L’ECHEC DE LA VACCINATION DES PLUS AGES ET DES PERSONNES FRAGILES? ATTENTION AUX ANTICORPS FACILITANTS

IL Y A EU AUTANT DE DECES DANS LES EHPAD  AU COURS DES SIX PREMIERS MOIS 2020 QU’EN 2021 AVEC LA VACCINATION / L’AGGRAVATION DEPENDANTE DES ANTICORPS DES VACCINS  ACCUSEE

La surmortalité pour les catégories d’âge précocement vaccinées est plus importante que l’an dernier en Europe …

Ce constat factuel (insee et Euromomo) pose question. Le remède sera pire que le mal si les vaccinés n’obtiennent pas le bon niveau d’anticorps, ils seront non seulement exposés mais plus malades…

Un excellent article  paru dans la revue de référence VIDAL en novembre 2020 mettait en garde contre le risque d’une covid aggravée par la vaccination. L’ACADEMIE DE MEDECINE elle-même émettait des doutes : le risque d’initier une réponse immunopathologique par production d’anticorps facilitants, constaté lors des essais vaccinaux précliniques contre le SRAS et contre le MERS en utilisant la protéine S (spike) entière, ne doit pas être négligé. Un bon vaccin contre le SARS-CoV-2 devrait idéalement stimuler à la fois l’immunité cellulaire pour une protection locale (IgA muqueuses) et l’immunité humorale pour une protection générale (IgM et IgG neutralisantes) tout en évitant l’apparition d’anticorps facilitants.

Le principe de l’Ade est bien connu : celui qui a eu une vaccination ou une infection suivi de la mise en place de peu d’anticorps ou d’un seul type d’anticorps peut connaitre par la suite  une maladie bien plus grave ou des maladies auto immunes graves

Les vaccins consistent à injecter l’arn de la protéine spike  qui permet à l’organisme de produire la dite protéine  puis à développer des anticorps tournés contre la dite protéine.

Les études récentes sont inquiétantes car elles prouvent ;

1 Que la protéine spike est pathogène , dangereuse . Le premier à démontrer les dangers de la machine à fabriquer des anticorps anti protéine spike est un canadien

https://www.francesoir.fr/societe-sante/nous-avons-fait-une-erreur-la-proteine-spike-est-elle-meme-toxique-et-dangereuse-pour

« Nous avons fait une erreur ». Dans une interview récente avec la journaliste Alex Pierson, le professeur Byram Bridle, spécialiste en immunologie virale, déclare que ces nouvelles recherches et travaux l’ont mené à faire des découvertes importantes sur le virus et en particulier la protéine Spike. Cette protéine est celle qui a fait l’objet de nombreux travaux notamment sur les vaccins à ARN messagers. Dans le cadre de son interview, le professeur Bridle prend les devants pour expliquer les éléments de sa découverte ainsi que les conséquences notamment pour la vaccination en cours…

Les champions de la désinformation ont créé un site web utilisant prénom/nom de Byram Bridle pour débunker sa vidéo ! Affolant !

2 Que les anticorps  sont facilitants  surtout s’ils sont peu nombreux. Les personnes infectées guéries sont protégés du mécanisme  si elles ont des anticorps nombreux et surtout elles ont aussi  des anticorps contre une autre protéine oubliée et inflammatoire , la protéine N . Avoir plusieurs types d’anticorps évite l’ADE.

Les données suggèrent que la coexistence d’anticorps non pathogènes peut réduire la pathogénicité des anticorps pathogènes. Ainsi, un vaccin capable d’induire des anticorps multivalents peut être plus sûr, dans lequel au moins un type d’anticorps est du type non pathogène qui induit moins de réactions indésirables. Un exemple d’un tel vaccin est le vaccin viral inactivé traditionnel (par exemple le vaccin COVID-19 inactivé) qui induit des anticorps multivalents spécifiques de plusieurs antigènes d’un virus. Autre exemple, un vaccin COVID-19 recombinant ou ARNm capable d’induire les anticorps spécifiques non seulement de la protéine de pointe mais aussi des protéines de la nucléocapside, ou une protéine sans pointe du virus SARS-CoV-2 peut être plus sûr

Les Anticorps de pointe SPIKE induisent seuls inflammation systémique et blessure in vivo Pour plus de confirmation, une souris enceinte et sans infection virale a été utilisée

 Injection de REGN10987  ( le fameux regeneron  autorisés pour les humains  ou anticorps monoclonaux )à des souris gravides induit une mort fœtale significative et une mort néonatale desdes souriceaux livrés à ces femelles.REGN10987 a le potentiel le plus élevé pour induire maladie et décès (61,9 %), suivi de B38 (45,8 %)et l’anti-COVID-19 S1 polyclonal (45,5%). L’anti-SRAS S polyclonal a également causé une maladie importante

Pfizer et Moderna se sont plantés de cible avec leur protéine S

Ni les anticorps de contrôle sains ni les anti-COVID-19 N ni l’anti-SRAS N(protéine de nucléocapside) ont causé de maladie importante ou mort des souriceaux nouveau-nés Les principaux antigènes contre lesquels est dirigée la réponse anticorps sont la protéine Spike et la protéine de nucléocapside.

3 LES PERSONNES AGEES ET FRAGILES NE DEVELOPPENT PAS LE BON NIVEAU D’ANTICORPS APRES LA VACCINATION  Elles sont donc exposées au risque d’ADE

– Une étude américaine du Professeur Dorry L Segev réalisée sur 800 transplantés d’organe a récemment démontré des résultats similaires : seulement 17% des sujets ont développé une réponse anticorps après une dose de vaccin à ARNm15, et 54% après deux doses. – En Israël, une étude de réponse vaccinale réalisée sur 200 patients transplantés du poumon a montré que 82% des sujets ne développaient pratiquement pas d’anticorps après la vaccination.

Deux études américaines démontrent une efficacité mais il n’y avait pas de plus de 60 ans dans les cohortes…c’est le cas de l’étude portant sur des soignants  …en bonne santé

La sous représentation des plus de 65 ans se retrouvait dans les études présentées par les fabricants.

Une étude allemande bien menée étudie les anticorps neutralisants  chez des personnes vaccinées (plus de 17j après l’injection) en tenant compte de l’âge : un groupe de moins de 60 ans (moyenne 42 ans)et un groupe de plus de 80 ans (moyenne 87 ans).

Cette étude  Yale, BMJ, permet de comprendre ce qui se passe en Israel ou dans les maisons de retraite après vaccination.

Les conclusions sont sans appel : deux doses sinon rien, pas de protection pour ceux qui en ont le plus besoin , moins de 20% d’entre eux disposent d’un niveau minimum d’anticorps neutralisants et sont donc exposés aux ADE

On comprend mieux :

1 La vague de décès dans les EHPAD, avec des morts non de la COVID mais des conséquences de la vaccination ;ADE ,  Les personnes âgées  sont victimes de la vaccination faute de produire assez d’anticorps. IL Y A EU AUTANT DE DECES DANS LES EHPAD  AU COURS DES SIX PREMIERS MOIS 2020 QU’EN 2021 AVEC LA VACCINATION  Source INSEE.

 2 Les résultats de la première autopsie  d’un vacciné décédé d’ADE.

Le 9 janvier 2021, l’homme a reçu le vaccin à ARN BNT162b2 modifié par des nucléosides, formulé à base de nanoparticules lipidiques à une dose de 30 g. Ce jour-là et au cours des 2 semaines suivantes, il ne présenta aucun symptôme clinique . Le jour 18, il a été admis à l’hôpital pour une aggravation de la diarrhée. Comme il ne présentait aucun signe clinique de COVID-19, l’isolement dans un cadre spécifique n’a pas eu lieu. Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine. Le test d’antigène et la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour le SRAS-CoV-2 étaient négatifs.

Il aurait été contaminé dans sa chambre d’hopital et il est mort deux jours après avec une surabon dance d’anticorps anti spike

 La liaison à l’antigène de la protéine de pointe (S1) a montré des niveaux significatifs pour l’immunoglobuline (Ig) G, tandis que l’IgG/IgM de la nucléocapside n’a pas été provoquée.

Donc des anticorps anti spike partout et en quantité dans tous les organes… L’apport du vaccin mais ces anticorps sont dangereux… et pas d’anticorps nucleocapsides protecteurs

La présence d’inflammation a montré que le vaccin lui-même avait entraîné des effets indésirables. L’anémie hypochrome était présente avant le jour 24, ce qui signifie que le vaccin lui-même peut provoquer une anémie, conformément au rapport des essais de vaccin (nombre faible). La protéine C-réactive a également montré l’inflammation avant le jour 24, le jour de transmission du SRAS-CoV-2. Ainsi, le vaccin lui-même avait provoqué une anémie et une inflammation rénale.

3 Un article de Forbes et deux études  confirment les limites de la vaccination. Les vaccinés sont plus exposés aux nouveaux variants que les non vaccinés

« Certains pays ayant les taux de vaccination les plus élevés sont confrontés à une augmentation des décès et des infections à Covid »  Les données sont disponibles pour Bahreïn (53%), le Chili (55%), les Maldives (57%), les Seychelles (72%) et l’Uruguay (50%).

Des chercheurs de l’Université de Washington aux États-Unis ont séquencé des échantillons de 20 agents de santé qui ont contracté la Covid après avoir reçu les deux doses du vaccin Pfizer ou Moderna.

L’étude a montré que tous les 20 étaient infectés par des variantes préoccupantes qui ont entraîné des secondes vagues de Covid dans de nombreuses régions du Monde.

Les chercheurs ont ensuite comparé les échantillons prélevés dans ce groupe avec des échantillons prélevés sur 5 174 personnes non vaccinées atteintes de Covid. Alors que tous les membres du groupe vacciné avaient une variante préoccupante, seuls 67% des personnes non vaccinées en avaient. L’étude a également montré que les individus vaccinés infectés par Covid avaient des charges virales élevées, ils pouvaient donc transmettre la maladie .

L’idée dominante était que si des cas de percée vaccinale se produiraient, ils seraient bénins.

« Mais contrairement à cela, ce que nous avons vu parmi nos 20 échantillons, c’est qu’un certain nombre d’entre eux avaient en fait des charges virales assez robustes. C’était inquiétant dans le sens où il y avait définitivement assez de virus à séquencer, et potentiellement il pourrait y avoir assez de virus pour transmettre »

https://www.revmed.ch/covid-19/anticorps-facilitants-et-pathogenese-du-covid-19

VACCINS CONTRE LA COVID-19 : DOIT-ON S’INQUIÉTER DU RISQUE DE MALADIE AGGRAVÉE CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES ? vidal

Par Stéphane KORSIA-MEFFRE – date de publication : 03 novembre 2020


le risque d’ADE augmente lorsque les taux sanguins d’anticorps neutralisants sont insuffisamment élevés, ce qui, avec un tel seuil minimal d’efficacité, pourrait advenir chez un pourcentage non négligeable de personnes vaccinées.
De nombreux exemples existent : dengue, bronchiolite du nourrisson, rougeole, infections à virus Zika, Ebola, VIH, péritonite infectieuse féline, SRAS, MERS, etc. Qu’avons-nous appris de ces infections virales ? Quels sont les mécanismes de l’ADE ? Quels sont les facteurs qui la favorisent ?

La publication récente d’un article  mettant en évidence, in vitro, l’existence d’anticorps facilitants dans la COVID-19, en particulier dans le sérum de patients atteints de formes graves, oblige à se pencher sur cette question complexe.


L’aggravation dépendante des anticorps (ADE, antibody-dependent enhancement) est un large concept qui survient en lien avec certaines infections virales, lors de réinfection ou de primo-infection, en dépit d’une vaccination.


Ainsi, le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou une faible spécificité de ces anticorps, par exemple lors d’immunité croisée entre deux infections virales.
À l’inverse, en présence de taux circulants élevés d’anticorps fortement spécifiques, il n’est pas observé d’ADE 

Quelles sont les infections virales qui donnent parfois lieu à des réinfections plus sévères (IAED) ?
L’exemple le mieux décrit d’aggravation associée à l’infection initiale (IAED) concerne la dengue. Cette maladie est due à un flavivirus présentant 4 sérotypes. Lors de réinfection par un sérotype différent de celui à l’origine de la primo-infection, certaines personnes développent une forme sévère hémorragique. Néanmoins, cela reste un phénomène rare (environ 0,5 % des réinfections).  Cette réinfection aggravée de la dengue semble liée à la présence d’anticorps peu spécifiques (correspondant au sérotype de l’infection initiale) et en quantité insuffisante. En effet, quels que soient les sérotypes impliqués, des taux élevés d’anticorps neutralisants contre un sérotype semblent protéger de l’IAED après l’infection par un autre sérotype.
In vitro, une étude publiée en preprint récemment a, pour la première fois, suggéré l’existence d’anticorps facilitants, en particulier chez les personnes ayant souffert de formes sévères de COVID-19. Dans ce travail, le sérum de ces personnes a facilité la pénétration de SARS-CoV-2 dans des lymphocytes B exprimant le récepteur FcgammaRII (cellules Raji, K562 et lymphocytes B naturels). Des anticorps facilitants ont été identifiés dans les sérums de 8 % des patients atteints de formes modérées (N=205) et 76 % des malades ayant exprimé une forme grave (N=17). Un anticorps contre le RBD de la protéine S a été isolé, qui semblait particulièrement facilitant sur les cellules Raji (ce qui contredit l’idée selon laquelle cet épitope serait moins enclin à engendrer une ADE, voir ci-dessus).
Une autre étude a montré que, in vitro, l’exposition de macrophages au sérum de patients convalescents après une COVID-19 entraînait l’apparition de profils cytokiniques inflammatoires exagérés.

Hors CoV, plusieurs exemples de VAED ont été décrits :

Dans le contexte des essais vaccinaux contre le SRAS (SARS-CoV), une VAED a été observée dans 9 études animales :


Quelles conséquences pour le développement d’un vaccin contre la COVID-19 ?
 Éviter la survenue de concentrations suboptimales d’anticorps neutralisants
Parce qu’il semble que le risque d’ADE soit en lien direct avec la quantité et l’affinité des anticorps circulants (plutôt que le fait d’anticorps inhabituels ou non neutralisants), il est indispensable que la vaccination aboutisse à des taux élevés d’anticorps fortement neutralisants, de manière durable, en particulier chez les personnes âgées souvent moins aptes à réagir à un vaccin par des taux circulants importants. Le cas échéant, pour ces personnes ou en cas d’immunité humorale peu durable, un calendrier de rappels vaccinaux rapprochés doit être identifié pour aboutir à (et maintenir) ces taux.



 Étudier l’effet des immunités croisées dirigées contre les coronavirus des rhumes
Parce que la présence d’anticorps de faible affinité peut représenter un risque de développer une ADE, il serait préférable que les essais vaccinaux en cours contre la COVID-19 explorent l’influence de l’immunité croisée contre les coronavirus des rhumes dans la réponse vaccinale et dans l’éventuelle apparition d’ADE. À notre connaissance, aucun des études de phase III en cours n’a envisagé cette possibilité.

 Mettre en place des mesures de surveillance efficaces pendant les essais de phase III et en post-commercialisation

Mais cette surveillance risque d’être rendue complexe par plusieurs facteurs :

la difficile distinction entre les symptômes de la VAED et ceux d’une forme grave « classique » de la maladie, ce qui nuit à la distinction entre échec vaccinal et VAED (comme cela a été le cas avec la dengue). De plus, l’absence de marqueurs caractéristiques de la VAED complique cette distinction (en particulier le fait que les anticorps facilitants puissent être des anticorps neutralisants en trop faible quantité).


En conclusion, si le risque de maladie aggravée associée à la vaccination (VAED) existe bel et bien dans la COVID-19 (comme en témoignent les travaux sur les vaccins contre le SRAS et la PIF, par exemple), ce risque a été pris en compte par les agences de régulation et intégré dans les prérequis à une commercialisation.
Néanmoins, les mesures de surveillance qui seront mises en place se heurteront à la difficulté de caractériser la VAED de manière objective et le manque de marqueurs spécifiques (en lien avec la multiplicité des mécanismes et le manque de connaissances fines à leur sujet).
Si les vaccins en évaluation contre la COVID-19 se révèlent efficaces, la prévention de la VAED reposera, non seulement sur un suivi attentif après commercialisation, mais également sur des mesures visant à s’assurer que les taux d’anticorps neutralisants obtenus restent suffisamment élevés chez toutes les personnes vaccinées, en particulier les sujets âgés, ce qui peut nécessiter un calendrier de rappels fréquents.

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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12 commentaires pour L’ECHEC DE LA VACCINATION DES PLUS AGES ET DES PERSONNES FRAGILES? ATTENTION AUX ANTICORPS FACILITANTS

  1. nicolasbonnal dit :

    Bravo vous votre travail Patrice : mais ceux qui vont mourir s’en foutent.

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  2. Ping : 40% des nouveaux contaminés sont vaccinés en Israël (Philippot). Hausse de la mortalité en EHPAD cette année (Gibertie). Martine Wonner reprend le sénateur Hall: “un Rapport américain révèle qu’en l’espace de 4 mois (décembre 2020 à mars

  3. FRATERNEL dit :

    très bon travail à envoyer à nos vaccinos terminators et une bonne fosi pour toute accepter qu’il y a d’autres façons de soigner et surtout de commencer par la prévention en augmentant l’immunité par le zinc la vitaminec la vitamine d et les produits de la ruche

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  4. christophe dit :

    Il y a du nouveau ces jours-ci : Peter Daszak a été viré de la commission d’enquête de l’OMS

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  5. Ping : VERAN ET CASTEX  PERDENT LA TETE , IL NE SAVENT  PLUS COMMENT PROTEGER LES VACCINES | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE

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