Du Distilbène auVioxx hier et au Pfizer, la sociologie de l’ignorance conduit à nier les effets secondaires au nom du “Corrélation n’est pas causalité;Il peut y avoir un nombre important de facteurs”

1 LE SCENARIO TOUJOURS RENOUVELE DE L’EMPOISONNEMENT

Septembre 2004. La firme Merck annonce le retrait du marché de son antiinflammatoire vedette, le Vioxx, molécule pourtant à l’origine de 10 % du chiffre d’affaires de la compagnie. Cette décision exceptionnelle était motivée par le fait que cet inhibiteur de Cox-2 aurait facilité la survenue de multiples infarctus. Quelques mois plus tard, les données révélées par la Food and Drug Administration (FDA) américaine confirmaient l’ampleur des événements indésirables associés à l’utilisation thérapeutique du Vioxx : il aurait induit près de 28 000 infarctus supplémentaires entre 1999 et 2003. Ce qui est devenu « l’affaire Vioxx » a des conséquences économiques et juridiques évidentes

Mme Emmanuelle WARGON, adjointe au directeur général, de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) était en charge du dossier

Aux Etats-Unis, 40 000 décès lui sont attribués. En France officiellement aucun. Pharmacologue de renom, incontournable dans les affaires de médicaments, l’expert commis dans le dossier Vioxx n’a pas jugé bon de signaler qu’il avait précédemment travaillé pour l’avocat… du laboratoire Merck and co.

En cette fin d’année 2022 les études randomisées, les analyses statistiques font remonter un très gros problème pour la sécurité des nouveaux produits antigéniques appelés par les médias « vaccins anti covid ». Le Conseil de l’Ordre des médecins , les autorités de santé condamnent toute parole ou écrit appelant à la prudence. Le monde médiatico politique dénonce le complotisme et tout débat scientifique est écarté au nom de la Vérité . La Science est devenue une religion avec ses inquisiteurs patentés.

Mais il y a les patients , confrontés aux risques médicamenteux jugés pire que la maladie, il y a les soignants , coincés entre leur conscience et les autorités de tutelle.

L’histoire, la géographie, les sciences sociales nous permettent de comprendre comment se déroulent les scandales sanitaires , pourquoi ils durent, pourquoi ils sont pires que la maladie.

Plus les scandales se multiplient , plus les autorités prétendent en tirer les leçons, renforcent les controles et plus les scandales à venir sont graves et difficiles à dénoncer puisque…toutes les précautions auraient été prises…

Le scénario est toujours le même

1 Un produit nouveau voir révolutionnaire apparait et à ce titre échappe aux règles prudentielles, aux études habituelles de sur la toxicité. Les chercheurs sérieux (R Malone pour l’ARNm) rappellent les limites de leurs inovationss mais on ne les écoute plus. Christine Cotton et Hélène Banoun ont démontré comment les règles prudentielles ont été oubliées alors que tous les indicateurs de risques étaient au rouge pour le Pfizer et le Moderna avant leurs autorisations

2 Les autorités politiques , les Académies cautionnent et couvrent le nouveau produit labellisé scientifique. Des publications biaisées viennent en renfort sans jamais s’interesser aux dangers .

3 Au nom de l’équilibre bénéfice risque les plus fragiles sont toujours les premiers concernés et parmi eux…les femmes enceintes systématiquement exposées aux « avantages  » du produit miracle. Média, colloques, publications médicales , labos assurent la propagande

4 Le mal se propage, les effets secondaires ne sont pas vus ou sont balayés par le « corrélation n’est pas causalité. Les lanceurs d’alerte ne sont pas écoutés, pire ils sont dénigrés.

LA CONDAMNATION EST RARE/

C’est une décision qui ne passe pas. Le 2 janvier, les deux magistrates instructrices du pôle santé publique et environnement du tribunal judiciaire de Paris ont prononcé un non-lieu dans l’enquête sur l’empoisonnement des écosystèmes au chlordécone. Rappelons que ce pesticide, classé « cancérogène possible » par l’OMS depuis 1979, interdit en France métropolitaine en 1990, a continué à être autorisé dans les bananeraies des Antilles par dérogation ministérielle jusqu’en 1993.

Plus de 90 % de la population adulte en Martinique et Guadeloupe en est contaminée, selon Santé publique France, et « les taux d’incidences du cancer de la prostate se situent parmi les plus élevés au monde », d’où la reconnaissance, fin 2021, de ce cancer comme maladie professionnelle.

Le produit étant nouveau la pharmaco vigilance est inadaptée:l’observation des effets indésirables se limite à ceux attendus , ne prend pas en compte les autres.

2 LE SCANDALE PFIZER EST ACTUEL

On sait depuis un bon moment que 2.8% des vaccinés feront une myocardite à plus ou moins long terme ( soit 1.5 millions pour 80% de vaccinés en France).

Corinne Reverbel 

@CorinneReverbel

·N’était-ce pas notre ancien ministre de la santé

@olivierveran

qui disait qu’il suffisait qu’il soit prouvé qu’1 SEUL mort soit dû à la vaccination pour l’arrêter ? Parce qu’une publication scientifique a prouvé le lien dans 30% des décès post-vaccination (dans les 14 jours)

Avec le lien ci dessous vous trouverez la synthèse des effets cardiaques des fameuses injections

https://pgibertie.com/2022/12/28/un-ado-vaxccc-sur-30-fait-une-myocardite-les-complications-cardiaques-ne-viennent-pas-des-complications-post-covids-mais-des-injections-teletoubibs-journalistes-politiques-cessez-de-mentir-vous/…

Il faudra de longues années pour que le scandale éclate… ou n’éclate pas . Il faudra plus de temps encore pour que la justice intervienne…

3 SCANDALES D HIER LES MEMES IDIOTS UTILES LES MEMES AUTORITES QUI NE PROTEGENT PAS

Que chacun d’entre nous fasse un petit effort de mémoire pour se souvenir, qui n’a pas eu parmi ses proches au moins une victime d’une certitude médicale devenue un « scandale sanitaire  » ? …

De ce point de vue, l’imputation ressemble à une transgression : transgression d’un savoir légitime avancé par l’industrie pharmaceutique et approuvé par les plus hautes instances décisionnaires en santé ; transgression d’une loyauté de principe entre professionnels de santé (Freidson, 1984) ; mais aussi trahison du patient et de sa confiance dans la prescription médicale et mise en cause de sa propre certitude de faire le mieux. Il faut oser l’imputation, et plus encore oser la dire et la faire connaître, dans un contexte où elle n’apparaît que floutée par les effluves d’une incertitude contingente

Certains l’osent pourtant. Nous en avons rencontré peu, mais il
existe des médecins qui défendent la déclaration et ne s’arrêtent pas
à l’incertitude de l’imputation. Ils considèrent alors que déclarer un
EI médicamenteux relève de leur mission de contribution à la
pharmacovigilance, s’inscrivant plus globalement dans une
perspective de contribution à un service public. L’imputation pour
eux n’est pas une incertitude mais une vigilance, et déclarer n’est
pas une transgression mais un devoir. La norme dont ils se
réclament n’est pas celle de la confiance dans le médicament, mais
de la confiance dans leur capacité à jouer un rôle d’acteur de santé

Face aux risques médicamenteux.
Sylvie Fainzang, Ashley Ouvrier

 le Distilbène® et les perturbateurs endocriniens. Contribution à une sociologie de l’ignorance

Que chacun d’entre nous fasse un petit effort de mémoire pour se souvenir, qui n’a pas eu parmi ses proches au moins une victime d’une certitude médicale devenue un « scandale sanitaire  » ? …

La France a plus de scandales sanitaires , dans son passé récent, que de variétés de fromages, je revendique le droit à blasphémer la religion scientiste !

Le plus néfaste des perturbateurs endocriniens , le Dislilbène, à l’origine de cancers, de malformations sur plusieurs générations fut prescrit en France avec la bénédiction des autorités de santé pendant des décennies

Le système endocrinien regroupe les glandes qui sécrètent des hormones :
thyroïde, ovaires, testicules, hypophyse, pancréas… Libérées dans le sang, ces hormones agissent comme des messages chimiques naturels entre les différents organes du corps. Elles permettent de réguler certaines fonctions de l’organisme : la croissance, le métabolisme, le développement cérébral et sexuel, la reproduction, l’alimentation. Elles participent ainsi au bon fonctionnement et à
l’homéostasie (équilibre) du corps humain.

« les perturbateurs endocriniens sont des substances chimiques d’origine naturelle ou
artificielle étrangères à l’organisme qui peuvent interférer avec le fonctionnement du système endocrinien et induire ainsi des effets néfastes sur cet organisme ou sur ses descendants »

Synthétisé par le britannique Charles Dodds en 1938, le DES a été la première hormone artificielle mise sur le marché. Autorisé pour différents usages aux États-Unis en 1941, à une époque de très forte valorisation médicale des œstrogènes, il a été massivement utilisé chez les femmes enceintes afin de prévenir les fausses couches. Outre-Atlantique, la prescription du DES a atteint son maximum dans les années 1950. C’est à cette époque qu’a réellement débuté sa prescription en France, presque exclusivement sous la dénomination commerciale de Distilbène® par le laboratoire UCB Pharma, avant d’atteindre son pic de vente à la fin des années 1960. 

.En avril 1970, Arthur Herbst et Robert Scully publiaient dans Cancer l’étude de 6 cas de cancer du vagin à cellules claires (ACC) chez des jeunes filles âgées de 15 à 22 ans. Poursuivant l’investigation sur ce cancer extrêmement rare, l’équipe de Herbst montrait, en 1971, dans le New England Journal of Medicine (NEJM), qu’il était associé à une exposition in utero au DES durant le premier trimestre de la grossesse. Pour la première fois, un lien direct était établi entre la consommation d’un médicament pendant la grossesse et des effets morbides sur la descendance à une distance temporelle considérable.

Une association positive entre le DES et le cancer du vagin chez les jeunes filles qui avaient été exposées in utero a été démontrée pour la première fois aux Etats Unis en 1971. En France, on estime que plus de 200 000 femmes ont été traitées par DES pendant leur grossesse en France et près de 160 000 enfants nés exposés in utero au DES 

L’exposition au DES in utéro chez les filles DES – 2ème génération est associée aux cancers du vagin et du col utérin. Le DES est considéré comme agent cancérogène certain (Groupe 1)  par le CIRC.

Le risque de cancer du sein chez les filles exposées in utero a été étudié mais les résultats des études disponibles sont contradictoires. Concernant l’apparition de troubles psychiatriques à la post-adolescence, les résultats des données actuelles ne mettent pas en évidence d’association avec une exposition in utero au DES (Afssaps, 2011).

Des pathologies non cancéreuses ont été observées chez les générations exposées in utero. En effet, les principales complications documentées (détaillées dans le tableau suivant) sont d’une part des anomalies structurales, morphologiques et fonctionnelles au niveau du vagin, du col et du corps de l’utérus chez la fille et d’autre part, au niveau des testicules, de l’urètre des épididymes chez le garçon

Le syndrome diéthylstilbestrol (DES) est un syndrome malformatif survenant chez les descendants (enfants et petits-enfants) de femmes exposées au DES au cours de leur grossesse. Il se caractérise par des malformations de l’appareil reproducteur, une diminution de la fertilité et un risque accru pour les jeunes femmes de développer un carcinome à cellules claires du vagin et du col de l’utérus. Les anomalies génitales rapportées incluent un utérus hypoplasique en forme de T et d’autres anomalies utéro-tubaires augmentant le risque de fausses couches chez les femmes, ainsi que des kystes de l’épididyme, un micropénis, une cryptorchidie ou une hypoplasie testiculaire chez les hommes. 

Des cas d’hypospadias chez les garçons soulignent la nécessité de surveiller et d’étudier les risques multigénérationnels de malformations génito-urinaires associés à une exposition au DES 

En ce qui concerne la troisième génération, autrement dit les petites-filles des femmes traitées entre 1950 et 1980 en France, de premières études ont indiqué l’existence de séquelles liées à la prématurité, telles que de la paralysie cérébrale, ainsi que des troubles de la fonction de la reproduction, avec des irrégularités de la durée des cycles menstruels. Le risque de cancer est quant à lui difficile à évaluer actuellement par un manque de recul, mais il touche probablement les trois générations.

https://theconversation.com/surete-des-medicaments-les-consequences-durables-du-scandale-du-diethylstilbestrol-174497

Plusieurs indices attestaient la dangerosité de la molécule et pourtant le diéthylstilbestrol fut préféré non seulement à un autre œstrogène de synthèse découvert depuis 1891

Dès 1938, Dodds alerta le monde scientifique des dangers de son invention, et s’opposa lui-même au développement d’une pilule anticonceptionnelle à base de DES.

 Herbst AL et al. « Adenocarcinoma of the vagina in adolescence » Cancer 1970;25:745-7.

Dans son article d’avril 1971 du NEJM, l’équipe de Herbst concluait par un appel à la vigilance chez les jeunes filles présentant des saignements anormaux et déconseillait toute prescription du DES en début de grossesse. Cette publication fut considérée comme une alerte qui, en novembre 1971, aboutit à la contre-indication de la prescription aux femmes enceintes aux États-Unis

En France, cette alerte n’a d’abord pas été relayée, puis elle a été peu entendue. À l’époque, il n’existait pas de structure de pharmacovigilance permettant de diffuser la décision américaine. De plus, rares étaient les médecins français abonnés aux revues médicales américaines.

Il s’avère que parmi les 14 recommandations faites aux médecins généralistes ou spécialistes le DES était considéré comme letraitement de choix par une large majorité des auteurs (11 sur 14)
pour les menaces d’avortement et les antécédents d’avortement. Ce
traitement était déconseillé par 3 auteurs.
On peut observer ainsi que les conseils de la plupart des leaders
d’opinion de l’époque, convaincus des effets bénéfices du DES, et
le prescrivant eux-mêmes dans leur pratique, ont été plus importants
que l’analyse des publications scientifiques qui aurait pu amener à
douter.

  • Robel en 1960[19] a comparé une série de 49 cas traités par
    DES et/ou dipropionate d’oestriol en cas d’insuffisance
    lutéale sévère. Il enregistre 24 % d’avortements contre 45 %
    dans un groupe témoin de 58 cas non traités. Il conclut que
    l’efficacité du DES n’est pas douteuse.
  • Béclère et al. en 1967[20] étudient comparativement chez
    54 femmes, une série de 110 grossesses passées et une série
    de 67 grossesses traitées par gonadotrophine, DES ou progestérone selon les résultats des dosages systématiques. Alors
    que le pourcentage d’avortements ou morts in utero s’élevait à
    83 % dans la série passée, les auteurs enregistrent 76 % d’évolution favorable après mise en place de leur stratégie thérapeutique.
  • En 1971, date de découverte des ACC, l’organisation responsable des médicaments au sein du Ministère chargé de la santé était la Direction de la pharmacie et du médicament qui n’avait pas, à notre connaissance, émis de réserves, contrairement à la FDA, sur l’utilisation du DES chez les femmes enceintes. Dans le dictionnaireVidal,l’indication « avortements spontanés à répétition » a été maintenue jusqu’en 1975. La mention contre-indication « grossesse » estapparue en 1977.
  • L’attitude des autorités sanitaires en France a donc été différente de celle des autorités américaines. Le mot d’ordre prioritaire a été « ne pas affoler ». Cette option est un des éléments qui peuvent expliquerla prolongation dela distribution de DES en France aux femmes enceintes, comme dans d’autres pays, après 1971.

Albert Netter, alors l’une des grandes figures de la gynécologie française, était une exception. Il avait créé en 1971 des Journées de formation médicale continue destinées aux gynécologues-obstétriciens et, l’année suivante, il y invita Herbst. Mais la majorité de l’élite professionnelle présente refusa de croire aux effets délétères du Distilbène®. Un témoin de l’époque rapporte : « Trois grands gynécologues français ont dit : “Mais bien sûr, c’est pas parce que dans un coin des USA on a trouvé un nombre important de cancers… Il peut y avoir un nombre important de facteurs” » [1][1]Dr Belaisch interviewé par Igor Strauss dans « Priorité…. Certains médecins pointaient les différences de dosage ou de modalités d’administration, notamment l’usage combiné du DES et des progestérones. Cela les amenait à considérer que l’alerte américaine n’était pas valide dans le contexte français, une figure de délimitation ultérieurement utilisée dans les dossiers de la contamination transfusionnelle (Fillion, 2009) et des traitements hormonaux de substitution (Löwy et Gaudillière, 2006).

On sait aujourd’hui que l’hypothèse initiale de la cause hormonale des avortements est erronée : 1- il a été montré dans les années1960 que les anomalies chromosomiques constituent la cause dominante des avortements précoces qui sont donc inévitables ; 2- s’il se produit effectivement une chute hormonale, l’échographie a montré depuis que cette chute hormonale est consécutive à l’arrêt de vie de
l’œuf. Cette chute est donc la conséquence et non la cause de l’arrêt de la grossesse.

L’histoire démarre en 1952. Le pharmacien Georges Feuillet dirige un laboratoire à Saint-Mande, dans la région parisienne. Afin d’étoffer son offre de médicaments, il crée une pilule permettant de lutter contre les furoncles. Ce médicament est composé d’un dérivé organique d’étain et de vitamine F, réputée bonne pour la peau. Les essais cliniques sur huit malades s’avèrent positifs. Le laboratoire de contrôle ne voit rien à redire. L’autorisation de mise sur le marché est donc obtenue le 24 juin 1953.

 La délivrance du produit est suspendue en juillet 1954

Trois médecins, un des Vosges, un des Landes mais aussi le docteur Beauchesne de Montfort, remarquent des réactions négatives chez leurs patients traités avec le Stalinon. Il explique au labo avoir remarqué que les patients traités avec ce médicament souffraient d’encéphalites (inflammation du tronc cérébral) sans fièvre.

Georges Feuillet, le patron du laboratoire, lui répond qu’il tiendra compte de ses remarques et qu’il modifiera sa formule

Jusque dans les années 1970, le talc est très couramment employé pour prévenir les irritations de la peau des bébés, appliqué tout particulièrement lors du changement des couches pour réduire l’humidité de l’urine qu’elles peuvent emprisonner au niveau des fesses et parties génitales. La poudre Baumol est créée par les laboratoires Francam et commercialisée depuis 1914

Le drame du thalidomide restera sans nul doute un des faits marquants de l’histoire du
médicament. Mis sur le marché peu avant 1960, il est alors considéré comme un sédatif
efficace et pratiquement dénué d’effets secondaires. Le thalidomide est pourtant bientôt
tenu pour responsable d’une recrudescence de malformations congénitales spécifiques. Le
caractère tératogène du produit est mis à nu. Un réel scandale éclate. Le désarroi des
familles des victimes n’a d’égal que le doute semé au sein de la communauté scientifique.
La recherche biomédicale se trouve alors face à une insuffisance: aucun essai de
tératogénicité ne précède une mise sur le marché à l’époque. Une remise en question
s’impose. Finalement, le retrait du marché du thalidomide et une procédure judiciaire

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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3 commentaires pour Du Distilbène auVioxx hier et au Pfizer, la sociologie de l’ignorance conduit à nier les effets secondaires au nom du “Corrélation n’est pas causalité;Il peut y avoir un nombre important de facteurs”

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  2. Jean Sentrais dit :

    Et si la future mère de notre EMmerdeur national avait forcé ses doses de thalidomide ou d’autres substances médicamenteuses, pendant sa grossesse ?

    Cela expliquerait que son rejeton soit né hydrocéphale*, non ?

    ____________________________________
    hydrocéphale :

    1
    littéralement, déformation congénitale où la tête de l’enfant-né s’était chargé d’eau, non d’un cerveau ;

    2
    par extension, tête chargée d’une autre substance que d’eau : Justin Trudeau, autrement dit : Trudegaz.

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  3. Hélène H dit :

    C’est quoi le rapport avec le talc ???

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