Les avertissements venus d’Israel : la vaccination ne confère pas l’immunisation et peut provoquer l’apparition de nouveaux mutants résistants au vaccin .

Les avertissements venus d’Israel : la  vaccination ne confère pas l’immunisation  et peut provoquer l’apparition de nouveaux mutants résistants au vaccin .

La vaccination ne doit pas faire oublier la nécessiter de soigner  car les vaccins seraient bien moins protecteurs que ne le martèlent les invités des plateaux télé .L’efficacité  ne serait que de 30%. Pour être plus précis le risque de développer le covid est réduit d’un tiers.

Autre mauvaise nouvelle, selon l’armée israelienne ; le risque de nouveaux mutants augmenterait avec la vaccination.

Nous savons tous que le variant anglais est né de la rencontre d’injection de plasma de convalescents (Karine Lacombe) et de remdesivir (Yasdan Yazdanpanah) sur des malades immuno déprimés

Les informations suivantes sont fournies par Monique Plaza après une rigoureuse lecture de la presse scientifique et internationale

Des Rapports d’Israël démontrent que le vaccin serait moins efficace que prévu

https://www.bmj.com/content/372/bmj.n217

Des inquiétudes s’expriment quant au niveau de protection offert par une dose unique du vaccin Pfizer BioNTech covid-19, à la suite de Rapports d’Israël montrant qu’il est beaucoup plus faible que prévu.

Israël qui, comme le Royaume-Uni, est actuellement dans son troisième confinement national, a jusqu’à présent vacciné plus de 75% de ses personnes âgées avec au moins une dose. Les premiers rapports sur le déploiement du vaccin ont suggéré que la première dose avait conduit à une réduction de 33% des cas de coronavirus.

Ce Rapport inquiète, car les résultats qui avaient été publiés après les Essais suggéraient que l’efficacité du vaccin Pfizer était de 52,4% entre la première et la deuxième dose (espacées de 21 jours), et les données évaluées par Public Health England qu’elle pourrait atteindre 89% de protection du jour 15 au jour 21.

Le Clalit Research Institute a souligné, cependant, que ses résultats n’incluaient que des personnes âgées de 60 ans et plus – alors que les essais Pfizer incluaient également des personnes plus jeunes – et que les résultats n’avaient pas encore été examinés par des pairs. En outre, l’étude Clalit a identifié les personnes infectées sur la base des PCR, tandis que les études de Pfizer ne faisaient référence qu’à l’apparition d’une maladie symptomatique.

Au Royaume-Uni, la politique vaccinale donne la priorité à la vaccination des personnes à risque avec une seule dose plutôt que de s’assurer que les gens reçoivent deux doses dans le délai spécifié dans les essais cliniques, alors qu’il n’y a pas de données à l’appui d’un intervalle plus long pour le vaccin Pfizer. Un statisticien de premier plan a écrit au secrétaire britannique à la Santé, Matt Hancock, pour l’exhorter à enquêter sur les effets que pourrait avoir la décision d’étendre le délai entre la première et la deuxième dose du vaccin Pfizer BioNTech (*)

À propos des rapports d’Israël, le conseiller scientifique en chef du Royaume-Uni, Patrick Vallance, dans une interview accordée à Sky News, a déclaré: «Nous savons que lorsque vous entrez dans la pratique réelle, les choses sont rarement aussi bonnes que dans les essais cliniques».(**)

De son côté, le professeur de pharmacoépidémiologie de la London School of Hygiene and Tropical Medicine Stephen Evans a déclaré: «Le Royaume-Uni disposera bientôt de ses propres données sur l’efficacité de la première dose pour les différents vaccins actuellement utilisés, et tout changement de politique devra attendre des données plus solides. Si, par exemple, l’efficacité après une dose était de 33% mais l’efficacité après deux doses était de 60%, la politique britannique serait toujours justifiée. »

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(*) Rappelons que la Haute Autorité de Santé française a décidé de différer la seconde dose de 6 semaines au lieu de respecter le délai de 3 semaines qui avait été validé lors des Essais.

(**) Ces grands experts étaient beaucoup plus regardants

quand il s’agissait de l’hydroxychloroquine utilisée pour soigner des personnes malades, que quand il s’agit d’innoculer à des personnes saines un nouveau vaccin aux effets à long terme totalement inconnus au niveau individuel et collectif.

Advienne que pourra.

Peter Doshi, professeur en pharmacologie clinique à l’Université du Maryland et rédacteur associé au British Medical Journal. Selon lui, l’estimation approximative de l’efficacité du vaccin montrerait en réalité :

(…) une réduction du risque relatif de 19% – bien en dessous du seuil d’efficacité de 50% pour l’autorisation fixé par les régulateurs. Même après avoir éliminé les cas survenant dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sur le vaccin de Pfizer contre 287 sur le placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réacto-génicité à court terme du vaccin, l’efficacité du vaccin reste faible : 29%.

la campagne de vaccination, parallèlement à l’épidémie en Israël, pourrait conduire à un mutant israélien qui serait résistant au vaccin.

Dans un Rapport publié hier, les forces de sécurité de Tsahal ont averti que la campagne de vaccination, parallèlement à l’épidémie en Israël, pourrait conduire à un mutant israélien qui serait résistant au vaccin.

▪️Le professeur Ran Blitzer, membre de l’équipe de traitement de l’épidémie du ministère de la Santé israélienne, a déclaré que l’on trouvait les souches britanniques et sud-africaines en Israël et qu’elles étaient impliquées dans plus de 40% des infections. Lorsque nous sortirons du confinement , dit-il, nous rencontrerons une maladie un peu différente de ce que nous connaissions lors du deuxième confinement car le coefficient d’infection sera plus élevé. Il a aussi précisé que le vaccin, y compris la deuxième dose, ne confère pas l’immunisation. «Il n’y a pas de protection complète. Nous devons être prudents».

▪️La responsable des services de santé publique, le Dr Sharon Elrai-Price, a évoqué les différentes souches du Sars cov-2. Les virus font naturellement des mutations. Après plusieurs mutations et lorsqu’une souche fondamentalement différente est créée, ce qui prend quelques semaines, on voit un changement soudain de la maladie à l’endroit où la souche se développe. «Comme une variante vient d’Angleterre, il est clair qu’une variante peut se développer en Israël».

https://www.kan.org.il/item/?itemid=98843

. Il n’est pas possible à ce stade d’exclure -comme le risque en existe- que le vaccin puisse avoir pour effet de multiplier le nombre de cas graves dans la population des vaccinés (surtout âgés) confrontés aux variants en vertu du phénomène suivant :

Les vaccins COVID-19 conçus pour provoquer des anticorps neutralisants peuvent sensibiliser les personnes vaccinées à une maladie plus grave que si elles n’étaient pas vaccinées. Les vaccins contre le SRAS, le MERS et le VRS n’ont jamais été approuvés, et les données générées lors du développement et des essais de ces vaccins laissent entrevoir un grave problème mécanique : les vaccins conçus de manière empirique selon l’approche traditionnelle (consistant en un pic viral de coronavirus non modifié ou minimalement modifié pour provoquer des anticorps neutralisants), qu’ils soient composés de protéines, de vecteurs viraux, d’ADN ou d’ARN et quel que soit leur mode d’administration, peuvent aggraver la maladie COVID-19 par un renforcement dépendant des anticorps (Antibody Dependent Enhancement).

Les apprentis sorciers responsables de mutants dangereux

📍Voilà un moment que des voix expérimentées s’étaient élevées pour mettre en garde contre des campagnes de vaccination en pleine épidémie. C’est d’autant plus dangereux

1) que l’on utilise avec le Pfizer un vaccin à ARN de type nouveau, dont on ignore quasiment tout de ses effets sur le virus, ses variants, le système immunitaire des personnes vaccinées, la qualité et la durée de l’immunité.

2) que l’on soupçonne de plus en plus fortement que des traitements administrés à des patients atteints de Covid chronique (Remdesivir qui a de fortes capacités mutagènes et plasma de convalescent qui apporte des anticorps étrangers à l’organisme) aient contribué à la naissance du variant anglais.

Mais les campagnes de vaccination s’intensifient quand même, sous la houlette d’apprentis sorciers.

https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2021/01/23/vaccin-covid-marchands-de-tapis-ou-medecins-312337.html

RAOULT CONTRE -ATTAQUE/ HYDROXYCHLOROQUINE/DEUXIEME VAGUE /MUTANT/VACCIN

RAOULT CONTRE -ATTAQUE/ HYDROXYCHLOROQUINE/DEUXIEME VAGUE /MUTANT/VACCIN

N’ayez plus peur : ON SAIT ENFIN SOIGNER LA COVID et en finir avec le confinement!

N’ayez plus peur : ON SAIT ENFIN SOIGNER LA COVID et en finir avec le confinement!

POUVEZ VOUS FAIRE CONFIANCE A KARINE LACOMBE? …

POUVEZ VOUS FAIRE CONFIANCE A KARINE LACOMBE? …

« madame plasma de convalescents » continue à sévir…

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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3 commentaires pour Les avertissements venus d’Israel : la vaccination ne confère pas l’immunisation et peut provoquer l’apparition de nouveaux mutants résistants au vaccin .

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  2. fraternel dit :

    ah quand les médias vont ils nous annoncer cette nouvelle flanqués de leurs invités es médecine des plateaux télé contributeurs d’une seule solution la vaccination
    je vous fiche mon billet qu’ils vont encore trouver une entourloupe pour dire que c’est faux
    ou plus subtil qu’ils n’étaient pas au courant des manipulations des deux cités plus haut

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