Comment la vaccination peut favoriser les mutants ! (Professeur Claverie)

Une vaccination trop peu efficace serait pire que le mal. En proposant d’allonger les délais entre la première et la deuxième injection la Haute autorité de santé s’est comportée de manière irresponsable e. On comprend pourquoi elle n’ a pas été suivie.

Les vaccinés « à moitié » protégés (par une demi-dose) participent involontairement mais activement à la sélection des variants plus résistants. C’est le très sérieux professeur Claverie qui alerte dans la Revue politique et parlementaire.

La vaccination élimine les virus standards , seuls lui échappent les variants plus résistants qui continuent à muter …

Le processus est connu avec la combinaison désastreuse  du remdesivir (Yazdanpannah) et du plasma (Karine Lacombe) sur un malade immunodéprimé. Il est redouté pour le nouveau traitement  à 2000 euros promu par Big Pharma , les anticorps monoclonaux, pour limiter les risques, des cocktails sont prescrits.

Chez les vaccinés: dangerosité des #variants s’ils demeurent reconnus par nos cellules MAIS ne sont pas reconnus par la neutralisation qu’est censée offrir le #vaccin « Une donnée sur laquelle nous n’avons aucun contrôle « 


Alexandra Henrion-Caude@CaudeHenrion

Quid si les vaccins même complets protégeaient mal et immunisaient faiblement certaines catégories de population comme les personnes âgées comme le révèlent les scientifiques ?

On comprend de mieux en mieux  ce qui s’est passé en Angleterre.

Nous sommes donc dans la même situation qu’un traitement antibiotique insuffisant ou prématurément interrompu qui augmente la probabilité de l’émergence de bactéries résistantes.

Dans le cas de l’utilisation d’antibiotiques pour combattre les infections bactériennes, on sait qu’il faut frapper vite et fort, pour minimiser l’émergence de bactéries résistantes.

Nous voilà donc dans le pire des cas de figures pour l’émergence de variants : la génération lente et progressive d’une population de vaccinés « à moitié » protégés (par une demi-dose) participant involontairement mais activement à la sélection des variants.

En pleine pandémie active, les variants sont produits chaque jour en grande quantité, dans les non-vaccinés, puis sélectionnés/amplifiés au sein de la petite minorité des vaccinés faiblement protégés par une première dose. De plus, il semble probable que l’immunité acquise par le vaccin ne fait qu’éviter les formes sévères de la Covid-19 sans inhiber l’infection virale peu symptomatique (et donc la création de variants). La décision récente de retarder la seconde dose ne fait qu’empirer ce scénario, en augmentant la population des faiblement immunisés qui sont l’environnement de prédilection pour la création/sélection de variants résistants au vaccin.

Nous sommes donc dans la même situation qu’un traitement antibiotique insuffisant ou prématurément interrompu qui augmente la probabilité de l’émergence de bactéries résistantes.

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C’est ici que le bât blesse : dans l’affolement général, la plupart des gouvernements se sont lancés dans une campagne de vaccination générale sans anticiper les difficultés aussi bien industrielles que logistiques de sa mise en œuvre.

Dans une situation « naturelle » les variants gardent l’énorme handicap de leur rareté (1/1 000) qui rend difficile leur multiplication. Leur fréquence dans la population des virus circulants a donc peu de chance d’augmenter.

Ce n’est plus le cas si l’on cible les virus « standards » par des mesures qui diminuent leur efficacité de multiplication. C’est très précisément le cas de la vaccination, dont l’action recherchée est d’empêcher les virus dotés d’une protéine S standard d’interagir avec le récepteur (par la formation d’anticorps « neutralisants »).

La majorité des virus standards étant (statistiquement) bloqués, cela ouvre un « coupe-fil » aux variants de plus grande affinité pour le récepteur ACE-2, en particulier si leurs modifications les rendent moins reconnaissables par les anticorps vaccinaux (même un peu moins).

 La mise en œuvre de la vaccination initie donc un nouveau rapport de force, un processus de sélection, qui enclenche une course entre l’éradication des virus standards circulants, et leur remplacement progressif par les variants soit plus contagieux, soit échappant à la neutralisation vaccinale, soit les deux. Ce processus est grandement favorisé par le fait que les vaccins disponibles ne ciblent que la seule protéine (S) du virus, à la différence de l’immunité naturelle qui cible l’ensemble des composants de la surface des particules virales, rendant très improbable la survenue de mutations multiples seules capables de rendre les variants indétectables par le système immunitaire.

Matthieu Brandelyven. 29 janvier 2021, 6:02 PM·3 min de lecture

Campagne de vaccination massive en Israël, en plein pic épidémique.

En Israël, un rapport souligne que la campagne de vaccination massive en plein pic épidémique risque de faire émerger de nouveaux variants, plus résistants au vaccin.

Le confinement est-il le meilleur allié d’une campagne de vaccination réussie ? C’est ce que semble suggérer un rapport de l’armée israélienne, qui souligne les risques de la stratégie adoptée dans le pays.

Il souligne que la vaccination de masse pourrait “entraîner une ‘pression évolutive’ sur le virus et générer des mutations”, selon un rapport du Centre national d’information et de connaissances sur le coronavirus, partagé par plusieurs médias dont i24 news, le 23 janvier dernier.

En Israël, la campagne de vaccination massive a débuté le 20 décembre. Au 27 janvier, selon les chiffres officiels, 30% de la population (2,7 millions de personnes) a déjà reçu une première dose de vaccin et 15% (1,3 million de personnes) les deux doses du vaccin.

“Israël joue avec le feu”

Une campagne menée en plein pic épidémique. Au premier jour de la campagne, on recensait 2 512 cas quotidiens dans le pays, et jusqu’à 8 624 cas le 17 janvier. Entre temps, les autorités ont décidé d’un nouveau confinement, le 27 décembre, et fermé les liaisons aériennes avec l’étranger durant au moins 6 jours.

“Israël joue avec le feu avec la stratégie vaccinale qu’ils mènent actuellement”, nous explique Eric Billy. Comme l’explique le chercheur en immuno-oncologie, “l’idéal c’est de faire une campagne de vaccination massive quand le virus circule très faiblement”.

Le ministre de la Santé israelien , Yuli Edelstein, a dénoncé lundi le comportement de certains Israéliens vis-à-vis des restrictions actuellement en vigueur pour enrayer la propagation du Covid-19 dans le pays, assurant que la crise sanitaire n’était pas encore terminée malgré une campagne de vaccination menée tambour battant.

« Nous devrons vivre encore longtemps dans l’ombre du coronavirus », a-t-il assuré lors d’un discours au Parlement. « On m’a appris à ne pas mentir et je ne veux pas vous dire que tout sera ouvert dans un mois parce que ce ne sera pas le cas ».

« Certains pensent qu’il ne s’agit que ‘d’une vague de plus’ et que cela se terminera après ça. Mais nous devons le dire en toute honnêteté : ce n’est pas le cas », a martelé le ministre.

Les avertissements venus d’Israel : la vaccination ne confère pas l’immunisation et peut provoquer l’apparition de nouveaux mutants résistants au vaccin .

C’est l’un des effets collatéraux possibles de la vaccination massive dans ce pays : elle pourrait favoriser l’émergence d’un variant israélien du coronavirus résistant aux vaccins, signale un groupe de travail dirigé par l’armée israélienne, dans une étude relayée samedi 23 janvier par i24news et plusieurs médias.« La campagne de vaccination de masse qui se déroule actuellement en même temps que l’épidémie active en Israël peut entraîner une “pression évolutive” sur le virus et générer des mutations », selon ce rapport du Centre national d’information et de connaissances sur le coronavirus.

Près de 3 millions de personnes ont reçu la première injection du vaccin Pfizer en Israël, soit près d’un tiers de ce pays de 9 millions d’habitants.

Alors n’ayez pas peur, renforcez votre système immunitaire naturel:

N’ayez plus peur : ON SAIT ENFIN SOIGNER LA COVID et en finir avec le confinement!

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A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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3 commentaires pour Comment la vaccination peut favoriser les mutants ! (Professeur Claverie)

  1. Eric dit :

    Depuis la nuit des temps, à notre échelle bien sur, l’homme recherche la panacée, et la médecine fait de même. Pour faire bref, nous avons eu les saignées… les antibiotiques, les vaccins et à présent les vaccins génomiques, préface de la nouvelle médecine qui corrige nos gènes.
    Tout cela va trop loin et trop vite, il y a d’autres voies à explorer mais la mainmise de l’argent sur le système de santé y fait obstacle.
    Aux jeunes générations de comprendre cette dérive, les sixties et plus ne sont pas éternels.

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  2. fraternel dit :

    à titre préventif ma compagne et mo imeme nous nous immunisons avec les produits de la ruche contre les infections virales (miel propolis pollen gelée royale)
    complément en vitamine d3 magnésium vitamine b6 associée demi citron pressé
    et çà marche ainsi depuis trois ans sans infection virale grave (éventuellement un petit rhume)
    et remède de grand mere tisanes et dodo)

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  3. Sur le vaccin d’AstraZeneca, que l’UE s’apprête à valider, il semble que des coïncidences soient passées inaperçues : les premiers essais du vaccin ont été menés d’abord au Royaume-Uni, puis en Afrique du Sud et au Brésil, puis aux USA.
    C’est dans le même ordre que ces 4 pays ont détecté des variants présentant des points communs quelques mois plus tard.
    Ca n’inquiète personne à l’Agence Européenne des Médicaments ?
    https://wordpress.com/page/alertevariantsaz.wordpress.com/7
    https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/260121/covid-19-y-t-il-un-lien-entre-les-essais-dastrazeneca-et-les-variants

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