L’état des nouvelles données scientifiques sur la responsabilité des injections ARNm dans les maladies #neuro-dégénératives et la maladie de #Creutzfeldt-Jacob

La justice donnera- t -elle raison à la science ? Aux Etats Unis on reconnait que le PR Montagnier avait raison sur l’origine du virus, mais en France le suivra t on dans son dernier combat?

Chaque rappel s’accompagne d’un risque accru de futures maladies neurodégénératives. Heureusement, l’infection par le variant d’Omicron a une capacité de type prion fortement réduite, et donc, avec l’arrêt de la vaccination de masse, l’augmentation attendue des maladies de type prion pourrait se stabiliser au cours des prochaines années. N’oubliez surtout pas que les injections actuelles ciblant à la fois souche omicron et wuhan continuent donc d’injecter le prion à cause de la souche wuhan

Pour les autorités la maladie de la vache folle (mcj) ne peut être provoquée par les injections car les cas signalées dans les semaines ou les mois suivant l’injection ne correspondent au déroulé habituel de la maladie qui n’éclate que plusieurs annéess après l’injection . Circulez , il n’y a rien à voir!

Prétendre le contraire condamne aux pires punitions. Marc Doyer a perdu sa compagne Mauricette et le drame ne le protège pas des pires insultes de la part des télétoubibs et des journalistes prédicants.

Marc Doyer a reçu le soutien du professeur Montagnier, de son ami Jean Claude Perez et de la neurologue Claire Moret Chalmin , spécialiste de la maladie depuis plus de 40 ans. Celle qui publia en 1980 un article de référence à partir de l’étude de 25cas de cette maladie rare diagnostiqua pour Mauricette Doyer , une forme nouvelle et fulgurante de mcj

La maladie de Creutzfeldt-Jakob, maladie à prion anciennement rare mais universellement mortelle chez l’homme, évolue normalement sur plusieurs décennies avant d’entraîner la mort.

Dans l’annexe de cet article, nous mettons en évidence la présence d’une région prion dans la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 d’origine, et dans toutes les variantes de « vaccins » construites à partir du virus de Wuhan. La région du prion dans le pic du SRAS-CoV-2 a une densité de mutations huit fois supérieure à celle du reste du pic, et pourtant, étrangement, toute cette région du prion disparaît complètement dans la variante Omicron.

Dans le corps principal de notre texte, nous présentons 26 cas de maladie de Creuzfeldt-Jacob, tous diagnostiqués en 2021 avec les premiers symptômes apparaissant dans un délai moyen de 11,38 jours après une injection Pfizer, Moderna ou AstraZeneca COVID-19. Parce que la progression causale, l’étiopathogénie, de ces cas atypiques et nouveaux de maladie à prion humaine – des cas de ce qui est apparemment une forme totalement nouvelle de la maladie de Creuzfeldt-Jacob à évolution rapide – nous nous concentrons sur la chronologie du développement symptomatique. Nous l’envisageons d’un point de vue anamnestique – celui dans lequel nous comparons le développement typique des cas pré-COVID de la maladie de Creuzfeldt-Jacob au développement extrêmement accéléré de symptômes similaires dans les 26 cas examinés.

Par une telle approche, nous espérons déterminer l’étiopathogénie essentielle à la compréhension de cette nouvelle maladie à prion humaine qui se développe beaucoup plus rapidement. En rappelant la voie séquentielle de cette maladie anciennement subaiguë et à évolution lente suivie dans le passé, et en la comparant à cette nouvelle maladie à prions extrêmement aiguë et à évolution rapide — une qui suit de près une ou plusieurs des injections de COVID

L’ultime recherche à laquelle tenait tant #lucMontagnier est enfin publiée en #peerreview un an après son décès

https://profession-gendarme.com/emergence-dune-nouvelle-maladie-de-creutzf

J’ ai publié plusieurs articles sur le dernier combat de Luc Montagnier et de JC Perez. Le dernier m’a valu l’exclusion de LINKEDIN ;

La protéine spike est nocive pour les neurones Les résultats globaux suggèrent que la neurodégénérescence est en partie due à l’intensité et à la durée de l’exposition aux protéines de pointe, à l’âge avancé du patient. Des infections répétitives et des injections « vaccinales » répétées expliqueraient cette neurodégénérescence

Depuis Marc Doyer a porté plainte mais nous sommes en France….

Depuis la science progresse et confirme ce que Luc Montagnier savait

The Cureus Journal of Medical Science a publié une synthese de 134 articles scientifiques qui débouche sur la conclusion suivante:

Nous avons examiné la littérature abondante concernant les propriétés de type prion de la glycoprotéine de pointe SARS-CoV-2. De plus, nous identifions les voies par lesquelles les vaccins à ARNm pourraient être capables de délivrer la protéine de pointe au cerveau, ce qui, selon nous, se produit via des exosomes libérés des centres germinatifs de la rate remontant le nerf vague, augmentant le risque de maladie neurodégénérative. 

Si cela se produisait, on s’attendrait à ce que les vaccins COVID-19 raccourcissent la période de temps avant que la maladie neurodégénérative ne se manifeste chez les personnes sensibles. Nous supposons que l’âge d’apparition des maladies neurodégénératives au niveau de la population diminuera à l’avenir dans les pays où la couverture vaccinale a été élevée.

La preuve que les monocytes CD16 + peuvent produire en continu des protéines de pointe pendant des mois après la vaccination, peut-être par la présence cytosolique prolongée d’ARNm ou par transcription inverse de l’ARNm en ADN, est particulièrement préoccupante. Il est devenu clair que les anticorps induits par la vaccination diminuent avec le temps, nécessitant des rappels fréquents pour augmenter les niveaux d’anticorps pour une protection suffisante contre le COVID-19. Chaque rappel s’accompagne d’un risque accru de futures maladies neurodégénératives. Heureusement, l’infection par le variant d’Omicron a une capacité de type prion fortement réduite, et donc, avec l’arrêt de la vaccination de masse, l’augmentation attendue des maladies de type prion pourrait se stabiliser au cours des prochaines années.

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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4 commentaires pour L’état des nouvelles données scientifiques sur la responsabilité des injections ARNm dans les maladies #neuro-dégénératives et la maladie de #Creutzfeldt-Jacob

  1. Françoise Bianchi dit :

    Ces injections géniques apparaissent de plus en plus comme des armes destinées à tuer de façon diversifiée et plus ou moins rapide.

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  2. Ping : L’état des nouvelles données scientifiques sur la responsabilité des injections ARNm dans les maladies #neuro-dégénératives et la maladie de #Creutzfeldt-Jacob merci au blog de notre ami Gibertie – PAGE GAULLISTE DE RÉINFORMATION . LES MÉD

  3. herve_02 dit :

    moi ce qui m’étonne, c’est que personne ne s’est donné la peine d’aller leur mettre une tarte dans la gueule à ces gens la.

    Ce dont notre monde est en train de crever c’est la déresponsabilisation des gens : ils peuventt faire/dire ce qu’ils veulent, ils ne risquent rien. La police et la justice les soutiennent. Ils ont l’impression d’avoir le droit de tout faire et de tout dire.

    Pour remettre l’église au centre du village, il faut que ce genre de personnage paie dans sa chair ses actes. Ainsi il accuse Doyer d’avoir frapper sa femme pour faire le buzz pour son film, 2 tartes dans sa gueule dans la rue, histoire de lui laisser un bon souvenir.

    Au bout de 3 ou 4 épisodes, ces gens là seraient calmés, parce qu’ils font les fiers derrière leur clavier, mais dans la vraie vie, ils seront les premiers à pleurnicher que la violence gnagnagna…

    Comme ils sont nés après la honte, il n’y a même pas d’auto-régulation possible.

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