
Un article publié il y a quelques jours montre que le Pr Hazeltin de Harvard a gagné son combat contre un des pires poisons conçu par BIG Pharma , le Molnupiravir de Merk (ne pas oublier le Remdesivir ). Le molnupiravir est une molécule vieille de plus de 40ans, mutagène , cancérigène qui ne sert à rien mais qui rapporte700 S par malade
La question de la responsabilitédu remdesivir, des plasmas et du molnupiravir dans l’apparition des variants anglais puis indiens, se pose sérieusement .
Olivier Veran se fit à l’automne 2021 un des promoteurs du poison , ses protégés Karine Lacombe et Yasdan Yazdanpanha furent les vrp du remdesivir et du plasma
Merck aura sa part du gâteau avec la patate chaude de Big Pharma, le Molnupiravir présentée comme la pilule anticovid par la presse qui ne sait pas lire
Elle existait mais sa réputation exécrable fit que même Giléad refusa de l’utiliser En 2003 la tentation de le refiler contre l’hépatite fut abandonnée par peur de créer des mutants
Tous les détails ici
NE RECOMMANDEZ PAS DE L’UTILISER – l’antiviral #COVID#molnupiravir est essentiellement une grenade génétique
qui tue les virus mais engendre également de nouvelles variantes mutantes – une nouvelle étude révèle que les coronavirus mutants du SRAS2 SURVIVENT ET COMPÉTENT ! Dr
@WmHaseltine : « NOUS COURONS LA CATASTROPHE ». https://science.org/content/article/could-popular-covid-19-antiviral-supercharge-pandemic
Un médicament COVID-19 largement utilisé peut être à l’origine de l’apparition de nouvelles variantes du SRAS-CoV-2, ce qui fait craindre qu’il ne prolonge et même ne revigore la pandémie. Le médicament, le molnupiravir, produit par Merck & Co., est conçu pour tuer le virus en induisant des mutations dans le génome viral. Une enquête sur les génomes viraux rapportée dans une nouvelle préimpression suggère cependant que certaines personnes traitées avec le médicament génèrent de nouveaux virus qui non seulement restent viables, mais se propagent.
« Il est très clair que des virus mutants viables peuvent survivre [au traitement au molnupiravir] et rivaliser [avec les variantes existantes] », déclare le virologue William Haseltine, président d’ACCESS Health International, qui a soulevé à plusieurs reprises des inquiétudes concernant le médicament. « Je pense que nous courtisons le désastre. »
Autorisé au Royaume-Uni et aux États-Unis fin 2021, le molnupiravir a été le premier antiviral oral approuvé pour lutter contre le COVID-19. Il a depuis été autorisé dans des dizaines d’autres pays. En 2022, Merck a estimé les ventes mondiales du composé à plus de 5 milliards de dollars. Bien que ce chiffre soit bien inférieur aux 18,9 milliards de dollars de ventes de Paxlovid en 2022, un autre antiviral oral contre le SRAS-CoV-2, le molnupiravir reste très populaire dans certains pays.
Dès le début, cependant, Haseltine et d’autres se sont inquiétés du mécanisme du médicament, qui consiste à introduire tellement de mutations dans le génome viral qu’il ne peut plus se reproduire. L’une des préoccupations était que le médicament pourrait muter non seulement le coronavirus, mais l’ADN des personnes qui le reçoivent – un effet secondaire qui n’a pas été observé jusqu’à présent. Une autre était que le virus muté survivrait et se propagerait – et se révélerait peut-être plus transmissible ou virulent qu’auparavant. Avant que la Food and Drug Administration des États-Unis n’autorise le médicament, un porte-parole de Merck a qualifié l’inquiétude de « préoccupation hypothétique intéressante ».
Néanmoins, des chercheurs et des scientifiques citoyens du monde entier ont commencé à scanner les séquences du génome du SRAS-CoV-2 déposées dans la base de données internationale GISAID, à la recherche des types de mutations susceptibles d’être causées par le molnupiravir. Plutôt que d’induire des changements aléatoires dans le génome de l’ARN du virus, le médicament est plus susceptible de provoquer des substitutions d’acide nucléique spécifiques, la guanine passant à l’adénine et la cytosine à l’uracile.
Un chasseur de virus, Ryan Hisner, professeur de sciences et de mathématiques au collège à Monroe, Indiana, a commencé à cataloguer les variantes suspectes en août 2022 et a rapidement identifié des dizaines de séquences qui montraient des grappes de ces substitutions caractéristiques. Hisner a fait part de ses inquiétudes aux chercheurs sur Twitter et s’est finalement associé à Thomas Peacock, un virologue de l’Imperial College de Londres. Avec d’autres collègues, la paire a systématiquement examiné plus de 13 millions de séquences SARS-CoV-2 dans GISAID et analysé celles avec des grappes de plus de 20 mutations. Dans une préimpression publiée le 27 janvier, ils rapportent qu’un grand sous-ensemble a montré les substitutions de marque ; tous datés de 2022, après que le molnupiravir a commencé à être largement utilisé.
Mais ce nouveau résultat fait suite à deux autres qui pourraient modifier le calcul du rapport bénéfice/risque du médicament.
Dans l’un, des chercheurs australiens ont trouvé des preuves que le traitement au molnupiravir pourrait conduire à de nouvelles variantes chez les patients immunodéprimés. Parce que le système immunitaire de ces patients a du mal à éliminer le virus, les variantes virales peuvent accumuler un grand nombre de mutations, provoquant éventuellement de grands sauts dans le comportement viral qui peuvent ensuite être transmis à d’autres. (Les chercheurs ont émis l’hypothèse qu’Omicron et d’autres variantes du SRAS-CoV-2 évoluaient naturellement chez les personnes immunodéprimées.) En séquençant à plusieurs reprises les génomes du SRAS-CoV-2 de neuf patients, dont cinq ont reçu le médicament et quatre qui ne l’ont pas reçu, les chercheurs ont découvert que le molnupiravir -les individus traités hébergeaient en moyenne 30 nouveaux variants chacun dans les 10 jours suivant la dose initiale, bien plus que les patients non traités. « Notre étude démontre quecet antiviral couramment utilisé peut « accélérer » l’évolution virale chez les patients immunodéprimés , générant potentiellement de nouvelles variantes et prolongeant la pandémie », ont écrit les auteurs dans une prépublication du 22 décembre 2022.
Un deuxième rapport, paru le 28 janvier dans The Lancet , suggère que, du moins chez les personnes vaccinées contre le COVID-19, le molnupiravir offre des bénéfices limités . L’étude a suivi 26 411 participants vaccinés à l’essai clinique PANORAMIC du Royaume-Uni, dont environ la moitié ont reçu le médicament. Il a réduit la gravité des symptômes et amélioré les temps de récupération des patients, mais les chercheurs ont constaté qu’il ne réduisait pas la fréquence des hospitalisations ou des décès associés au COVID-19 chez les adultes à haut risque.
Les nouvelles études britanniques et australiennes ne prouvent pas que le molnupiravir provoque l’émergence de nouvelles variantes dangereuses du SRAS-CoV-2, déclare Ravindra Gupta, microbiologiste clinique à l’Université de Cambridge. Mais il soutient que les avantages limités du médicament suggèrent que le risque ne vaut plus la peine. « Pris ensemble, ces résultats remettent en question l’utilisation du molnupiravir. »
Traitements contre le Covid-19: Olivier Véran « fonde beaucoup d’espoir’ dans le Molnupiravir, un médicament antiviral
LE VARIANT ANGLAIS A UN PAPA (Yazdan) ET UNE MAMAN (karine Lacombe) : le traitement de patients immunodéprimés avec la méthode du plasma de patients guéris (Karine) et le Remdesivir (Yazdan) aurait entrainé la mutation de la covid …
Publié le 11 janvier 2021 par pgibertie
Les Anglais auraient eu tort de s’inspirer des traitements des deux héros promus par la macronie….
A peine croyable mais vrai la mutation que subit l’Angleterre serait le fruit d’une évolution longue de patients immunodéprimés ( dont un qui fait l’objet d’une étude) soignés en combinant leurs idées inefficaces pour soigner mais géniales pour créer des variants …
Remdesivir : « La France s’est assuré de la disponibilité de doses suffisantes », dit l’ANSM
début octobre, la Commission européenne annonce avoir signé un important contrat avec le laboratoire, d’un montant d’un milliard d’euros, permettant à une trentaine de pays de sécuriser leur accès au remdesivir. Problème : alors que le bénéfice thérapeutique du médicament était déjà considéré comme assez faible avant le contrat, une étude publiée mi-octobre met en doute son efficacité tout court, conduisant même l’OMS à recommander de ne pas administrer le traitement. Depuis, l’affaire suscite des critiques et soulève des questions légitimes.
Selon l’agence du médicament « les patients atteints du Covid-19 pourront ainsi continuer à en bénéficier ». Les États-Unis avaient acheté la quasi-totalité du stock.

Ping : QUAND VERAN FAISAIT LA PROMOTION D’UN POISON, pire d’une bombe génétique !Il a soutenu toutes les molécules inefficaces et dangereuses et interdit … – Qui m'aime me suive…
L’EMmerdeur et son Olive véreuse ont été formidables : vénaux idiots couards pervers manipulateurs sordides insignifiants, ils ont pensé que tuer les Français avec ces poisons médicamenteurs tuerait également le virus …
Perdu ! car avant de mourir, les empoisonnés fabriquaient du variant viral.
Génial hagaga du bel esprit français.
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Et je me dis qu’ils n’ont pas inventé toute cette mélasse pseudo sanitaire putride, tous seuls dans le bac-à-sable du bunker souterrain élyséen … en jouant avec un zizi de playmobil !
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Ping : QUAND VERAN FAISAIT LA PROMOTION D’UN POISON, pire d’une bombe génétique !Il a soutenu toutes les molécules inefficaces et dangereuses et interdit celles qui guerissaient — LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE – La vérité est ailleurs
Toutes les pratiques recommandées par les autorités, vacciner en pleine épidémie, vacciner les femmes enceintes, maintenant les enfants, utiliser le remdesivir, maintenant le molnupiravir risquaient de faire muter le virus et on le savait.Ces pratiques devront un jour être qualifiées par la justice.
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Veran échappera-t’il à la condamnation pour meutre ? tout depend de ses juges qui connaissent parfaitement l’adage : » on dit que l’histoire ne se répète pas, elle se répète tout le temps «
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Je souris en vous lisant…pourquoi? Allez faire un tour sur wikipedia ou ailleurs sur le bilan du cjr (cour de justice de la république bananiere) Fabius,buzyn ans co en tremblent rien qu’à son évocation ! 🙂
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L’abolition de la peine de mort sera-t-elle d’une courte parenthèse dans l’Histoire de France et de l’Occident ?
C’est ce qu’en pensent certains historiens : corrélation, causalité ou conséquence, l’abolition de la peine de mort a correspondu de 5 décades de décadence. C’en est singulier, c’en est curieux !
C’est étrange qu’une si belle pensée humaniste (l’abolition de la peine de mort) fut de tous les pavés qui menèrent à notre enfer …
Or, l’EMmerdeur et ses sinistres sbires l’ont rétablie, cette peine de mort ! mais non par ambition de grandeur, mais par bassesse assassine.
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Irrésistible intemporel entretien d’embûches, pour finalement parler de poison avec le batelier taulier de la Moscova, de la Volga et du Dniepr réunis :
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Le pire de tout c’est que ces « débiles » ne sont pas maichants, ils sont cons et très mauvais. Quand on voit la gueule à karine lakonne, on sait qu’il faut pas lui confier notre santé…et dont acte, RIEN de ce quelle a dit n’est justifié médicalement.
Ils sont juste mauvais et leur incompétence tue des gens… la simple banalité du mal.
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Peut être mais ils sont quand même aussi un peu empêtrés dans un certain nombres de conflits d’intérêts avec les sommes qu’ils reçoivent des labos !!
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Au Sénat question d’une députée : pourquoi le ministère de la santé refuse aux chercheurs les statistiques sur les vaccinés et les non-vaccinés dans les hôpitaux ?
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La sénatrice est fort courtoisie de demander gentiment pourquoi ces stats ne sont pas accessibles.
L’EMmerdeur lui fera répondre :
-« Pourquoi ? Ben ! paske j’ai merdé grave (c’était mon plan) et que je veux pas que cela se sache maintenant, ma pov’ dame : j’ai plus important à faire, qui est de perdre une guerre en Ukraine. J’ai été élu pour réaliser mon programme, pour tout détruire, mais sans trop de vagues paske ça demande du temps : 10 ans » !
Une telle réponse réjouira la sénatrice sur la lourdeur de sa propre impuissance …
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On devrait les piquer ces deux chiens à la strichnine
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en attendant il parade toujours dans les medias
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Il finira (au mieux) comme la bachelote : bouffon de la république, recyclé pantouflé … en ordure ménagère.
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ce ne serait pas une fin assez indigne
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A reblogué ceci sur Jolie Fiole & Beau Flacon.
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Des nouvelles du druide gaulois réfractaire Didier Raoult ?
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Mort dans les écoles : un effarant témoignage belge.
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