
Il n’est pas de télétoubib ou de journaliste prédicant qui ne se moque de l’hydroxychloroquine , et pourtant… Une étude belge portant sur les formes graves ( soins intensifs) démontre l’efficacité de ces molécules utilisées avant que la Call girl du Lancet gate ne sévisse et ne torpille le traitement .
Cette étude belge a été publiée par…le Lancet.. mais personne n’ en a parlé et pour cause
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2666776220300193
Du 1er mars au 9 août 2020, un total de 73.401 personnes ont été testées positives pour le SRAS-CoV-2 en Belgique, entraînant 9746 décès. La mortalité était élevée chez les résidents des maisons de retraite, qui représentaient la moitié de tous les décès signalés, bien que la plupart des cas n’aient été suspectés que sur la base de symptômes cliniques. Dans l’ensemble, le décès à l’hôpital est survenu chez 21 % des patients admis
Le but de cette étude était d’analyser les caractéristiques cliniques, l’utilisation des ressources et les prédicteurs de mortalité des patients gravement malades admis dans les USI belges avec COVID-19, avec un accent particulier sur les caractéristiques organisationnelles des USI.
Sur un total de 17 791 patients COVID-19 nécessitant une hospitalisation et enregistrés dans la base de données de surveillance clinique hospitalière au cours de la période d’étude, 13 612 disposaient à la fois de données d’admission et de sortie. Parmi ceux-ci, 1903 (14,0 % – Fig. 1 ) ont été admis aux soins intensifs.
La mortalité globale était de 36,1 % En analyse univariée , les non-survivants étaient plus âgés et avaient plus fréquemment des antécédents de maladie cardiovasculaire, des antécédents d’hypertension artérielle, des maladies pulmonaires et rénales chroniques préexistantes que les survivants
Les non-survivants étaient également plus fréquemment traités par IMV (ventilation invasive) et ECMO( technique de circulation extracorporelle offrant une assistance à la fois cardiaque et respiratoire à des patients dont le cœur et/ou les poumons ne sont pas capables d’assurer un échange gazeux compatible avec la vie), développaient plus fréquemment des infections secondaires et recevaient moins fréquemment de l’hydroxychloroquine que les survivants.
Caractéristiques des patients en soins intensifs avec statut disponible à la sortie (n = 1747) en fonction de la mortalité hospitalière. Surveillance clinique hospitalière COVID-19, Belgique, 1er mars – 9 août 2020. Les données sont présentées en nombre (pourcentage) ou en médiane [IQR].
Sur 1747 patients pour lesquels tous les renseignements sont fournis 632 sont décédés, 36,2%
439 n’ont pas reçu d’hydroxychloroquine et 183 sont décédés soit 41,7%
1308 ont reçu de l’hcq et 449 sont décédés soit 34,3%
Le pourcentage de décédés pour ceux qui ont reçu des macroloides (azithromycine ) est de 32,3%
Pour les corticostéroides il est de 38%
Le nombre de cas pour les autres traitements est trop faible pour être significatif
Nous n’avons pas de données pour le cumul des traitements (protocole .Raoult)
Tous les patients ( n =1747) | Survivants (n=1115) | Non-survivants ( n =632) |
---|
Hydroxychloroquine, n (%) | 1308 (74,8) | 859 (77,1) | 449 (71,4) | ||
---|---|---|---|---|---|
Lopinavir/Ritonavir, n (%) | 18 (1.0) | 9 (0,9) | 9 (1.4) | ||
Remdésivir, n (%) | 18 (1.0) | 15 (1.3) | 3 (0,4) | ||
Tocilizumab, n (%) | 36 (2.0) | 25 (2.2) | 11 (1,7) | ||
Macrolides, n (%) | 247 (14.1) | 167 (15.2) | 80 (12,7) | ||
Corticostéroïdes, n (%) | 332 (21,7) | 204 (20,5) | 128 (24,0) |
Ventilation mécanique, n (%) | 999 (57,1) | 512 (47,1) | 487 (80,5) |
---|
On découvre la catastrophe de la ventilation invasive remplacée par la suite par l’oxygène à haut débit
Il est cinglé ce Damien Barraud,sa place est à l’asile!
J’aimeAimé par 3 personnes
Il tient à concurrencer Hitler.
J’aimeJ’aime
Je me permets de revenir sur la toute première publication de l’IHU qui portait sur un tout petit effectif mais avait toute la puissance statistique nécessaire pour affirmer l’effet bénéfique de la combinaison AZT HCQ pour faire baisser la charge virale, donc rendre inopérant le virus. Sauf pour son préjugé pro vaccin, le Pr Raoult a toujours su ce qu’il faisait et eu raison dans ses conclusions. Je suis émerveillé de voir avec quelle application et quel ravissement on refait la démonstration encore et encore. Ça me rappelle les cours de chimie en prépa, il y a maintenant bien longtemps, où le prof mettait en péril son beau costume pour nous convaincre que les réactions chimiques fonctionnaient encore et toujours, même en notre présence… D’où vient que l’on laisse dire les anneries de nos politiciens et pseudo experts économiques, et que l’on refuse la plus simple evidence scientifique ? Et pour la santé, pour le climat, pour les équilibres énergétiques, économiques, etc.
J’aimeAimé par 2 personnes
il faut traduire en justice les autorités qui ont interdit les traitements et les journaleux qui les ont suivis sans poser de question
J’aimeJ’aime
Soigner une forme grave d’une maladie qui n’existe pas, tout un programme…
https://alpinismesansguide.blogspot.com/2023/02/la-maladie-dite-covid-19-nexiste-pas.html?m=1
J’aimeJ’aime