URGENT/ Pour trois décès évités par la vaccination, nous devons en accepter deux infligés par la vaccination(données certifiées).

Une étude scientifique germano néerlandaise  remet en question le bénéfice risque  attendu de la vaccination.

« Nous avons calculé le nombre nécessaire à vacciner (NNTV) à partir d’une grande étude de terrain israélienne pour éviter un décès. Nous avons accédé à la base de données des réactions indésirables aux médicaments (ADR) de l’Agence européenne des médicaments et du registre national néerlandais (lareb.nl) pour extraire le nombre de cas signalant des effets secondaires graves et le nombre de cas ayant des effets secondaires mortels.  Ce manque de bénéfice clair devrait amener les gouvernements à repenser leur politique de vaccination.

Les données néerlandaises, en particulier les cas mortels, ont été certifiées par des médecins spécialistes ( https://www.lareb.nl/media/eacjg2eq/beleidsplan-2015-2019.pdf (consulté le 29 mai 2021)), page 13 : « Tous les rapports reçus sont vérifiés quant à leur exhaustivité et aux éventuelles ambiguïtés. Le cas échéant, des informations complémentaires sont demandées au déclarant et/ou au médecin traitant. Le rapport est saisi dans la base de données avec toutes les informations nécessaires. Les effets secondaires sont codés selon les normes (internationales) applicables. Ensuite, une évaluation individuelle du rapport est effectuée. Les rapports sont transmis à la base de données européenne (Eudravigilance) et à la base de données du Centre collaborateur de l’OMS pour la pharmacovigilance internationale à Uppsala. Les titulaires d’enregistrement sont informés des signalements concernant leur produit . »).

Ainsi, nous devons accepter qu’environ 16 cas développeront des effets indésirables graves des vaccins COVID-19 pour 100 000 vaccins administrés, et qu’environ quatre personnes mourront des conséquences de la vaccination pour 100 000 vaccins administrés

 En adoptant l’estimation ponctuelle de NNTV = 16 000 vaccination nécessaire pour éviter un décès supplémentaire lié au COVID-19, pour six décès évités par la vaccination, nous pouvons encourir quatre décès comme une conséquence ou associée à la vaccination. En termes simples : comme nous évitons trois décès en vaccinant, nous encourons deux décès.

Cependant, il faut considérer le simple fait juridique qu’un décès associé à une vaccination est différent en nature et en statut juridique d’un décès subi à la suite d’une infection accidentelle.

Enfin, nous notons que d’après l’expérience de la déclaration des effets secondaires d’autres médicaments, seule une petite fraction des effets secondaires est signalée dans les bases de données d’événements indésirables]. La sous-déclaration médiane peut atteindre 95 %

Compte tenu de ce fait et du nombre élevé d’effets secondaires graves déjà signalés, la tendance politique actuelle à vacciner les enfants qui courent un très faible risque de souffrir de COVID-19 en premier lieu doit être reconsidérée.

La présente évaluation soulève la question de savoir s’il serait nécessaire de repenser les politiques et d’utiliser les vaccins COVID-19 avec plus de parcimonie et avec une certaine discrétion uniquement chez ceux qui sont prêts à accepter le risque parce qu’ils se sentent plus exposés à la véritable infection qu’à la fausse infection. . Peut-être faudrait-il tempérer l’enthousiasme par des faits sérieux ? À notre avis, l’EMA et les autorités nationales devraient lancer un examen de la sécurité dans la base de données de sécurité des vaccins COVID-19 et les gouvernements devraient examiner attentivement leurs politiques à la lumière de ces données. Idéalement, des scientifiques indépendants devraient effectuer des examens approfondis des cas très graves, afin qu’il puisse y avoir des recommandations fondées sur des preuves sur qui est susceptible de bénéficier d’une vaccination contre le SRAS-CoV2 et qui risque de souffrir d’effets secondaires

https://www.mdpi.com/2076-393X/9/7/693/htm

Harald Walach, PhD, est professeur à l’Université des sciences médicales de Poznan à Poznan, hôpital pédiatrique, Pologne et professeur invité au département de psychologie de l’Université Witten/Herdecke. Il est chercheur en santé avec environ 200 articles évalués par des pairs à son nom et une vaste expertise dans diverses méthodes de recherche clinique, expérimentale et secondaire.

https://harald-walach.de/

Rainer J. Klement est un physicien médical possédant une vaste expérience en analyse de données et en statistiques. Il est basé au service de radio-oncologie de l’hôpital Leopoldina à Schweinfurt, en Allemagne. Il est actif dans la modélisation médicale et l’évaluation de l’effet des régimes cétogènes chez les patients en oncologie.

Wouter Aukema Scientifique indépendant des données et des modèles, Brinkenbergweg 1, 7351 BD Hoenderloo, Pays-Bas

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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6 commentaires pour URGENT/ Pour trois décès évités par la vaccination, nous devons en accepter deux infligés par la vaccination(données certifiées).

  1. Marie-José Lacroix dit :

    Article très intéressant. Une question : « comme nous évitons trois décès en vaccinant, nous encourons deux décès. », est-ce que les décès évités par le vaccin et les décès dus au vaccins concernent le même profil de personnes ( âgées, malades, jeunes…) ?

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  2. Eric dit :

    Comme toujours, bataille de chiffres, à ce jeux personne ne peux gagner, on peut tout leur faire dire, surtout si on y mêle des politiques, leur presque seule spécialité.
    L’essentiel est de remettre les choses à plat, évaluer le vrai degré de gravité de cette virose selon les classes d’âge, les degrés de comorbidités et mettre en face l’arsenal thérapeutique et comment l’utiliser.
    Deux choses simples à rappeler: en thérapeutique, il y le curatif et surtout le préventif.
    Or, le vaccin (abstraction faite de sa définition dans le cas présent) n’a fondamentalement qu’un rôle préventif. Pourquoi donc l’utiliser massivement de manière curative ?
    Quelle magistrale erreur ! Comme dit Montagnier, entre autres, on ne vaccine pas en pleine épidémie.
    Comment s’étonner dès lors de tous ces sauts d’humeur de ce long virus à ARN (30000 nucléotides) qui, en réponse, mute et se recombine plus rapidement.
    On voudrait aggraver la situation, on ne pourrait pas mieux s’y prendre.
    Ajouté à cela, l’aveuglement à nier toute méthode préventive, telles que la complémentation permettant de stimuler notre immunité naturelle, notre seul véritable bouclier ainsi que les méthodes curatives, qui depuis tous les mois passés ont été plus que confirmées: hydroxychlroquine, ivermectine, azythromycine, artémésine, vit C, dioyde de chlore, bleu de méthylène etc…
    En définitive, qui nous fait la guerre, le virus ou ceux qui nous gouvernent ?

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  3. André ROBERT dit :

    Il serait fort surprenant que cette étude fasse les titres des médias mainstream. L’agenda vaccinal établi par les zélites mondialistes n’en sera pas modifié et les gouvernants continueront à le respecter.

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  4. roc dit :

    la corruption est plus mortelle que le virus !

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  5. fraternel dit :

    nos élites perlent toujours du bénefice risque mais quid une fosi vacciné des effets secondaires à long terme du vaccin?
    çà personne n’en parle le cynisme est à son comble!

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  6. Ping : « Des milliers de vols annulés alors que des pilotes vaccinés tombent malades ou meurent »…Vladimir : « Alors que les compagnies aériennes espagnoles et russes en sont déjà à refuser les passagers vaxxinés à

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