L’EMA applique bien des contrôles obligatoires pour les thérapies géniques aux vaccins animaux mais pas aux vaccins humains!
Les risques évoqués par ces directives sont effrayants, la production en série de « vaccins est inséparable de la contaminantion par l’adn plasmidique des bactéries et virus utilisés pour les fabriquer .
Toute cette contamination existe dans le Pfizer et le Moderna
Mêmes procédés mais les animaux plus fragiles que les humains…
INFOS/@CorinneReverbel
Directives européennes concernant les vaccins à ADN plasmidiques à usage vétérinaires – 2024
« L’ADN plasmidique internalisé par les cellules de l’animal vacciné peut s’intégrer dans les chromosomes de l’animal vacciné et perturber l’état réplicatif normal de cette cellule, provoquant une division cellulaire incontrôlée et une oncogenèse » […] La probabilité qu’une molécule d’ADN s’intègre dans le chromosome est faible et étant donné que l’oncogenèse est un événement multifactoriel, le risque de mutagenèse insertionnelle est extrêmement faible. Des études d’intégration, le cas échéant, doivent être entreprises avec le produit fini et le pourcentage de plasmide surenroulé utilisé doit être indiqué. Jusqu’à présent, l’intégration de l’ADN plasmidique dans l’ADN chromosomique d’un animal vacciné n’a pas été observée (EFSA, EFSA Journal 2017). Cependant, l’intégration (par exemple dans les cellules musculaires entourant le site de vaccination ou dans les cellules de la lignée germinale des gonades) ne peut être écartée. »
« L’utilisation de certains marqueurs de sélection tels que la résistance aux antibiotiques ainsi que de certaines séquences telles que les longues répétitions terminales (LTR) de type rétroviral et les oncogènes doit être évitée. » [comme le promoteur SV40 par exemple]
« La voie d’inoculation de l’ADN ainsi que la quantité d’ADN administrée peuvent influencer la distribution de l’ADN dans l’organisme. Les études de localisation doivent être conçues pour déterminer la distribution de l’ADN après administration par la voie proposée et utiliser la méthode d’inoculation proposée. À l’aide de méthodes suffisamment sensibles, l’étendue de la distribution de l’ADN plasmidique vers la cible et les tissus environnants, y compris les ganglions lymphatiques drainants, doit être analysée à différents moments (par exemple, jour 1, jour 7 et un mois après la vaccination ou à une période plus longue, le cas échéant). ). Le moment du prélèvement doit tenir compte des informations sur la biodistribution et la persistance de l’ADN dans le corps de l’animal vacciné. »
« Des investigations doivent être entreprises pour détecter la présence d’ADN plasmidique au site d’administration et dans les ganglions lymphatiques drainants. Si de l’ADN plasmidique est détecté, des méthodes suffisamment sensibles doivent être utilisées pour étudier une éventuelle intégration de l’ADN plasmidique dans le génome de l’hôte. Si une intégration est détectée ou suspectée et qu’un risque d’oncogénicité dû à l’espérance de vie des animaux cibles est identifié, un test d’oncogénicité sur un système animal de laboratoire sensible pourrait être réalisé. […] Après la commercialisation, tout signalement de tumeurs chez les espèces cibles doit être étroitement surveillé, dans le cadre de la pharmacovigilance.
Il convient surtout de mettre un terme définitif à cet eugénisme génomique et de balancer ces PDG DG et chercheurs aux fins fonds des oubliettes de l’histoire. On devrait trouver de vieux puits de mines désaffectées pour cela …
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Vous avez raison : ce sont des criminels. Point.
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Si je comprends bien, les gens vaccinés sont des animaux ??? D’après l’Union Européenne 🤔😠😠😡😡
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Ben oui ! A l’abbatoir comme les animaux bien sûr ! Ce qui est bien avec le français c’est qu’il comprend vite mais faut lui expliquer longtemps 😁
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Ou quand on est moins bien considérés que des animaux !
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