Et pourtant elles soignent !

Ils nous font le coup de l’hydroxychloroquine  mais cette fois avec une molécule qui fait l’unanimité des études en sa faveur !

Que d’impudence ! Que de mépris pour les milliers de malades qui sont morts ou mourront  par leur faute…J’avoue être las de l’indifférence coupable de nos compatriotes, de la complicité de tous ces idiots qui refusent les évidences…

L’ivermectine soigne tout comme l’hydroxychloroquine et l’azithromycine  et elle n’a pas d’effets secondaires . Qui obtiendra le prix Philippe Henriot pour collaboration avec la dictature sanitaire ? La Covid  a tué la démocratie, l’intelligence et l’occident crève de sa supériorité autoproclamée…

Lors de chaque crise sanitaire majeure un modèle de médecine prétentieux pousse sa logique jusqu’au ridicule . Lors de la Covid de 1890/92 ou encore de la grippe espagnole de 1920 les contemporains furent victimes des errements des tenants de la sérothérapie dont les anticorps monoclonaux sont le funeste avatard…

Déja en ce temps là les médecins de terrain soignèrent comme ils pouvaient mais avec plus de liberté qu’aujourd’hui.

L’EMA, Agence Européenne du Médicament, face à la polémique entachant le rapport de Andrew Hill vient de sortir d’urgence un communiqué déconseillant l’utilisation d’Ivermectine dans la Covid.

L’EMA, dirigée par Emer Cooke, autrefois salariée du principal lobby de l’industrie pharmaceutique en Europe, décourage officiellement l’usage de l’ivermectine .

Aucune démonstration, aucune preuve, aucune analyse ne vient étayer cette affirmation. Elle ne cite aucune étude chez l’homme, aucune méta-analyse rassemblant les résultats de toutes les études mondiales. Et pourtant il y en a : Kory et Marik aux US, Hill et Lawrie en GB, Pr Guillausseau en France (eh oui, et en français, d’un ancien des commissions d’AMM !), Nardelly en Italie,…  Quand j’affirme, j’apporte des éléments, des preuves, ici non. C’est comme cela, parce que je l’ai dit, et la presse va reprendre cette position, sans preuves, c’est le but.

Ensuite elle reconnaît n’avoir été saisie d’aucune demande concernant cette autorisation. Alors pourquoi ce communiqué ? Il y a bien quelqu’un qui lui a demandé de le faireà défaut d’avoir été interrogée pour constituer un dossier ? Attitude plus qu’étrange, évoquant un communiqué télécommandé.

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ivermectine-le-complotisme-de-lema-par-le-dr-maudrux

Israel la preuve par la sciences

Le Dr Eli Schwartz est directeur du département pour l’évaluation des options thérapeutiques du Ministère de La Défense israélien. Ce n’est pas un zozo. Maintenant que l’argument du « manque de rationnel pré-clinique » est écarté, il va devenir difficile de contester l’évidence

Une molécule sans danger….

Regardez ce tableau, et devinez lequel de ces produits est jugé « pas assez sûr » par l’Agence Européenne des Médicaments.

A Yale l’ivermectine a sauvé les patients cancéreux

https://www.francesoir.fr/societe-sante/livermectine-fonctionne-y-compris-pour-le-covid-long-dit-un-medecinchercheur-renomme

En Argentine , plus efficace que le vaccin et sans effets secondaires …

Pérou la preuve par les faits

https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3765018

Réduction sensible du nombre de décès par cas de COVID-19 et de décès excessifs au Pérou en conjonction étroite, État par État, avec des traitements à l’ivermectine

Le 8 mai 2020, le ministère de la Santé du Pérou a approuvé l’ivermectine (IVM) pour le traitement du COVID-19. Médicament récompensé par le prix Nobel, l’IVM a été distribué en toute sécurité dans 3,7 milliards de doses dans le monde depuis 1987. Il a montré des réductions majeures et statistiquement significatives de la mortalité et de la gravité des cas dans 11 essais cliniques sur le COVID-19, trois avec des contrôles randomisés. Le mécanisme biologique indiqué de l’IVM est le même que celui des anticorps antiviraux générés par les vaccins – se liant à la protéine de pointe virale du SRAS-CoV-2, bloquant l’attachement viral aux cellules hôtes.

Des distributions massives de MIV pour les traitements COVID-19, en hospitalisation et en ambulatoire, ont été menées dans des délais différents avec une autonomie locale dans les 25 États (departamentos) du Pérou. Ces traitements ont été menés au début de la première vague de la pandémie dans 24 États, parfois même quelques semaines avant l’autorisation nationale du 8 mai, mais ont été retardés de quatre mois à Lima. L’analyse a été réalisée à l’aide des données de santé publique péruviennes pour les décès toutes causes et pour les décès par cas de COVID-19, comme il a été suivi indépendamment pour les âges de 60 ans et plus. Ces chiffres quotidiens ont été récupérés et analysés par état. Les données d’incidence des cas n’ont pas été analysées en raison des variations des méthodes de test et d’autres facteurs de confusion. Ces données cliniques associées aux traitements IVM débutant à différentes périodes, d’avril à août 2020, dans chacun des 25 États péruviens,

Pour les 24 États avec un traitement IVM précoce (et Lima), les décès en excès ont chuté de 59% (25%) à +30 jours et de 75% (25%) à +45 jours après le jour du pic de mortalité. Les décès par cas ont également fortement chuté dans tous les États sauf à Lima, mais six indices de mobilité communautaire suivis par Google ont augmenté au cours de la même période. Pour neuf États ayant des distributions massives d’IVM dans un court laps de temps grâce à un programme national, Mega-Operación Tayta (MOT), les décès en excès à +30 jours ont chuté d’une moyenne pondérée par la population de 74%, chaque baisse commençant dans les 11 jours suivant le MOT début. Les causes étrangères de réduction de la mortalité ont été exclues. Ces fortes réductions importantes de la mortalité par COVID-19 après un traitement IVM se sont donc produites dans chacun des États du Pérou, avec des réductions particulièrement fortes en conjonction avec des traitements IVM dans chacun des neuf états d’opération MOT.

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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2 commentaires pour Et pourtant elles soignent !

  1. fb dit :

    Tout comme en amérique ou des enfants ont saisi le tribunal en refere d’urgence
    afin que leur mere soit traitéeva l’ivermectine.

    J’aime

  2. Ping : Et pourtant elles soignent ! Ils nous font le coup de l’hydroxychloroquine mais cette fois avec une molécule qui fait l’unanimité des études en sa faveur ! Que d’impudence ! Que de mépris pour les milliers de malades qui sont morts ou mourront

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