions fécales des malades hospitalisés est plus importante pour les vaccinés

https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2024.04.22.24305845v1

Depuis la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), l’épidémiologie basée sur les eaux usées (WBE) a été largement appliquée dans de nombreux pays et régions pour surveiller la transmission du COVID-19 dans la population en testant le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV- 2) dans les eaux usées

 L’ARN du SRAS-CoV-2 a été détecté chez 73,1 % (19/26) des participants à l’étude en milieu hospitalier dans au moins un des échantillons fécaux collectés au cours de la période d’échantillonnage. La plupart des participants excrètent le virus dans les trois semaines suivant le diagnostic, mais cinq participants hospitalisés excrètent encore le virus entre 20 et 60 jours après le diagnostic. 

Le statut vaccinal autodéclaré contre la COVID-19 indiquait que 66,7 % (28/42) étaient vaccinés (avaient reçu au moins une dose de vaccin contre la COVID-19 et avaient présenté une infection) et 33,3 % (14/42) n’étaient pas vaccinés.

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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4 commentaires pour La charge virale était plus élevée chez les contaminés vaccinés que chez les contaminés non vaccc

  1. Stanislas dit :

    hahaha !!!

    moi je dis « le virus me fait chier » et maintenant une étude dit « on chie du virus »

    après le chien qui sniffe du coco dans les égoûts, ce qui est exceptionnel vu que dans ma vie, j’ai rencontré un passionné de truffes qui m’a expliqué le long entrainement d’un chien à détecter des truffes..

    C’est enfin la preuve que le sars cov 2 pue..

    il y a le vivi nature et le vivi aux herbes…

    on n’arrête pas le progrés et la science . mais du coup la formule à Poutine va prendre tout son sens : « poursuivre un infecté du coco nature ou aux herbes jusqu’au fond des chiottes »

    Si c’est pour montrer que l’injection c’est de la oerde OK, mais alors ça sert à rien de méler le cov2 là dedans

    On ne voit pas s’ils sont capables de définir la marque de l’injection, c’est important on l’a vu pour les juges

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    • lepiaf18 dit :

      Des études comme ça je crois bien, même, qu’on peut en chier tous les matins !

      Finalement ils ont pisté une protéine, et ils sont contents; ça suffit apparemment à leur bonheur !

      Et effectivement pourquoi mêler le vivi (s’il existe en tant que tel) à cette mascarade. Respiratoire il est; s’il reste qq chose dans les selles, c’est pas du « virus entier » mais des « déchets »; donc accessoirement et éventuellement… des protéines dégradées.

      Donc si qq chose dans les égouts ça vient des injections et du mode de test (recherche d’une séquence partielle sur UNE protéine. Ils sont donc devins !

      Sinon j’aime bien le statut de volontaire pour le « statut vaccinal autodéclaré », ça c’est hautement… scientifique !

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      • Stanislas dit :

        lepiaf

        je me demande souvent pourquoi personne ne revient en arrière par exemple en examinant simplement toutes les « zétudes sorties des revues dites scientifiques entre janvier et avril/mai 2020..

        J’en ai ramassé une cinquantaine, en lisant tout, mais surtout « les méthodes et biais » c’est assez incroyable parce qu’on dirait que le groupe d’étude chie à la fin sur tout ce qu’ils ont écrit avant.. Sur l’asymptomatisme par exemple c’est hallucinant, entre modélisations et dossiers reconnus ensuite comme foireux sur de très petites cohortes, on se demande si les bac+10 sont encore sur leurs pieds

        JE ne suis pas un habitué de ce genre de sport mais la seule chose que je peux affirmer c’est que si j’avais écrit un rapport de réorganisation de leur boite défaillante aux actionnaires avec la légèreté de ces études, ils m’auraient jeté à la fin de la réunion…

        Bon c’est vrai que si c’est bien payé pour trouver ce qu’il faut trouver, il n’y a plus rien à dire. Les scientifiques et les docteurs n’étant pas assujetti à l’obligation de résultat, le débat des hypothèses peut durer. et dommage pour les personnes qui continuent à croire tout ça..

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      • lepiaf18 dit :

        J’ai fait grosso-merdo le même constat même si un peu plus tard (à/c 05-06/2020 !).

        Et en écrivant ceci:

        « Bon c’est vrai que si c’est bien payé pour trouver ce qu’il faut trouver, il n’y a plus rien à dire. »

        Vous trouvez finalement la raison de tout ce mic-mac. Y’a du fric à gagner; c’est tout. De là à dire que nombre de chercheurs sont sinon corrompus, appointés pour… eh bien oui, je franchis le pas !
        il n’est qu’à constater l’état de la recherche fondamentale et corollaire les avancées en matière scientifique ui ne font plus vraiment de progrès.

        En matière médicale par exemple, côté greffes ça ne progresse guère, côté implants artificiels non plus (malgré les progrès en informatiques, à moins que ne ne me trompe !). Certains en oublieraient même, en mettant du « connecté » partout que les ondes électromagnétiques (le BT et le Wifi, la 3g/4g/5g c’est du 2/5 GHZ modulé ou pulsé !) ça peut être … dangereux !

        ans même parler de « nouveaux » médicaments censés être meilleurs que ceux qu’ils voudraient remplacer !

        Je donnerai donc un conseil aux jeunes; questionnez vos grands-parents plutôt qu’un jeune toubib amateur d’IA et de vie sociale; celui-ci n’aura pas eu le temps de voir autre chose que ce que la doxa ambiante lui demande.

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