
UN SCANDALE MAJEUR : ILS AURAIENT PREFERE SABORDER L’ESSAI EUROPEEN DISCOVERY CAR IL MONTRAIT LES EFFETS POSITIFS DE L HYDROXYCHLOROQUINE
Vous vous en souvenez tous , Veran et sa bande décidèrent de lancer un grand essai européen Discovery qui allait démontrer quelles molécules étaient efficaces. Il s’agissait surtout de vérifier les effets des anti sida. Sous la pression de l’opinion publique une branche supplémentaire fut mise en place pour l’hydroxychloroquine. Toutes les précautions furent prises pour en assurer l’échec. Labranche était réservé aux patients hospitalisés (maladie avancée ) et sans l’antibiotique. Le contraire du protocole Raoult
Les candidats au suicide pour cette étude randomisée en double aveugle ne se bousculèrent pas et d’européen l’essai devint franco luxembourgeois.
En compulsant les données du fameux Nathan ( auteurs de plusieurs études bidonnées contre Raoult ) l’équipe du Professeur marseillais vient de découvrir qu’au moment de l’arrêt total de Discovery , l’étude prouvait que l’hydroxychloroquine était efficace…

En bref, quand ils ont arrété le bras HCQ, celui-ci avait un avantage de 17% sur le placebo. ça n’avait aucun sens d’arréter alors que le seul traitement validé par RCT (dexamethasone) procure justement un avantage de 17%
Quel aurait été le score d’un bras HCQ/AZT en traitement précoce ? Merci à la loose team de la recherche Française d’avoir sciemment évité de répondre !
LES FAITS
Les inclusions dans le groupe hydroxychloroquine de l’essai Discovery sont suspendues depuis dimanche 24 mai,
Cette décision a été motivée par les publications scientifiques relatives à l’utilisation d’hydroxychloroquine dans des études observationnelles, notamment la récente étude parue dans The Lancet.
Il s’agit de la fausse étude de la Call Girl , Veran en tira prétexte pour interdire l’hydroxychoroquine
24 juin
L’hydroxychloroquine pourra être réintroduite dans Discovery après le feu vert des autorités compétentes communiqué du 4 juin après la rétractation des études bidonnées
, le comité directeur de Discovery, en lien avec les autorités compétentes dans les pays où se déroulent l’essai (en premier lieu l’ANSM), va envisager de reprendre les inclusions dans le bras HCQ.
COMMUNIQUE DU 4 JUILLET ‘après le point d’étape à 28 jours
Après l’arrêt des inclusions dans le bras testant l’hydroxychloroquine, les deux bras testant la combinaison lopinavir/ritonavir avec ou sans interféron bêta sont arrêtés dans les essais cliniques Solidarity et Discovery. Compte-tenu de la nature adaptative de l’essai Solidarity et de son essai « fille » européen Discovery, une réflexion est en cours sur l’évolution du protocole dont les inclusions se
Les essais cliniques Solidarity et Discovery, dont l’objectif est de tester l’efficacité et la sécurité de molécules repositionnées dans l’indication de Covid-19 nécessitant une hospitalisation, annoncent ce jour l’arrêt définitif des inclusions dans les groupes de patients recevant les antiviraux lopinavir/ritonavir avec ou sans interféron bêta.
Cette décision s’appuie sur les recommandations d’arrêt formulées par les comités d’experts indépendants des deux essais. Celles-ci sont basées d’une part sur l’absence d’efficacité sur la mortalité à 28 jours des patients hospitalisés pour les bras lopinavir/ritonavir (avec ou sans interféron béta) par rapport au traitement standard. D’autre part, dans l’essai Discovery, qui analyse de façon approfondie les évènements indésirables chez les patients traités, le comité indépendant a souligné la fréquence significativement plus élevée d’effets indésirables graves concernant la fonction rénale dans les deux groupes de patients recevant la combinaison lopinavir/ritonavir, notamment chez les patients hospitalisés en réanimation.
Signez la pétition, nous sommes déjà 186 000 !
https://www.mesopinions.com/petition/sante/faut-ecouter-professeur-raoult/82737
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France soir a confirmé nos inquiétudes 24h après cet article. Silence radio de la presse aux ordres
Discovery, l’étude phare Française, a fait couler beaucoup d’encre et ses résultats se font désirer. Après deux enquêtes approfondies sur cette étude essayant d’en comprendre les tenants et les aboutissants, nous nous étions inquiétés sur la non diffusion des résultats qui devaient être publiés en mai.
Arrêt du bras hydroxychloroquine, une décision plus politique que scientifique
Le 3 juin 2020, sans nouvelle des résultats du nec plus ultra de la recherche française, nous avions contacté Mme Kieny et demandé les raisons pour lesquelles l’information n’était pas disponible ou que les résultats n’étaient pas annoncés comme prévu. A l’époque, on nous avait répondu : « Les résultats ne pourront être annoncés que quand une différence statistiquement significative pourra être objectivée entre l’évolution de la maladie COVID-19 chez les patients ayant été inclus dans les différents bras expérimentaux par rapport au bras « soins standards » (standard of care). »
Rappelons que le bras hydroxychloroquine de l’étude Discovery a été arrêté à la suite de la publication du Lancet. L’ANSM (Agence Nationale de la Santé) avait justifié sa décision de la « suspension » des essais sur l’hydroxychloroquine (HCQ) suite à la position de l’OMS et son essai clinique #Solidarity et au #lancetgate. Cependant, l’étude Solidarity n’a jamais dit que l’HCQ était dangereuse, la branche HCQ de l’essai Solidarity avait d’ailleurs repris le 3 juin mais pas l’étude française Discovery. De plus, le 4 juillet 2020, l’OMS disait que l’hydroxychloroquine réduisait peu la mortalité et qu’il n’y avait pas de preuve qu’elle l’augmentait. On ne peut que noter le flou qui entoure cette décision. Cela ressemble plus à une décision d’opportunisme politique que scientifique.
Discovery, des résultats qui se font toujours attendre et qui apparaissent sur les réseaux sociaux
Trois mois plus tard, les résultats ne sont toujours publiés officiellement pour le grand public malgré quelques bribes d’informations glanées au gré des prises de paroles des Professeur Lina, Lacombe ou de l’infectiologue récemment diplômé Peiffer Smadja.
Un des tweets de ce dernier a attiré notre attention puisqu’il aurait présenté des résultats sur le bras hydroxychloroquine lors de la conférence les JNI (Journées Nationales d’infectiologie) qui s’est tenue les 9, 10 et 11 septembre. Notons que l’essai clinique Discovery promu par l’Inserm, était piloté à l’hôpital de la Croix-Rousse de Lyon par le Pr Florence Ader et qu’il n’est pas permis en principe à un investigateur de présenter les résultats d’une étude oralement sans l’autorisation du comité de pilotage de l’essai. Il y a donc ici une manœuvre politique du Pr Florence Ader relayée par Peiffer Smadja. La communication autour d’un sujet aussi sensible doit se faire avec une grande transparence et c’est bel et bien au Pr Florence Ader qu’en incombait la responsabilité. Nous pouvons affirmer qu’il y a là manipulation avec volonté, en parallèle, du Pr Ader de ne pas se mouiller. Nous mettons donc cette dame devant ses responsabilités. De plus comme nous le montrons par la suite les résultats présentés sont parcellaires car la situation de départ des groupes de patients en termes de score de sévérité n’est pas communiquée !
Des résultats parcellaires et incomplets sont donc bien disponibles mais pour une raison qui échappera au plus grand nombre, ils n’ont jamais été publiés ou arrivent par le biais d’un réseau social. Rappelons que Mr Peiffer Samdja est un opposant déclaré au protocole du Pr Raoult. Il a aussi contribué à la méta analyse Fiolet et al. décriant l’hydroxychloroquine. Cette étude a fait l’objet de plusieurs controverses scientifiques et de lettres à l’éditeur indiquant les doutes sur le sérieux scientifique de cette méta-analyse. Cette étude a été reprise par les médias qui paraissent plus intéressés par les informations négatives à l’encontre du traitement hydroxychloroquine + azithromycine que par le débat contradictoire. De plus, Peiffer Samdja a fait un rapport sur la population mondiale ayant recours à l’hydroxychloroquine en concluant qu’elle représente 1,6 milliards d’individus alors qu’il s’agit en réalité de 4,6 milliards de personnes. Rapport qu’il a fait sans apparemment lire les protocoles sanitaires des divers pays. Ayant refait l’analyse en étudiant en détail les protocoles, nous avons constaté que 4,3 milliards de personnes résidaient dans des pays permettant la libre prescription de l’hydroxychloroquine ou la recommandant.
Ce 3 octobre, dans une série de tweets sur des « preuves » supposées contre l’hydroxychloroquine, le tableau suivant était publié. Plusieurs questions se posent. Pourquoi Mr Peifer Smadja publie-t-il des données de Discovery qui n’ont pas été rendues publique ? Aurait-il accès à des informations alors que le professeur Lina et Lacombe n’ont pas présentés ces données aux diverses commissions d’enquête. Le professeur Raoult est souvent décrié par ses pairs pour communiquer par le biais de vidéo, notons ici que la recherche médicale française commence à communiquer les résultats de Discovery au travers de sources non officielles sur les réseaux sociaux.
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Un autre problème vient du fait que l’échelle ordinale présentée dans le graphique ne correspond pas à celle enregistrée pour l’étude ou 1 était le décès du patient et 8 la non-hospitalisation et aucune limite d’activité. Il se peut que la diapositive représente l’échelle inversée pour des raisons de présentation graphique, ce qui n’est pas habituel et ne respecte pas l’échelle fixée originellement. Il est indéniable que ces résultats fuités s’entourent d’un flou même pour les spécialistes des essais cliniques.
Rappelons que l’échelle ordinale est une évaluation de l’état clinique lors de la première évaluation d’une journée d’étude donnée. L’échelle est la suivante: 1) Décès; 2) Hospitalisé, sous ventilation mécanique invasive ou oxygénation extracorporelle par membrane (ECMO); 3) hospitalisé,sous ventilation non invasive ou appareils à oxygène à haut débit; 4) hospitalisé, nécessitant un supplément d’oxygène; 5) Hospitalisé, ne nécessitant pas d’oxygène supplémentaire – nécessitant des soins médicaux continus (liés au COVID-19 ou non); 6) Hospitalisé, ne nécessitant pas d’oxygène supplémentaire – ne nécessite plus de soins médicaux continus; 7) Non hospitalisé, limitation des activités et / ou nécessitant de l’oxygène à domicile; 8) Non hospitalisé, aucune limitation d’activités.
Il y a donc un réel problème puisque le graphique représente 7 états alors que le document de l’essai en proposait 8. Où est passé ce 8 -ème état ? Aucune précision à ce sujet.
De plus une telle échelle ordinale ne permet pas d’identifier le tableau clinique des patients sur des caractéristiques physiologiques de sévérité, comme en particulier les niveaux sériques des interleukines médiatrices de la réponse immunitaire et les facteurs de comorbidités bien connus (âge, diabète, obésité, hypertension, maladie respiratoire obstructive). Quasiment toutes les études publiées jusqu’à présent ajustent le ratio de risques par rapport aux comorbidités. En dépit du bon sens, les résultats présentés indiquent des ratios non ajustés sur ces covariables ! Ils sont ajustés en fonction de la sévérité à l’inclusion, sous-entendu évaluée par cette échelle ordinale qui n’a aucun rapport avec la sévérité physiologique de la maladie. Ces échelles sont utilisées pour classifier les patients pour des raisons pratiques mais permettent aussi de ne pas adresser l’état réel des patients. Cela permet trop souvent de masquer certains résultats dans les études. Dans ce sens on peut affirmer que les résultats présentés de cette façon sont de la désinformation calculée.
Aux dernières nouvelles, notre grand essai européen « made in France » #Discovery au 18 août avait inclus 835 patients dont 4 en Allemagne, 4 en Autriche, 2 au Luxembourg ; le tout dans 32 centres. Le chiffre objectif pour atteindre la puissance statistique était de 3100 patients répartis en 5 bras testant les divers protocoles, dont un bras contenant l’hydroxychloroquine. Ce dernier bras a été arrêté en Juin 2020.
Dans le tableau plus haut on peut voir que le bras hydroxychloroquine incluait 150 patients. Il est aussi annoté que les scores de risque (OR) sont inversés. En l’occurrence un score > 1 veut dire que le traitement utilisé est plus favorable que le traitement standard alors qu’on note universellement par un ratio de risque inférieur à 1 le bénéfice d’un traitement. Notre expert en essai clinique à France Soir considère qu’avoir inversé la signification du ratio de risque entraîne une confusion plus que regrettable car cela va à l’encontre de l’interprétation sémantique du mot risque.
Donc, au 30 juin, le bras hydroxychloroquine a été arrêté alors que le ratio de risque donnait une évaluation positive en faveur de l’hydroxychloroquine à 1,2. L’effet n’est pas statistiquement significatif car la base de l’échantillon est trop faible, mais si l’essai avait été poursuivi pour atteindre les 620 patients comme initialement prévu, on aurait pu avoir un résultat significatif indiquant l’efficacité du traitement.
Mais poussons l’analyse plus loin puisque #Discovery n’a pas publié les données et que ce tweet ne les comprend pas. Le Docteur Peiffer Smadja, récemment diplômé, dispose donc des résultats d’une étude sanitaire d’intérêt national. Les publie-t-il sur les réseaux sociaux sans autorisation explicite du comité de pilotage ou avec leur accord ? Était-il co-investigateur officiel de l’étude Discovery ? Dans le cas contraire il contrevient à l’éthique de la recherche médicale avec les conséquences potentiellement juridique que cela peut entraîner.
Le docteur Florence Ader, que nous avons joint ce jour, et à qui nous avons envoyé cette diapositive, nous a indiqué être peu disponible et nous a renvoyé vers le Docteur Smadja pour obtenir réponse à nos questions.
La commission d’enquête ne manquera pas de regarder cette analyse en détail étant donné qu’il existe deux types de patients (modérés et sévères). Le tableau présenté ne donne pas le détail par groupe de patients cependant le graphique présenté montre visuellement un effet favorable pour l’hydroxychloroquine. Cependant, le tableau ne montre pas les situations au début de l’étude (jour 0) et donc on ne peut rien en conclure de concret visuellement. Il serait intéressant pour la commission d’enquête de connaitre les raisons pour lesquelles ni le Professeur Lacombe, ni le Professeur Lina lors de leur audition respective n’ont parlé de ces résultats qui sont bien disponibles. Ces deux personnes ne pouvaient les ignorer puisque Mme Lacombe était présente à la conférence ainsi que Mme Ader (investigateur principal de l’essai Discovery) qui travaille avec le professeur Lina.
Une autre étude, HyCovid, présente des résultats similaires puisque lors de son arrêt prématuré en mai 2020 suite au #LancetGate, le ratio de risque était de 0.52 en faveur de l’hydroxychloroquine avec un échantillon de 250 patients sur les 1300 prévus.
La recherche française aurait-elle commis l’impensable ? en l’occurrence arrêter un traitement qui, faute d’un échantillon de taille suffisante montre un effet favorable mais non significatif. Il s’agit là purement et simplement de sabotage caractérisé dont on peut se demander s’il n’est le fruit de conflit d’intérêts. Rappelons que le Professeur Lina avait, devant le Sénat, justifié l’inclusion du remdésivir sur des bases faibles d’évidence d’efficacité pour éviter aux patients une perte de chance.
Finalement on est en droit de penser que pour ne pas faire perdre de chance au remdésivir (du laboratoire pharmaceutique américain Gilead) nos chefs de départements cliniques ont évincé volontairement un traitement et entraîné ainsi une perte de chance pour des patients qui finalement n’auront pas été traités. S’il est avéré ultérieurement et de façon irréfutable que le traitement par hydroxychloroquine montrait des signaux d’efficacité dans l’essai Discovery, alors ne pas l’avoir pris en considération serait indubitable une « faute médicale grave » méritant des poursuites à définir.
🤪😧😬
Plus rien n’étonne 🤥
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Il y a là matière à lancer une procédure judiciaire.
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Ping : CRIMINELS ET INCOMPETENTS ILS N’ONT RIEN APPRIS: seul le doliprane et l’intubation sont progressistes… | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE
oui il y a de quoi déposer plainte pour diffamation
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Ping : Véran profite de l’émotion nationale pour poignarder dans le dos les malades et ceux qui les soignent | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE