#Antibiorésistance Didier #Raoult accuse! Ils refusent les #antibiotiques aux humains mais en gavent animaux et cultures végétales . Glyphosate, épandages des eaux usées, élevage intensif…

L’histoire nous apprend que les virus permettent la surinfection par des bactéries tueuses, en refusant de soigner avec des antibiotiques les autorités portent la responsabilité de dizaines de milliers de morts.

Didier Raoult vide son sac et démontre que la responsabilité des prescriptions d’antibiotiques par les mécecins de ville, est une des plus grandes fumisteries de l’histoire

Le prétexte: la résistance aux antibiotiques est largement contestable . La résistance ne vient pas de soins à la maison , elle s’explique par l’élevage intensif. Pire les manipulations des apprentis sorciers sont les vraies sources de résistance . Autres surprises, les herbicides sont des antibiotiques qui facilitent la résistance aux antibiotiques et le cuivre utilisée dans l’agriculture bio dégrade les sols et se révèle plus toxique encore dans l’alimentation humaine

 Les sources d’émissions de bactéries ou de gènes de résistance aux antimicrobiens sont liées aux activités humaines  : rejets urbains, hospitaliers, industriels, élevages,herbicides

En novembre 2008, Hélène Buzinski, chercheuse au CNRS de Bordeaux qui traque les résidus médicamenteux, perturbateurs endocriniens, antibiotiques, antidépresseurs, anticancéreux, anti-inflammatoires, antalgiques, neuroleptiques, résidus de chimiothérapie, retardateurs de flamme et d’autres médicaments dans les eaux de rivières depuis 2002, alarme les autorités sur la présence d’héroïne et de cocaïne !! Il n’y a même plus besoin de se fournir en stupéfiants illégalement et au prix fort, il suffit tout simplement de boire de l’eau…

1 Le rôle que jouent les systèmes d’assainissement — réseau, filières de traitement des eaux usées (STEU) et traitement des boues

— dans la problématique de l’ABR n’a pas encore été clairement établi par la communauté scientifique. Les données disponibles à ce jour montrent que les STEU éliminent une partie des bactéries, gènes et antibiotiques, bien que ce ne soit pas leur vocation première.

Mais à l’inverse, certains auteurs mettent en garde contre leur implication potentielle dans la sélection de nouveaux germes résistants, compte tenu des conditions propices aux échanges de matériel génétique entre souches microbiennes de natures diverses et exposées à des agents sélectifs.

https://comptes-rendus.academie-sciences.fr/biologies/articles/10.5802/crbiol.113/#body-html-6

LES BOUES, VECTEURS DE DIFFUSION DE L’ANTIBIORÉSISTANCE/ Les dangereux projets de BILL GATES

Bill Gates investit dans l’or noir des eaux usées :

Alternative à l’eau fraîche, les eaux usées constituent aussi un gisement potentiel de matières premières. L’évolution des techniques de traitement permet désormais de récupérer certains nutriments, comme le phosphore et les nitrates, dans les eaux d’égouts ou les boues d’épuration. On estime que 22% de la demand e mondiale en phosphore pourrait être satisfaite grâce au traitement des urines et des excréments humains. Déjà, certains pays, comme la Suisse, imposent la récupération de certains nutriments comme le phosphore.

La production de biogaz est également envi sageable à partir de l’énergie chimique contenue dans les substances organiques des eaux usées. Au Japon, le gouvernement s’est donné comme objectif la récupération de 30% d’énergie à partir des eaux usées d’ici 2020. La ville d’Osaka produit chaque année 6500 tonnes de carburant biosolide à partir des 43 000 tonnes de boues d’épuration.

Problème, le traitement des eaux usées est certes necessaire mais incomplet il devient pire que le mal…

En effet, environ 50 à 80% des antibiotiques consommés sont directement excrétés par notre organisme et les systèmes d’élimination des eaux usées ne les dégradent pas totalement.

D’importantes concentrations d’antibiotiques ont été détectées dans les eaux usées.
Les rejets de stations d’épuration constituent une source majeure de dissémination dans l’environnement d’antibiotiques et d’antibiorésistances associées, tant via le rejet des eaux épurées vers les eaux de surface que via l’épandage des boues résiduaires sur les sols. La pression de sélection exercée sur les communautés microbiennes tout au long du continuum homme/procédé/sol favorise l’émergence des bactéries résistantes à des antibiotiques (BRA) et le transfert horizontal des gènes de résistance aux antibiotiques (GRA) entre microorganismes. L’étude vise à suivre le devenir de l’antibiorésistance dans les filières de traitement des boues résiduaires.

https://librairie.ademe.fr/dechets-economie-circulaire/4504-optimisation-de-la-filiere-de-traitement-des-boues-pour-limiter-la-dissemination-de-l-antibioresistance.html
Les boues d’épuration, produites au cours du traitement des eaux usées, sont majoritairement épandues sur des sols agricoles en France. Malheureusement, ellesTransportent aussi des molécules organiques et métalliques, des bactéries et des gènes potentiellement résistants à des antibiotiques,qui risquent alors de contaminer le continuum sol/eau/plante/animal/homme.
Mais les boues transportent en général une plus grande palette de molécules organiques et antibiotiques que les effluents d’élevage, car elles sont produites à partir des eaux usées domestiques et industrielles.
Comme montré par plusieurs auteurs, la pratique d’épandage contribue à la dissémination de l’antibiorésistance.

Pendant ce temps Bill Gates promeut l’eau obtenue à partir de caca

2) Volailles oeufs, poissons, porcs… L’élevage intensif factuer essentiel d’antibiorésistance

Des antibiotiques pour soigner? non , pour faire grossir

Une expérience menée à la fin des années quarante aux Etats-Unis montre qu’à très faible dose, les antibiotiques provoquent une accélération de la croissance des animaux, notamment des volailles et des porcs. Une aubaine alors que les chercheursdu monde entier, et notamment à l’Inra fondé en 1946, s’efforcent d’améliorer les techniques d’agriculture et d’élevage pour faire face à la pénurie alimentaire. Administrés au titre de facteurs de croissance, les antibiotiques sont alors considérés non
plus comme des médicaments mais comme des compléments alimentaires et ce malgré la découverte de résistances chezdes bactéries pathogènes d’origine animale comme les salmonelles et malgré la diffusion du rapport Swann. Dès 1969, ce rapport préconisait déjà d’interdire leur usage hors nécessité thérapeutique mais il faudra attendre 2006 pour qu’enfin, la pratique soit interdite au sein de l’Union Européenne (elle reste autorisée aux Etats-Unis).

COMME DANS LA VRAIE VIE
Au centre Inra Val-de-Loire, les chercheurs de l’Inra étudient les mécanismes de dissémination de l’antibiorésistance chez les poulets. Et pour cela, pas besoin de partir dans les élevages. Le site héberge en effet des installations expérimentales dédiées à l’étude de la filière volaille. L’avantage c’est qu’ici, tous les maillons de la chaîne sont représentés, depuis la ponte jusqu’à l’élevage du poulet de chair. Un terrain idéal pour observer les résistances naturellement présentes et étudier, d’une part,
les mécanismes de transmission verticale entre les animaux possédant un lien de parenté, et d’autre part la transmission « horizontale»: dans quelle mesure l’environnement dans lequel est élevé l’animal intervient dans le transfert des bactéries résistantes. Ces observations vont permettre d’identifier les pratiques agricoles pouvant favoriser la dissémination del’antibiorésistance, et celles qu’il convient de mettre en œuvre pour limiter les risques.

Les chercheurs de l’Inra ont récemment identifié sur un type de plasmide doté de gènes
de résistance, un dispositif lui permettant de métaboliser certains sucres, conférant
ainsi à la bactérie pathogène, un avantage en termes de croissance et par conséquent
de dissémination. Et c’est une très mauvaise nouvelle, car ces mêmes sucres sont utilisés
depuis des années comme prébiotiques
*! Ces composés sont administrés aux animaux
souffrant de troubles digestifs et leur effet bénéfique pour la flore commensale est avéré.
Alors, le remède serait-il pire que le mal? C’est ce que vont déterminer les chercheurs. Dans
le cadre du projet PLASMEQUI, ils vont mesurer l’impact de l’usage de ces prébiotiques sur la
présence, la dissémination et l’amplification des plasmides, en comparant les élevages équins qui
les utilisent ou non

En 2014-2015, une série d’études provoque l’émoi de la communauté scientifique. Des chercheurs annoncent avoir découvert des gènes d’antibiorésistance dans le génome de certains bactériophages (virus infectant les bactéries). Si la nouvelle inquiète à ce point, c’est queles phages circulent beaucoup entre les bactéries.

Comme si la situation n’était pas déjà assez compliquée, avec le transfert des résistances
par les plasmides. On sait depuis longtemps que les bactériophages peuvent emporter des gènes lors du transfert par transduction.

3 le glyphosate un formidable antibiotique massivement utilisé pour fabriquer des ogm et…générer l’antibiorésistance

Un mauvais effet du glyphosate est la promotion de la résistance aux antibiotiques. Ensemble avec dicamba (agrotoxique interdit dans l’UE, où il est de toute façon produit), la molécule Bayer-Monsanto s’était déjà révélée capable de créer une résistance aux antibiotiques chez des salmonelles ed E. coli. (3)

Pour la première fois, l’étude examinée montre que le glyphosate améliore également la Pseudomonas aeruginosa, la superbactérie provoque des infections hospitalières mortelles, la rendant même résistante à l’antibiotique ipenem, qui est administré par voie intraveineuse dans les hôpitaux pour les infections graves.

Depuis une trentaine d’années, les laboratoires de recherche développent de nombreux OGM tolérant des herbicides, autres que le glyphosate, dont plusieurs sont commercialisés. On peut citer ceux tolérant le glufosinate (Bayer), le dicamba (Bayer) ou l’acide 2,4 dichlorophenoxyacetique (Corteva).

En 2019, 88 % des cultures OGM dans le monde tolèrent des herbicides [5]. D’autres duos OGM-herbicide peuvent donc, en théorie, soulever des problèmes de toxicité similaires à celui évoqué ci-dessus avec le glyphosate. La multiplication de la modification génétique de divers OGM pour contrôler la toxicité de ces herbicides, de leurs résidus ou de leurs métabolites n’est par conséquent pas à exclure.

Pour Heineman, il est possible que « la combinaison antibiotiques et herbicides puissent compromettre l’efficacité de ces antibiotiques » et mettre en danger la santé humaine d’une part, ainsi que celle des abeilles puisque de nombreuses ruches sont traitées par antibiothérapie.l’antibiotique amplifierait l’effet néfaste chronique des insecticides, même lorsque la contamination a lieu à faible dose.

 L’agriculture biologique utilise des pesticides. La seule différence est que les pesticides utilisés en bio doivent être issus de sources naturelles. Mais naturel ne veut pas dire sans danger ! Même si la plupart se dégradent plus rapidement que les pesticides de synthèse, d’autres peuvent présenter des risques pour la santé des sols.

Parmi les produits autorisés dans l’agriculture bio, on trouve les pyréthrines, le spinosad, le Bacillus thuringjensis, le soufre, le cuivre ou encore le sulfate de cuivre. A noter que les deux fongicides les plus utilisés restent le cuivre et le soufre.

Une étude publiée par les magazines Wikiagri et Agriculture & environnement a démontré que 100% des échantillons de vins analysés contiennent au moins un résidu de cuivre. Cette étude affirme également que les quantités de cuivre retrouvées dépassent le total de tous les résidus de pesticides détectés lors d’une précédente étude sur des salades issus de l’agriculture conventionnelle. Les effets négatifs du cuivre sur la vie des sols et plus globalement sur l’environnement sont connus des agronomes. Le cuivre nuit en effet aux les micro-organismes présents dans les sols ainsi qu’aux lombrics. C’est inquiétant lorsque l’on sait que ces derniers jouent un rôle essentiel pour la bonne qualité des sols et des récoltes. De plus, le cuivre n’étant pas biodégradable, il s’emmagasine dans les sols.

Le professeur Tony Trewavas, un expert scientifique des plantes à l’Université d’Edinbourg, explique que les composés cuivriques sont 1000 fois plus toxiques que les fongicides utilisés actuellement sur les pommes de terre non bio.

En revanche, le cuivre quand il n’est pas ingéré , est un excellent ANTIBACTERIEN: surfaces en cuivre, produitrs au cuivre

3 LE DOSSIER SUR L’UTILITE DES ANTIBIOTIQUES POUR LES HUMAINS

On sait aujourd’hui que plus la durée d’exposition au médicament se prolonge, plus
on augmente le risque d’apparition de résistances. Or les chercheurs veulent en faire de vrais commandos, quifrappent vite et fort, avant de disparaître sans laisser de trace.

Par exemple en associant les antibiotiques avec d’autres médicaments, comme des bactériophages ou des molécules ciblées sur l’anti-virulence par exemple. Ou, une fois le pathogène identifié, en combinant deux antibiotiques aux modes d’action différents. Si l’un est bloqué, l’autre passera outre la résistance. L’usage conjoint d’antibiotiques et de probiotiques ou huiles essentielles
est aussi étudié, dans le but de rétablir ou équilibrer le microbiote intestinal en amont et en aval du traitement.

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Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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7 Responses to #Antibiorésistance Didier #Raoult accuse! Ils refusent les #antibiotiques aux humains mais en gavent animaux et cultures végétales . Glyphosate, épandages des eaux usées, élevage intensif…

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  2. Avatar de UBU UBU dit :

    Cela fait très longtemps que je sais que l’antibiorésistance est apparue.
    Certainement du fait de leur utilisation à des doses insuffisantes ou un temps trop court, aussi les microbes mutent et deviennent plus ou moins résistants, mais ça c’est la partie émergée de l’iceberg
    Un jour une éleveuse de porc m’a montré un sac d’aliments sur lequel il y avait la composition dont de l’hexacycline mais pas à dose de mg mais en grande quantité.
    L’avantage des cyclines est la prise de poids …… cqfd
    Et s’il n’y avait QUE pour les porcs …. c’est la même chose pour les volailles … etc
    CONCLUSION: si il y a antibiorésistance c’est uniquement de la faute des médecins, uniquement eux …… silence sur le reste, silence
    Heureusement le politique veille car lui SAIT, lui seul SAIT, il est détenteur de la seule et unique vraie vérité vraie ….. alors il fait la leçon …. Comme pour tout le reste et il n’y a qu’à constater les dégâts quel que soit le sujet …..
    Le génie politique c’est mirobolant et d’une efficacité redoutable ….. pour tout détruire

    Une petite question sur laquelle je n’ai jamais eu de réponse …. la plupart des antibiotiques et beaucoup d’autres molécules utilisées en médecine sont éliminés SOUS FORME ACTIVE et ne sont pas détruits par les stations d’épuration.
    Ma question c’était: Est ce que les laboratoires savent ou testent le devenir de leurs molécules (chimiothérapie en particulier)
    Réponse: PAS DE REPONSE passez il n’y a rien à voir bien que depuis longtemps il a été constaté l’oestrogénisation de la faune aquatique à cause des hormones des pilules contraceptives non détruites dans les stations d’épuration ……

    UNE REFLEXION A CREUSER …… non ????

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  3. Avatar de Françoise Bianchi Françoise Bianchi dit :

    Le Professeur Raoult nous montre dans ce cours sur la résistance aux antibiotiques que la vraie connaissance est souvent contre intuitive.
    De plus la crise COVID révèle le pouvoir mortifère des slogans sans recherche scientifique, puisque les consignes gouvernementales ont provoqué la mort par pneumonie à suinfection bactérienne de malades qu’en d’autres circonstances on aurait sauvés en traitant la pneumonie par antibiotiques. Quand le pouvoir politique s’arroge le monopole du savoir scientifique, il tue.

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  4. Avatar de wp113741b06329d wp113741b06329d dit :

    Ce que semble expliquer Didier Raoult : un antibiotique admistré à un organisme malade est considéré comme une substance étrangère à l’organisme.

    S’engage alors une course de vitesse et de performance entre l’action bénéfique de l’antibio qui doit soigner, et l’organisme qui va le neutraliser.

    Donc, si je comprends bien : la résistance aux antibios n’est pas propre aux bactéries que l’on combat, mais souvent, essentiellement dû à un traitement mal approprié, et dont l’organisme se souviendra …

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  5. Avatar de wp113741b06329d wp113741b06329d dit :

    Un jour de 2016, visitant de façon impromptue un labo d’analyse œnologique (pour les vins de Chinon) j’ai questionné 2 jeunes laborantines :

    – « Trouvez-vous une trace de glyphosate dans les vins » ?
    – « Non ».
    – « Cherchez-vous une trace de glyphosate » ?
    – « Non, et maintenant vous sortez » !
    – « Je sors, je sors. Mais il est vrai qu’on ne peut trouver, au mieux, que ce que l’on cherche. N’est-ce pas, Mesdames » ?
    – « … ».

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