
Augmentation des événements cardiovasculaires d’urgence parmi la population de moins de 40 ans en Israël pendant le déploiement du vaccin et la troisième vague de COVID-19
https://www.nature.com/articles/s41598-022-10928-z
La principale conclusion de cette étude concerne des augmentations de plus de 25 % du nombre d’appels arrets cardiaques CA et d’appels accidents coronariens ACS de personnes âgées de 16 à 39 ans lors du déploiement de la vaccination COVID-19 en Israël (janvier-mai 2021), par rapport à la même période ,les années précédentes (2019 et 2020),
De plus, il existe une association robuste et statistiquement significative entre le nombre hebdomadaire d’appels CA et ACS et les taux de 1re et 2e doses de vaccin administrées à ce groupe d’âge.
Dans le même temps, aucune association statistiquement significative n’a été observée entre les taux d’infection au COVID-19 et le nombre d’appels CA et ACS.
Ces résultats sont également reflétés par un rapport faisant état d’une augmentation des visites aux services d’urgence pour des problèmes cardiovasculaires pendant le déploiement de la vaccination en Allemagne 52 ainsi que d’une augmentation des appels au SMU pour des incidents cardiaques en Écosse 53 .
La période de l’étude s’étend sur 14 mois d’une «période normale» avant la pandémie de COVID-19 et le déploiement du vaccin (1/2019-2/2020), environ 10 mois d’une «période pandémique» avec deux vagues de la pandémie (3 /2020–12/2020), et environ 6 mois d’une «période de pandémie et de vaccination» (1/2021–6/2021), au cours de laquelle Israël a lancé son déploiement de la vaccination parallèlement à une troisième vague de la pandémie de COVID-19.
Sur les 30 262 appels d’arrêt cardiaque et 60 398 appels de SCA inclus dans la population étudiée (voir les résultats supplémentaires pour plus de détails), 945 (3,1 %) et 3 945 (6,5 %) appels concernaient des patients âgés de 16 à 39 ans, respectivement, d’une population proche. à 3,5 millions de personnes dans ce groupe d’âge
Les résultats mettent en évidence une augmentation statistiquement significative de plus de 25 % des appels CA (25,7 %, P < 0,05) et ACS (26,0 %, P < 0,001) pour les patients âgés de 16 à 39 ans de janvier à mai 2021, par rapport au même période en 2020. Fait intéressant, pour CA, il n’y a pas de différence statistiquement significative dans le volume d’appels respectif sur l’ensemble de l’année (janvier-décembre) de 2019 à 2020 (diminution relative de − 2,4 % [P = 0,740]), avant la déploiement de la vaccination et troisième vague de COVID-19 dans ce groupe d’âge. De même, pour l’ACS, l’augmentation sur l’ensemble de l’année de 2019 à 2020 (augmentation relative significative de 15,8 % [P < 0,001]) a été suivie d’une augmentation encore plus importante de janvier à mai de 2020 à 2021 (augmentation relative significative de 26,0 % [P < 0,001]), qui était pendant la troisième vague de COVID-19 et le déploiement de la vaccination. Les deux sexes dans le groupe d’âge de 16 à 39 ans ont connu une augmentation des appels CA et ACS de 2020 à 2021 de janvier à mai. Chez les hommes, les appels CA ont augmenté de 25,0 % (P = 0,073) et les appels ACS ont augmenté de manière significative de 21,3 % (P < 0,01). Chez les femmes, les appels CA ont augmenté de 31,4 % (P = 0,224) et les appels ACS ont augmenté de manière significative de 40,8 % (P < 0,01).
Les visuels des Figs. 1 et 2 appuient et renforcent ces résultats. L’augmentation des appels de CA et d’ACS à partir de début janvier 2021 semble suivre de près l’administration des vaccins de 2e dose. Cette observation est cohérente avec les résultats antérieurs qui associaient des événements indésirables plus importants, y compris la myocardite, à la 2e dose du vaccin 19. Une deuxième augmentation du nombre d’appels CA et ACS est observée à partir du 18 avril 2021, ce qui semble suivre une augmentation de la vaccination à dose unique chez les personnes qui se sont remises d’infections au COVID-19. Ceci est cohérent avec les découvertes antérieures qui suggèrent que la réponse immunitaire générée par une dose unique sur des individus récupérés est généralement plus forte que la réponse à la 2e dose de vaccin chez des individus qui n’ont pas été exposés à l’infection au COVID-19 54 . De plus, les graphiques soulignent l’absence de corrélation entre le nombre d’appels et le nombre d’infections au COVID-19, ce qui est le plus clairement observé lors des deux grandes vagues pandémiques de 2020.

CQFD 😉
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Il est temps de prendre en compte les effets secondaires mortifères des injections et d’arrêter les recommandations en faveur de celles-ci qui semblent plus dangereuses que la maladie qu’elles sont censées prévenir. Que les familles de victimes se regroupent et portent plainte contre les autorités.
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A reblogué ceci sur My Blog.
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