Depuis le début de la guerre civile en Ukraine (2014) je condamne ceux qui jette de l’huile dans le brasier en dénonçant les fauteurs de guerre . Je n’ai cesse de dénoncer les organisations nazies et leur rôle nocif. En s’en prenant aux civils russes du Donbass depuis 8 ans elles ont creusé un fossé entre les communautés et donné à Poutine une raison d’intervenir. Elles n’ont cessé de menacer la démocratie Ukrainienne en empéchant l’opposition de s’exprimer
Hélas Zélensky les a réhabilitées et l’occident s’en accomode .
Après avoir interdit la quasi-totalité de son opposition politique, publié une liste noire de journalistes et d’universitaires étrangers accusés de faire avancer la « propagande russe » et fait passer à toute vapeur une loi exemptant 70 % des Ukrainiens des protections sur le lieu de travail, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a libéré de prison des militants fascistes condamnés pour certains des crimes les plus odieux que le pays ait connus depuis la Seconde Guerre mondiale.
Selon un reportage du 11 juillet dans les médias ukrainiens , Ruslan Onishenko, commandant du bataillon Tornado, aujourd’hui dissous, a été libéré dans le cadre du plan du président Zelensky visant à libérer des prisonniers ayant une expérience du combat. En plus d’un engagement indéfectible envers le fascisme, Onishenko est connu comme un sadique psychopathe qui a été impliqué dans des agressions sexuelles sur des enfants, la torture brutale de prisonniers et des meurtres.
La libération d’Onishenko fait suite à un ordre du 27 février de Zelensky de libérer d’autres anciens membres condamnés de Tornado comme Danil « Mujahed » Lyashuk , un fanatique de Biélorussie qui a ouvertement imité l’EI et s’est vanté de torturer des captifs pour le pur plaisir. Selon le décret de Zelensky, les prisonniers ayant une expérience du combat seraient autorisés à « compenser leur culpabilité » en combattant dans les « points les plus chauds ».
France inter a franchi les limites de l’ignominie à deux reprises cette semaine .
La pseudo humoriste Sophie Haram s’est moqué de l’attentat terroriste qui a tué une jeune femme russe de 29 ans car elle était » d’extrème droite »….
Un reportage a été consacré au bataillon Kraken (AZOV) notoirement nazi et accusé d’horribles crimes de guerre . Le Figaro s’était déja livré à une même turpitude
Kraken est aujourd’hui dirigé par Konstantin Nemichev, figure de l’extrême droite à Kharkiv, candidat en 2021 pour devenir maire. Ce politicien membre du Corps national, un parti d’extrême droite ultra-nationaliste, a reconnu début juin les liens entre Kraken et Azov. Le chef du parti, Andriy Biletsky, avait auparavant fait des déclarations racistes, comme son discours de 2010 appelant « les races blanches du monde à une croisade finale contre les [Juifs] Untermenschen [sous-humains] dirigés par les Sémites »,
Le manque total d’humanisme de cette prétendue humoriste de «gauche» est inquiétant. Elle n’a aucun mot d’empathie pour une jeune femme de 29 ans tuée dans un attentat terroriste sous les yeux de son père, mais exprime une abjection qui culmine avec …des «moules» pas fraîches
Natalia Vovk, qui a réalisé l’attentat contre Daria #Douguina, la fille du philosophe Douguine, était en France sous statut de réfugiée ukrainienne. Alors qu’elle avait servi ou servait dans armée #Ukraine et bataillon néonazi #Azov. Parcours intéressant.Natalia Vovk est membre du personnel de la Direction principale du renseignement des Forces armées ukrainiennes depuis 2010, au grade de major, spécialité militaire : mise en œuvre et collecte de données. Elle a constamment voyagé à Londres, Dubaï, Varsovie et les pays baltes.
« Radio-Paris : Oradour sur Glane : la division « das Reich », un concentré controversé de motivation et d’adrénaline. Rencontre avec son chef le général Lammerding. » Kraken, ceux qui ont tiré dans les jambes des prisonniers russes avant de les exécuter. France Inter = salauds.
. Sur le premier logo du régiment Azov, entre 2014 et 2016, il y avait deux symboles problématiques. En premier plan, en noir, on retrouve la « Wolfsangel » inversée. Le signe fait penser au signe utilisé par la 2ème division SS « Das Reich » pendant la Seconde Guerre mondiale. En arrière plan, en jaune et blanc, on retrouve le signe faisant référence au soleil noir nazi. C’est un symbole ésotérique nazi, employé par différentes organisations suprémacistes blanches à l’international.Azov n’a gardé que la « Wolfsangel » inversée.
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Le stade de Ternopil en Ukraine situé avenue Bandera (génocidaire nazi, héros de l’Ukraine) a été baptisé en mars 2021 Stade Roman Shukhevych (génocidaire, nazi héros de l’Ukraine). Macron, BHL, Glucksman, Bayou, etc… trouvent ça formidable.
« Radio-Paris : Oradour sur Glane : la division « das Reich », un concentré controversé de motivation et d’adrénaline. Rencontre avec son chef le général Lammerding. »
Guerre en Ukraine : le bataillon Kraken, un concentré controversé de motivation et d’adrénaline
Guerre en #Ukraine : le bataillon Kraken, un concentré controversé de motivation et d’adrénaline. Rencontre, à Kharkiv, avec un de ses commandants, Oleg Supereka.. En 2019, le Département américain avait lui-même proposé à ce que le régiment Azov soit classé comme « une organisation terroriste internationale »
Parmi les bataillons d’élite engagés sur le front russo-ukrainien, Kraken fait presque jeu égal avec Azov. Que l’on parle de ses racines très nationalistes ou de son efficacité au combat. Rencontre, à Kharkiv, avec un de ses commandants, Oleg Supereka.
Sur le front russo-ukrainien, le bataillon Azov s’est illustré dans les combats tout autant qu’il a soulevé des doutes sur l’idéologie qui animait ses membres. Ses origines très nationalistes ont même nourri les justifications russes de l’intervention en Ukraine. Tout aussi sulfureux est le bataillon Kraken, engagé à Kharkiv, sous une bannière ouvertement nationaliste. Son fondateur, Konstantin Nemitchev, le chef de la cellule kharkivienne du Corps national, ne cache d’ailleurs pas ses positions ultra-nationalistes.
Dans les rues de Kharkiv, nous avons rencontré Oleg Supereka, commandant par intérim de l’une des unités le bataillon Kraken. Devant sa limousine décorée aux couleurs de sa formation militaire, il nous présente son groupe très hétéroclite, que seuls rassemblent, selon lui, l’amour du pays et l’envie de combattre.
Kraken est une unité spéciale du ministère de la Défense [ukrainien, ndlr]. Au début, il se composait d’un bataillon, puis il s’est étoffé. Maintenant, c’est une structure qui compte plus d’un millier de personnes. Le groupe effectue des opérations de reconnaissance et de sabotage. Au début de la guerre, notre champ d’action était à Kharkiv. Il s’est élargi autour de Kharkiv et, désormais, dans la région de Donetsk.
On peut considérer que le chef de Kraken, c’est Konstantin Nemitchev. C’est un jeune homme politique de 26 ans. Il était combattant du régiment Azov pendant un certain temps. Après, il s’est engagé dans des activités associatives à Kharkiv. Il a créé un département d’Azov à Kharkiv, une sorte de mouvement politique, avec des branches dédiées à l’éducation, à la jeunesse, au sport. Assez rapidement, il s’est révélé consciencieux et mûr, malgré son jeune âge.
Une enquête britannique de la BBC sur une vidéo montrant plusieurs prisonniers de guerre russes touchés aux jambes a révélé que les forces du Kraken opéraient effectivement dans la région à l’époque.
Lors des combats avant la reprise, lundi 28 mars par les forces ukrainiennes, du village de Mala Rogan, des membres des forces ukrainiennes sont soupçonnés d’avoir torturés des prisonniers russes. (Capture d’écran vidéo @conflitzone sur Telegram)
L’assaut sur Mala Rogan et Vilkhivska a été filmé par des combattants d’Azov, puis diffusé dans une vidéo de 8 minutes. Cette dernière renvoie à trois canaux Telegram, dont celui de Konstantin Nemitchev, le chef de Corps National à Kharkiv. Une organisation politique ultranationaliste très proche d’Azov. Les écussons du régiment sont également visibles sur plusieurs combattants. CheckNews a pu confirmer par la géolocalisation, grâce à un plan aérien, qu’au moins une de ces scènes a bien été filmée à Vilkhivska.
On y voit des soldats russes étendus sur le sol, certains immobiles, d’autres non. Plusieurs d’entre eux, les mains attachées dans le dos, ont la tête recouverte d’un tissu blanc. Des traînées de sang sont visibles par terre et au niveau des jambes de certains soldats. Au moins l’un d’entre eux présente une jambe cassée. Une version plus longue de cette vidéo, d’une durée de cinq minutes cette fois, est publiée sur un canal Telegram ukrainien (attention, ce canal diffuse des publications très violentes), le 27 mars dans l’après-midi. La légende indique : «Les scélérats des artilleurs qui ont tiré sur Kharkiv ont été faits prisonniers. Nous ne les envions pas.»
Les deux minutes supplémentaires d’images sont tout aussi difficiles à regarder. Elles montrent cette fois trois nouveaux soldats visiblement faits prisonniers descendre d’un van, les mains menottées. Et se faire tirer dans les jambes à bout portant par un combattant, qui assène également un coup de crosse à l’un d’entre eux. Les prisonniers s’écroulent par terre, se tordant de douleur. D’autres soldats frappent des captifs blessés. On note que les uniformes des hommes armés, ainsi que le brassard bleu qu’ils portent autour du bras, correspondent aux couleurs ukrainiennes, tandis que les uniformes des hommes au sol sont russes.
Durant tout le temps que dure cette scène, l’homme qui filme interroge les soldats au sol. Il leur demande leur âge, d’où ils viennent – l’un d’eux répond : «Oblast de Smolensk [en Russie]» – leur grade et ce qu’ils «font ici». Il semble rechercher des officiers et leur demande : «Vous avez tiré sur Kharkiv ?»
La scène, justement, semble se dérouler non loin de Kharkiv, à l’est du pays. Sur les réseaux sociaux, depuis la publication de la vidéo, des internautes sont parvenus à géolocaliser l’action dans la cour d’un entrepôt fermier du village de Mala Rogan, en périphérie de Kharkiv – ce que CheckNews est en mesure de confirme
Dans cette séquence, et dans d’autres images partagées par les soldats ukrainiens présents sur place, on peut voir plusieurs dizaines de prisonniers russes, pour certains en sous-vêtements, alignés devant un fossé puis entassés dans des véhicules. Dans une vidéo supplémentaire, on retrouve les mêmes soldats ukrainiens, hurlant sur une dizaine d’autres prisonniers alignés sur le sol. Le militaire interrogé par l’AFP parle de 25 pertes russes dans l’assaut de Mala Rogan, les différents post Telegram ukrainiens évoquant quant à eux 30 prisonniers et 30 tués parmi les forces de Moscou à Vilkhivska sans qu’il soit possible de vérifier ces différents chiffres. Une dernière séquence, notamment diffusée à la fin de la vidéo d’Azov, montre une dizaine de prisonniers russes enchevêtrés dans ce qui ressemble à un hangar. Les yeux bandés, ils chantent l’hymne ukrainien.
La localisation très proche des différentes scènes – celle des tirs dans les jambes et celles diffusées par Azov – ainsi que leur diffusion dans le même laps de temps permettent d’émettre l’hypothèse d’un contexte commun.
Tournée en 2015, un an après la révolution du Maïdan, cette enquête met en lumière le pouvoir des bataillons nationalistes en Ukraine dans les mois qui ont suivi le changement de régime. Elle reconstitue le massacre de pro-Russes à Odessa le 2 mai 2014, en donnant la parole aux protagonistes des deux côtés. Elle montre aussi comment la jeune démocratie ukrainienne tente de se défendre face à cette menace, notamment par l’arrestation d’un membre de Azov au parlement. Elle a été diffusée début 2016 sur Canal Plus, entre autres. ✋ Les enjeux du Monde ? Ils sont ici 👉 https://bit.ly/3nbDE0S Abonnez-vous 🙏 Ukraine, les masques de la révolution Un film de Paul Moreira Une production Première Ligne
POUR CEUX QUI VEULENT COMPRENDRE LES DEBUTS DE LA GUERRE CIVILE
Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes
Aujourd'hui retraité
Contentez alors vous de France-Inter et de la merde télévisuelle française.
Nul besoin de venir commenter ici en CAPITALES.
Faites donc comme la masse mugissante.
Elaborons si vous le souhaitiez, quelque principe de « guerre civile ».
1
Sur la base d’une prospérité révolue, une population « s’est oubliée » de celle-ci : en effet, 3 générations (grans-parents, parents puis enfants) se sont évanouies qui ommettent cette prospérité ancestrale ;
2
telle ommission fut critique en France dès Giscard (peu d’Estaing) en 1974 à laquelle le Mitterrand fut fragile en se couchant « blême » face aux USA (-« Il n’y aura pas de Communisme en France » !)
3
L’inclination d’une soumission aux USA fut actée par le feu-follet Sarkozy dont on connaît les affres arméniens puis lybiens …
4
Hollande, gratte-papier de toute antichambre vermoulue, et socialo n’a rien vu venir, tant c’était un idiot grassouillet ;
5
Macron, tel une rondelle anale itinérante a sévi en déserrance : le peuple aura mérité de son tyran !
Si vous aviez fait payer 30 centimes pour chaque Baffe, vous auriez récolté une jolie somme, Qui vous aurait permis de mener quelques actions en faveur de la
« liberté » en France…
En effet les mises en garde et la vigilance à l’encontre de l’idéologie nazie à l’œuvre en Ukraine au plus haut niveau de l’Etat, sont de mise.
Honte à nos pays dits occidentaux, souvent ex esclavagistes et coloniaux, qui instrumentalisent cette idéologie nauséabonde, contre un pays qui a sacrifié tant de millions d’hommes et femmes pour vaincre le monstre.
Ce pays, la Russie, nous devrions lui vouer une reconnaissance éternelle eu égard à son courage et au sacrifice consenti.
A reblogué ceci sur PASSAPAROLADESSO.
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JE vOUS DEMANDE DE BIEN VOULOIR ME RAYER DE VOTRE FICHIER
JE NE SUIS PAS INTERRESSé ….
Gerard GILLES
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Quésako? Que vient faire ce commentaire ici? Si ce blog ne vous intéresse pas, il suffit de vous désabonner, non ?
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Contentez alors vous de France-Inter et de la merde télévisuelle française.
Nul besoin de venir commenter ici en CAPITALES.
Faites donc comme la masse mugissante.
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Les soldats qui maltraitent les captifs doivent être pendus.
Qu’ils soient russes, américains, OU UKRAINIEN.
VOUS NE POUVEZ DEFENDRE CE GENRE D’ACTE.
VOUS EN DEVENEZ COMPLICE.
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Gérard, vous n’êtes pas intéressé, c’est votre droit et donc ainsi que vous l’a dit Lepiaf …il vous suffit de vous désabonner c’est tout simple !
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Un peuple (français) mérite toujours de son tyran !
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Elaborons si vous le souhaitiez, quelque principe de « guerre civile ».
1
Sur la base d’une prospérité révolue, une population « s’est oubliée » de celle-ci : en effet, 3 générations (grans-parents, parents puis enfants) se sont évanouies qui ommettent cette prospérité ancestrale ;
2
telle ommission fut critique en France dès Giscard (peu d’Estaing) en 1974 à laquelle le Mitterrand fut fragile en se couchant « blême » face aux USA (-« Il n’y aura pas de Communisme en France » !)
3
L’inclination d’une soumission aux USA fut actée par le feu-follet Sarkozy dont on connaît les affres arméniens puis lybiens …
4
Hollande, gratte-papier de toute antichambre vermoulue, et socialo n’a rien vu venir, tant c’était un idiot grassouillet ;
5
Macron, tel une rondelle anale itinérante a sévi en déserrance : le peuple aura mérité de son tyran !
6
Entretemps, l’EMmerdeur recueille quelque 4 millions 3 cent soixante mille baffes au Guignol du Corona Circus. Et c’est ici :
https://sentrais.eu/baffes/baffes-test-6.php
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Si vous aviez fait payer 30 centimes pour chaque Baffe, vous auriez récolté une jolie somme, Qui vous aurait permis de mener quelques actions en faveur de la
« liberté » en France…
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Merci de rester au-dessus de la ceinture, ça devient pathologique, lassant et n’apporte rien au débat.
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En effet les mises en garde et la vigilance à l’encontre de l’idéologie nazie à l’œuvre en Ukraine au plus haut niveau de l’Etat, sont de mise.
Honte à nos pays dits occidentaux, souvent ex esclavagistes et coloniaux, qui instrumentalisent cette idéologie nauséabonde, contre un pays qui a sacrifié tant de millions d’hommes et femmes pour vaincre le monstre.
Ce pays, la Russie, nous devrions lui vouer une reconnaissance éternelle eu égard à son courage et au sacrifice consenti.
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