Scandale en #Allemagne ! Le magazine #Multipolar a réussi à exiger légalement la publication de protocoles jusqu’alors gardés secrets de l’équipe de crise #Covid du Robert Koch Institute RKI dès le début de la « pandémie.

Le magazine a pu intenter une action en justice pour obtenir les documents pertinents. Le contenu est choquant, les mesures Corona n’ont pas été introduites par nécessité médicale, mais plutôt par arbitraire politique .. En question les administrations Merkel puis Scholz…

Le gouvernement , condamné par la justice, a publié des documents noircis, illisibles , mais l’affaire est devenue politique, le scandale a éclaté

Le débat public sur les protocoles du RKI a également fait sensation sur le plan politique. Des responsables politiques de plusieurs partis se sont prononcés ces derniers jours en faveur d’une évaluation plus globale de la période pandémique. Les voix en un coup d’œil :

Les opposants aux mesures attirent à plusieurs reprises l’attention avec des menaces de violence, exigent des arrestations et, sous le slogan « Nuremberg 2.0 », parfois même des « tribunaux » pour les hommes politiques, les scientifiques et les journalistes. Certaines des personnes mentionnées peuvent s’opposer à la publication simplement par souci de sécurité personnelle. À l’inverse, les protocoles pourraient également montrer dans quels domaines le RKI et les hommes politiques ont pu communiquer différemment en interne qu’en externe.

• L’ homme politique de la CDU, Armin Laschet, a critiqué aujourd’hui dans le journal ZDF qu’il n’y avait « qu’une seule opinion » et « qu’elle était considérée à l’époque comme la seule opinion correcte ». « Nous devons tout divulguer », a-t-il déclaré à propos du procès-verbal. En tant que Premier ministre de Rhénanie du Nord-Westphalie, Laschet a été directement impliqué dans l’ordonnance de la plupart des mesures liées au Corona.
• Mardi , le secrétaire général du FDP, Bijan Djir-Sarai, a appelé le Bundestag à créer une commission d’étude pour aborder la période du Corona : « Le fait que même les critiques rationnelles des restrictions imposées à la liberté soient souvent placées à proximité du Corona. Les négationnistes ont divisé notre société. »
• Le politicien vert de la santé Janosch Dahmen s’est prononcé contre une commission d’enquête : « En tant que médecin et homme politique, compte tenu des innombrables victimes, je trouve erroné de vouloir utiliser l’enquête sur la pandémie pour les prochaines campagnes électorales. »

Les réunions internes montrent ce qui s’est passé dans les coulisses du RKI pendant la pandémie – un détail en particulier soulève des questions. Il s’agit de l’évaluation des risques du RKI pour la santé des Allemands. Ce chiffre est passé de « modéré » à « élevé » le 17 mars 2020.

Un jour plus tôt, les documents indiquaient que la nouvelle évaluation des risques avait été préparée et devait désormais être « étendue ». « L’évaluation des risques sera publiée dès que (nom de la personne expurgé) donnera un signal. » Le RKI rend l’acteur clé méconnaissable. « Multipolar » tire la conclusion de cette rédaction que ce n’est pas le RKI qui a évalué les risques, mais une personne externe : « Le renforcement de l’évaluation des risques de « modéré » à « élevé » – la base de toutes les mesures de confinement et du tribunal décisions – a été fondée, comme on le pensait auparavant, non pas sur la base d’une évaluation technique du RKI, mais sur les instructions politiques d’un acteur extérieur.

https://www.tagesschau.de/inland/lauterbach-corona-pandemie-protokolle-100.html

https://www.swr.de/swraktuell/baden-wuerttemberg/tuebingen/vier-jahre-nach-corona-zentrale-fragen-offen-100.html

ILS ONT INVENTE LA DANGEROSITE DE LA COVID ET MISE EN PLACE DES MESURES INFONDEES

 Sociologue de Kassel et ancien conseiller du gouvernement fédéral Heinz Bude a expliqué lors d’un débat qu’au début de la crise du Corona, il avait utilisé des méthodes de communication douteuses pour amener la population à s’aligner sur le gouvernement. « Nous avons dû trouver un modèle pour créer une volonté de suivre qui soit un peu comme la science », a déclaré le sociologue le 24 janvier lors d’une table ronde à l’université de Graz. Avec d’autres spécialistes des sciences sociales, Bude a conseillé le gouvernement fédéral pendant la crise du Corona. L’une des tâches du groupe du ministère de l’Intérieur était de préparer les décisions gouvernementales et de les justifier scientifiquement.

Le modèle en question était basé sur le slogan « Flatten the Curve », a expliqué Bude. Ce n’est pas un modèle scientifique, cela y ressemble. Le groupe consultatif « ne l’a pas inventé lui-même », mais l’a « volé » à un journaliste. Ce modèle a convaincu les gens de participer aux mesures Corona en leur disant : « Si vous êtes bien discipliné, vous pouvez changer la courbe », explique le sociologue de l’Université de Kassel. Bude était également connu comme co-auteur du soi-disant « papier de panique » – un plan stratégique Corona du ministère de l’Intérieur. Le groupe d’auteurs, dirigé par le secrétaire d’État Markus Kerber, a recommandé, entre autres, de choquer les enfants en communiquant leur culpabilité et leur peur.

À l’avenir, Bude s’attend à d’autres « crises singulières », telles que des guerres ou des pandémies, dans lesquelles les gouvernements devraient à nouveau « agir sur le comportement individuel ». Il faudra alors exercer une « coercition » sur les personnes qui disent détenir des informations différentes. Cette contrainte est légitime. Bude a donné l’exemple des évacuations lors d’événements météorologiques extrêmes. La question cruciale est de savoir si ce changement de comportement individuel vers une conformité collective est même possible dans une société libérale-démocrate. Bude a soulevé la question de savoir si la « communication sur la peur » pouvait être utilisée à cette fin.

Dès 2022, Bude expliquait dans une revue sociologique pourquoi il préconisait une communication fondée sur la peur en cas de crise, rapporte le quotidien « Die Welt » . (22 mars) « Des mesures coercitives telles que des couvre-feux, des fermetures d’écoles et des mesures de distanciation sociale » ne pourraient être introduites dans les sociétés démocratiques que si les gouvernements « imaginent des images qui exploitent la confiance des gens dans la science et les modèles scientifiques, afin que les gens eux-mêmes aient une sorte d’aperçu de la situation. nécessité d’agir scientifiquement justifiée », l’article du Welt résume la position de Bude.

Le professeur de Kassel n’est pas le seul parmi ses collègues à penser ainsi, poursuit l’article. Il est cependant surprenant qu’un sociologue comme Heinz Bude, doté d’une telle vision de l’humanité, ait pu siéger au comité consultatif du ministère fédéral de l’Intérieur. Ulf Poschardt, rédacteur en chef du Welt, a exprimé son incrédulité en déclarant que « cette disgrâce de la science n’est toujours pas vraiment prise en compte ».

l y a quatre ans, l’Allemagne connaissait son premier confinement dû au coronavirus. Beaucoup de choses se sont passées depuis, mais des questions demeurent. Par exemple, les dégâts causés par les vaccinations et la surmortalité.

Le monde universitaire accuse l’institut Paul Erlich d’avoir camouflé les effets secondaires des injections

C’est frustrant pour le cardiologue Christian Eick de Rottenburg et pour un groupe de médecins et scientifiques critiques de Tübingen : les vaccinations contre le Corona se poursuivent depuis trois ans – en même temps, on sait beaucoup trop peu de choses sur les effets secondaires et les dommages causés par les vaccins. . Eick et Lisa Federle, commissaire chargée de la pandémie à Tübingen, lancent une accusation alarmante : les politiciens n’ont apparemment aucun intérêt à rendre transparents les risques liés à la vaccination.

Au début, il était ouvert à la vaccination corona, explique le cardiologue de Rottenburg. Mais Christian Eick a alors eu des doutes : quelques mois après le début de la vaccination à grande échelle, il a soudainement observé des cas étranges dans son cabinet : d’étranges problèmes cardiaques chez des personnes qui ne correspondaient pas au profil des patients cardiaques. Au début, il n’y pensait pas beaucoup, dit-il. Et il n’a pas posé de questions sur la vaccination corona parce qu’il ne soupçonnait pas au départ qu’il y avait un lien.

Mais lorsque les vaccinations de rappel ont commencé fin 2021/début 2022, le cardiologue Eick s’est alarmé : son cabinet était rempli de personnes présentant des symptômes après la vaccination. Une proportion sensiblement élevée présentait des signes tangibles tels qu’une insuffisance cardiaque peu claire. Dans certains cas, il y avait des cas vraiment graves. Eick, qui dit avoir travaillé pendant dix ans à l’hôpital universitaire de Tübingen, affirme qu’il n’a jamais posé autant de diagnostics d’insuffisance cardiaque dans sa vie qu’à l’époque. Lorsque les vaccinations de rappel ont pris fin à la mi-2022, les problèmes cardiaques ont diminué malgré les vagues continues d’infections à Covid, a déclaré Eick. Dans le même temps, il y avait une surmortalité en Allemagne en 2021 .

Eick ajoute également : Selon lui, l’étude d’approbation de BioNTech/Pfizer n’aurait jamais été réussie dans des conditions normales, c’est-à-dire sans pandémie. Parce qu’il ne peut pas répondre à des questions cruciales telles que la protection contre les maladies graves et la mort. Est-ce que cela gêne également le traitement ?

L’Institut Paul Ehrlich, qui dépend du ministère de la Santé, est responsable des effets secondaires des vaccins ou des médicaments. Les médecins et les personnes concernées peuvent signaler à l’institut les effets indésirables avérés ou suspectés. Mais selon Federle, Eick et bien d’autres, c’est connu depuis longtemps : la chaîne hiérarchique ne fonctionne pas. La raison est simple : remplir les formulaires prend tellement de temps que la plupart des médecins n’en ont ni le temps ni l’envie. Il faut compter environ 20 minutes, explique Christian Eick, qui dit avoir lui-même réalisé de nombreux reportages.

Le journaliste de Tübingen Volker Rekittke rapporte à SWR qu’il a effectué plusieurs enquêtes auprès de l’Institut Paul Ehrlich. Il demande pourquoi les données de l’assurance maladie ne sont pas utilisées pour déterminer si certaines maladies sont apparues plus fréquemment après l’introduction de la vaccination corona. Il souhaite également savoir comment l’Institut Paul Ehrlich peut recommander un vaccin alors qu’il est clair que ses effets secondaires nocifs ne sont même pas signalés. Les réponses : Les données de l’assurance maladie ne sont pas accessibles pour des raisons de protection des données. Et : L’autorité de régulation européenne EMA a classé le vaccin comme sûr.

LE ROBERT KOCH INSTITUT LOURDEMENT RESPONSABLE

Le RKI a toujours su que le Corona ne représentait pas de danger particulier :

1. Jusqu’en février 2020, il le disait ouvertement.

2. Après l’ordre de « passer à l’échelle » en mars 2020, ils ont propagé les confinements, les couvre-feux et les vaccinations obligatoires. En interne, ils ont écrit la même chose que nous. Sans les contrefaçons

@rki_deaucune mesure n’aurait été juridiquement défendable. Les plus de 2 500 pages du secret #RKIFiles sont révélateurs :

• le modRNA ne protège pas contre la mort

• Le principal risque de Covid est l’âge (83 ans médian)

• Le Corona n’est pas pire que la grippe

@microwies’est battu pendant des années pour garder secrets les protocoles du RKI parce qu’ils documentent la fraude : des millions de personnes ont été gravement blessées, voire tuées, parce que les politiciens ont ordonné une « pandémie » et que le RKI, comme 80 ans auparavant, a placé la conformité au-dessus de l’éthique médicale.

@silvano_trotta

Dans l’une des 1000 pages des #RKIFiles ils ont oublié de noircir un nom… En haut à droite : strategische Entscheidungen = les décisions stratégiques. Date 29 mai 2020. Qui ? La fondation Bill et Melinda Gates…

Karl Lauterbach : « Hier, j’ai fait en sorte que le procès-verbal soit en grande partie noirci. » Une annonce explosive : M. Karl Lauterbach

@Karl_Lauterbachannonce dans l’interview que les protocoles RKI devraient être « occultés » autant que possible . Et cette nouvelle version devrait être disponible dans quatre semaines .

Lauterbach souligne à plusieurs reprises qu’il n’a rien à voir avec les expurgations et qu’il n’était pas en fonction au moment de l’établissement du procès-verbal. C’est vrai : c’était Jens Span. Quant à la manière de procéder, Lauterbach déclare : « Nous devrions maintenant vérifier à nouveau ce qui doit absolument être masqué.

Cela nécessite bien entendu que les droits des tiers soient protégés. Cela signifie que l’Institut Robert Koch doit désormais demander la permission à tous ceux qui souhaitent être nommés dans le procès-verbal ou dont les intérêts sont mentionnés afin que la rédaction puisse avoir lieu. « Cela prendra un certain temps, peut-être quatre semaines, mais une version nettement plus noircie pourra ensuite être présentée. » « Je voudrais souligner que je n’ai rien à voir avec les protocoles, c’est-à-dire avec la question ‘Est-ce que c’est noirci ou pas’ « . « Je n’ai pas encore vu moi-même les protocoles expurgés. » « À l’époque, lorsque les décisions importantes étaient prises, j’étais actif uniquement à titre consultatif . Il s’agissait aussi essentiellement d’évaluer le travail de mon prédécesseur. Je n’étais pas encore en fonction. «