Presque tous les Français ont eu Omicron (souvent sans le savoir) ils sont donc protégés contre tous les variants . Ils attendent quoi pour réintégrer les suspendus qui ont eu Omicron ?
Les scientifiques censurés avaient raison , l’immunité naturelle post infection a fait reculer et disparaitre la maladie (comme en 1890/93). La seule chose qui compte est de soigner précocément avec les molécules bien connues, de renforcer le système immunitaire pour protéger les malades. Tout le reste n’est qu’affaire de gros sous et en plus c’est inutile et dangereux.
Ce que j’écrivais il y a un an et demi
Le scénario de la grippe russe (en réalité une covid) de 1890 s’est donc reproduit
VOUS N AVEZ PAS D ANTICORPS,PAS DE PCR POSITIVE, PAS VOS 4 DOSES ET… VOUS ETES PEUT ETRE IMMUNISES PAR LA COVID DE 1890
Publié le 11 novembre 2021 par pgibertie

« Même si une infection donne une protection qui diminue au fil du temps, le niveau de celle-ci […] semble AUSSI DURABLE, VOIRE PLUS, que celui conféré par la vaccination » (dont booster), conclut ce rapport publié dans la revue The Lancet.
Autre constat important, Omicron a servi de bon vaccin Efficacité forte, robuste et durable de l’immu post infection /Formes graves : => La protection est restée élevée pour tous les variants, à ~90% à 10 mois. => A l’inverse, l’efficacité du vax parait + faible et – durable
Nous avons identifié un total de 65 études provenant de 19 pays différents. Nos méta-analyses ont montré que la protection contre les infections passées et toute maladie symptomatique était élevée pour les variantes ancestrales, alpha, bêta et delta, mais était nettement inférieure pour la variante omicron BA.1. L’efficacité combinée contre la réinfection par le variant omicron BA.1 était de 45·3 % (intervalle d’incertitude à 95 % [UI] 17·3–76·1) et de 44·0 % (26·5–65·0) contre omicron BA.1 maladie symptomatique. L’efficacité moyenne combinée était supérieure à 78 % contre les maladies graves (hospitalisation et décès) pour toutes les variantes, y compris omicron BA.1. La protection contre la réinfection par les variants ancestraux, alpha et delta a diminué avec le temps, mais est restée à 78·6 % (49·8–93·6) à 40 semaines. Protection contre la réinfection par l’omicron BA. 1 variant a décliné plus rapidement et a été estimé à 36·1% (24·4–51·3) à 40 semaines.
La protection contre une infection passée contre une réinfection par des variants pré-omicron était très élevée et restait élevée même après 40 semaines.
La protection était sensiblement plus faible pour la variante omicron BA.1 et a diminué plus rapidement au fil du temps que la protection contre les variantes précédentes
https://thelancet.com/action/showPdf?pii=S0140-6736%2822%2902465-5#page46
Non seulement les études prouvent que l’immunité naturelle est plus protectrice que les vaccins à ARNm même avec 3 doses mais on évite les effets secondaires de la vaccination !
OMICRON a vacciné 70 à 90% de la population
Stéphane Gayet – « Il faut laisser le virus circuler, cela crée un vaccin naturel » il y a 2 ans!
Aucun média ne vous citera ces indicateurs sanitaires favorables: L’immunité post infection est passée (au minimum) de ~30% debut 2022 à 84.2% chez + de 18ans Et 91.4% pour les 18-30 ans https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1134076/vaccine-surveillance-report-week-5-2023.pdf#page46… USA, – de 18 ans en oct 2022: => 90.3% https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#pediatric-seroprevalence

QUAND L’HISTOIRE INTERPELLE LES PRATIQUES MEDICALES: LA COVID DE 1890 1894
La covid n’est pas une maladie nouvelle , une vengeance de la planête et nos rhumes actuels témoignent des pandémies d’hier , en particulier celle de 1890. Etrange, cette covid aurait frappé un habitant sur deux pour n’en tuer que 40 000. L’occasion de comparer les pratiques: la presse cessa de parlerde la pandémie au bout de quelques semaines et les médecins de terrain se débrouillèrent en toute liberté avec les molécules à leur disposition.
1 C’ETAIT BIEN UNE COVID!
Les contemporains furent surpris par ce qu’ils appelaient la grippe russe, elle était très contagieuse et ne présentait pas les caractéristiques d’une grippe habituelle. Des complications neurologiques et cardiaques , des manifestations cutanées : toutes les caractéristiques d’un covid. Elle sévit entre 1890 et 1894 avant de devenir la responsable d’une partie de nos rhumes chroniques actuels .D’après le Vidal, la grippe russe aurait pu démarrer dans la ville de Boukhara dès 1888 (Ouzbékistan). Mais le début de l’épidémie aurait vu le jour en novembre 1989 à Saint-Pétersbourg.
L’usage des chiffres en 1889-1890 est un rappel : les chiffres sont toujours liés à des méthodes de collecte et de traitement de données, des contextes interprétatifs, par exemple des débats médicaux, démographiques, politiques. Ces chiffres construisent une intelligibilité du présent ou du passé… ou leur ignorance. En 1889-1890, on assiste aux deux mouvements : la grippe est saisie comme jamais auparavant par la surmortalité ; mais le pic de mortalité est replacé dans une autre série chiffrée, celle de la dépopulation française, qui sape la portée du « fait » social épidémique. La grippe apparaît comme un accident par rapport à un autre « fait », démographique et politique, plus inquiétant et donc urgent, en particulier pour les élites françaises qui comparent avec la population allemande.
https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/memos-demo/paroles-chercheurs/frederic-vagneron/
Je puis légitimementsupposer que l’épidémie s’étant encore maintenue pendant deux ou trois mois pleins, a dû atteindre, dans l’armée, à peu près une personne sur deux. Si je suppose que dans la population civile la proportion a été la même, je suis amené à penser que la moitié de la population a été atteinte à des degrés divers, soit19 millions de personnes.
Voilà pour les malades. D’autre part, il y aurait eu, d’après mes calculs, 60,000
décès par la grippe, soit une mortalité de 1.6 p. 1,000 habitants, et de 3 p. 1,000
malades. Tel aurait été t, la véritable mortalité de Tinfluenza.
Cliquer pour accéder à 1030000333_187.pdf
Cliquer pour accéder à JSFS_1893__34__60_0.pdf
Cliquer pour accéder à JSFS_1893__34__60_0.pdf
Le taux de mortalité est faible : de 0,1 à 0,28 %. Le caractère « modéré » de la pandémie de 1889-1890 est similaire à celui des pandémies de la deuxième moitié du 20eme siècle. Par contraste, la pandémie de la « grippe espagnole » est bien plus léthale .
La vitesse de propagation de la Covid de 1889 l’apparente au Covid-19. Alors que le pic de l’épidémie est atteint à Saint-Pétersbourg le 1er décembre 1889, il survient aux États-Unis pendant la semaine du 12 janvier 1890. L’Australie et la Nouvelle-Zélande sont touchées en mars 1890. Au printemps 1890, l’influenza a gagné l’Afrique et l’Asie. Des Africains qui n’ont jamais connu de grippe de leur vie l’appellent « la maladie de l’homme blanc ». Des répliques épidémiques se produiront jusqu’à la fin du siècle. Bilan global : 250 000 décès en Europe, où la proportion des personnes ayant été en contact avec le virus aurait été de l’ordre de 40 % à 60 %
Malgré tout, les scientifiques de l’époque décèlent certaines conséquences surprenantes : des doigts gonflés, des problèmes rénaux et digestifs, une mortalité accrue chez les plus de 65 ans. Et cette grippe russe est extrêmement contagieuse et peux engendrer des complications neurologiques. Il sera établi très rapidement, fin janvier 1890 qu’il ne s’agit pas d’une grippe.
La France lors de la grippe russe
À Noël, la France est très touchée. À Paris, les hôpitaux sont saturés et des baraquements extérieurs sont construits pour recevoir les patients. Cela alors qu’il ne fait que huit degrés dehors. Début janvier, toutes les grandes villes font face à l’épidémie. Les établissements scolaires sont fermés et l’armée est réquisitionnée pour faire face à la crise.
Plusieurs vagues
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6488901c/f346.item
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6488901c/f346.item
La pandémie de « grippe russe » se propage a une vitesse incroyable mais se termine rapidement au printemps 1890.
au printemps 1891, l’hiver 1891-1892, l’hiver 1893-1894, voire au printemps 1895.
Cliquer pour accéder à vagneron-pop2020-2.pdf
https://www.persee.fr/doc/pop_0032-4663_1989_num_44_6_3528
https://www.vidal.fr/actualites/26269-pandemie-de-grippe-russe-une-covid-du-xixe-siecle.html
Récemment, des études de phylogénétique pointent une hypothèse intrigante : OC43, l’un de ces quatre coronavirus humains bénins, pourrait-il être à l’origine de la pandémie de grippe russe qui ravagea le monde entre 1889 et 1894 ? Outre ces données de phylogénétique, des éléments épidémiologiques et cliniques semblent également orienter vers ce suspect.
Un R estimé autour de 2,15
En 2008, une équipe de l’hôpital Saint-Antoine (Paris) a essayé de calculer le taux de reproduction initial (R0) de l’épidémie à partir d’un rapport du ministère de la Santé de 1891 listant le taux de mortalité hebdomadaire dans 33 villes européennes entre le 2 novembre 1889 et le 8 février 1890. Selon cette étude, le R moyen était de 2,15 (2,04-2,32) avec un R beaucoup plus élevé dans les villes de Stuttgart, Amsterdam et Saint-Pétersbourg. Ces chiffres semblent faibles au regard de la propagation ultra-rapide de la pandémie.
Toujours selon l’équipe de Saint-Antoine, la mortalité supplémentaire par rapport à l’hiver précédent est estimée à +105 % en moyenne, mais variant de +10 % à Christiana (Danemark) à +221 % à Brno (Tchéquie). Au total, on estime que la pandémie de grippe russe a provoqué au moins un million de morts à travers le monde (ce qui représenterait 5 millions de décès aujourd’hui).Une pandémie qui prend le train et signe la fin de l’hypothèse miasmatique
Sur le plan de l’épidémiologie, la grippe russe va conclure une bataille scientifique quasi centenaire entre les tenants de la transmission miasmatique des infections respiratoires (portées par les vents et les rivières) et ceux de la transmission interindividuelle. En Europe, la dissémination de la maladie suit rigoureusement le trajet des 200 000 km de voies de chemin de fer qui ont été récemment développées et elle avance à la vitesse des trains. Il en résulte une pandémie quasi uniquement urbaine, les capitales et les ports étant les premiers touchés dans chaque pays, rapidement suivis par les grandes villes de province. Les campagnes restent globalement indemnes.
De plus, une étude épidémiologique menée en France montre que, chez le personnel des chemins de fer, le taux d’infection est de 45 % chez les personnes en charge de l’exploitation (contacts avec les voyageurs), de 35 % chez celles chargées de la « traction » (conducteurs, mécanos, etc.) et de 9 % chez les agents entretenant les voies. La transmission entre personnes est rapidement admise par la communauté scientifique pour cette pandémie, qui, selon le Dr Gustave André (1856-1927), « marche contre le vent et l’eau », mais également pour les autres infections respiratoires saisonnières.Hiver 1889-1890 : la France s’arrête
En France, la grippe russe est d’abord observée chez le personnel des Grands Magasins du Louvre, à Paris, avec 670 des 3 900 employés touchés dans la seule semaine du 26 novembre 1889 ! Rapidement, l’infection progresse dans la capitale et, début décembre, un tiers des lits hospitaliers sont occupés par des victimes de la maladie. Noël 1889 est marqué par la saturation des hôpitaux et l’érection en urgence de baraquements dans les cours des hôpitaux et des casernes, où les malades sont placés alors que la température extérieure affiche – 8°C ! Le pic de cas survient autour du 28 décembre avec 180 000 personnes touchées simultanément à Paris (pour 2,5 millions d’habitants). La mortalité dans cette ville sera estimée à 62 ‰.
La première semaine de janvier 1890, la grippe russe est dans toutes les principales villes françaises. Les écoles, collèges, lycées et universités sont fermés. La quasi-totalité des médecins hospitaliers parisiens sont infectés. La fréquentation des commerces de bouche s’effondre, les bouchers de la Villette mettent leur personnel au chômage. Les services postaux sont dans l’incapacité de distribuer les cartes de bonne année, l’armée est réquisitionnée pour cette mission, malgré le très grand nombre de soldats malades. Émile Loubet, le président de la République, et une majorité de ministres sont, eux aussi, malades.
Les personnels des pompes funèbres sont débordés avec 400 à 500 décès chaque jour dans la capitale et demandent la simplification des rites funéraires religieux pour tenir le rythme. Entre décembre 1889 et fin février 1890, la mortalité parisienne augmente de 30 % par rapport à l’hiver précédent. Et pourtant, fin février 1890, le calme revient soudainement dans la capitale.Des symptômes particuliers qui interrogent les médecins
Sur le plan clinique, la grippe russe est une infection respiratoire assez classique avec fièvre parfois élevée, maux de tête, douleurs musculaires, toux, fatigue et, dans les cas sévères, dyspnée et insuffisance cardio-respiratoire. Les personnes souffrant de maladies chroniques sont rapidement identifiées comme plus enclines à développer des formes graves.
Pourtant, certains médecins de l’époque notent des particularités « insolites, non vues, déconcertantes pour le praticien » :
- une maladie plus contagieuse que la grippe, en particulier au sein des familles ;
- des doigts gonflés au début de la maladie (probablement des vascularites) ;
- des atteintes sévères plus fréquentes chez les hommes ;
- des atteintes rénales et digestives plus fréquentes ;
- une mortalité particulièrement élevée chez les personnes âgées (mais les plus jeunes ne sont pas complètement épargnés) ;
- des récidives rapides chez environ 15 % des patients (dont le Tsar de Russie…), parfois 3 fois, le premier événement étant le plus sévère.
Mais ce qui frappe surtout les médecins, dans tous les pays occidentaux, est la fréquence anormalement élevée (pour une grippe) de manifestations neurologiques : névralgie faciale, algies diverses, « névrose du nerf pneumogastrique » (dysfonctionnement du nerf vague avec des alternances de tachy/bradycardie), « troubles bulbaires », « troubles des nerfs périphériques et de la moelle », asthénie profonde et durable.
La présence de ces symptômes particuliers (ainsi que l’existence fréquente d’une splénomégalie, inhabituelle en cas de grippe) amène le Pr Pierre Potain (1825-1901, connu pour ses travaux sur la pression artérielle) à déclarer, fin janvier 1890, qu’il ne s’agit pas d’une grippe.
2) NE NOUS Y TROMPONS PAS LA REACTION SOCIALE EN 1890 NE RESSEMBLE PAS A CELLE D’AUJOURD’HUI
Un traitement médiatique qui nous semble désormais familier
En parallèle du développement des chemins de fer, la fin du XIXe siècle est marquée par l’explosion du nombre de journaux et du lectorat. La pandémie russe devient ainsi la première pandémie à faire les Une de cette nouvelle presse. Ce relais médiatique influence fortement l’image de la pandémie dans la société et crée ce qu’on pourrait appeler la « première pandémie médiatique ».
La comparaison s’arrête là et nous ne suivrons pas les journalistes d’aujourd’hui qui tordent le coup à l’histoire pour trouver des arguments … contre la chloroquine .
Il suffit de reprendre la presse des années 1889/95 pour constater la rapide disparition de la pandémie des colonnes des journaux
D’ailleurs, il faut bien le reconnaître, le sulfate
de quinine est le médicament de choix auquel
jusqu’ici on doit toujours recourir clans l’infection
grippale. Et s’il n’a pas la valeur d’un médicament spécifique, c’est un moyen puissant dont les
heureux effets sont incontestables (1). Car, dans
(1) GELLIE. La Grippe et son traitement par le Sulfate de
quinine. (Joum, de Méd. de Bordeaux, 1889-1880, et tirage à
part).
PROPHYLAXIE — TRAITEMENT 183
la grippe, la quinine n’agit pas seulement comme
antithermique, elle agit encore certainement
comme moyen antiseptique susceptible d’atténuer
la vitalité des germes pathogènes, c’est aussi un
agent tonique de premier ordre; c’est enfin le
procédé le meilleur en bien des cas de faire cesser
au cours des épidémies ces manifestations larvées, y
comprises les intermittences cardiaques,
que nous avons cru pouvoir bien souvent rattacher à l’infection régnante.
Cette action antiseptique de la quinine, nous
croyonsl’avoir bien mise en évidence, en réalisant,
au mois de juillet dernier, avec la collaboration de
M. Pittion, l’expérience suivante
: Nous avons ensemencé avec une culture sur agar, provenant d’une
eau stérilisée et ensemencée avec la diplobactérie
grippale, une série de tubes contenant une solution stérilisée de chlorhydratede quinine au 1000e
ou au 2000e et comme témoins des tubes de bouillon de boeuf peptonisé.Vingt-quatreheures après,
les tubes ensemencés avec le bouillon de boeuf
sont excessivement fertiles, alors que les solutions
quiniques ayant conservé toute leur limpidité ne
laissent voir au microscope que quelques diplobactéries très rares et à peine mobiles. Quarantehuit heures après, les tubes sont légèrement
opalescents, mais les organismes semblent avoir
perdu complètement leur vitalité et c’est à peine
si le liquide ensemencé en tubes d’Esmarch a
184 LA GRIPPE-INFLUENZA
donné naissance à trois ou quatre colonies sans
tendance à se développer.
Nous ne citons ces expériences qu’à titre confirmatif et nous n’avons garde de baser notre
intervention thérapeutique sur ces faits encore
isolés et qu’il est nécessaire de soumettre à un
nouveau contrôle. Il ne nous est pas défendu,
toutefois, de les rapprocher des résultats acquis
par l’expérience et du consensus général qui
semble bien attribuer à la quinine le premier
rang parmi les médicaments utilisés contre l’infection grippale.
Momotchi interviewe Annelise Bocquet, Docteur en Biologie Santé : « Tout savoir sur la protéine spike »
Si vous avez un vaccin qui produit 18 fois plus de signalements que 30 autres vaccins durant les 30 dernières années Ça saute aux yeux ! «
Les séquences vaccinales d’ARNm de la spike du SARS-CoV-2 circulent dans le sang jusqu’à 28 jours après la vaccination COVID-19 – PubMed https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36647776/
Toxicité et persistance de la protéine Spike n’ont pas été réellement étudiées : « négliger la bibliographie, les études précliniques, pharmacocinétiques, de biodistribution et de toxicité : ce n’est pas de la science »,
on nous avait certifié sur la tête de la maman de la Science que ça restait uniquement quelques heures dans le site d’injection et que ça n’allait pas dans tout le corps
Bizarrement aucune plainte de l’Elysée ou de ministre suite à l’accusation de Jean Lassalle
@jeanlassalle qui dénonce le fait que ni Macron ni aucun ministre n’a été injecté. Aurait-il raison ?
La tuberculine c’est ma cousine peut chanter le vaccin Pfizer ! A 130 ans de distance l’injection des principes toxiques et non neutralisés sous prétexte de « vaccination » peuvent conduire aux mêmes désastres sanitaires…
Publié le 6 juin 2021 par pgibertie
Malheureux !!! Vous allez vous faire des ennemis.
D’abord vous parlez de virus alors qu’on sait (ah ah ah) qu’ils n’existent pas et que les maladies sont due à la 5G et l’électricité, et probablement au train pour celle de 1890.
Ensuite vous parlez de transmission, et la aussi on sait que cela n’existe pas puisqu’il n’y a rien à transmettre. C’est le froid qui est responsable de tout, foi de pierre de décoder l’éco. D’ailleurs c’est arrivé en hivers, si c’est pas une preuve.
🙂
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C’est exactement pour ça que je ne lirai pas le livre de Pierre Chaillot. Ses raisonnements statistiques sont intéressants – encore qu’on ne l’ait pas attendu pour comprendre certaines choses beaucoup plus simplement – mais ses divagations médicales risquent de discréditer toute la « résistance ». De plus, s’il s’était tapé un petit Covid – pas la pire maladie infectieuse de ma vie, mais sûrement la plus bizarre, parce que personne n’a daigné me soigner ni s’intéresser aux complications possibles – en même temps que toute sa famille, il verrait sans doute les choses différemment. Bon, tout ça n’est plus très grave, parce que la « pandémie », d’ici peu, ne sera plus qu’une bonne blague comparée au cancer métastatique qui frappe la France – à partir d’une tumeur primaire, Macron, dont de belles âmes ont jugé l’exérèse inutile en mai de l’an dernier. Santé, retraites, corps constitués, politiques extérieures, représentation nationale, marché de l’énergie, équilibre économique, justice, presse, absolument tout est touché.
Comme vous dites, hervé_02, quand on les laisse faire, ils font. Et j’ajouterais, imitant Edouard à la barbe blanchissante : puisque « ça passe » pourquoi se gêneraient-ils ?
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j’en suis presque arrivé à la conclusion que des forces mainstream ont « infectés » la résistance pour y implanter des idées débiles afin de nous faire passer pour des hurluberlus aux chapeaux pointus en papier d’aluminium.
Ils prennent des petits bouts de vrais et les enrobent de gros morceau de non prouvés. Par exemple si tissot à photographié la « création » « du(?) » bacille de la tuberculose par désagrègement de cellules humaines « normales ». Cela ne veut pas dire qu’il ne peut pas contaminer.
Que l’on n’ait pas « isoler » les « virus » ne veut pas dire qu’il n’y a pas de pathogènes contaminants. Que des conditions sanitaires et de vie font que l’on est plus ou moins bien armés contre les maladies est une évidence cela ne veut en aucun cas dire que tout n’est que question de milieu.
Sur la contagion, l’expérience que nous avons (des après-midi rougeole aux après midi varicelle – malheureusement il n’y a pratiquement plus de rougeoles infantiles, même chez les non vaxXxinés) démontre sans se tromper qu’il y a contagion que l’on peut identifier. 3 expériences ne font pas une vérité scientifiques (de même que 3 cas ou la contagion n’a pas eu lieu – immunité ? corps en bonne santé ?) MAIS l’expérience de générations entières de parents ne peut pas être mis à la poubelle par 3 manipulations de statistiques.
Nous vivons un changement profond civilisationnel, les mensonges deviennent visibles et la population n’a plus foi dans ses « zélites ». Il est alors une tentation grande de tout rejeter en bloc. Ce n’est plus le bébé avec l’eau du bain, mais tout le quartier avec l’eau du bain.
Je pense qu’il nous faut garder bien précieusement nos savoirs « chauds », ceux qui proviennent de nos expériences. Nous avons été soignés du covid par une plaque ziverdo (une pour 2 personnes) ramenée d’inde par une amie d’une amie (il n’était pas possible d’en commander – les douanes saisissaient et en amont les prestataires de transfert d’argent refusaient les virements – et pas question d’acheter au us (ou ailleurs) 30$ des produits en valant 2). Les médecins n’ont pas soigné, le collectif oui.
Alors ces médecins peuvent aller râler dans la rue que de ne pas signer les séances de kiné ou la picouse de l’infirmière est une mise en danger de la vie des patients et gnagnagna et gnagnagni médecins traitant… mes c*uilles, Ils ont laisser crever leurs patients pendant ces 2 ans avec du doliprane. Ils n’étaient pas nombreux dans la rue pour défendre le doit de prescription. Combien conchiait raoult à tous les micros tendus?
Il y a toujours un après, c’est pour cela qu’il faut être très vigilants de ses paroles et actions pendant une crise. Parce que le après sera compliqué. Il est tant de payer maintenant.
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Excellent ! C’est ce qui s’appelle « fouiller à fond » !
J’aurais une question aux lecteurs « curieux et sachants »…que je traine depuis mars 2020 n’ayant jamais osé poser la question : quand on a vu les symptômes présentés par les patients en mars 2020, la première réflexion que je me suis faite a été « ça me rappelle les signes observés en novembre décembre 2018…dont une dyspnée aigüe, hypnotique, jusqu’à ne plus pouvoir parler ou respirer… »
On a dit que c’était la grippe à l’époque…
En 2020, lors des premiers patients Covid, j’ai tout de suite pensé à cette « grippe » 2018 -2019 et ses dyspnées étranges oxygenorequerantes conduisant à la réa
Cela peut sembler absurde.
Mais je m’interroge encore aujourd’hui…
Si quelqu’un peut m’enlever ce doute. Merci !
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Dsl : Dyspnée aigüe, hypoxique ! Et non hypnotique….grrr
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Des tests sur des prélèvements sanguins d’avant la »plandémie » montrent des résultats positifs au « covid ». Mais pour cela il faudrait avoir une certitude de ce qui est testé.
Certains affirment que le « covid » serait un ensemble de maladies regroupées sous le même vocable. Je n’ai pas d’avis sur la question. Mais je suis certain qu’il y a bien eu un truc qui a circulé (sans pouvoir en déterminer la véritable ampleur), qui a contaminé (et tué) de gens et que le gvt, les zotorités sanitaires, les ordres et les sociétés savantes sont coupables d’avoir laisser crever des gens en interdisant aux médecins de soigner et en poursuivant ceux qui soignaient.
ils devront payer un jour pour cela.
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Dsl : Dyspnée aigüe, hypoxique ! Et non hypnotique….grrr
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J’ai adapté un poème dédié à Napoléon pour Macron dont l’auteur original est fort célèbre. Chut… a ux lycéens de trouver l’auteur :
« Quelques canons de plus ou de moins ont fait pencher Macron. Pour que l’Ukraine fût la fin des gilets jaunes, la providence n’a eu besoin que d’un peu de virus, et un rhume traversant le ciel à contresens de la saison a suffi pour l’écroulement d’un monde »
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Interdire les traitements précoces et les faire passer pour délétères au profit d’une injection génique non contrôlée relève du crime contre l’humanité.
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Ping : #Pfizer admet une #myocardite symptomatique pour 1000 doses !On apprend qu’injecter une personne déja immunisée par #Omicron ne sert à rien et DOUBLE les effets indésirables merci au blog de notre ami Gibertie – PAGE GAULLISTE DE RÉINFORMATI