un nouveau martyr, le père Jacques Hamel,86ans égorgé près de Rouen par des islamistes français .
L’un d’eux, identifié comme Adel Kermiche, avait tenté par deux fois de rejoindre la Syrie. Il était connu de la justice et venait d’être libéré par un juge
un autre martyr , il s’appelait Abdallah Issa et avait 12 ans, il a été égorgé par des islamistes « modérés »soutenus par l’Occident
e veux m’associer à la prière d’un cambattant infatigable contre l’islamisme, Mohamed LOUIZI
« Aucun mot n’est en mesure de décrire mon état d’esprit, ma colère, ma tristesse et mon désarroi face à l’effroi. Je prie Dieu, celui qui ne tue point et qui n’ordonne à aucun criminel de tuer en son nom, de réserver sa béatitude éternelle à cet Homme de Dieu, de 86 ans, qui a subi la terreur islamiste lors de son temps de prière !
Je prie Dieu, celui qui ne tue point et qui n’ordonne à aucun criminel de tuer en son nom, de venir en aide à l’autre Abbé gravement blessé.
Mes pensées vont vers toutes les victimes de cette terreur globale, qui, après avoir préparé le terrain et s’ est trouvée des relais médiatiques et politiques, doublée d’une armee d’artisans de la mort, passe à l’attaque, seule contre tous. En vérité, pas si seule que ça. Car elle bénéficie depuis longtemps de complicités insoupçonnables et de complaisances coupables. Il n’y a pas d’effets sans causes !
L’heure est dramatiquement grave. Très grave. Ceux qui ont laissé la semonce islamiste se développer, ils sont autant coupables que tous ses islamistes réservistes, dits modérés et fréquentables, et les autres islamistes opérationnels, qui rythment hélas nos jours et nuits !
Pour éviter la guerre civile – l’expression est modérément faible – des décisions politiques majeures doivent être prises, ici et maintenant. A défaut, le scénario des Balcans des années 90 se reproduira avant le cri du coq. Car les mêmes causes produisent, les mêmes effets et conséquences, ou presque.
Les princes de la guerre, les imams de la haine et leurs complices et soldats se frottent déjà les mains. Mais la guerre civile n’est pas notre « maktoub » ou fatalité. Les femmes et hommes, attachés à l’espérance républicaine laïque, avec ou sans foi religieuse, avec ou sans Dieu, de tout bord politique, de toute sensibilité culturelle, doivent faire corps uni et front solidaire pour protéger ce qui reste de notre humanité agonisante. »