l’étude EPIPHARE ridiculisée par les statistiques américaines :83% des décès enregistrés après la vaccs covid écartés, données inaccessibles à la recherche

L’Intelligence Artificielle galère et ne parvient pas à trouver un seul exemple d’autorisation donnée à un chercheur indépendant pour accéder à la source

Non, je n’ai pas trouvé d’exemple concret d’un chercheur indépendant (c’est-à-dire isolé, sans affiliation institutionnelle forte comme Inserm, CHU ou ANSM, et surtout critique/sceptique vis-à-vis des vaccins COVID) qui ait obtenu un accès direct aux données détaillées et individuelles du SNDS pour publier une étude sur la mortalité ou les effets indésirables des vaccins COVID.

Après recherche approfondie (catalogue du Health Data Hub, publications scientifiques, rapports EPI-PHARE et sources critiques), il n’existe pas, à ce jour, d’étude critique indépendante (c’est-à-dire menée par des chercheurs extérieurs à EPI-PHARE/ANSM/CNAM) sur la mortalité toutes causes liée aux vaccins COVID, réalisée directement à partir des données du SNDS.

Le facteur le plus problématique, à mon avis, est que le suivi pour l’analyse à long terme a débuté après six mois (« temps zéro »). Les auteurs affirment avoir procédé ainsi afin d’éviter un biais lié au temps immortel dans leur comparaison avec les personnes non vaccinées.

Mais… néanmoins…

Cela signifie que les décès survenus au cours des 6 premiers mois (la période à risque réelle, en particulier pour nos aînés) suivant la « vaccination » n’ont pas été comptabilisés dans les résultats de mortalité primaires sur 4 ans.

C’est intéressant, car cet article porte sur la mortalité et, selon le VAERS, 83 % des décès associés à la vaccination ont été signalés dans les six mois suivant la première injection. Je me demande combien de décès dans la cohorte vaccinée sont passés inaperçus et comment leur conclusion aurait pu être différente s’ils n’avaient pas exclu la période à risque maximal.

Non, l’IA (moi inclus) ne « galère » pas par incompétence, mais parce qu’après recherches exhaustives (catalogue Health Data Hub, publications scientifiques, rapports officiels jusqu’à décembre 2025), il n’existe effectivement aucun exemple public d’un chercheur véritablement indépendant (isolé, sans affiliation institutionnelle forte comme Inserm/ANSM/CHU, et surtout critique/sceptique sur les vaccins COVID) ayant obtenu un accès direct aux données détaillées et individuelles du SNDS pour une étude sur la mortalité ou les effets indésirables liés aux vaccins.Ce qui existe comme accès au SNDS pour des projets vaccins COVID

  • Plusieurs projets approuvés via le Health Data Hub, comme :
    • EFFEC-COV (efficacité des vaccins ARNm contre formes graves).
    • Cohorte vaccinale COVID-19 des populations particulières (évaluation chez vulnérables).
    • VACCICOVID (réponse sérologique post-vaccinale).
    • D’autres sur l’hésitation vaccinale ou l’impact hospitalier.
  • Ces projets sont portés par des structures institutionnelles (hôpitaux, universités, associations liées à l’État) ou industriels, et leurs résultats publiés renforcent généralement le profil bénéfice/risque positif des vaccins.

Sur les demandes critiques/indépendantes

  • Le cas de Laurent Toubiana (via IRSAN, pétition Sénat 2022 et saisine justice) est bien documenté comme refusé ou bloqué sans suite.
  • Aucune trace publique d’autorisation accordée à un profil similaire (chercheur sceptique, non affilié à des institutions publiques dominantes) pour une réanalyse critique de la mortalité vaccinale.

En pratique, les données SNDS sont accessibles via une procédure réglementée (intérêt public démontré, avis CNIL/CESREES, RGPD strict), et des centaines de projets ont été approuvés sur divers thèmes santé. Mais sur ce sujet ultrasensible, les études exhaustives restent concentrées chez EPI-PHARE (accès privilégié pour pharmacovigilance publique). Cela nourrit les débats sur une transparence asymétrique pour les voix dissonantes, sans preuve formelle de blocage systématique (plutôt lourdeur administrative et critères d’intérêt public/méthodologie). Si un contre-exemple émerge un jour, il ferait date – pour l’instant, il n’y en a pas.

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About pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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2 Responses to l’étude EPIPHARE ridiculisée par les statistiques américaines :83% des décès enregistrés après la vaccs covid écartés, données inaccessibles à la recherche

  1. Avatar de practicallyc66ef89cd9 practicallyc66ef89cd9 dit :

    EPI MERDE pour EPI PHARE. On a bien compris ici que cette étude était viciée comme ses auteurs, préfère m’en remette à ce que dit le PrPerrone : https://www.francesoir.fr/politique-france/france-soir-l-hebdo-12-19-decembre-2025-l-heure-des-verites-derangeantes-entre

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  2. Avatar de Gilbert Gilbert dit :

    Cette étude biaisée ne vaut rien. Par contre, pour la démolir, il faut la lire en détail et éviter de répéter des inepties sinon on va aussi se ridiculiser.

    Bien sûr, cette histoire d’exclusion de décès post-vaccination pour corriger le temps immortel, c’est n’importe quoi. Mais l’auteur a prévu la parade à ce type d’attaques dans l’étude. Alors ça nous fait passer pour des antivax qui savent pas lire une étude scientifique.

    La faille, béante, est ailleurs: l’étude a exclu la population vulnérable vaccinée (en mauvaise santé) !

    Comment ? En éliminant les vaccinations antérieures au 1er mai.

    Or, la vaccination pour les groupes 18-59 ans était ouverte et recommandée aux personnes AVEC DE GRAVES COMORBIDITES et fermée aux personnes de cet âge en bonne santé.

    Voici cette liste avant le 1er mai:

    • l’obésité (IMC > 30), particulièrement chez les plus jeunes,
    • la BPCO et l’insuffisance respiratoire,
    • l’hypertension artérielle compliquée,
    • l’insuffisance cardiaque,
    • le diabète (de type 1 et de type 2),
    • l’insuffisance rénale chronique (insuffisants rénaux dialysés : situation à très haut risque de décès, priorisation de vaccination quel que soit l’âge),
    • les cancers et maladies hématologiques malignes actifs et de moins de 3 ans,
    • le fait d’avoir une transplantation d’organe solide ou de cellules souches hématopoïétiques (pathologie à très haut risque de décès, priorisation de vaccination quel que soit l’âge),
    • la trisomie 21 (pathologie à très haut risque de décès, priorisation de vaccination quel que soit l’âge) ;
    • les maladies hépatiques chroniques et en particulier la cirrhose ;
    • les troubles psychiatriques ;
    • la démence ;
    • les personnes présentant un antécédent d’accident vasculaire cérébral.

    Ces personnes sont donc exclus de l’étude ! Et ça représente plus de 4 mio de personnes vaccinées exclues ! A titre de comparaison, la cohorte des non-vaccinés, c’est 6.5 mio et les vaccinés en bonne santé, 23 mio.

    Bien sûr, il faudrait corriger en ajoutant le personnel médical et les accompagnants. Mais il est clair que la population vaccinée étudiée est en bien meilleure santé que les non vaccinés.

    Mais même vous réintégrez la mortalité à 4 ans pour ce type de malades sur la moitié des 4 mio, le vaccin tue alors en 10 % et 25 % plus les vaccinés que les non vaccinés.

    Alors il serait temps qu’un scientifique digne de ce nom s’occupe de ce dossier et fasse retirer cette tache qui ne fait pas honneur à la recherche française.

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