
Je ne suis pas anti vaccin et je souhaite que l’on parvienne à en trouver un sans danger mais ce n’est pas pour demain et il n’est pas interdit de réfléchir à d’autres moyens pour soigner et libérer les Français.
Le délire actuel sur le vaccin me rappelle « En attendant Godot », de Samuel Beckett. Il emmène le spectateur dans un monde absurde. Vladimir et Estragon, se retrouvent sur une route de campagne pour rencontrer Godot, un homme qu’ils ne connaissent pas, et dont ils ne savent rien… De Godot, nous n’apprendrons rien, et nous ne le rencontrerons pas.
Tout miser sur l’arrivée prématurée d’un vaccin conduit nos pangolins à interdire de soigner la maladie , à asphyxier totalement l’économie et à propager des vagues de panique . Ils ne vont tout de même pas confiner, déconfiner, reconfiner pendant au moins un an ?
La question de fond n’est pas de savoir si le vaccin sera obligatoire mais de permettre de soigner autrement qu’avec du doliprane !
En France la liberté d’expression s’arrête là où commencent les certitudes du Progressisme et le droit au blasphème ne s’applique pas à la Religion du Big Pharma. Nous en vivons chaque jour l’expérience . Nous sommes encore très loin d’un vaccin efficace et sans danger et il est criminel de refuser de traiter la maladie dès les premiers symptômes. En se laissant berner par le chant des vendeurs de panique, le gouvernement français a une responsabilité immense dans le désastre économique, social, politique et également sanitaire qu’il a créé.
1°) Vaccins contre la COVID-19 : doit-on s’inquiéter du risque de maladie aggravée chez les personnes vaccinées ?
La question est posée par un collaborateur du Vidal ( vous savez le gros livre rouge que compulse votre généraliste s’il utilise autre chose que du doliprane).
L’hypothèse mérite d’être étudiée, d’autant plus que le risque d’ADE augmente lorsque les taux sanguins d’anticorps neutralisants sont insuffisamment élevés.
De nombreux exemples existent : dengue, bronchiolite du nourrisson, rougeole, infections à virus Zika, Ebola, VIH, péritonite infectieuse féline, SRAS, MERS, etc.
Si les vaccins en évaluation contre la COVID-19 se révèlent efficaces, la prévention de la VAED reposera, non seulement sur un suivi attentif après commercialisation, mais également sur des mesures visant à s’assurer que les taux d’anticorps neutralisants obtenus restent suffisamment élevés chez toutes les personnes vaccinées, en particulier les sujets âgés, ce qui peut nécessiter un calendrier de rappels fréquents.
Si, comme cela est probable, l’infection à SARS-CoV-2 devient endémique, cette précaution sera essentielle à respecter, sauf à voir apparaître des bouffées épidémiques de formes sévères chez des personnes vaccinées, mal protégées par leur immunité humorale et cellulaire.
Quelques remarques à propos du vaccin contre le Covid de Pfizer
de Monique Plaza :
il s’agit d’un vaccin à ARN messager, dont l’usage n’a encore jamais été approuvé chez l’être humain. Des essais sont en cours pour d’autres maladies infectieuses, comme la grippe saisonnière, le virus Zika et la rage, mais tous en sont au stade expérimental. Cette molécule très instable doit être transportée et conservée dans des congélateurs très coûteux à – 72 °C, dont ni les médecins de ville ni les pharmacies ne disposent. Cela rend la vaccination de masse compliquée dans les pays développés et a fortiori dans les pays pauvres.
Le vaccin a été testé sur 43 000 volontaires en bonne santé à qui l’on a administré, à 28 jours d’intervalle, soit 2 doses de vaccins, soit un placebo. Ni les participants ni les médecins, ni les dirigeants de Pfizer ne savaient ce que les participants recevaient. Ces 43 000 personnes ont été suivies jusqu’à ce que 90 d’entre elles manifestent des symptômes cliniques de Covid-19. Un comité indépendant a constaté que 90 % d’entre elles avaient reçu le placebo, autrement dit n’avaient pas été vaccinés. C’est sur cette base que Pfizer a annoncé dans un communiqué de presse (et non dans un article scientifique revu par des experts), que son vaccin était efficace à 90 %.
Si cette nouvelle a fait bondir les Bourses, et permis au PDG de Pfizer de vendre 5,6 millions de dollars d’actions, de nombreuses questions demeurent sur l’efficacité et l’innocuité de ce vaccin. Outre que le nombre de participants contaminés dans le groupe placebo est faible (90, soit 0,4%) on ne sait pas si leurs symptômes de Covid relevaient de formes légères, sévères ou létales.
L’intérêt d’un vaccin serait de protéger contre les formes graves et le risque de décès. Comme les participants à l’étude sont des personnes en bonne santé (dont on ignore si elles n’avaient pas déjà développé toutes seules l’immunité croisée via les lymphocytes T mémoire), rien ne prouve, à ce stade, que le vaccin protège les personnes à risque.
Nous n’avons aucune idée de la durée d’efficacité de ce vaccin. Il semble que l’immunité naturelle acquise grâce aux anticorps après avoir guéri du Covid dure quelques mois. L’efficacité du vaccin Pfizer sera-t-elle moins longue ou plus longue ?On n’en sait rien aujourd’hui, mais s’il ne procure pas une immunité plus longue que la maladie réelle, faudra-t-il se faire vacciner fréquemment ?
- Nous n’avons aucune idée des effets secondaires à long terme. Selon le communiqué de presse de Pfizer, le vaccin n’aurait pas entrainé d’effets secondaires graves dans les quelques semaines qui ont suivi. On n’en sait pas plus, car à la fin de cette 3ème semaine de novembre, les participants auront été suivis deux mois en moyenne, ce qui est très insuffisant pour avoir du recul. Qu’en est-il des effets indésirables à long terme? Normalement, la durée de suivi des effets secondaires d’un vaccin est de deux ans, avant que l’on puisse proposer la vaccination de masse. Qu’en est-il de ses contre-indications selon les caractéristiques et l’état de santé des personnes?
2) L’attente de vaccin n’est pas la réponse à la pandémie
il n’est pas sain de considérer que la vaccination est le seul moyen pour venir à bout de l’épidémie et d’attendre sa venue sans traiter précocement. Faire croire aux gens que le confinement dur ou souple est un moyen efficace de contenir l’épidémie est un premier mensonge.
Faire croire que seul un vaccin résoudra le problème en est un autre. Pour rester dans les pathologies respiratoires il faut se rappeler que le vaccin anti-grippe existe depuis des années. Malgré tout, la grippe revient chaque hiver et tue des milliers de personnes.
Il n’a pas été possible de fabriquer des vaccins pour toutes les pathologies virales avec lesquelles l’humanité vit, par exemple le HIV
Et pendant qu’on nous parle en continu de vaccins, on préconise de laisser à la maison les gens testés positifs sans traitement, avec du paracetamol, puisque «l’on guérit tout seul du covid» alors qu’il est démontré que des traitements précoces permettent de réduire la durée de la maladie, et de prévenir l’aggravation, donc les réanimations et les décès. Et on ne conseille rien à la population concernant la prévention contre ce virus (et d’autres) par le renforcement des défenses immunitaires.
DR DECAZENOVE/
Le traitement doit être précoce.
Il est possible de soigner l’infection à tous ses stades, or :
- en France on soigne tard, de manière aujourd’hui bien codifiée et plus efficace. Les leçons de l’épidémie de début d’année ont été tirées.
- mais on interdit de soigner tôt. C’est la criminelle lacune de la prise en charge française.
Le moyen existe pour traiter cette maladie en phase virale et à peu de frais. Il s’agit de l’association hydroxychloroquine/azithromycine. Malheureusement son étude a quitté le domaine scientifique pour le domaine médiatico-politique.
L’État, les médias, les organismes internationaux, nationaux, les instances professionnelles, ont fait tellement peur à un grand nombre de médecins, que ceux-ci sont complètement perdus et ne font plus confiance à ce traitement. Beaucoup de médecins oublient les moyens médicaux pour ne raisonner que coercition, confinement, couvre-feu. Qui ne sont que des moyens politiques.
Nous savons maintenant que l’hydroxychloroquie est efficace quand elle est utilisée précocement. Des dizaines d’études le prouvent. « Et pourtant elle soigne » écrit Jean-Dominique Michel.
« Le traitement précoce est le plus efficace, avec 100 % des études rapportant un effet positif et une réduction estimée de 63 % de l’effet mesuré (décès, hospitalisation, etc.) […] 100 % des essais contrôlés randomisés (ECR) pour un traitement précoce, PrEP ou PEP rapportent des effets positifs. »
Et des centaines de milliers de vies auraient pu être épargnées si certains États n’avaient pas mis des obstacles à son utilisation. Un compteur apparaît sur https://c19study.com/. L’hydroxychlororine et l’azithromycine sont synergiques.
Déjà en juillet on pouvait lire une excellente synthèse dans le livre de Guy Courtois Et si Didier Raoult avait raison.
Ce traitement en phase virale raccourcit le portage, limite la contamination, permet d’éviter à un grand nombre de malades de s’aggraver et d’être hospitalisés. Il faut autoriser les médecins à s’en servir précocement.
Malgré ces éléments d’incertitude, on voit certaines personnalités affirmer que le vaccin devrait être obligatoire et suggérer d’imposer de fortes contraintes à ceux qui choisiraient de ne pas se faire vacciner (interdiction d’aller à l’école, dans les maisons de retraite, de prendre les transports en commun, de fréquenter les salles de spectacle, les musées, les restaurants, voire les hôpitaux).
En même temps ils passent sous silence l’interdiction de soigner autrement qu’avec du doliprane puis du Rivotril pour achever les plus faibles .
David Lisnard est maire de Cannes, président du conseil de surveillance du centre hospitalier Simone Veil de Cannes :
Si pour Eugène Delacroix, la liberté guide le peuple, la crise sanitaire que nous traversons donne l’occasion aux gouvernants de guider notre liberté à travers ce qu’ils considèrent être «bon pour le peuple», selon des procédures et mesures sorties de quelques esprits ingénieux d’une haute administration jamais aussi productive que lorsqu’il s’agit de pondre des normes et des règlements contraignants.
Le roi Ubu technocratique s’en donne à cœur joie en ce moment, nous privant de liberté, donc de responsabilité, au détriment d’une lutte efficace contre l’épidémie de covid 19, et détruisant une part importante de l’économie, des centaines de milliers d’emplois, et au-delà ce qui fait que la vie n’est pas que biologique mais aussi sociale, spirituelle, humaine.
Or, il semble que sous couvert de protection sanitaire des Français, nos dirigeants cherchent à se protéger eux-mêmes en ne prenant plus la moindre décision qui nécessiterait de considérer que l’art de gouverner, c’est autre chose que l’art d’interdire.
REAGISSEZ/
Signez la pétition, nous sommes déjà 210 000 !
https://www.mesopinions.com/petition/sante/faut-ecouter-professeur-raoult/82737
Rejoignez le groupe
Bien entendu qu’ils vont nous faire patienter jusqu’au vaccin. Un vaccin imparfait, forcément inefficace. Comment pourrait-il l’être d’ailleurs, développé à vitesse « supersonique » pour un covid-19 qu’ils ne sont pas même en mesure de soigner « qu’ils disent… » ! Quelle bonne blague.
Truffé de nano-particules « intelligentes » et modifiant l’ADN. Bon appétit. Plutôt crever !
Et puis d’ailleurs pourquoi un vaccin ?
Nombre de morts « covid » en France au 16 novembre : 45 000 pour 67 millions d’habitants.
Soit, 0,068% de mortalité et…..99,932% de survie ! Contre 90% d’efficacité pour le vaccin de Pfizer.
Vous voyez l’embrouille ? A part nous prendre pour des cons…..
Chacun appréciera le choix qu’il aura à faire !
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« Outre que le nombre de participants contaminés dans le groupe placebo est faible (90, soit 0,4%) »
Pour moi c’est 0.2%!
D’ailleurs j’ai trouvé ce site en anglais qui me donne mal à la tête.
https://www.dovepress.com/three-quarters-of-people-with-sars-cov-2-infection-are-asymptomatic-an-peer-reviewed-article-CLEP
D’après moi un vaccin à 90% efficacité (moins effets négatifs) à comparer avec 86% asymptomatique.
A vérifier
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