Ils planquent mais… ça sort!

Le Professeur Retsef Levi,du Mit, révèle une étude dissimulée par le gouvernement israelien

Les documents fournis par Pfizer à la justice américaine parlent également

Voici l’histoire de Maddie de Garay 12 ans ,qui a eu plus de 30 symptômes graves pendant l’essai clinique sur les ados, 1 seul a été reporté, fraude manifeste du centre l’ayant recruté. donc résultats de tolérance sur les ados NON fiables du point de vue des Bonnes Pratiques Cliniques !

LES DOSSIERS PFIZER un effondrement pour le géant pharmaceutique ?La semaine dernière, des fichiers Pfizer sur les vaccins ont été publiés et ils sont plus explosifs que les fichiers Twitter ! LES AUTEURS PARLENT D’UN POSSIBLE CRIME MASSIF CONTRE L’HUMANITÉ

Les découvertes les plus importantes des « Pfizer Files » : La société savait que les vaccins à ARNm ne fonctionnaient pas comme promis. De même, que les ingrédients, la fameuse spike, sont distribués dans tout le corps en peu de temps.

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Des cas de lésions cardiaques chez des mineurs, des décès dus à des accidents vasculaires cérébraux et des lésions hépatiques, des caillots sanguins, des hémorragies cérébrales et un certain nombre d’autres blessures peu après l’injection ont été signalés : Pfizer en était conscient.

L’équipe d’experts considère que « l’attaque tous azimuts contre la capacité de reproduction humaine » est particulièrement préoccupante. Spermatozoïdes, testicules, ovaires, cycles menstruels : presque tout a été touché dans d’innombrables cas.

La soi-disant excrétion, le transfert de composants d’ARNm à d’autres, a toujours été rejetée comme une théorie du complot dans les médias. Les études cliniques de Pfizer montrent que ce processus existe.

Tout cela n’est que la pointe de l’iceberg, selon les auteurs de l’analyse. Parce qu’il s’agit de centaines de milliers de pages qui ont été examinées.

Naomi Wolf écrit dans la préface de son livre « Pfizer Documents Analysis Report » que la vaccination contre le Covid-19 « a probablement commis un crime contre l’humanité d’une ampleur sans précédent ».

Le Professeur Retsef Levi,du Mit, révèle une étude dissimulée par le gouvernement israelien

expert du MIT en analytique, gestion des risques, systèmes de santé, systèmes alimentaires et agricoles, fabrication et gestion de la chaîne d’approvisionnement

L’étude montre que le vaccin augmente progressivement le risque de décès au fil du temps, avec un pic 4 mois après la vaccination. L’étude montre très clairement que les vaccins augmentent les événements cardiovasculaires graves pour les 12-29 ans après l’injection, avec un pic le troisième jour. Ils ont écrit : « Les résultats sur les événements cardiovasculaires immédiatement après la vaccination n’ont pas indiqué d’excès de risque à 30 jours après la vaccination ». C’est vrai ?!? Il faudrait être complètement aveugle pour ne pas voir l’ÉNORME « bosse » au troisième jour après la vaccination. La seule explication possible est celle qui correspond aux preuves : le vaccin augmente le risque de décès au fil du temps.

Le rapport a examiné toutes les personnes vaccinées avec 2 doses avant la fin du mois d’octobre 2021 (avant le début de la vague #Omicron) qui sont décédées LA 60 jours après la vaccination et qui n’ont pas été testées positives pour le #COVID19 (1815 cas) ont été inclus.L’étude du ministère israélien de la santé nous montre, une fois de plus, que le vaccin augmente le risque de décès au fil du temps.

Leurs données montrent que le pic pour la dose 2 de Pfizer se situe 4 mois après l’injection. S’il s’agissait d’une étude positive, elle aurait été rendue publique et toute la presse israélienne en aurait parlé. Au lieu de cela, ils l’ont délibérément cachée derrière un pare-feu payant où personne ne peut la trouver. C’est le professeur Retsef Levi, du MIT, qui a été le premier à attirer l’attention du public sur cette importante étude et non le ministère israélien de la santé pourtant c’est sa responsabilité d’informer le public que les vaccins ne sont pas sûrs. Cette dissimulation des données est un aveu tacite des autorités sanitaires que les résultats sont mauvais. Maintenant vous le savez. Les vaccins augmentent le risque de décès, et les autorités

L’étude du ministère de la santé d’Israël compare les décès non liés au COV des vaccinés au cours des jours 1 à 30 et 31 à 60 après la dose 2 (janvier-21 octobre). Cela ignore plus de 600 décès par COV juste après la dose 1. Mais ils doivent encore « renoncer » au signal de sécurité frappant : 540 contre 1275 décès (1ère contre 2e période) ! Qu’ont-ils fait??

Ils ont placé l’étude derrière un « paywall ». Ensuite, ils ont fait valoir que «l’effet vacciné sain» ne leur permettait pas de conclure que les vaccins causaient des décès excessifs. Sans comparaison avec les taux normaux, ils veulent nous faire croire que le risque de décès a presque triplé en l’espace de 2 semaines

Ceci n’est pas crédible et en fait abuse de la définition de « l’effet vacciné sain » qui consiste à comparer un groupe (vacciné) à un autre (non vacciné). Ils ignorent également l’augmentation du nombre de décès peu de temps après la dose 2, puis diminuent puis augmentent rapidement.

LE CAS MADDIE REVELE PAR LES FICHIERS SECRETS DONNES A LA JUSTICE

Douleur neurologique fonctionnelle généralisée » C’était 1 des 7 événements indésirables enregistrés pour Maddie de Garay, volontaire d’essai clinique âgée de 12 ans, dans le dernier #pfizerfiles publié sous FOIA. Les dossiers d’essai indiquent que cela a commencé 1 jour après sa deuxième dose, mais a été jugé « sans rapport ».

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« Le seul diagnostic que nous ayons obtenu pour elle est qu’il s’agit d’un trouble de conversion ou d’un trouble des symptômes neurologiques fonctionnels, et ils blâment l’anxiété », a déclaré De Garay à Tucker Carlson. « Ironiquement, elle n’avait pas d’anxiété avant le vaccin. » 

Un autre événement indésirable enregistré le même jour, les « douleurs abdominales », a été jugé « lié » au produit. Les deux EI se sont produits le même jour, alors pourquoi un seul a-t-il été jugé lié au produit, tandis que l’autre – qui était marqué comme grave parce qu’il nécessitait une hospitalisation – ne l’était pas ?

Plus bien connu, c’est qu’elle a été enregistrée comme ayant des « douleurs abdominales fonctionnelles » à partir du 28 février. Également sans rapport. « Fonctionnel » signifie simplement « nous ne savons pas ce qui cause cela ». Sauf qu’ils savaient une chose que ça ne pouvait pas être : le vaccin expérimental.

Dans le cas de Maddie, « fonctionnel » est devenu plus tard « psychogène », c’est-à-dire que tout était « dans sa tête », car les médecins impliqués dans le procès ont tenté de l’éclairer sur la base d’un raisonnement devenu beaucoup trop courant : « Nous ne savons pas ce qui le cause, donc ça doit être dans ta tête. »

Les EI graves dans les dossiers d’essai ne rendent pas justice à ce que Maddie a subi en se portant volontaire dans l’expérience de Pfizer. Voir cette interview pour en savoir plus sur ses blessures et sur le niveau horrible d’éclairage au gaz qu’elle et ses parents ont subi

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