Les nano particules lipidiques ne se contentent pas de transporter l’ARNm , elles ont un rôle d’adjuvant et déclenchent une réaction immune indésirable

Les études scientifiques s’interessent aux fameuses particules lipidiques qui enveloppent, protègent et transportent le fameux ARNm lors de l’injections . On découvre qu’elles servent d’adjuvants comme les fameux sels d’aluminium des vaccins dit classiques et seraient à l’origine d’effets secondaires…

 Les vaccins contiennent deux composants immunologiques essentiels : un antigène protecteur et un adjuvant. Les adjuvants sont essentiels pour des réponses immunitaires optimales spécifiques à l’antigène, ce qu’on appelle «l’immunogénicité», mais sont souvent une cause de réactogénicité (voire de toxicité) qui entraîne une inflammation locale et systémique. Chacun connait l’effet diabolique des sels d’aluminium.

L’immunogénicité est la capacité pour toute substance, soluble ou particulaire, protéique ou non, habituellement étrangère à l’organisme dans lequel elle se trouve, de provoquer une réponse immunitaire spécifique. Cette substance est alors appelée antigène.

Une fois injectés dans le corps, ces adjuvants transportent non seulement l’antigène, mais peuvent également endommager ou tuer les cellules hôtes au site d’injection. Une telle mort cellulaire est souvent une combinaison d’apoptose, de nécrose, de nécroptose, de pyroptose et/ou de NETosis, dont la plupart entraînent à leur tour l’induction ou la libération d’une variété de facteurs adjuvants de l’hôte ou de modèles moléculaires associés aux dommages (DAMP), tels que acides nucléiques et leurs métabolites 

Par conséquent, pour garantir l’efficacité et l’innocuité des vaccins, il est essentiel de comprendre le ou les mécanismes moléculaires et cellulaires par lesquels les adjuvants provoquent le système immunitaire. Deux articles dans ce numéro de Nature Immunology , de Li et al. 1 et Tahtinen et al. 2 , fournissent de nouvelles informations sur la compréhension des mécanismes adjuvants des vaccins à ARNm

La présence des nanoparticules lipidiques pose problème. L’ALC-0315 est un aminolipide ionisable  Les nanoparticules lipidiques ont été utilisées dans la recherche du vaccin ARNm COVID-19 . ALC-0159, un conjugué lipidique de polyéthylène glycol (PEG)

On a déja utilisé le PEG dans certains médicaments comme le macrogol

Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les cas suivants :

  • maladies inflammatoires du côlon (rectocolite hémorragique, maladie de Crohn…),
  • perforation de l’intestin ou risque de perforation,
  • occlusion intestinale ou affection prédisposant à une occlusion,
  • douleurs abdominales de cause inconnue.
  • La presse a toujours présenté ces nonoparticules lipidiques comme sures et sans danger. En réalité on les connait mal

Les nanoparticules lipidiques (LNP), qui sont tous connus pour fonctionner comme adjuvants, servent pour former des particules micro ou nanométriques comme véhicules de livraison pour les antigènes. 

un LNP seul peut agir comme un adjuvant intégré, en plus de sa fonction principale de formation d’une particule qui imite la taille et le comportement d’un virus in vivo, et délivre l’ARNm

 Ces données pourraient refléter le fait que l’incidence réactogène unique s’est produite comme un effet indésirable après la deuxième immunisation avec LNP-ARNm chez l’homme

https://www.nature.com/articles/s41590-022-01168-4

https://www.nature.com/articles/nri3247

En plus ils rajoutent de la soude caustique et de l’acide chlorhydrique

L’hydroxyde de sodium, également connu sous le nom de soude caustique, est utilisé en très faible quantité dans les formules cosmétiques pour ajuster le pH.

On trouve de la soude caustique utilisée dans certains vaccins ( rubéoles, listeria… ) mais à ma connaissance pour les adultes et pas pour les nourrisssons et les femmes enceintes.

C’est bien alors le problème posé par ce produit avec la vaccination des femmes enceintes…

Pfizer a caché la présence de l’hydroxyde de sodum, c’est la justice américaine qui a permis de savoir

l’acide chlorhydrique « st également cachée mais effectivement présente

L’hydroxyde de sodium et l’acide chlorhydrique sont deux noms qui peuvent alarmer un peu : à fortes concentrations, les deux peuvent être très corrosifs.Ils sont connus pour d’autres vaccins et ne sont pas l’objetdes plus graves inquiétudes

Jonathan Weissman

@AllTheRisks

Cela m’a pris 18 mois, mais grâce à ma demande FOI, la MHRA m’a informé aujourd’hui

@BioNTech_Group

a finalement publié le tableau de composition 3.2.P.1-1 non expurgé pour le BNT162b2 de Pfizer/BioNTech Partager ceux-ci pour la première fois (la formulation actuelle inclut NaOH/HCl) https://whatdotheyknow.com/request/naoh_and_hcl_excipients_in_pfize…

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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4 commentaires pour Les nano particules lipidiques ne se contentent pas de transporter l’ARNm , elles ont un rôle d’adjuvant et déclenchent une réaction immune indésirable

  1. Jean Sentrais dit :

    En séjour touristique à Montréal (Canada) en 1999, je fus stupéfait de lire sur l’emballage de tacos-piquants que le piquant était produit par la NaOH (soude caustique pour « brûler la langue ») !

    Puis que des tomates roses étaient des OGM (Organismes Génétiquement Modifiés), mais qu’il existait également un immense marché alternatif de produits méditerranéens … où l’on pouvait trouver (parfois, et sous le manteau) et acheter de vieux camemberts français au-lait-cru, cependant interdits aux USA et au Canada.

    Aimé par 1 personne

  2. Jean Sentrais dit :

    Le chlorure de sodium (NaCl : sel-de-cuisine + adjuvants spontanés ou délibérés) est déterminant pour une bonne digestion.

    Qui en manque ne grandira pas bien (rachitisme constaté notamment par l’un de mes Amis en Toscane – Italie, durant les ’70, où sur la table des repas le sel-de-cuisine était absent, et insuffisamment présent dans les aliments).

    Notre organisme réalise la synthèse opportune suivante : transformer le sel-de-cuisine en acide chlorhydrique afin de dissoudre les aliments ingurgités. Puis de permettre l’action d’enzymes (bactéries et virus intestinaux aux toutes bonnes fins de nous nourrir par assimilation des bonnes substances ….).

    Or, injecter de l’acide chlorhydrique et de la base caustique en intra-musculaire procède d’une torture corporelle : assimilable, en population générale à un crime contre l’Humanité.

    Que les choses soient dites sans détour …

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  3. Jean Sentrais dit :

    Quant à AlOH, Luc Montagnier apporta la preuve que cette base aggressive était (et demeure) le principal vecteur de la maladie de Kreutsfeldt-Jakob lors d’une injection pseudo-médicale …

    Pfizer, Moderna et KilBil avaient tout faux … sauf de nous maltraiter, torturer, assassiner … pour pire qu’une poignée de dollars.

    Aimé par 1 personne

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