La tuberculine c’est ma cousine peut chanter le vaccin Pfizer ! A 130 ans de distance  l’injection des principes toxiques et non neutralisés  sous prétexte de « vaccination » peuvent conduire aux mêmes désastres sanitaires…

Inventée par Robert Koch, la tuberculine, d’abord nommée  »lymphe de Koch » ou même  »kochine »  donna lieu à une manifestation particulièrement spectaculaire et révélatrice de ce que peut être le triomphalisme  médical. Mais,  quand elle se confronte à une maladie aussi implacable que la tuberculose, il sera difficile de tricher indéfiniment avec elle. Les vaccins expérimentaux  à la mode aujourd’hui  reposent sur les mêmes méthodes : expérimentation directe sur les humains , zones d’ombres et surtout inoculation de principes toxiques à l’être humain , le contraire même des principes  de la vaccination .

En ce moment nous connaissons tous des personnes fragiles  disparues brutalement, fatigue et déclin rapide, avc, dissection de l’aorte et ce chaque fois après la vaccination . Il ne faut surtout pas établir de liens  puisque le vaccin est sans danger… comme jadis la tuberculine…

Ne l’oubliez jamais

Bernard Guennebaud.:

Beaucoup a été écrit sur cette histoire inqualifiable qui débuta le 4 août 1890 à Berlin .

« Au Xè congrès international des Sciences médicales, Koch présenta la tuberculine, son médicament contre la tuberculose. Alors, une véritable marée de phtisiques désespérés  déferla vers les hôtels et les cliniques. Les fabricants du produit contre la tuberculose firent fortune. »

En fait Koch n’avait rien dit à ce moment là sur la nature de son produit car il redoutait les plagiats

A l’époque, la tuberculose tuait le quart des populations européennes, aussi, juguler un tel fléau serait un exploit au retentissement inimaginable. C’est ce qui va se produire pendant quelques mois, jusqu’au 18 décembre 1890 où Robert Koch devra lui-même enterrer sa méthode pour être destitué du piédestal où sa découverte l’avait placé, certains journaux français ironisant alors sur  »le chant du Koch ». Après l’annonce du 4 août, l’Allemagne, l’Autriche, la France, le monde entier s’enflamment: « Depuis le trône impérial jusqu’à la plus modeste chaumière, rien n’occupe les paroles et les pensées comme la découverte de Robert Koch »

« En commençant nos travaux, dit un professeur de Vienne, je veux marquer avec solennité la naissance d’une découverte aussi considérable, aussi grandiose pour le bien de l’humanité…. C’est un fruit lentement mûri à l’arbre de la science.»

Les correspondants  de la presse médicale et de la grande presse affluent à Berlin pour assister aux miracles : ‘‘Un lupus tuberculeux guéri, on croit faire un rêve ! »  » La médecine  est désormais en possession d’une substance mystérieuse  qui agit puissamment sur les tissus tuberculeux qu’elle mortifie et détruit. »

Les journaux perdent la raison, annonçant que le produit guérirait aussi les rhumatismes, la syphilis… Berlin va drainer une foule de tuberculeux et de médecins venus du monde entier. Les hôtels  craquent de tuberculeux. Le Figaro commente  » c’est l’invasion d’une ville par une armée de malades ». Berlin en restera marquée à jamais.

Pourtant, tout va s’effondrer en quelques jours car la dure réalité va reprendre ses droits : Le malade atteint de lupus, qui passait pour guéri, va faire une récidive très intense. Fin novembre, des assistants de Koch confient aux journalistes qu’ils ont observé des améliorations mais aucune guérison. Les Autrichiens recommandent d’utiliser la lymphe avec prudence, en raison de réactions violentes et parfois mortelles,  »c’est un poison organique très violent’‘. Selon un rapport, ‘‘l’inoculation a souvent produit un coup de fouet qui transforme la maladie bénigne en phtisie galopante.’

En 1953 J. Basset, professeur à l’école vétérinaire de Lyon, rappellera « les meurtres dont la lymphe de Koch jadis, fut responsable lors de la tuberculinothérapie »

Le 18 décembre, Robet Koch devra enterrer la merveilleuse découverte dont il n’avait jamais révélé la composition pendant toute cette période. Certains feront remarquer qu’il était interdit d’appliquer un médicament dont on ne connaissait pas la composition alors que Koch ne fut pas le seul à l’utiliser. Ce sera seulement le 15 janvier 1891 qu’il  révélera enfin ce qu’était son mystérieux produit,  »un extrait glycériné tiré des cultures pures du bacille de la tuberculose ».

 ‘‘la tuberculine est un produit d’une si haute toxicité qu’il n’a pas été possible d’en faire un vaccin ».

Pourquoi la comparaison avec le Pfizer est elle justifiée ?

Utilisation massive pour un traitement toujours expérimental.

Des expériences sur les animaux plus que limitées au nom de l’urgence

Transmission des principes toxiques non atténués de la maladie.

On découvre que sans la protéine  spike le virus serait inoffensif et horreur le vaccin consiste  à inoculer  le processus de fabrication de cette protéine  dans notre organisme . La protéine se propage contre toute attente  dans les ovaires et les testicules….

Celui qui appelle à arrêter la vaccination n’est pas un conspirationniste  mais  le professeur Byram Bridle, spécialiste en immunologie virale et nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers. 

Si la spike est la substance la plus active du virus, ce n’est plus un vaccin que l’on injecte, mais le toxique comme avec la tuberculine

« Jusqu’à récemment, nous n’avions jamais pensé que les protéines Spike pouvaient être toxiques ! 

Les fabricants de vaccins ont choisi de cibler la protéine unique, permettant aux cellules de la personne vaccinée de fabriquer la protéine qui, en théorie, provoquerait alors une réponse immunitaire à la protéine, l’empêchant d’infecter les cellules.

« Ce qui a été découvert par la communauté scientifique, c’est que la protéine de pointe à elle seule est presque entièrement responsable des dommages au système cardiovasculaire, si elle entre en circulation »

Elle serait sans doute responsable d’une partie des troubles engendrés par le Sars-Cov-2, peut-être des plus importants, vasculaires et hématologiques. Ce serait la substance la plus active et toxique du virus. Le virus sans spike serait alors quasi inoffensif, et les variations de la spike le rendraient plus ou moins toxique, c’est le cas des variants récents, variations du virus qui ne portent que sur la spike.

Un vaccin classique injecte le “toxique” atténué ou mort. Ici on l’injecte “actif”, non atténué, d’où les effets secondaires très nombreux, parfois mortels, comme jamais vus dans les vaccins autorisés à ce jour. Si la spike est la substance la plus active du virus, ce n’est plus un vaccin que l’on injecte, mais le toxique.

Dans ces conditions, l’injection indirecte de la substance la plus toxique du Sars-Cov-2, sans l’avoir atténuée au départ, serait une erreur. Erreur non prévisible au départ, vu les connaissances sur la spike au début. Aux effets secondaires initiaux, dus à la spike et non à l’ADN ou l’ARN injecté, peuvent alors s’ajouter des effets plus tardifs, dus à des modifications génétiques.

Les chercheurs avaient fait l’hypothèse que les nouveaux vaccins COVID se comporteraient comme des vaccins traditionnels et que la protéine de pointe du vaccin – responsable de l’infection et de ses symptômes les plus graves – resterait principalement dans le site de vaccination au niveau du muscle de l’épaule. Au lieu de cela, les données japonaises ont montré que la tristement célèbre protéine de pointe du coronavirus pénètre dans le sang où elle circule pendant plusieurs jours après la vaccination, puis s’accumule dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et dans concentrations assez élevées dans les ovaires.

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
Cet article a été publié dans éducation prépa école de commerce. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

6 commentaires pour La tuberculine c’est ma cousine peut chanter le vaccin Pfizer ! A 130 ans de distance  l’injection des principes toxiques et non neutralisés  sous prétexte de « vaccination » peuvent conduire aux mêmes désastres sanitaires…

  1. Marie Louise KAR dit :

    Merci pour toutes les informations auxquelles vous nous permettez d’avoir accès.

    J’aime

  2. venussa1 dit :

    artic

    J’aime

  3. Bergeret dit :

    Vous êtes optimistes quand vous dites que ce n’était pas voulu d’ injecter un produit toxique à une majorité de personnes dans le monde.

    J’aime

  4. Chevrel dit :

    Toute information est bienvenue !

    Je suis preneur !

    Souhaitant de tout cœur vos sources fiables et irréprochables
    démontrant ( ou démontant) ainsi les nombreux péchés par omission nous environnant

    J’aime

  5. Eric dit :

    Les quatre vaccins mis sur le marché avec autorisation conditionnelle ont tous beaucoup trop d’effets secondaires graves et devraient être arrêtés de toute urgence.
    Pourtant, nous assistons sans brocher au magnifique tour de passe-passe d’une ingénierie sociale mise en place par nos élites qui fait que la majorité de nos con-citoyens se jettent à corps perdu dans ce cyclone vaccinal avec, en plus, la bénédiction du corps médical !

    J’aime

  6. Ping : La tuberculine c’est ma cousine peut chanter le vaccin Pfizer ! A 130 ans de distance  l’injection des principes toxiques et non neutralisés  sous prétexte de « vaccination » peuvent conduire aux mêmes désastres sanitaires… – Le bl

Laisser un commentaire