la barbarie WOKE: il faut interdire les mutilations appelées « soins d’affirmation de genre « 

La médecine a toujours eu ses bouchers, hier se fut le temps de la lobotomisation aujourd’hui des mutilations promue par l’idéologie woke . Les jeunes femmes en sont les principales victimes. Dire à des filles de dix ans qu’elles pourraient subir une mammectomie, coudre leur vagin et y attacher un faux pénis, relève d’un acte barbare que l’on doit refuser pour les enfants

La dysphorie de genre est un sentiment de détresse significative ou une difficulté de fonctionnement liés au sentiment persistant que ressent une personne parce que son sexe de naissance ne correspond pas à l’idée qu’elle se fait d’elle-même comme étant masculine, féminine, mixte, neutre ou autre (identité de genre).

DANS L’ANCIEN MONDE/ UN TROUBLE MENTAL QUI DISPARAIT DANS 90% DES CAS A L’AGE ADULTE

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33854450/

Lors du suivi, l’identité de genre et la dysphorie ont été évaluées à l’aide de plusieurs méthodes et les participants ont été classés comme persistants ou désistants. L’orientation sexuelle a été vérifiée à la fois par le fantasme et le comportement […]. Sur les 139 participants, 17 (12,2 %) ont été classés comme persistants et les 122 autres (87,8 %) ont été classés comme non persistants. […]

la grande majorité des garçons ont été vus pendant une période particulière dans laquelle l’approche thérapeutique consistant à recommander ou à soutenir une transition sociale de genre avant la puberté n’a pas été adoptée. En effet, dans l’étude actuelle, un seul patient avait effectué une transition sociale avant la puberté (à la suggestion et avec le soutien des professionnels impliqués dans les soins de cet individu) et ce patient particulier était l’un des persistants avec une orientation sexuelle biphilique/androphile. Deuxièmement, il faut également reconnaître que, pour les garçons vus dans la présente étude, aucun de ceux qui étaient à la fin de l’enfance et qui étaient (probablement) entrés dans la puberté (stade 2 de Tanner) n’avait reçu de traitement hormonal bloquant la puberté (

https://www.vie-publique.fr/rapport/284386-transexualite-sante-et-parcours-de-soins-des-personnes-trans

Dysphorie de genre

(Trouble de dysphorie de genre)

Par George R. Brown 

, MD, East Tennessee State University

La dysphorie de genre est un sentiment de détresse significative ou une difficulté de fonctionnement liés au sentiment persistant que ressent une personne parce que son sexe de naissance ne correspond pas à l’idée qu’elle se fait d’elle-même comme étant masculine, féminine, mixte, neutre ou autre (identité de genre).

  • Certaines personnes ont l’impression que leur genre n’est pas compatible avec leur sexe de naissance et d’autres estiment qu’elles ne sont ni de genre masculin ni de genre féminin, mais quelque part entre les deux, une combinaison des deux, ou que leur identité fluctue.
  • Les personnes atteintes de dysphorie de genre souffrent de détresse ou de dysfonctionnement liés à une inadéquation entre leur sexe de naissance et leur identité de genre.
  • Les médecins fondent le diagnostic sur des symptômes significatifs de détresse psychologique (comme l’anxiété ou la dépression) chez une personne transgenre.
  • Les options de traitement pour soulager la détresse comprennent la psychothérapie et parfois une hormonothérapie ou une chirurgie de confirmation du genre.

Certaines personnes ont constamment l’impression de vivre dans un corps incompatible avec leur sentiment profond d’être un homme, une femme ou autre chose (identité de genre). Ces sentiments peuvent apparaître au cours de l’enfance. Par exemple, une personne considérée comme masculine à la naissance se sent comme une femme piégée dans un corps d’homme et vice versa. Ce sentiment de divergence (appelé incongruité de genre ou non-conformité du genre) n’est pas considéré comme un trouble, à moins qu’il ne soit à l’origine d’une souffrance importante et n’interfère avec la capacité à fonctionner de la personne. Cette souffrance est généralement une combinaison d’anxiété, de dépression, et d’irritabilité.

Certaines personnes ont l’impression de n’être ni de genre masculin ni de genre féminin, mais d’être quelque part entre les deux, une combinaison des deux, ou que leur identité fluctue. « Genderqueer » est un terme générique qui désigne certaines de ces variations d’identité de genre. Les autres termes pouvant être utilisés sont « non binaire » et « agenre ».

On ignore combien de personnes souffrent de dysphorie de genre, mais on estime qu’elle touche 5 à 14 bébés sur 1 000 dont le sexe de naissance est masculin, et 2 à 3 bébés sur 1 000 dont le sexe de naissance est féminin. On compte bien plus de personnes qui se définissent comme étant transgenres que de personnes répondant aux critères de la dysphorie de genre.

Dans le travestisme, les personnes (presque toujours des hommes) sont sujettes à une excitation sexuelle lorsqu’elles portent des vêtements du sexe opposé, mais elles n’ont pas un sens profond d’appartenance à ce sexe.

Pour certaines personnes atteintes de dysphorie de genre, l’incompatibilité ressentie entre le sexe anatomique et l’identité de genre est totale, sévère, perturbante et durable et elles chercheront probablement à avoir recours à des traitements médicamenteux et à des procédures pour résoudre cette incompatibilité. Le terme de transsexualisme était utilisé pour décrire cette affection, mais il est tombé en désuétude chez les professionnels ; cependant, beaucoup de personnes ayant une identité de genre différente de celle habituellement associée à leur sexe biologique se désignent elles-mêmes comme « trans ».

La plupart de ces personnes sont des hommes sur le plan biologique, qui s’identifient comme femmes, parfois tôt au cours de l’enfance, et qui considèrent leurs organes génitaux et leurs caractéristiques masculines avec dégoût. Toutefois, la plupart des enfants souffrant de problèmes d’identité de genre ne deviennent pas trans à l’âge adulte.

Les personnes nées avec des organes génitaux qui ne sont pas clairement masculins ou féminins (organes génitaux ambigus) ou qui présentent une anomalie génétique telle qu’un syndrome de Turner ou un syndrome de Klinefelter peuvent souffrir à des degrés divers de dysphorie de genre. Toutefois, lorsque l’enfant est clairement et systématiquement considéré et élevé soit comme un garçon, soit comme une fille, même si ses organes génitaux sont ambigus, il a le plus souvent une idée claire de son identité de genre.

Symptômes de la dysphorie de genre

La dysphorie de genre apparaît chez les enfants en général vers l’âge de 2 à 3 ans.

Symptômes de la dysphorie de genre chez les enfants

Les enfants atteints de dysphorie de genre peuvent faire ce qui suit :

  • Préférer se travestir
  • Dire avec insistance appartenir à l’autre sexe
  • Souhaiter se réveiller en étant du sexe opposé
  • Préférer participer à des jeux et des activités associés au sexe opposé
  • Éprouver un sentiment négatif vis-à-vis de ses organes génitaux

Par exemple, une petite fille peut déclarer avec insistance qu’elle va avoir un pénis et devenir un garçon ; elle peut uriner debout. Un garçon peut rêver d’être une fille et éviter les jeux violents et compétitifs. Il peut uriner assis et souhaiter se débarrasser de son pénis et de ses testicules. Pour un garçon qui souffre de dysphorie de genre, la souffrance qui se manifeste lors des changements physiques de la puberté est souvent suivie d’une demande de traitement, qui donnera un aspect plus féminin à son corps.

Cependant, la plupart des enfants qui préfèrent des activités considérées comme plus adaptées pour le sexe opposé (cela porte le nom de comportement de genre non conforme) ne souffrent pas de dysphorie de genre. De plus, très peu d’enfants ayant effectivement reçu un diagnostic de dysphorie de genre restent dysphoriques de genre à l’âge adulte. Par conséquent, la nécessité ou le moment d’aider à la transition sociale et/ou thérapeutique de l’enfant vers l’autre sexe fait l’objet d’un débat.

https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/troubles-mentaux/dysphorie-de-genre/dysphorie-de-genre

DANS LE NOUVEAU MONDE SURTOUT PAS UNE MALADIE MENTALE

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5969520/

La dysphorie de genre est un terme médical,Les sentiments de ces personnes concernant leurs propres caractéristiques sexuelles secondaires et celles du genre opposé sont très marqués. Pour beaucoup, la maturation physique et la croissance de leurs caractéristiques sexuelles discordantes sont une forte source d’angoisse,

Le sexe biologique se réfère aux organes reproducteurs, l’identité de genre, à la sensation intérieure d’être un homme ou une femme. 

Le terme dysphorie, dans son sens premier, peut désigner un trouble psychique, caractérisé par une humeur oscillant entre tristesse et excitation. Il s’agit ainsi d’une perturbation de l’humeur, qui est accompagnée d’anxiété, de malaises, et même de réactions coléreuses : d’où un caractère désigné comme étant atrabilaire. Cet état s’avère souvent durable.

Dans la nouvelle classification internationale des maladies, dite CIM-11, publiée en juin 2018 et doit entrer en vigueur le 1er Janvier 2022, l’Organisation mondiale de la Santé a créé un nouveau chapitre consacré à la santé sexuelle. Il recouvre des affections auparavant classées ailleurs, comme cette incongruence de genre, jusqu’alors répertoriée avec les troubles mentaux. Ainsi, la dysphorie de genre peut désormais ne plus être considérée comme étant un trouble mental.

A propos de la phalloplastie (chirurgie du pénis) subie par des femmes transsexuelles. La femme doit d’abord subir une hystérectomie puis une ablation des ovaires. La convalescence est déjà difficile.

Ensuite, il lui faut subir une « ablation de la muqueuse vaginale », ce qui est une façon élégante de dire que l’on coud le vagin.

Et les choses ne font qu’empirer. Les médecins ont besoin de tissus du corps pour construire le néo pénis, alors ils prélèvent de la peau des bras, des cuisses, du dos. Une fois que tout cela est fait, ils commencent à construire le néo pénis. Lorsque tout est terminé, après une période de 1 et 3 ans d’interventions, le néo pénis peut à peine avoir une érection, ne ressent aucun plaisir réel. Il est juste là.

Pour obtenir un dispositif d’érection, une chirurgie beaucoup plus compliquée est nécessaire. L’éjaculation n’est pas possible. Les suites opératoires sont difficiles. Il y a beaucoup de cas de personnes qui ont eu une fistule et une sténose dans leur nouvel urètre et qui sont restées bloquées avec un cathéter suprapubien pendant des mois. Des infections brutales peuvent survenir. Et il ne s’agit pas d’une infection urinaire ordinaire. Il s’agit d’un corps qui rejette un objet étranger. Il y a aussi les cas où les tissus meurent et où la personne se retrouve avec un organe mort. Le taux de complications le plus bas est de 25 %. Le plus souvent, le chiffre semble tourner autour de 40 %.

Par conséquent, dire à des filles de dix ans qu’elles pourraient subir une mammectomie, coudre leur vagin et y attacher un faux pénis, relève d’un acte barbare que l’on doit refuser pour les enfants.

Chez les personnes biologiquement masculines, l’intervention implique l’excision du pénis et des testicules et de la création d’un vagin artificiel. La partie restante du pénis agit comme un clitoris. Elle est d’ordinaire sensible sexuellement et permet l’orgasme. La transformation féminine peut également inclure des chirurgies esthétiques non génitales pour créer ou améliorer les caractéristiques féminines (par exemple, augmentation mammaire, rhinoplastie, rehaussement des sourcils, réduction trachéale [suppression de la pomme d’Adam] et/ou remodelage de la mâchoire). Certaines personnes subissent des interventions chirurgicales sur les cordes vocales pour modifier la qualité de la voix.

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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15 commentaires pour la barbarie WOKE: il faut interdire les mutilations appelées « soins d’affirmation de genre « 

  1. maikoro12 dit :

    comment peut on laisser faire de telles horreurs? et comment des chirurgiens peuvent ils les pratiquer?

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    • herve_02 dit :

      Ils ont bien piqué des vieux au lieu de leur donner un antibiotique, alors… quelques enfants DONT LES PARENTS laissent faire….

      Cette « maladie mentale sociétale et contagieuse » (mais qui n’a pas de vaxXxin pour le moment) vient directement du combat des « femmes » « modernes » – ou plutôt du combat « modernes des femmes ». On est très loin du combat féministe de marguerite yourcenar, qui demandait une forme d’égalité de droit : avoir le _droit_ de faire la même chose que les hommes. ce n’est pas la même chose que de DEVOIR faire la même chose que les hommes.

      De tout temps il y a une sorte de contrat entre les femmes et les hommes. Ce contrat est né lorsque les humains se sont aperçus que la « reproduction » était une affaire de femmes, et que cela durait longtemps, et que c’était « dangereux ». dès lors les premiers groupes humains ont décidé de faire une « partition » entre les « femelles » qu’il fallait protéger et les mâles qui pouvait aller au-devant du danger. Les protéines ont alors été données d’abord aux hommes pour les muscles et la puissance puis à la femme pour l’endurance. C’est pour cela que les armées se sont surtout les hommes qui allaient à la boucherie. On peut « reconstruire » démographiquement un pays avec une très grande majorité de femmes, c’est impossible avec pratiquement que des hommes. (d’ailleurs un problème chinois, avec la politique de l’enfant unique qui a fait favoriser les garçons).

      ainsi cette « séparation des taches » – élever un enfant c’est bien au moins 1 ou 2 ans – et il vaut mieux sa maman qu’une nourrice parfois maltraitante – à partagé l’habitus des métiers. Dans les pays les « plus égalitaires » comme la norvège, les métiers sont plus « genrés » que dans les pays inégalitaires. Il y a plus d’infirmièrE en norvège et plus d’ingénieurE en mauritanie.

      Cette fascination morbide pour l’égalitaire pousse la frange la plus abjecte du capitalisme de gommer encore plus cette différence au niveau biologique pour détruire les plus faibles (d’esprit) (et empocher l’argent de l’état pour le faire). Nous apprenons par mimétisme (parce que nous sommes sociables, grégaires et voulons appartenir au groupe) ainsi mettez devant des enfants des garçons en filles et des filles en garçons, il y a _obligatoirement_ un moment ou un nombre d’entre eux se « sentira » autre.

      Il y a un nombre de femmes adultes non dysphoriques qui mettent pantalon et « chemise », doit-on leur couper les seins et coudre le vagin ? faisons un sondage…

      Ceux qui mutilent ces enfants méritent la pendaison sans procès. Et je ne serais pas étonné que, la contestation commence à naître, puisque les rézos en parle avec photos, cela commence à arriver. si l’état décide que ce n’est pas régalien de défendre les enfants, la population va s’y mettre, c’est constitutif de a nature humaine.

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  2. Ping : La barbarie WOKE : Il faut interdire les mutilations appelées « soins d’affirmation de genre »! – La vérité est ailleurs

  3. Renaud dit :

    Merci Patrice Gilbertie d’exposer clairement l’abomination des conséquences de l’idéologie criminelle promue par les Institutions occidentales démentes et corrompues.

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  4. Jean Sentrais dit :

    Est opportun de rappeler que cette dysphorie de genre n’est pas propre à l’espèce humaine. En effet, chez les animaux …

    Dans le jardin de mes parents, j’avais constaté qu’un jeune poulet d’élevage (parmi tant d’autres qui s’en distinguaient) se prenait autant pour une poule, or qu’il tentait de sodomiser des … canards ! Quoi que la gente volatile (inter espèces) tolérait sa présence, ces excès sexués comportementaux y furent considérés, finalement comme ne participant pas à la perpétuation d’aucune espèce ! Il en fut éliminé … sèchement.

    En déduire que l’espèce humaine est inapte (en l’Empire huesse) à considérer sa perpétuation d’espèce : la question est ainsi posée.

    Ensuite, nous comprendrons peut-être enfin que le darwinisme n’était pas que le struggle for life ! Darwin, fort tard le concéda …

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    • herve_02 dit :

      Pour animal tenter de s’accoupler à une autre espèce n’est pas du tout une dysphorie de genre.

      Une dysphorie de genre est une maladie mentale dont sont affectées les personnes qui « croivent » qui ne sont pas dans le bon corps, alors que la réalité est que leur cerveau ne fonctionne pas comme il faut.

      la « perception » que l’on a de soi est une vision intellectuelle pilotée par notre cerveau qui n’a pas de réalité propre. LA biologie est la véritable réalité. Ainsi on ne devrait pas « faire des opérations » à des gens se sentant de l’autre sexe, pas plus qu’on ne devrait DONNER le commandement d’une armée à un individu (homme ou femme) se sentant le général de gaulle.

      À l’extrême limite pour les irréductibles, ces opération ne devraient en aucun cas être supportées par la communauté, et donc non remboursées par la sécu et les mutuelles (les deux « mutualisant » l’argent des cotisant pour soigner les gens qui sont « malades ». À la limite le soin remboursé de ces maladies mentales se font par des psychiatres afin de remettre le bon cerveau dans le corps biologique.

      Mais qu’attendre de la médecine qui a euthanasié les vieux plutôt que de leur donner un antibiotique et qui continue à promouvoir le vaxXxin covid qui n’empêche rien et ne fait que tuer.

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      • Jean Sentrais dit :

        C’est étrange que vous n’attribuiez des questions psy qu’aux êtres humains ! De nombreuses pathologies comportementales se retrouvent également chez des animaux …

        Voyez faire un tour chez les primates supérieurs, chez les bonobos, les chimpanzés …

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      • herve_02 dit :

        ah…

        C’est marrant que vous considérez toute déviance comme une norme parce que cela se « voit » dans le règne animal. ainsi peut être que chez le bonobo certains mâles agissent comme des femelles, je propose que vous mangiez exclusivement des bananes et vivez à poil dans les arbres. On ne vous dérangera pas. vous pourriez même faire des « soins d’affirmation de genre » pour vous rapprocher de nos « ancêtres ». en attendant personne n’a émis l’idée stupide de mutiler son corps pour que sa « biologie » se rapproche de son « comportement ».

        – Je rappelle que chez les animaux cela ne dérange personne de se taper des « jeunes », doit-on considérer la pédophilie comme normale et pas une déviance pathologique ?
        – Je rappelle que chez les animaux, il n’y pas de médecins et globalement pas de rites funéraires, pensez vous qu’il faudrait alors « normaliser » le fait de ne pas soigner les gens et de les laisser se décomposer (ou être mangé) à l’endroit où ils sont tombés ?
        – Il y a des comportements suicidaires chez les animaux, doit-on laisser les gens se suicider ?

        Je pense que chaque espèce du règne animal et végétal à évolué dans un sens et que cette évolution, hasard (à la darwin) ou « voulu » (à la lamarque), nous a permis de survivre pendant les millions d’années de notre évolution collective. Parce que l’espèce humaine est plus qu’une somme d’individualité. nous avons un destin « communs » que nous portons « en commun ». C’est pour cela qu’il y a des règles plus ou moins consensuelles. Par exemple, on ne se tue pas entre nous, même si je suis plus fort que mon voisin, je n’ai pas le droit de le tuer. pourtant c’est très présent dans le règne animal. Par exemple, globalement pour se reproduire, un mâle introduit son pénis dans le vagin d’une femelle (comme dans TOUT le règne animal genré si on extrapole les organes sexuels) de même TOUS les mammifères allaitent de leur propre lait.

        En tant qu’espèce on peut « supporter » un petit pourcentage de déviance, mais on essaie de « soigner » les gens qui ne se sentent pas bien. Ainsi une personne suicidaire, on tente par les moyens dont nous disposons de lui faire passer l’idée de s’ôter la vie (sauf les connards de la fin de vie assistée) sans considérer que c’est son _droit_ le plus stricte de disposer de sa vie. On tente même de les « ramener » lorsqu’ils passent à l’acte alors que c’est une p*tain d’entrave à leur libre arbitre.

        De la même manière, il me semble « censé » d’expliquer à une femelle humaine que ce n’est pas avisé de se faire couper les seins, supprimer l’utérus et coudre la vagin parce qu’elle se sent un homme. que ce changement ne fera pas d’elle un homme, cela fera juste qu’elle ne sera rien qu’une mutilée, comme le soldat qui a sauté sur une mine. Ce raisonnement s’applique de la même manière à un mâle biologique pour lui expliquer qu’il ne sera JAMAIS une femme, il ne sera juste « plus un homme ».

        Mais je ne suis pas un spécialiste des sciences naturelles et vous semblez très compétent sur le sujet, pourriez vous m’indiquer les espèces, ce serait bien chez les mammifères, ou des individus demandent à « changer de sexe » et ou l’on propose des mutilations pour supprimer leurs attributs ?

        que l’on s’entende bien, je ne dit pas qu’un homme ne peut s’habiller en femme (chacun est libre) ou l’inverse. JE pense que ceux qui se « sentent » de l’autre sexe ont un problème pathologique, qui peut peut être résolu en donnant les bonnes hormones. Ainsi un homme biologique qui _aurait_ (avec des grandes pincettes) un manque d’hormone mâle, il faut être sacrément teubé pour lui fournir des hormones femelles. Ce sera comme injecté des cellules cancéreuse dans les organes non atteints pour « harmoniser » avec son état clinique.

        J’ai fait mon coming out de transphobie : laissez nos enfants tranquilles et allez habiter dans le marais.

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      • Jean Sentrais dit :

        @herve_02,
        j’oubliais ceci qui vous plaira : on a observé que pour 50% des actes sexués, le coït forcé sévit chez les canards Col-verts … Puis qu’une canarde mère entreprend souvent de prendre sous son autorité parentale jusqu’à 15 cannetons : les a-t-elle volés aux autres canardes ?

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  5. Ping : Le G7 est isolé mais la dictature de la hyène devient effrayante et folle furieuse : elle veut imposer une tyrannie OMS avec virus livré à la clé par Gates ; les mutilations sexuelles sont rebaptisées « soins d’affirmation de genre&

  6. Ping : Le G7 est isolé mais la dictature de la hyène devient effrayante et folle furieuse : elle veut imposer une tyrannie OMS avec virus livré à la clé par Gates ; les mutilations sexuelles sont rebaptisées « soins d’affirmation de genre&

  7. Michel C dit :

    Quelle horreur. De la boucherie. Comment peut-on le faire quand on a fait des études de médecine?

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  8. Roubachoff dit :

    Sans prendre position sur le fond – tout le monde se fout de mon opinion – je signale quand même que cette photo concerne une étape de la reconstruction. Bref, et heureusement, ça ne reste pas comme ça. Dans cet ordre d’idées, pour une simple prothèse du genou, si on montre une jambe coupée en deux, ça fera aussi pousser les hauts cris.
    De manière générale, prenons garde à ne pas devenir aussi approximatifs que les gars d’en face. Par exemple en racontant partout que les virus n’existent pas et que les morts ne sont pas vraiment morts…
    N’oublions pas : chaque erreur ou omission, les Pain et Cie nous la ferons payer très cher. D’autant plus que ça ne va pas très fort de leur côté…
    Quant à la « transphobie », cher Herve_02, pourquoi pas, car il peut être choquant, alors qu’on nous bassine avec la fin de l’abondance, de consacrer autant de ressources à une réalité qui est et restera marginale. Tant que ça ne tourne pas à la « chasse aux trans », aucune position ne me dérange a priori. Hélas, certains commencent à donner dans la dénonciation, et ça, c’est dangereux. Rappelons une règle : un hétéro, un homo ou un trans peut être une personne estimable ou une raclure de chiottes. Le danger, quand on mélange le politique et le « sociétal », c’est de créer des catégories de « gentils » ou de « méchants » qui n’ont pas lieu d’être. En d’autres termes, entre les « wokistes » et les « traditionnalistes », qu’on ne me demande surtout pas de choisir mon camp.

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    • Jean Sentrais dit :

      Ok ! la photo pourrait présenter une reconstruction corporelle après un accident domestique (une brûlure très sévère, un jour d’été ; une attaque sauvage menée par un pitt-bull, avec émasculation …).

      Sauf qu’un jour proche s’annonce où ne poura plus vivre sereinement quiconque n’aura pas sa bonne étiquette exclusive de privilège woke : imaginons que les places de parking (pour véhicules automobiles) seront toutes attribuées à des woke de ceci, des woke de cela ! Etc.

      Le wokisme a pour ambition une fracturation intégrale de la vie citoyenne.

      Et qui ne sera pas woke-en-quelque-chose n’aura droit à aucun privilège exclusif : des pubs pour ados (+18 ans) et jeunes adultes où, en sont exclus (factuellement) les … + de 30 ans (cela existe déjà depuis 20 ans) : les « vieux » n’y sont pas servis ; des clubs homos (gay ou lesbien) … où l’entrée y est … difficile si l’on n’est pas identifié comme de la bonne-tendance !

      L’EMmerdeur y trouve, pense-t-il son compte politique en délivrant, en toute féodalité restaurée le blanc-seing de maisons-de-l’octroi. Tout est relan nauséeux des affres de l’ancien Régime !

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