Encore une thèse complotiste admise : le rôle du microbiome ; Oui la covid c’est bien une histoire de boyaux! Le confinement et le gel hydro ont contribué à le détériorer

La Covid incube indéfiniment dans le mucus et les cellules caliciformes de l’intestin grêle – et envoie des virus au foie et dans tout le corps. Les Macrolides auraient été efficaces mais il n’est pas politiquement correct de les prescrire

Le corps humain est peuplé d’une multitude de micro-organismes (bactéries, virus, champignons…) formant notre microbiome. Ce microbiome est fondamental pour notre santé, mais sa diversité tend à diminuer avec le temps en raison de notre mode de vie urbain et d’une hygiène excessive. Le confinement et le gel hydroalcoolique n’ont rien arrangé

Et si la détérioration du microbiome avait facilité les covids graves et longs, les effets secondaires des injections?

La réponse des enfants et des adultes peu atteints est précoce et dépend d’une bonne immunité innée dans les muqueuses ; l’immunité adaptative semble jouer un rôle mineur, voire nul. D’un point de vue préventif il faudrait donc favoriser le maintien d’un état basal peu inflammatoire en luttant contre l’inflamm-aging qui est favorisé par l’obésité, le manque d’exercice physique et un microbiote déréglé. D’un point de vue thérapeutique cela justifie l’emploi des médicaments immunomodulateurs, le rétablissement d’un microbiote équilibré, le traitement du vieillissement immunitaire et la stimulation de l’immunité innée.

L’Inserm admet que les muqueuses puissent servir de réserves à virus covid! Nous sommes en mai 2023. Je crois avoir lu cette hypothèse il y a bien trois ans …

Un certain Montagnier avait évoqué les bactéries coopérant avec le virus

Un certain Mounotella avait évoqué la double piste virale et bactérienne

Complotisme! Mais alors ce confinement qui a contribué à détériorer le microbiome ?

Le contrôle des cellules procaryotes (intestinales) comme source réservoir de certains virus représente un élément qui devrait être à la base de toute voie de diagnostic, que l’on soit convaincu ou non qu’il peut se produire. Les chinois considèrent les tests fécaux comme les plus valables et en France on suit le virus à la trace par les eaux usées .

Et ça met une petite pierre à l’édifice à la transmission alimentaire di sarscov2, comme sur le diamond princess où quasiment tous les personnels contaminés étaient ceux de la restauration ou ceux de leur étage.

 Le SRAS-CoV-2 a deux mécanismes d’action ; il infecte à la fois la cellule eucaryote, comme le rapporte la littérature actuelle, mais il infecte également la flore bactérienne humaine (deux bactéries sont déjà identifiées,)

La population bactérienne de l’intestin, ou microbiote intestinal, constitue le plus grand réservoir de bactéries de l’organisme. De plus en plus de travaux montrent combien l’hôte et son microbiote intestinal constituent un bel exemple de systèmes ayant des interactions mutuellement bénéfiques. De récentes observations ont d’ailleurs révélé une association entredépression et altérations du microbiote intestinal

C’est ce qu’avait mis en lumière un consortium de chercheurs de l’Institut Pasteur, du CNRS et de l’Inserm en démontrant l’existence d’un lien entre le microbiote intestinal et l’efficacité de la fluoxetine, une molécule fréquemment utilisée comme antidépresseur. Bizarre mais l’efficaité de la fluoxétine (Prozac) a été démontré contre la covid….

Les règles d’hygiène peuvent également porter atteinte au microbiome de plusieurs façons. Les conditions de confinement, elles, peuvent impacter la diversité microbienne négativement, chez ceux qui réduisent leur activité physique tout en consommant davantage d’aliments malsains, ou positivement, chez ceux qui privilégient les plats maison au détriment des aliments transformés. Enfin, la limitation des interactions sociales, qui contribuent à la composition du microbiome intestinal, pourrait avoir des conséquences sur les populations très jeunes ou âgées, notamment dans les sociétés où ces dernières ne cohabitent pas avec les jeunes générations.

 Enterobacteriaceae est reponsable d’infection urinaires: on a pu observer qu’en traitant avec des antibiotiques une infection urinaire, on traitait la covid

Les chercheurs ont choisi de travailler avec le modèle du hamster, pertinent pour l’étude de la Covid-19. Dans celui-ci, l’infection par le SARS-CoV‑2 entraîne une altération de la composition du microbiote intestinal. Certaines bactéries comme les Enterobacteriaceae et les Desulfovibrionaceae sont plus abondantes, tandis que d’autres, comme les Ruminococcaceae et les Lachnospiraceae deviennent plus rares par rapport à ce qu’on observe chez des hamsters sains. « La cinétique d’évolution de ces bactéries est corrélée à certains biomarqueurs de l’inflammation, mais aussi à la sévérité des symptômes de la Covid-19 », rapporte François Trottein. Ces résultats corroborent et confortent les observations faites chez l’humain.

François Trottein souhaite continuer à explorer les liens entre le microbiote intestinal et la dysbiose chez le hamster. Il veut notamment évaluer si la dysbiose, une anomalie plus fréquente chez les personnes obèses et/ou âgées, peut expliquer (au moins en partie) pourquoi elles ont plus de risque de développer une forme plus grave de Covid-19.

https://www.inserm.fr/actualite/microbiote-influencerait-reponse-vaccinale/

Oui c’est bien une histoire de boyaux, même si Diafoirus ne le veut pas

Publié le 22 avril 2020 par pgibertie

  via Oui c’est bien une histoire de boyaux, même si Diafoirus ne le veut pas Responsabilité de la prevotella/ Les chasseurs de Fake news  devraient faire preuve de prudence avant de jeter l’opprobre.  l’impact du microbiote n’est pas une … Lire la suite →

UN DECES COVID SUR DEUX S’EXPLIQUE EN REALITE PAR UNE INFECTION BACTERIENNE. L’interdiction des antibiotiques , une mesure idiote et criminelle?

Publié le 6 mai 2023 par pgibertie

Les médecins persécutés par l’Ordre ont osé soigner la covid comme une pneumopathie habituelle, utilisant ainsi les antibiotiques et en particulier l’azithromycine ou la doxycycline. Les autorités ont sorti la rangaine: les antibiotiques ne servent à rien contre les virus…Problèmes: … Lire la suite →

Une équipe italienne confirme les thèses de Montagnier et Escarguel: le virus de la covid utilise des bactéries « coopérantes  » pour se propager, ce qui explique l’efficacité des macrolides et des cyclines

Publié le 14 novembre 2022 par pgibertie

Azithromycine, doxycycline, Ivermectine…………….. Vous avez tous rencontré des imbéciles arrogants qui affirment:  » Le Sars cov 2 est un virus, les antibiotiques ne servent à rien puisque ce n’est pas une bactérie. »…Et pourtant nous sommes nombreux à avoir été soigné … Lire la suite →

Plusieurs mois après l’infection par le SARS-CoV-2, certains patients présentent encore des symptômes : un phénomène communément appelé « long COVID ». Dans de nouvelles recherches, des équipes de l’Inserm et de l’Université Paris Cité [1] , en collaboration avec l’Université du Minho à Braga (Portugal), ont montré que cela pouvait s’expliquer biologiquement par des anomalies du système immunitaire associées à la persistance du virus dans les muqueuses. Ces découvertes, publiées dans Nature Communication , pourraient à plus long terme ouvrir la voie à un outil de diagnostic du COVID long.

INSERM MAI 2023

https://presse.inserm.fr/en/covid-long-la-persistance-du-sars-cov-2-dans-les-muqueuses-pourrait-etre-en-cause/66975/

Les chercheurs émettent l’hypothèse que le SRAS-CoV-2 pourrait s’installer dans la muqueuse intestinale car il est plus « permissif » sur le plan immunitaire que le reste de l’organisme, dans la mesure où le virus doit tolérer la flore bactérienne. D’autres virus, comme le VIH, utilisent également cette stratégie d’évasion. Initialement présent dans la muqueuse pulmonaire, le SRAS-Cov-2 pourrait donc descendre jusqu’à l’intestin et y persister sans que le système immunitaire ne puisse l’éliminer totalement.

Dans la dernière étape de l’étude, lors de l’évaluation du niveau initial d’inflammation pendant la phase aiguë, les scientifiques ont observé une association entre une réponse inflammatoire caractérisée notamment par des niveaux très élevés d’interféron IP-10 ou d’interleukine IL-6 et le risque d’aller sur le point de développer un long COVID.

« Une hypothèse est que les personnes dont l’immunodéficience précoce est plus exacerbée développent des formes initiales plus sévères de COVID-19 et ne parviennent pas à éliminer efficacement le virus qui passe dans la muqueuse intestinale, où il s’installe longtemps. Le système immunitaire finit en quelque sorte par le tolérer au prix de symptômes persistants d’intensité et de nature variables », explique Estaquier

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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9 commentaires pour Encore une thèse complotiste admise : le rôle du microbiome ; Oui la covid c’est bien une histoire de boyaux! Le confinement et le gel hydro ont contribué à le détériorer

  1. Ping : Encore une thèse complotiste admise : le rôle du microbiome ; Oui la covid c’est bien une histoire de boyaux! Le confinement et le gel hydro ont contribué à le détériorer – La vérité est ailleurs

  2. Jean Sentrais dit :

    Lors de mon entretien qui a mené 04h30 avec le Major civil de la Gendarmerie (!), fut esquissé ce qui soit des selles (je ne pouvais pas lui adjoindre de porter une couche, après qu’il ait obtempéré d’enfiler gants-et-masque).

    Or, nous ne sommes que ce que nous mangeons ! et ce que nous en excrétons …

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  3. Françoise Bianchi dit :

    Bref, si on avait soigné les malades atteints de covid comme on savait le faire pour les pneumopathies atypiques, on aurait sauvé la plupart des malades. Interdire les antibiotiques à été criminel, interdite aux médecins généralistes de soigner a été criminel et ne pas suivre le protocole mis au point par le Professeur Raoult et L’IHU a été criminel. Et que dire des persécutions de l’Ordre des médecins contre ceux qui ont soigné les malades.

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    • Jean Sentrais dit :

      Bref ! si Agnès Buzyn n’avait pas inscrit la quinine en décembre 2019 sur la liste des substances vénéneuses … en population générale.

      Laquelle buzyne officie à l’oms auprès de son précieux salomon …

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  4. JeanLouis 05 dit :

    « en France on suit le virus à la trace par les eaux usées . » C’est encore ces fadas de marins pompiers à Marseille qui dès 2020 avec l’IHU ont mis au point une méthode de détection des foyers de contamination de manière très anticipée à la déclaration symptomatique de la maladie par l’analyse des eaux usées. Marins pompiers recevant la visite de nombreuses délégations étrangères intéressées mais un scandale de plus, snobés par nos « sommités » scientifiques. Et oui il n’y a pas de vérité qu’à Paris !!!

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  5. herve_02 dit :

    De toute façon, de quelques cotés que l’on se tourne, on n’y trouve que corruption, complot, incompétence et malveillance.

    comme le dit peronne, il n’y a as eu une seule « erreur » qu’il n’ont pas commise.

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  6. genevieve meunier dit :

    On savait que le micro
    biotote intestinal jouait un rôle fondamental dans l’immunité et que l’enfant né par césarienne n’avait pas un aussi bon microbiote que ceux nés par les voies naturelles.Une chercheuse américaine a constaté une disparition totale de la flore intestinale chez des patients atteints de Sars-cov2 et cela pendant plusieurs semaines .Ceci serait à corréler avec l’atteinte de Covid long dont la cause pourrait être d’ordre immunitaire.
    .

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