L’acétate de médroxyprogestérone   (Provera) DE PLUS EN PLUS DE PREUVES du danger de cancers pour les femmes

L‘acétate de médroxyprogestérone  (AMPR) est un contraceptif progestatif injectable largement prescrit, utilisé   chaque année  par 74 millions de femmes dans le monde . Ce contraceptif est particulièrement apprécié pour sa grande efficacité et sa facilité d’administration . L’AMPR est administré par  injection intramusculaire  (150 mg/ml) ou  sous-cutanée  (104 mg/0,65 ml) tous les trois mois.

Son utilisation varie considérablement selon les pays :  1,8 % des femmes âgées de 15 à 49 ans  dans les pays à revenu élevé l’utilisent, contre  8,7 % dans les pays à faible revenu . Peu coûteuse, elle est particulièrement répandue dans les pays dotés de politiques de planification familiale fortes, notamment en  Asie du Sud-Est , où  13 % des femmes  l’utilisent, soit environ  22 millions d’utilisatrices par an .

Une nouvelle étude révèle un lien entre la contraception populaire et les tumeurs cérébrales — plus de 1 000 femmes poursuivent Pfizer en justice pour risques pour la santé https://trib.al/0nfK5sj

il présente  des effets secondaires notables , dont certains peuvent être graves :

  • Prise de poids
  • Irrégularités menstruelles
  • Changements d’humeur
  • Ostéoporose
  • Risque accru de thrombose artério-veineuse

Le risque de méningiome associé au DMPA

Outre ces effets secondaires bien documentés,  le risque de méningiome  a été souligné par  plusieurs publications scientifiques internationales . Ce risque avait déjà été observé avec d’autres médicaments dérivés de la progestérone. L’AMPR fait désormais également  l’objet d’une surveillance médicale  en raison de cette préoccupation émergente.

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About pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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15 Responses to L’acétate de médroxyprogestérone   (Provera) DE PLUS EN PLUS DE PREUVES du danger de cancers pour les femmes

  1. Avatar de elba jovialedbba43735 dit :

    Z’cr’ois bien qu’z’ai encore vu le nom de Pfizer… 😉

    J’ignorais qu’il existait cette forme de contraception.

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    • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

      @Joviale; bien vu c’est en effet ce Labo qui vend cette daube !

      Quand on lit la notice, y’a de quoi prendre peur; les contre-indications sont pas à piquer des hannetons, tout autant que les Effets indésirables éventuels. et je n’ai pas été voir en quoi consiste le composant actif principal, hormone, ARNm, etc…

      Un truc a cependant retenu mon attention; une seule injection toutes les 12 semaines; pas très ergonomique, les règles c’est toutes les 4 semaines, non ?

      Bon à 3,58 € la dose pour 3 mois (environ), c’est sûr c’est moins cher que la plus antédiluvienne des pilules ! Mais sûrement beaucoup moins sécuritaire, enfin pour la santé ultérieure, apparemment.

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  2. Avatar de practicallyc66ef89cd9 practicallyc66ef89cd9 dit :

    Moi je me dis en lisant ce lien et ces études ( il y en a eu d’autres auparavant ) que j’ai la chance de ne pas être une femme malgré que … Dire qu’il y a des homme qui veulent changer de sexe….

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    • Avatar de elba jovialedbba43735 dit :

      Et moi, practically, je ne voudrais certainement pas être un homme !! Nous voilà tous deux satisfaits de notre sort. 😀 😀 😀

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      • Avatar de Liz Liz dit :

        Je connais une jeune-fille qui est en cours de transition. Elle prend des hormones mâles, son traitement est assez lourd. Bien sûr je fais un effort pour l’appeler au masculin. C’est plus facile maintenant qu’elle est barbue… En attendant la mastectomie. Je trouve cette situation dramatique. Elle va devoir prendre des hormones à vie.

        A Paris dans le quartier de Pigalle, il y a bcp de trans hormonés, des hommes qui se veulent femmes. Ils vieillissent très mal.

        Maintenant, dès que les jeunes-filles sont formées, la mère généralement, la conduit voir un gynécologue qui lui demande si elle a eu « sa première fois. » Que ce soit oui ou non, la pilule contraceptive lui est prescrite okazou. Si bien que les femmes sont sous hormone, de la puberté à la ménopause.

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      • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

        « Si bien que les femmes sont sous hormone, de la puberté à la ménopause.« 

        Et après certains s’étonnent de l’augmentation des cancers !

        « Je connais une jeune-fille qui est en cours de transition. Elle prend des hormones mâles, son traitement est assez lourd. Bien sûr je fais un effort pour l’appeler au masculin.« 

        Eh bien pas moi, une femme est une femme, un homme est un homme; point !

        « Je trouve cette situation dramatique. Elle va devoir prendre des hormones à vie.

        A Paris dans le quartier de Pigalle, il y a bcp de trans hormonés, des hommes qui se veulent femmes. Ils vieillissent très mal.« 

        A ce point; tant pis pour eux ! Comme on dit, c’est dans la tête, docteur !

        Il n’y a aucune RAISON d’encourager ces comportements qui devraient être traités au même niveau que d’autres maladies mentales.

        Bon, il y a bien longtemps que je ne traîne plus à Paris, mais de mon temps c’était plutôt au Bois de Boulogne qu’on trouvait les « Brésiliennes ». En fait c’étaient surtout des homosexuels; les « trans » c’est plus récent !
        Il n’empêche, quelle décadence !

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      • Avatar de elba jovialedbba43735 dit :

        Bonjour,

        Je suis de votre avis, lepiaf. Avant/au lieu d’accepter de transformer un homme en femme ou inversement, le corps médical devrait accompagner au niveau psychiatrique l’individu qui désire se « transformer. » C’est contre-nature que de prendre des médicaments à vie et parfois subir de graves opérations. Et la plupart des gens qui se font faire cela sont malheureux par la suite.

        Quant à Paris… Je n’ai jamais mis les pieds au Bois de Boulogne et je pense que cela ne se fera jamais, je ne vais plus dans la capitale et n’en n’ai plus envie, d’ailleurs.

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      • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

        C’est pour ça que pour le « bien de l’enfant » ces pratiques devraient être sinon interdites, soumise à un âge minimum.
        C’est une atteinte à l’intégrité de la personne !

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      • Avatar de elba jovialedbba43735 dit :

        Non seulement ça, mais ces pratiques monstrueuses ne devraient en aucun cas pouvoir s’appliquer à des personnes qui ne sont pas adultes et en pleine possession de leur compréhension quant à ce qui les attend à l’avenir.

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      • Avatar de practicallyc66ef89cd9 practicallyc66ef89cd9 dit :

        Je ne me sus peut-être pas bien expliqué. Loi de moi d’avoir une suffisance masculine mais quand je vois le sort femmes tout au long de sa vie, je m’interroge : Le cas de mon épouse, une enfance heureuse de petite fille issue d’un milieu modeste, ouvrier puis vient la puberté, les menstrues considérées chez comme normales mais dans d’autres civilisation comme une impureté démonique, un esclavage hygiénique qui durera jusqu’à l ménopause , plus l’enfantement, quatre pour mon épouse qui se sont toujours bien passés sans souffrances, un bonheur pour elle et moi mais, malgré l’allaitement maternel préconisé, un cancer du sein à 51 ans, opéré mais ayant entrainé de facto un diabète contre lequel elle lutte toujours, et comme si ça ne suffisait pas, malgré elle les suivi médical annuel ( frottis, scanners, mammographie, prises de sang etc…) un cancer de l’endomètre que personne n’a vu venir opéré en 2019 ( juste avant la Covid, ouf…) et depuis encore plus d’examens… Sans compter l’impact qu’elle a eu dans sa vie professionnelle, ses employeurs sans empathie ( aussi bien hommes que femmes…) .

        J’arrête là, mais ne croyez vous pas que ça suffit dans la vie d’une femme? Malgré mon apparente solidité et mon caractère positif, j’ai eu aussi quelques déboires de santé mais de comparable, pas même des ennuis de prostate communs à beaucoup d’homme à un certain âge. C’est pourquoi je n’envie pas le sort des femme même si elles vivent un peu plus longtemps que les hommes et je suis atterré par cette hérésie qui veut que certains ( hommes ou femmes) veuillent changer de sexe en croyant améliorer leur sort…

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      • Avatar de elba jovialedbba43735 dit :

        @ practically :  » je suis atterré par cette hérésie qui veut que certains ( hommes ou femmes) veuillent changer de sexe en croyant améliorer leur sort… » tout pareil en ce qui me concerne.

        Je suis bien désolée pour votre femme et ce qu’elle a dû et doit encore subir. Je ne pense pas que ses ennuis de santé soient dus au fait qu’elle est une femme, cependant. Des hommes aussi ont un parcours de santé qui tient parfois du « chemin de croix. » Mon propre père, par exemple, est décédé à l’âge de 38 ans, après avoir traîné un cancer pendant cinq ans, alors que je n’ai jamais connu ma maman être alitée ne serait-ce que pour une grippe. S’agit-il d’un hasard ? D’un destin ? Qui peut le dire ?

        En tous les cas, je souhaite sincèrement du fond du coeur, que la santé de votre épouse s’améliore.

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      • Avatar de practicallyc66ef89cd9 practicallyc66ef89cd9 dit :

        Merci. Mes petits enfants sont toutes des filles et je m’inquiète pour elles. Mais que puis-je y faire …

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      • Avatar de elba jovialedbba43735 dit :

        Ne vous inquiétez pas trop, practically. La plupart des femmes sont résilientes et courageuses. Dites vous au contraire que tout ira bien, effectivement vous ne pouvez rien faire à cela.

        Mes quatre filles ont, elles, donné naissance à six garçons et seulement trois filles…

        La vie est un genre de roulette russe.

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  3. Avatar de Liz Liz dit :

    Bien sûr Didier le Piaf, nous sommes en pleine décadence. Favorisée par le ou les pouvoirs dits progressistes. La fête de la musique au château animée par Kiddy Smile, la Cène sur Seine lors des J.O et tant d’autres manifestations de propagande pour les droits LGBTQ². Alors que dans nos sociétés, l’homosexualité ne pose pas problème. Je le sais d’autant mieux que je viens de la danse classique.

    Les hormones donc : la dysphorie de genre était autrefois accompagnée par un psychiatre. J’ignore si actuellement le suivi facilite la transition ou tend à accorder une plage de réflexion, sachant que le changement d’apparence (on ne change pas de sexe) a un coût en termes de santé. Peut-être existe-t-il des études sur la fréquence des cancers de cette minuscule portion de la population, si visible maintenant.

    Je connais des cas de femmes qui ont des maladies thyroïdiennes. Elles ont pris la pilule contraceptive de l’adolescence, 16 ans pour l’une d’entre elles, à la quarantaine dépassée. J’ai évoqué la possibilité d’un lien avec ce supplément hormonal. Un des endocrinologues a dit que c’était bien possible. Plus les cancers et autres joyeusetés.

    Bonne journée à tous !

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