Et si l’Ukraine était le nouveau Vietnam aussi bien pour les Americains, les Européens, que pour les Russes? Conflit dramatique et sanglant, la guerre du Viêtnam a révélé au grand jour l’influence des médias sur l’opinion publique. Il en va de même aujourd’hui mais avec un impact plus belliciste et sans nuance des médias. La presse dite « élitiste » comme le NYTimes fut alors pacifiste.
Pourquoi donc aujourd’hui les médias occidentaux menent ils tous une croisade contre toute forme de paix négociée?
Une paix facile à trouver dès 2014, la Crimée ne comptait que 3% d’ukrainophones, dans le reste de l’Ukraine , les russophones ne voulaient que le droit de parler russe .
Le 23 février 2014, la Rada (ou Parlement ukrainien) nommait Alexandre Tourtchinov, un
proche de l’opposante Yulia Timochenko, au poste de président de la République par intérim,
en remplacement de Viktor Ianoukovitch. Le même jour, le Parlement annonçait sa décision
d’abroger la loi du 3 juillet 2012 (loi ukrainienne sur la politique linguistique de l’État), loi qui
jetait les bases d’un bilinguisme officiel dans les régions où la population minoritaire dépasse
les 10 %, .
Les accords de Minsk puis l’élection du russophone alors modéré, Zélensky permettaient d’espérer.
C’est le contraire qui s’est produit avec le revirement de Zélensky et le refus de régler la question criméenne .
L’attaque russe est contraire au droit international, comme le furent des dizaines d’attaques américaines au Kosovo ou en Iraq. Le droit internationale ne reconnait pas le droit des Ecossais, des Catalans, des Criméens , à l’indépendance. Pourtant les Occidentaux reconnurent celui des Kosovards, du Sud Soudan , du Timor…..
Et si le droit international n’était que le droit du plus fort, un droit coutumier adaptable aux circonstances …
De plus, il ne faut pas perdre de vue que « la pratique de quelques puissances occidentales,
désireuses de produire à elles seules un « droit coutumier » utile pour leurs intérêts, devient
une source fondamentale du droit international, en lieu et place de l’accord entre États et des
dispositions de la Charte des Nations Unies. Les fondements du droit international sont ainsi
balayés : c’est le cas de « l’égale souveraineté des États » laissant place à une hiérarchie de
fait entre les États dits « démocratiques » et ceux qui ne le seraient pas, seuls les premiers
étant éligibles au droit international, liquidant ainsi l’universalisme des droits et obligations
internationales. C’est aussi le cas du principe de « non ingérence », transformé en son
contraire au nom d’un « humanitaire » réinterprété à l’occidentale, particulièrement
négligeant vis-à-vis des droits économiques et sociaux ». Robert Chravin avait bien raison
quand il conclut que: « Le monde est en crise et le droit international est entré dans un coma
profond ».
Les choses sont moins manichéennes il y a des Ukrainiens qui rèvent d’Europe et d’Ouest et d’autres qui se sentent russes ceux que Zélensky veut chasser du Donbass et de Crimée
Le droit des peuples à disposer d’eux mêmes suppose des négociations fondées sur la reconnaissance de ces peuples
https://books.openedition.org/psn/5048?lang=fr
Le dernier numéro du Monde Diplomatique vaut le détour , il a le mérite de revenir aux fondamentaux du journalisme pour dénoncer les pratiques actuelles de la profession . Les médias, avant-garde du parti de la guerre poussent l’opinion et les politiques au pire , sans le moindre esprit critique .
En encourageant ce jusqu’au-boutisme, les médias occidentaux garantissent que le conflit durera, s’élargira, s’envenimera.
Adossée à l’OTAN et équipée de matériels rutilants, l’Ukraine se fixe désormais des buts de guerre démesurés, comme la conquête de la Crimée.
M. Biden a mis le crédit de son pays dans la balance : après la débâcle afghane, tout recul apparaîtrait comme un signe de faiblesse. Et pour l’Union européenne, qui s’est elle aussi beaucoup engagée, comme une humiliation stratégique. De son côté, M. Vladimir Poutine mobilise les forces nécessaires pour parvenir à ses fins, dans un conflit qu’il perçoit comme un enjeu vital et qui engage le destin national. L’idée qu’une Russie acculée consentirait à sa défaite, plutôt que d’utiliser des armes plus destructrices, relève du coup de poker.
En 2003, lors de l’invasion de l’Irak, la pratique d’un journalisme « embarqué » (embedded) avec les militaires américains avait fait grincer des dents au sein de la profession. Vingt ans plus tard, le journalisme « enlacé » a remporté la guerre d’Ukraine.
En France aussi, le code de conduite énoncé par le fondateur du quotidien Le Monde (et de ce mensuel) Hubert Beuve-Méry — « le contact et la distance » — a été remisé au magasin des accessoires. Du moins lorsqu’il s’agit du président ukrainien : « En vrai, il est sympa, assez cool, souvent drôle et pas du tout économe de son temps », dit Isabelle Lasserre, correspondante diplomatique du Figaro, choyée par les autres médias, France Inter et LCI en particulier, depuis qu’elle affiche des positions jusqu’au-boutistes sur l’Ukraine. « Il a une forme de leadership incroyable, il a un charisme très intense, il va droit au but, toutes ses phrases sont des convictions » (« C politique », France 5, 12 février 2023).
https://www.monde-diplomatique.fr/2023/03/HALIMI/65597
Contrairement à ce qui s’est produit lors des guerres du Golfe et du Kosovo, les médias occidentaux évitent toute analyse critique de leur traitement du conflit en cours.
La question du déploiement de troupes occidentales risque de se poser bientôt. Pour l’instant, Washington s’y refuse. Mais le président Lyndon Johnson ne déclarait-il pas, en octobre 1964 : « Nous n’allons pas envoyer des garçons américains à neuf ou dix mille miles de chez eux pour faire ce que des garçons asiatiques devraient faire eux-mêmes » ? Il changea d’avis quelques mois plus tard. Trois millions de « garçons américains » allaient débarquer au Vietnam à partir de 1965. 58 300 n’en reviendraient jamais.
Une victoire impossible, un enlisement prévisible, un entêtement dans l’erreur au seul motif de ne pas perdre la face : ce destin n’attend pas seulement les Russes. Les États-Unis ont démontré, en Irak et en Afghanistan, leur incapacité à retenir les leçons de leur engagement au Vietnam.
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
Trois des fragilités essentielles et embarrassantes des USA, face à la crise ukrainienne les déterminent à étudier une négociation avec la Russie afin de ne pas s’embourber auprès de Zelensky (dit aujourd’hui le gesticulateur encombrant) face à Poutine (le César de Moscou) :
1
un conflit franc en Europe (soldats US au front) n’est pas possible au regard de l’urgence géo-stratégique face à la Chine : deux fronts d’ampleur critique mineraient la puissance (même militaire) des USA ;
2
l’opinion publique US n’accepterait pas qu’un nouveau Vietnam (inutile et has-been) traumatise la conscience populaire : les intérêts US ne sont pas vitaux en Ukraine, ni économiques ni sécuritaires (contre terrorisme) ;
3
l’histoire du siècle dernier enseigne aux USA que la motivation de la Russie de défendre son territoire est autrement colossale que ce que les USA pourraient opposer raisonnablement !
Well ! l’UE apparaît comme une antique péripatéticienne apeurée vociférante spectatrice de la dispute qui se déroule sur le pallier de son bouge. Et c’est fou qu’elle ne soit plus aujourd’hui que la locataire, l’usufruitière moribonde de sa crêche car, à l’insu-de-son-plein-gré elle s’affaire à conclure son viager ! Elle ne comprend pas, la vieille Crétine, que la crise en Ukraine constitue son bouquet à l’abandon de tout son patrimoine …
Notre EMmerdeur ne me contredira pas : c’est son choix !
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Confronté à une telle situation, le grand’Charles n’aurait fait qu’écrire ces 3 mots sur tous les murs de France :
-« US GO HOME » !
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Je ne sais pas où vous voyez un problème du côté russe. Ils y vont piano a sano. Tous les paramètres sont au beau fixe, ils réalisent sans se presser l’objectif de libérer les régions qui n’auraient jamais dû cesser d’être russes, et dénazifier l’Ukraine occupée par les états-uniens et l’Europe si besoin. Nous en sortirons ruinés, désarmés, dénazifiés. Sinon, nous serons enfermés dans les villes à 15 mn, à bouffer les jours fastes les vers, et le reste du temps à rêver du bon vieux temps. Pile ils gagnent, face, nous perdons.
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+1
Je me demande si les gens réalisent qu’une bonne partie des gens qui avaient raison sur tout depuis 3 ans, prennent poutine comme un libérateur. Est-ce que l’on peut se rendre compte du chemin qu’il a fallu parcourir en si peu de temps ?
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malheureusement aussi beaucoup de chemin parcouru en direction de la folie par les idiots
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Bien vu !
Et le chemin qu’il a fallu parcourir hardiment en 3 ans chez nous (notre petit chez nous !), le Batelier de la Volga et du Dniepr peut-être réunis l’a parcouru en 20 ans chez lui.
Juste une question d’échelle discordante sépare notre EMmerdeur national du César de Moscou : quelle leçon d’Histoire cinglante nous afflige de l’Empire US déconfit … quand la pax americana ne fut que guerre trahison compromission déréliction abandon, et suicide collectif.
Perso, j’aurais bien des choses à dire à Poutine :
-« Holà ! on fait quoi, maintenant » ?
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Poutine vient de me répondre :
-« Demandez à Biden » !
Da ! alors je demande aux 2 :
« Holà holà ! on fait quoi maintenant » ?
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Les Russes en ont sous le pied, ils appuient uniquement lorsque Kiev utilise des techniques de terrorisme.
https://iz.ru/1478342/2023-03-03/rossiiskie-voennye-na-donetckom-napravlenii-unichtozhili-do-210-boevikov-vsu
Ils ont sorti la FAB500 téléguidée, la plus petite des bombes pour bombardiers.
https://iz.ru/1478074/2023-03-03/rossiiskie-letchiki-unichtozhili-opornye-punkty-vsu-pod-avdeevkoi
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il n’y a pas d’erreur, cette guerre fait partie du processus de dépeuplement tout comme le vax
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Quant à se laisser défaire démembrer dépeupler : convenons qu’il y a encore un dernier espace à franchir. Le plus difficile !
Pour quiconque à vécu des conflits martiaux, nul n’ignore que l’instant ultime est hautement critique :
1
qui ose croire emporter la victoire est extrêmement fragile ;
ou
2
qui craindrait être défait irrémédiablement doit oser penser encore de ne pas perdre, par le philtre magique d’une victoire songée or aussitôt gagnée, qu’elle avait été toujours possible.
Tant de choses sont paradoxales …
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Je ne sais pas ce qu’il restera à partager après – mieux vaut peut être songer à partager avant !
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Les USA enfument le monde pour garder le leadership mais ils sont complètement dépassés à force. L’Ukraine n’est pas le Vietnam, c’est la branlée du millénaire. Au Vietnam, les USA ont perdu par absence de volonté à cause des méthodes employées face à de redoutables guerriers, l’opinion n’ayant pas accepté, à juste titre, des méthodes déshonorantes.
Ils ont pensé que leur défaite venait des médias alors qu’elle provenait simplement du fait que ceux qui n’ont rien ont moins peur de mourir et moins à perdre que ceux qui ont tout. Les Vietnamiens luttaient pour se libérer de l’exploitation et c’est une juste cause même si un régime athée ne peut libérer personne sur le fond, en réalité.
Les USA en sont arrivés à totalement dominer les systèmes politiques et les médias de l’occident pour contrôler le narratif et ne pas perdre médiatiquement, donc ils pensaient gagner en Ukraine grâce aux armes et grâce aux intégristes fachos sauce locale, les pas finis du bled. Le Vietnam ne pouvait pas se reproduire, c’était certain, du moins le pensait-il….
Le Donbass puis les Russes arrivés à la rescousse luttent pour une juste cause, celle de ne pas être pris des moins que rien, pour ne pas devenir des « intouchables » donc pire que des exploités puisque c’est de la ségrégation russophobe.
https://www.francetvinfo.fr/monde/inde/inde-les-intouchables-toujours-victimes-du-systeme-de-castes_4189191.html
Du coup, le risque pour les USA est de perdre militairement ainsi que le système de contrôle des vassaux, des médias et des prix honorifiques bidons s’écroule, tout un système de type franc-maçon ou il faut obéir pour ne pas se faire virer sans rapport avec le vrai, de la prostitution de l’esprit en somme…
Non seulement la cause de l’occident est inique mais les Russes ont développé des armes inédites de dissuasion :
https://gerardmariehenry.com/blog-1/f/9m730-burevestnik-%D0%B1%D1%83%D1%80%D0%B5%D0%B2%D0%B5%D1%81%D1%82%D0%BD%D0%B8%D0%BA-le-chernobyl-volant
La plus intrigante est sans doute le missile Burevestnik dont l’autonomie est infinie, un missile qui ne s’arrête jamais de voler lequel peut partir de Sibérie pour aller donc exploser des usines aux USA qui fabriquent par exemple des Himars, des LMRS ou des ATACMS.
Ce missile a explosé accidentellement lors d’un test et l’occident y a vu une réplication d’un de leur vieux projet des années 60 alors que pas du tout. Les médias l’ont surnommé ironiquement «Tchernobyl volant». Pourquoi les journalistes mettent-ils des guillemets puisqu’il s’est passé exactement le phénomène qui s’est passé à Tchernobyl mais si vous n’avez pas compris Tchernobyl et que vous croyez la stupide version du CEA alors il est évident que vous ne pouvez pas comprendre. Les Russes vont bien finir par piger et ils vous feront alors un missile hypersonique à portée infinie, furtif et sans matière radioactive donc sentez vous le malaise pour l’occident ?
Moi je dis que c’est la fin de l’occident bête, méchant et hypocrite. Bien fait pour lui et s’il pouvait crever sans faire chier avec ses vaccins et ses « j’arnaque », ce serait parfait. Et n’oubliez pas, ne regardez pas en arrière pour ne pas vous transformer en statue de sel et ne craigniez pas les armées idolâtres qui vous menaceraient… 🙂
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L’Ukraine, un ennemi artificiel or forcené de la Russie :
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-recit-dominant-igor-lopotanok
La guerre y avait effectivement commencé en 2014 par des massacres systématiques de la population russophone … où France et Allemagne (en opposition à la moindre intelligence géo-stratégique des pays de l’UE !) ont été les coupe-jarrets et janissaires de la machine de guerre US. Indignes et infâmes, à l’insu des populations européenne et ukrainienne !
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Entretemps, Jean Lassalle atteste et affirme que l’EMmerdeur national n’aurait pas été vaxxiné contre le sars-cov-2 !
L’EMmerdeur déclarait lui-même (en se trahissant peut-être) :
-« Je surveille mes anticorps » ! de sa capacité à disposer d’une immunité naturelle acquise.
L’on savait déjà que les députés et sénateurs s’étaient auto exonérés de la vaxx contrainte (obligatoire).
Nul doute que la révélation faite par Jean Lassalle ravira d’extase les 130 mille individus-jetés-à-la-rue pour refus de la vaxx … tandis que pour-montrer-l’exemple, il s’était fait vaxxiner. Et qu’à la suite, il dut subir 3 interventions médicales sévères pour le sauver d’une myocardite pré-létale.
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pour savoir si quelqu’un est vacciné, il suffit de se mettre a coté de lui et de regarder avec le smartphone en utilisant un logiciel tel que Bluetooth scanner.
J’ai un ami 3 fois injecté qui n’avait pas de puce donc 3 fois placébo. Je lu ai dit qu’il avait eu beaucoup de chance mais que ça ne durerait peut être pas. Il ne m’a pas écouté et a été chercher sa 4e mais ce coup ci c’était une vraie et je n’ai plus de nouvelles, son téléphone ne répond plus depuis noël.
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