
La presse se lance dans une double réhabilitation , celle de Glucksmann et celle de son dictateur actuellement en prison . Je ne donnerai pas de sources chinoises mais celles de la même presse , il y a quelques années …
Il faut vraiment que le
@partisocialiste ait perdu tout respect de lui-même pour confier sa tête de liste à cet imposteur qui a passé son temps à lui cracher dessus. Mais les militants socialistes adorent se faire arnaquer. Tous les escrocs, comme Cambadélis, le savent bien.
1 Que dit Wikipédia pourtant pas pro chinoise?
Le 8 août 2017, le parquet général géorgien a affirmé que Saakachvili encourt jusqu’à onze ans d’emprisonnement (lui étant reprochés le détournement de fonds publics, les abus de pouvoir commis lors de la dispersion de la manifestation du 7 novembre 2007 (et notamment les coups infligés à l’ancien député Valery Gelachvili (ka)) ainsi que le raid policier dans les locaux d’Imedi TV)60.
Le 15 août 2017, dans une interview accordée à l’édition ukrainienne de « Observer », Nana Kakabadze, militante géorgienne des droits de l’homme, leader de l’ONG « Anciens prisonniers politiques pour les droits de l’homme » et du mouvement populaire « Justice », a déclaré que, selon elle, les accusations portées par le Bureau du Procureur général géorgien ne reflétaient pas pleinement les crimes commis pendant la présidence de Saakachvili. Selon elle, sous la présidence de Saakachvili, la Géorgie comptait le plus grand nombre de prisonniers au monde. Selon Kakabadze, quand Saakachvili est arrivé au pouvoir il y avait 5700 prisonniers ; un an plus tard ce nombre était de 12000. Pendant toute la durée de la présidence de Saakachvili, elle estime qu’il y aurait eu entre 25000 à 30000 prisonniers.
Elle met par ailleurs en avant les tortures de les « traitements inhumains » infligés aux prisonniers. Kakabadze fait également état des cas où les forces de police ont tiré dans la rue sur des « gens innocents », surtout des « jeunes ». Pour sa seule organisation, elle dénombre 150 noms de personnes « tuées là, dans la rue ». Selon Kakabadze, dans la plupart des organisations non gouvernementales indépendantes qu’il a dissoutes, Saakachvili « soudoyait les gens », créait des fonds informels et forçait ses opposants à y transférer leurs fonds. Ces fonds étaient par ailleurs sobrement baptisés « Fonds pour le développement du Bureau du Procureur », « Fonds pour le développement du Ministère de l’intérieur ». En outre, elle accuse Saakachvili d’avoir, pendant sa présidence, organisé et fait prospérer un racket d’état.
Kakabadze détaille ainsi l’impressionnant système mis en place permettant de procéder rapidement à la création d’entreprises, placé sous la coupe de Saakachvili et son équipe. « Seules trois ou quatre personnes contrôlaient tout
2 Que disait la presse il y a dix ans?



On imagine mal le ressenti des Géorgiens vis-à-vis de Saakachvili et son équipe et leur volonté de les voir payer pour les crimes commis. Beaucoup de gens ont été touchés par ce système brutal et répressif qui c’était abattu sur les Géorgiens durant ces dernières années, en particulier dans le monde de l’économie ou contre de pauvres gens qui avaient commis des fautes mineures mais se retrouvaient en prison.
3 LE DOSSIER DU SITE LES CRISES EN 2019
https://www.les-crises.fr/video-4-raphael-glucksmann-lavventura-avec-le-despote
Quoi de plus facile, berner les socialistes, pour cela il faut des socialistes!
Il est difficile de faire plus débile, hein flamby! L’ENA regorge de ces abrutis, à croire qu’il s’agit du nid originel
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