N’ayez plus peur : ON SAIT ENFIN SOIGNER LA COVID et en finir avec le confinement!

Plusieurs études scientifiques viennent de confirmer le flair de médecins de terrain  avec leur azithromicyne , celle de Raoult  et de son hydroxychloroquine, mais surtout elles expliquent  la logique de la maladie et ajoutent des chaînons manquants qui rendent les traitements plus efficaces…

N’ayez plus peur, trouvez un médecin , un vrai, pas un collabo ignare : tout est logique, très logique, tout s’explique enfin  même les limites du protocole Raoult…

Ces études confirment le génie de plusieurs médecins de terrain  qui ont soigné des centaines de covid sans enregistrer un seul décès.

Malheureusement la terreur de l’Ordre crée par Pétain , règne et seuls 30 à 40 000 médecins guérissent , les autres ne servent à rien , ils seront demain remplacés par des machines qui délivreront des ordonnances sur protocoles automatiques. Hier ils prescrivait du médiator, aujourd’hui c’est du Doliprane…

J’aurai le sentiment d’être utile si , en transmettant cette petite synthèse à votre médecin , vous l’avez fait entrer en résistance …

Je voudrais que cette synthèse soit confrontée à la logique de ceux qui affirment qu’il n’existe pas de traitement contre la Covid. Je suis prêt à faire mon méa culpa si l’on conteste la démonstration. Mais ne me sortez pas pas qu’une étude randomisée sera necessaire. Il y en a eu des centaines, je les ai toutes lues , un seul problème elles ne porte jamais sur les effets d’un cocktail mais sur celui d’une ou deux molécules et donc elles ne prouvent rien d’utile.

Entre 1890 et 1893 le monde connut une pandémie de covid. Un Français sur deux fut contaminé. Personne ne parla de confinement, les médecins soignèrent…Et si on recommençait ?

Régime alimentaire et prévention/

L’exercice physique peut réduire le niveau de stress, renforcer le système immunitaire et améliore votre niveau d’énergie. Toutefois, il est essentiel de rester à l’écoute de son corps et de veiller à ce que l’intensité et la charge physique d’activité soient adaptées. Le surentraînement et/ou une hausse trop rapide du volume d’entraînement risquent de fatiguer le système immunitaire.

Fait intéressant, une consommation élevée de sodium a été associée à une réduction de l’ECA2 exprimé dans les reins en raison du stress oxydatif, qui a dans certains cas été associé à des symptômes plus graves du COVID-19 .

De même, un régime pauvre en protéines a été associé à une expression réduite de l’ACE2 dans les poumons et l’intestin, où il aide à l’homéostasie des acides aminés intestinaux et à la production de peptides antimicrobiens. La communauté médicale continue de débattre de la question de savoir si une régulation à la baisse prudente et sélective de l’ECA2 vers des tissus particuliers peut améliorer le pronostic du patient en dirigeant le virus vers des zones moins vulnérables du corps, bien que dans tous les cas les carences en nutriments produisent toujours une biomécanique sous-optimale.

Un régime pauvre en protéines et en micronutriments a été fortement associé à une réponse immunitaire et anti-inflammatoire altérée en général. Par exemple, une carence en zinc entraîne une diminution des IgA sériques, tandis qu’une carence en vitamine C est associée à une diminution de la production d’interféron, tous deux essentiels à la réponse immunitaire aux virus.

Les cas graves de SRAS-CoV-2 sont souvent le résultat d’une inflammation extrême induite par son propre système immunitaire. On a constaté que la vitamine D réduisait la gravité d’une réponse inflammatoire , aidant à éviter les dommages aux poumons qui conduisent souvent à la mort.

Le microbiote intestinal est également fortement affecté par le régime alimentaire d’un individu, et il a été démontré que le microbiote prélevé sur des personnes obèses influence l’immunité de l’hôte par plusieurs mécanismes. De nombreuses cytokines pro-inflammatoires et anti-inflammatoires sont produites par le microbiome, et une mauvaise santé intestinale du biome est fortement associée aux maladies cardiaques.

Le microbiome pulmonaire est également affecté par le régime alimentaire et indirectement par la population du microbiome intestinal, et un microbiome pulmonaire médiocre est également associé à une capacité réduite à combattre les infections respiratoires.

https://www.news-medical.net/health/COVID-19-and-Obesity.aspx

1° INFECTION

Sur les coronavirus:

https://t.co/bRGUxEsMss?amp=1

A )le rôle de la protéine spyke et celui de la TMPRSS2

Les coronavirus se caractérisent par leur couronne de protéines dites « Spike » ou S. Comme tous les virus, ils utilisent nos cellules comme hôtes pour se reproduire. Mais, le SARS-Cov2 doit subir une étape de « priming », sorte d’activation, pour devenir infectieux. Une protéase, un type d’enzyme de notre organisme, coupe la protéine Spike afin de la rendre fonctionnelle.

« Des travaux récents montrent que la protéase appelée furine induit le priming », explique Etienne Decroly.

Une fois la protéine Spike « primée » ou activée, elle va s’attacher à l’un des récepteurs présents à la surface de nos cellules, nommé ACE2 et impliqué, notamment, dans la régulation de la tension artérielle. Ce récepteur est présent sur les cellules de différents organes : le nez, les yeux, les poumons, le système digestif, le cœur et dans une moindre mesure dans les reins et le foie. Le SARS-Cov2 peut donc infecter tous ces organes, c’est pourquoi les patients atteints de COVID-19 présentent une grande diversité de symptômes.

« Au-delà d’attacher le virus à la cellule, le rôle de la protéine Spike est d’induire la fusion entre l’enveloppe virale et une membrane cellulaire », précise Jean Dubuisson, chercheur CNRS au centre d’infection et d’immunité de Lille. Comme le SARS-Cov2 possède une enveloppe, il doit en effet la combiner avec la membrane de nos cellules ou de nos compartiments cellulaires pour y pénétrer. Cette étape, appelé endocytose, nécessite que la protéine Spike soit coupée à nouveau par une protéase appelée TMPRSS2 (protéase transmembranaire à sérine

B) l’infection entraîne une pénurie de zinc qui est à l’origine des symptômes de la covid

Comme beaucoup de virus enveloppés, le virus peut aussi entrer dans la cellule en étant totalement absorbé dans une vacuole : c’est « l’endocytose ». La vacuole se forme après contact des membranes, consécutif là aussi à l’activation des spikes par la TMPRSS2. Le virus doit alors sortir de la vacuole pour pouvoir se « déshabiller » à l’intérieur de la cellule, c’est à dire se débarrasser de son enveloppe et libérer l’ARN des protéines qui l’entourent. Cette étape nécessite une variation de pH.

Le zinc présent dans l’organisme joue un rôle essentiel.  Les récepteurs membranaires utilisés par les Coronavirus sont des protéineszinc dépendante, elles ontdes fonctions métaboliques très importantes et leur dysfonctionnement, la carence généré par la covid, peut avoir des conséquencesphysiologiques notables :

A. Enzyme de conversion de l’angiotensine 2 et les troubles de la volémie
B. L’AminoPeptidase N et les troubles intestinaux
C. Le point commun entre les irritations des voies aériennes, les troubles gastro-intestinaux et
la conjonctivite
D. Les troubles neurologiques
E. Les difficultés respiratoires
F. L’état fébrile

Les manifestation d’une carence en zinc (perte du goût et de l’odorat ) sont également celle  de la covid…

Les carences en zinc sont plus fréquentes chez les diabétiques, ce qui pourrait participer à leur plus grande susceptibilité aux infections. Personnes âgées : Les personnes âgées présentent un risque plus important de carence en zinc en lien avec une moins bonne absorption. Femmes enceintes : Par majoration des besoins, les femmes enceintes représentent également une population potentiellement plus susceptible aux carences en zinc. En conclusion, nous pensons important et urgent de prendre en compte les éléments scientifiques ci-dessus dans votre démarche et de p

obèses, diabétiques …Pourquoi ? Et si la carence était la cause  de la gravité de la covid ? La carence en zinc est étonnamment courante, affectant jusqu’à un quart de la population des pays en développement. Il a par exemple été montré que 50% des personnes âgées vivant en institutions présentent des carences en zinc .

II) les traitements précoces  doivent répondre à la carence en zinc  et inhiber la TMPRSS2

A les ionophores du zinc

Une étude montre que les effets de la chloroquine sont médiés parl’entrée du zinc dans les cellules. Cette molécule agissant comme ionophore une zinc, augmentant la biodisponibilité du zinc pour les cellules. Nous peut ainsi supposer que la chloroquine ne peut pas exercer ses effets chez les sujets carencés en zinc ou ceux dont le taux de zinc subit une brutalement chute en raison d ‘ une surconsommation par le système immunitaire

Etudier les effets de l’hydroxychloroquine seule  aboutit  à ne rien prouver, les protocoles Raoult ou ZEV ZELENKO sont efficaces quand ils combinent  trois molécules, le zinc, l’hcq et l’azi , on comprend enfin pourquoi.

Les médecins prennent en compte les comorbidités mais pas les carences en vitamine D ou en zinc…

LA SUPPLEMENTATION EN ZINC ET VITAMINE D SE REVELE INDISPENSABLE

On entend parler de l’efficacité de l’hydroxychloroquine (antipaludéen ), de l’artémizinine (antipaludéen), , de l’ivermectine (antiparasiatire) , de l’azithromycine,antibiotique ou encore d’anti oxydants( nivelle quercétine).

La médecine officielle hurle en rappelant que ces molécules n’ont pas pour fonction de lutter  contre un virus , qu’un antibiotique n’est pas antiviral, et refuse l’utilisation.

Elle a oublié un tout petit détail, un détail de rien du tout : il existe un point commun à toute ces molécules, elles sont ionophores du Zinc…

Le zinc à besoin de molécules ionophores pour être efficaces et comme par hasard les molécules en question s’appellent hydroxychloroquine , macrolides (azithromycine) flavonides (nivelle, quercetine, armétizinine)

On comprend enfin comment l’azi  et les autres ionophores  agissent ; elles evitent la pénurie de zinc et ses effets désastreux

En plus les effets antiviraux que n’ont pas les autres ionophores:

Mais azithromycine et ivermectine ont des actions antivirales in vitro. Hcq peut avoir une action antivirale seule

L’ivermectine est un médicament utilisé contre les parasitoses et qui présente une efficacité in vitro très forte contre le virus du SARS-CoV-2. Ce puissant potentiel antiviral a été présenté dans un article publié début avril 2020

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/covid-19-100-de-succes-en-quelques-226824

Dans des études in vitro l’azithromycine apparaît comme plus efficace que l’hydroxychloroquine. Les deux médicaments associés présenteraient une synergie. La doxycycline serait également active.

Il y a aussi la piste des synergies bacterie virus de claude escarguel.Le 19 octobre 2020, il a mis en ligne un preprint présentant les résultats qu’il a colligés sur la France. Ce travaille émet l’hypothèse d’une coopération bactérie/virus dans l’amplification virale. D’ailleurs, les macrolides (azithromycine, clarithromycine), les tétracyclines (doxycycline) et les fluoroquinolones (lévofloxacine, moxifloxacine) ne sont-ils pas classiquement employés contre les germes intracellulaires atypiques ? L’ivermectine ne pourrait-elle pas être vue comme un « macrolide-like » ?[Structurellement l’ivermectine est proche des macrolides…un potentiel antibacterien jusqu’alors non creusé ??

Ionophore du zinc ? Activité antivirale directe ? Amplification par coopération bactérienne éteinte en tapant sur les bactéries ?Sans compter sur les effets immunomodulateurs de certains antibiotiques par exemple…

Au-delà de ses propriétés antibiotiques, l’azithromycine aurait également une efficacité dans les infections pulmonaires virales (la publication du JAMA date de 2015). De plus, elle semble posséder in vitro une action contre certains virus(par exemple la publication de l’European Respiratory journal citée date de 2010).

Big Pharma propose un traitement mille fois plus coûteux et d’après les études moins efficace que les vieilles molécules , mais l’Allemagne vient fin janvier d’acheter pour 400 millions d’euros de cette hydroxychloroquine du riche…

REGN-COV2 est un «cocktail d’anticorps» artificiel conçu pour produire une résistance au coronavirus SARS-CoV-2. Il consiste en un mélange de deux anticorps monoclonaux. La combinaison d’anticorps vise à empêcher la fuite mutationnelle. Début octobre, Donald Trump avait reçu ce cocktail d’anticorps « monoclonaux » développés par la société américaine Regeneron, et qu’il avait largement vanté après son rétablissement. Ces anticorps imitent ce que le système immunitaire fait après la contamination par le coronavirus, en allant bloquer la pointe du virus qui lui permet de s’attacher aux cellules humaines et de les pénétrer. Il est considéré comme plus efficace pendant la phase initiale de l’infection, quand les anticorps ont encore une chance de maîtriser l’envahisseur, et non pendant la deuxième phase du Covid-19, quand le danger n’est plus le virus lui-même, mais la surréaction du système immunitaire qui s’attaque aux poumons et à d’autres organes.

Le remdesivir et les anti VIH ont égté abandonnés car inefficaces tout comme les plasmas de convalescents chers à Karine Lacombe

B) Inhiber

Il est reconnu que le virus entre par la cellule via le récepteur protéique ACE2 et que les antiviraux, telle l’hydroxychloroquine peuvent être de bons « bloqueurs d’accrochage du virus »

Une étude récente montre une deuxième étape, à savoir l’activation du virus par le clivage de la protéine Spike S du virus en S1 et S2. Ce clivage est activé par une des protéases présentes dans l’organe attaqué par le virus.  Et cette protéase est différente selon l’organe attaqué (poumons, reins, cœur). Une étude datant du 1er mai 2020 établit bien que le taux de TMPRSS2 est différent dans les organes

En cas d’attaque du virus sur les reins, il se trouve que l’hydroxychloroquine est active, en plus de son action antivirale, contre la protéase d’activation de la protéine S.

Par contre une des dernières études en date montre que pour les cellules pulmonaires, le virus utilise pour son activation par clivage la protéase TMPRSS2  

Et il apparait que « TMPRSS2 joue contre l’hydroxychloroquine » qui non seulement n’agit pas contre le rôle d’activation mais en plus que TMPRSS2 diminue l’activité antivirale de HCQ sur la cellule ACE2).

Cette baisse d’efficacité de HCQ pourrait expliquer des résultats d’études contradictoires et l’écart avec les tests initiaux in vitro de l’hydroxychloroquine et autres qui ont souvent été faits sur des cellules rénales de macaques sur lesquelles le virus n’utilise pas TMPRSS2 mais une autre protéase présente.

Comme évoqué ci-dessous, il est possible de voir que pour la zone d’utilisation de l’hydroxychloroquine (1uM à 12uM) , pour les cellules pulmonaires l’efficacité de HCQ est fortement réduite pour les personnes ayant un fort taux de TMPRSS2 et modérément réduite pour les personnes ayant un taux réduit de TMPRSS2.

https://journals.plos.org/plospathogens/article?id=10.1371/journal.ppat.1009212

Aujourd’hui, un médicament est déjà connu pour inhiber la TMPRSS2 : le Camostat mésilate. Une publication scientifique datée du 5 mars 2020 montre que, in vitro, cette molécule permet d’empêcher le SARS-Cov2 d’entrer dans les cellules.

Et plusieurs « inhibiteurs TMPRSS2 » existent dont plusieurs sont de « vieilles molécules » bien connues telle que le chlorhydrate de bromhexine (un antitussif mucolytique). BISOLVON

La bromhexine hydrochloride (Bisolvon™) est un agent mucolytique qui a montré également un effet inhibiteur sur les métastases de cancer de la prostate chez la souris. En outre, il inhibe l’action de la TMPRSS2 à faible concentration (IC50 = 0,75µM) et il est proposé comme traitement des patients avec Covid-19

Un inhibiteur  du type BISOLVON, bien connu, rendrait bien plus efficace l’hcq et l’azi

III) Prévenir l’inflammation et soigner les covid modérés et plus graves

A noter. Hcq aussi a des propriétés immunomodulatrices.

Certains antibiotiques calmeraient-ils le jeu de l’inflammation ?

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-france-avait-elle-les-moyens-d-224985

L’azithromycine et les macrolides auraient également des propriétés immunomodulatrices et anti-inflammatoires

Les antileukotrienes sont des immunomodulateurs. Les corticoïdes aussi… Là aussi plusieurs options.

Les heparines ou l’aspirine…anticoagulants. les problemes de tromboses etaient connus très tôt.

Les corticostéroïdes ont une durée d’action plus longue que la cortisone, avec une action anti-inflammatoire plus importante. La prednisone est principalement utilisée pour son effet anti inflammatoire.

Le couple zinc Ionophore toujours utile .

Le zinc fonctionne comme un modulateur de la réponse immunitaire grâce à sa disponibilité, qui est étroitement régulée par plusieurs transporteurs et régulateurs. Lorsque ce mécanisme est perturbé, la disponibilité du zinc est réduite, altérant la survie, la prolifération et la différenciation cellulaires des différents organes et systèmes, en particulier des cellules du système immunitaire. La carence en zinc affecte les cellules impliquées dans l’immunité innée et adaptative au niveau de la survie, de la prolifération et de la maturation. Alors qu’une carence aiguë en zinc entraîne une diminution de l’immunité innée et adaptative, une carence chronique augmente en plus l’inflammation. En effet, lors d’une carence chronique, la production de cytokines pro-inflammatoires augmente . L’augmentation de la concentration intracellulaire de Zn2+ avec des ionophores de zinc comme la pyrithione (PT) peut entraver efficacement la réplication d’une variété de virus à ARN. Il a été montré que la combinaison de Zn (2+) et ionophore à de faibles concentrations, inhibe in vitro la réplication du SRAS- coronavirus (SARS-CoV) et l’activité de l’ARN polymérase de ce virus

Les statines associées à une baisse de la mortalité dans l’infection COVID-19 ?

https://francais.medscape.com/voirarticle/3606319

La prise de statines diminuerait le risque de cancer de la prostate

Une analyse de données issues d’un registre des hospitalisations sur plus de 8000 patients ayant eu le COVID-19 confirme la surmortalité des patients ayant une cardiopathie sous-jacente, notamment coronarienne (6). Dans cette étude, le traitement par une statine semble être associé à une mortalité plus faible. Cependant, des perturbations du bilan hépatique et une élévation des enzymes musculaires sont bien décrites dans l’infection au SARS-CoV-2 (7). Le risque de cytolyse hépatique et de toxicité musculaire qui peuvent être associés au traitement par statine doivent donc être pris en compte.

Le singulair des médecins lorrains validé par des études :

https://www.news-medical.net/news/20200812/22154/French.aspx

Ce médicament est un antiasthmatique de la famille des antileucotriènes. Il agit en bloquant les récepteurs des leucotriènes, des substances produites par différentes cellules de l’organisme et qui contribuent à l’inflammation et à la contraction des bronches chez l’asthmatique. Il peut permettre de soulager en même temps les manifestations d’une rhinite allergique saisonnière.

Il est utilisé dans :

  • le traitement de l’asthme, en complément des traitements habituels (corticoïde inhalé, bronchodilatateur) chez les patients insuffisamment contrôlés par leur traitement ;
  • le traitement préventif de l’asthme d’effort.

Les granulés et les comprimés à croquer sont également utilisés comme alternative au traitement corticoïde

L’héparine ; l’anticoagulant,

Dans le protocole lorrain  il a été ajouté au protocole une injection quotidienne d’un anticoagulant, l’héparine, à « dose préventive ».

https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/33349-L-heparine-serait-efficace-remdesivir-combattre-le-coronavirus

Le traitement par héparine semble associé à un meilleur pronostic chez les patients présentant une infection sévère à SARS-CoV-2 avec une coagulopathie.

https://www.cardio-online.fr/Actualites/Revues-de-la-litterature/Traitement-anticoagulant-face-a-une-coagulopathie-induite-par-le-sepsis-chez-les-COVID-severes

 LA COLCHICINE sera t elle reconnue?

Ce médicament aux propriétés multiples agit principalement sur l’inflammation due à la présence de cristaux microscopiques dans les articulations (acide urique, calcium…).Il est utilisé dans le traitement de la crise de goutte et en prévention des crises. Problème , il faut choisir ,l’association de ce médicament est ainsi contre-indiquée avec  les antibiotiques de la classe des macrolides 

Big Pharma propose un traitement très couteux , un anticorps monoclonal..

Le tocilizumab est une molécule dirigée contre l’action de l’interleukine 6, protéine qui joue un rôle très important dans l’inflammation. L’utilisation actuelle est une perfusion mensuelle. La posologie varie en fonction du poids (4 à 8mg/Kg/perfusion). Les injections sous cutanées sont également possibles.
Ce produit est disponible pour le traitement de la polyarthrite rhumatoïde et les arthrites juvéniles. mais il est concurrencé par un traitement efficace et peu cher: l’hydroxychloroquine…

Une liane asiatique efficace contre la Covid et Ebola ?

Peu d’informations mais elles viennent de Chine avec cette plante issue de la médecine traditionnelle chinoise (comme l’artémézinine). C’est une cousine naturelle de…l’hydroxychloroquine, de la même famille que la quinine, un anti paludéen, la  tétrandrine.

QUE VOUS DONNERA UN MEDECIN QUI SOIGNE

Zinc, vitamine d une surdose de vitamine D n’est pas sans danger pour la santé. Il convient donc de ne pas s’auto-administrer des doses trop élevées mais de suivre les conseils de son médecin ou de son pharmacien.

Azithromycine (ionophore et anti viral) . L’ihu vous donnera en plus l’hydrocychloroquine

Anticoagulant, au moins aspirine

Du bisolvon (mais c’est une conclusion nouvelle)

Si problèmes du Singulair

Cette synthèse m’ a pris beaucoup de temps  et encore une fois je suis fasciné par le flair des médecins résistants, je ne parle pas des collabos de l’ordre créé par Pétain  qui donne du doliprane

Surpris par la qualité du média France Soir qui tranche avec la nullité ambiante des journalistes à carte/

https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-quel-est-le-traitement-standard-inclut-il-lhydroxychloroquine

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/therapies-vaccin

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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12 commentaires pour N’ayez plus peur : ON SAIT ENFIN SOIGNER LA COVID et en finir avec le confinement!

  1. dandresy dit :

    Vraiment intéressant. Synthèse actualisée. Il faudra bien que dans quelques temps, les responsables du désastre sanitaire (et la série de scandales, y compris d’avoir caché qu’il fallait au moins des masques FFP2) ne nous inventent pas une nouvelle « taxe Covid » (taxe sécheresse en souvenir) pour nous avoir si bien soignés. Plus rembourser « la dette » des milliards remis à ceux dont les sièges se trouvent dans les paradis fiscaux ? M. le Pr D.Raoult a raison sur le fond. S’il a parfois donné des pronostics légers, les chiffres de l’IHU sont constants. Les praticiens en contacts avec les humains savent eux inventer. Et les moyens du bord peuvent être utiles en dehors de leurs champs d’application. Belle leçon de l’intelligence vivante des praticiens. Contre les pensées « fermées » des savants « ordinaires ». Bravo.

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    • Eric dit :

      Toujours bravo à Patrice qui sait obtenir et relayer des infos pertinentes.
      En réponse à ‘dandresy’, mon avis est qu’il y a un manque de gestion tout court, point besoin de préciser sanitaire ou quelque soit d’autre. Les conséquences sont en tout premier lieu économiques, le FMI vient d’ailleurs de lancer une remontrance à la France. La situation sanitaire n’est problématique que parce que nos dirigeants sont aveugles et sourds aux différentes solutions proposées par des gens pragmatiques. Je ne sais pas s’ils sont stressés par des responsabilités qui, manifestement pour certains les dépassent, ou influencés par des organisations liées au FEM et son Klaus Schwab. La concaténation de ces deux idées me parait plausible.
      Au sujet des masques, ce n’est pas parce que le personnel hospitalier en a manqué en février / mars 20020, que toute la population doit vivre masquée en tout lieu. Comment le dire ? Les masques n’apportent qu’une protection illusoire; si vous avez bien entendu le « conseil scientifique », il devient un bâillon, les gens ne doivent plus se parler dans les transports en commun, quoi de plus clair !
      1- la respiration est une fonction essentielle de la vie,
      2- ce n’est pas qu’une voie d’échange O2 / CO2,
      3- c’est également une voie d’élimination, un émonctoire,
      4- il y a un microbiote buccal et ORL qui nous protège, tout comme les mains et la peau,
      5- celui-ci ensemence en partie notre microbiote intestinal essentiel à notre immunité.
      Le masque doit rester un accessoire médical et n’être utilisé que de manière très ciblée. Pour ceux qui ne comprennent pas, si vous le mettez, rendez lui au moins un peu d’efficacité en respectant l’hygiène et en y ajoutant une goutte d’HE de ravintsara ou de laurier noble toutes les heures.
      Enfin, et avec mes excuses, pour ne rassurer personne, une contamination par voie ophtalmique est plus que probable, n’oubliez pas que la véritable alerte de départ a été donnée par un ophtalmo de Wuhan qui malheureusement en est mort.
      En ce qui concerne les médecins, je ne me fais pas autant d’illusions que vous car très peu dénoncent cette folie actuelle de ces pseudo-vaccins à ARNm aux risques démesurés.

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  3. grung dit :

    Merci beaucoup pour votre synthèse. Doit on renforcer notre microbiote avec des probiotiques ?
    On parle du rôle des bactéries protovela dans l’aggravation du covid, du coup doit on prendre des probiotiques ou cela est il contreproductif ? J’avoues ne pas bien comprendre. je ne sais pas si vous avez étudier la question, peut être pourrez-vous m’aider à y voir plus clair.
    merci et bonne soirée.

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  4. ayinair dit :

    Bravo pour la synthèse et merci. Je transmets.

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  5. roc dit :

    la production d’oligosol de zinc est parait il arrêté !

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  6. Brigitte Van Isacker dit :

    Super et ENFIN!!!! Dès l’annonce de ce virus en mars 2020 il fallait faire confiance aux medecin de famille avec l’aide des magasins BIO POUR GUÉRIR RÉELLEMENT IMMÉDIATEMENT la poulation.
    Vive le zinc et les vitamines D. Qu’ on se le disent.
    Que cet article soit mondialement reconnu et mis en œuvre. IMMÉDIATEMENT.
    AMEN ALLÉLUIA.

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  8. Ping : Les avertissements venus d’Israel : la vaccination ne confère pas l’immunisation et peut provoquer l’apparition de nouveaux mutants résistants au vaccin . | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE

  9. Ping : Comment la vaccination peut favoriser les mutants ! (Professeur Claverie) | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE

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