Le 21eme siècle redécouvre la mithridatisation : ingérer des doses de poison violent pour s’en protéger (si l’on survit aux doses), l’ ARNm, mais oublie le super poison de la fabrication

Pouvait on concevoir d’injecter un poison reconnu comme tel pour soigner les malades et ce, au 21eme siècle? Quand on parlait de vaccination, il s’agissait d’un virus ATTENUE, mais dans le cas évoqué rien n’est atténué…

On redécouvre sans le savoir les expériences du roi Mithridate qui empoisonnait ses prisonniers pour tenter ensuite de les sauver avec des antidotes…inefficaces

Faire fabriquer par l’organisme la proteine spike du virus covid , la partie la plus dangereuse ???Hélas le danger ne se limite pas à la spike le super poison de la fabrication industrielle et la contamination par l’adn de tas de bactéries et de virus rend ces produits plus dangereux que la maladie

La protéine Spike de la covid est toxique. Pourquoi injecter cette protéine ? Ce qui revient à injecter la maladie…

@AnneliseBocquet a montré qu’elle est vecteur d’anomalies immunitaires. Le moins vous recevez de Spike (infections et/ou injections), le mieux c’est ! En cas d’infection il faut se traiter !] »

Malheureusement au poison de la spike se rajoute un poison spécifique à l’injection, un poison qui n’est pas dans l’infection mais dans la seringue

Cet article a été publié en 1997. Le danger des plasmides et de l’éventuelle intégration de l’ADN est CONNU. C’est sans les LNP ni la pseudouridine. Pourquoi « La Science » ne le savait-elle pas ?

Des experts découvrent plus de 200 milliards de fragments d’ADN dans une dose unique du vaccin à ARNm contre la COVID-19 de Pfizer

L’expert en génomique du cancer, le Dr Phillip Buckhaults, a récemment témoigné devant le Sénat de Caroline du Sud au sujet de la contamination par l’ADN trouvée dans les vaccins à ARNm de Pfizer contre la COVID-19. Il y a environ 200 milliards de morceaux d’ADN plasmidique dans chaque dose du vaccin Pfizer COVID-19, a-t-il déclaré. Ces morceaux d’ADN sont conditionnés dans des nanoparticules lipidiques, essentiellement un virus synthétique, et sont introduits dans les cellules des personnes vaccinées.

« Cet ADN, à mon avis, pourrait être à l’origine de certains effets secondaires rares, mais graves, comme la mort par arrêt cardiaque.

« Cet ADN peut s’intégrer et s’intégrera probablement dans l’ADN génomique des cellules qui ont été transfectées avec le mélange vaccinal… nous le faisons tout le temps en laboratoire ; nous prenons des morceaux d’ADN, nous les mélangeons avec un complexe lipidique, comme celui du vaccin Pfizer, nous le versons sur les cellules et une grande partie pénètre dans les cellules. Et une grande partie pénètre dans l’ADN de ces cellules et devient un élément permanent de la cellule. Ce n’est pas seulement une chose temporaire. Il est désormais dans cette cellule et dans toute sa descendance, et pour toujours… C’est pourquoi je suis un peu alarmé par la présence de cet ADN dans le vaccin. C’est différent de l’ARN car il peut être permanent.

Sur la base d’une biologie moléculaire solide, il est théorique mais raisonnable que cet ADN puisse provoquer une attaque auto-immune soutenue contre ce tissu, a-t-il déclaré.

« Il s’agit également d’un risque théorique très réel de cancer futur chez certaines personnes. Selon l’endroit du génome où ce morceau d’ADN étranger atterrit, il peut interrompre un suppresseur de tumeur ou activer un oncogène », a-t-il ajouté. « Je pense que ce sera rare mais je pense que le risque n’est pas nul. »

L’ARNm covid; une impasse dangereuse comme le fut le mithridate de l’Antiquité

Le mithridate, également connu sous les noms de mithridatiummithridatum ou mithridaticum, fut un remède semi-mythique utilisé comme antidote contre l’empoisonnement. Il aurait été créé par le roi Mithridate VI Eupator au 1er siècle avant J.-C.

Suite à l’assassinat de son père par empoisonnement, le roi Mithridate devint obsédé par les intrigues et les conspirations de sa cour et se consacra à l’étude des plantes vénéneuses pour s’en protéger. Il fit de nombreuses expériences sur ses prisonniers, les empoisonnant quotidiennement puis essayant de les sauver par des antidotes. Mithridate fit aussi des essais sur des animaux : il nourrissait ses canards d’arsenic et de chair de vipères (qu’à l’époque on croyait être venimeuse), puis il buvait leur sang pour s’immuniser. A force d’expérimentations sur lui-même, il devint insensible à certains poisons. Vaincu par Pompée, il voulut se suicider par empoisonnement, mais n’y parvint pas et dut se faire tuer par un de ses gardes.

Pompée ramena la recette à Rome, où le mithridate fut également nommé « Damocrate », du nom du médecin romain qui mit la description du mithridate en vers hexamètres. Au Moyen Age et à la Renaissance, c’était l’une des drogues les plus complexes et les plus recherchées car son usage s’était étendu à d’autres maux : peste, fièvres malignes, petite vérole, scorbut, épilepsie, apoplexie, paralysie, etc. Il était connu pour fortifier l’estomac et le cerveau. La fabrication du mithridate s’est poursuivie jusqu’au 19e siècle. Ce fut l’un des principaux médicaments dans les magasins d’apothicaires.

Pline l’Ancien nota son scepticisme à l’égard du mithridate : « L’antidote mithridatique est composé de cinquante-quatre ingrédients, dont aucun n’a le même poids, tandis que pour certains, il est prescrit un soixantième d’un denier. Lequel des dieux, au nom de la Vérité, a fixé ces proportions absurdes ? Aucun cerveau humain n’aurait pu être assez affûté. C’est clairement un défilé voyant de l’art, et une vantardise colossale de la science ». 

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
Cet article a été publié dans éducation prépa école de commerce. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

4 commentaires pour Le 21eme siècle redécouvre la mithridatisation : ingérer des doses de poison violent pour s’en protéger (si l’on survit aux doses), l’ ARNm, mais oublie le super poison de la fabrication

  1. maikoro12 dit :

    A partir de 217 doses (si on y arrive) on ne risque plus rien….

    J’aime

Laisser un commentaire