En Grande Bretagne les statistiques officielles mettent en évidence une épouvantable détérioration de la santé (cancers, myocardites) à partir de 2021

44% de cancers du sein en plus, triplement des myocardites , doublement des cancers de l’uterus ,il se passe quelque chose de pas naturel depuis 2021

Une lettre de

Andrew Bridgen

Hier, tous les députés et pairs ont reçu un résumé des propres données du NHS, qui indiquent d’énormes augmentations de maladies à partir du printemps 2021 suite au déploiement du vaccin expérimental Covid 19. Aucun d’entre eux ne peut désormais dire qu’il ne le savait pas ou qu’on ne lui l’a pas dit. Tout est dans les données du NHS elles-mêmes. J’espère que mes collègues seront désormais enthousiastes à l’idée de soutenir mon débat sur la réponse à la pandémie de Covid 19 et les tendances en matière de mortalité excessive, le jeudi 18 avril à la Chambre des communes.

@ABridgen à ses collègues de Westminster, avec plus que quelques chocs qui y sont attachés… Télécharger à partir de… https://ethicalapproach.co.uk/healthdataletter.pdf

cancers du sein

Les graphiques de données fournissent donnent le nombre d’« épisodes de consultant terminé » sur les 11 années, pour
100 diagnostics.

Ces graphiques de données particuliers montrent clairement une augmentation de l’incidence du problème spécifié.
diagnostic en 2021/2022 puis de nouveau en 2022/2023.

144 diagnostics de cancers du sein en 2023 contre 100 en moyenne au cours des 11 années précédentes , soit 44% de hausse

64% de hausse pour les cancers urinaires

90% de hausse pour les malformation congenitale circulatoires

118% de hausse pour les cancers de l’uterus

200% de hausse (triplement des myocardites)

triplement de l’asthme non allergique

https://t.co/Jc4qOr8w9f

Dans ce rapport, nous décrivons le cas d’une jeune femme sportive en bonne santé qui a développé une leucémie lymphoblastique aiguë (LAL)/lymphome lymphoblastique (LBL) après avoir reçu la deuxième dose du vaccin génétique COVID-19 à ARNm modifié (ARNmod) de Pfizer/BioNTech ( commercialisé sous le nom de Comirnaty ® ).

La première dose du vaccin génétique ne semble pas provoquer d’effets secondaires notables, mais dans les 24 heures suivant la deuxième dose, le patient a souffert de douleurs osseuses généralisées et croissantes, de fièvre, de vomissements et d’un malaise général. En raison de la persistance des symptômes, le patient a subi une série de tests et d’examens comprenant un bilan de laboratoire complet, une consultation avec un immunologiste clinicien et un rhumatologue, une imagerie par tomographie par émission de positons (TEP), ainsi qu’une biopsie ostéomédullaire.

Ensemble, ces éléments ont conduit à un diagnostic définitif de LAL. Un intervalle de temps de 16 semaines entre la deuxième vaccination et le diagnostic de cancer a été noté. Plusieurs cas similaires présentant une pathologie identique qui se sont développés après la vaccination modRNA COVID-19 sont décrits dans des rapports de cas dans la littérature scientifique.

L’utilisation massive et aveugle de vaccins génétiques pour lutter contre le COVID-19 suscite de sérieuses inquiétudes quant à leur sécurité et quant à la plateforme technologique dans son ensemble à cet effet. Les preuves s’accumulent concernant la biodistribution et la persistance du modRNA qui peut atteindre, grâce aux nanoparticules lipidiques, une multitude de tissus et organes du corps, dont la moelle osseuse et d’autres organes et tissus hématopoïétiques.

De plus, il est prouvé que les vaccins modRNA présentent un tropisme particulier pour la moelle osseuse, influençant le système immunitaire à plusieurs niveaux et étant capables de déclencher non seulement des pathologies auto-immunes, mais également des mécanismes néoplasiques.

L’objectif de cet article est d’évaluer, sur la base de la littérature scientifique disponible, le risque de développer des cancers hématopoïétiques après vaccination par modRNA, et d’étudier les mécanismes génétiques potentiels impliqués dans la pathogenèse de la maladie.

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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7 commentaires pour En Grande Bretagne les statistiques officielles mettent en évidence une épouvantable détérioration de la santé (cancers, myocardites) à partir de 2021

  1. Covidemence.com dit :

    « 144 diagnostics de cancers du sein en 2023″

    Attention. il s’agit d’un code diagnostic très particulier (cancer sein RELIE à des antécédents dans la famille).

    Le « vrai » cancer du sein si j’ose dire est le code « C50 » (« Malignant neoplasm of breast ») (j’ai mis graphique sur mon blog).

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  2. Claude Pujos dit :

    En 2020 déjà,la plupart des scientifiques nous mettaient en garde contre l’utilisation de ces vaccins.mais les affairistes et les politiques insistaient avec arrogance pour leur utilisation.En france çà nous a coûté 300 milliards d’euros directement ( et combien en effets secondaires actuellement,et de décçès ).Et n’oublions pas que 30% d’entr’eux que nous avons payés n’étaient que des placebos……..Il devrait y avoir à l’heure actuelle beaucoup de monde derrière les barreaux!

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  3. guillaume rampon dit :

    J’ai regardé les histogrammes, les années vont de du 1 juillet au 30 juin.

    Les augmentations commencent pratiquement toutes au 1 juillet 21.

    Il faudrait avoir le nombre d’injections effectuées pour mettre les données en corrélation.

    Sinon c’est un article a étudié avec soin. Bien sur les petits télégraphistes du gouvernement appelés aussi fack chekers nous diront « corrélation n’est pas causalité ».  

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  4. guillaume rampon dit :

    J’ai visité le site covidémence.

    Le site dit :

    Voici ce que cela donne (les années sont des années fiscales particulières, donc du 1er avril ou 31 mars…).

    J’ai cherché ce qui permettait d’affirmer ça, rien n’est précisé sur les histogrammes, si je les regarde attentivement j’ai l’impression que le 1 janvier se situe au milieux de l’histogramme.

    Absolument d’accord avec :

    « -attention (notre Stanislas national peut en attester)… compter des “diagnostics“, pire encore des “codes de diagnostic“, demeure un exercice… extrêmement périlleux… dans le sens extrêmement humain (un médecin doit cocher une ou plusieurs cases sur un écran ou un papier). Et donc sujet à des erreurs, voire des manipulations, des oublis, des mensonges, ou simplement une imbécillité crasse. »

    Cela s’appelle l’idiosyncrasie chose qui toucherait selon la doxa que les patients, les médecins sont des scientifiques au dessus des contingences de nous simple mortel. Cela ne vous a t’il sauté aux yeux ces 3 dernières années ?

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