Klebsiella pneumoniae (CRKP), la bactérie tueuse que la covid a fait exploser (et les injections?) Devinez les molécules efficaces?

Derrière chaque grande épidémie virale il y a une bactérie tueuse , la pire celle qui sévit dans les hopitaux

L’une des menaces nosocomiales les plus alarmantes était celle de Klebsiella pneumoniae (CRKP), résistante aux carbapénèmes. La surveillance de l’incidence du CRKP et de la résistance aux antimicrobiens à l’échelle mondiale et locale est d’une importance vitale.

Klebsiella pneumoniae est une bactérie intestinale commune pouvant provoquer des infections potentiellement mortelles. Sa résistance aux antibiotiques de dernier recours (les carbapénèmes) s’est propagée dans toutes les régions du monde. K. pneumoniae est une cause majeure d’infections nosocomiales : pneumonies, infections sanguines et infections des nouveau-nés et des patients en unités de soins intensifs

Plusieurs questions se posent:

Pourquoi cette explosion récente?

Pourquoi les macrolides, l’artemesinine et l’ivermectine sont elles efficaces?

Quid des injections???

L’ Europe reconnait les risques de cancers, de résistance aux antibiotiques, de fertilité et d’intégration de l’ADN plasmidique dans le génome mais…uniquement pour les animaux

Dans une étude rétrospective, l’incidence du CRKP au cours de la période pré-COVID-19 (2017-2019) et de la pandémie de COVID-19 (2020-2022) a été étudiée à l’hôpital militaire central de Ružomberok, en République slovaque.

L’incidence relative du CRKP a augmenté de manière significative au cours de la période COVID-19, de 4,8 fois, passant de 0,18 à 0,76 %.

Dans le même temps, 47 % des patients CRKP-positifs souffraient également du COVID-19. Vingt-six isolats producteurs de KPC et soixante-neuf isolats producteurs de NDM ont été identifiés. Les CRKP isolés en 2022 ont été soumis au séquençage du génome entier et leur sensibilité a été testée au céfidérocol, à la ceftazidime – avibactam, à l’imipénème – relebactam et au méropénème – vaborbactam, avec d’excellents résultats. Les isolats producteurs de KPC étaient également très sensibles à la colistine (92 %). Les isolats de NDM ont révélé des taux de sensibilité plus faibles, dont seulement 57 % de sensibilité à la colistine. ST-307 prédominait dans les KPC et ST-11 dans les isolats de NDM. Malgré l’excellente activité des nouveaux antimicrobiens, une politique antibiotique rationnelle doit être scrupuleusement suivie, appuyée par des traitements complémentaires et des précautions anti-épidémiques strictes.

Avec la propagation inquiétante de la Klebsiella pneumoniae hypervirulente résistante aux carbapénèmes en Europe.

L’European Centre for Disease Prevention and Control (ECDC) a récemment tiré la sonnette d’alarme quant à la dissémination rapide d’une souche de Klebsiella pneumoniae aux caractéristiques préoccupantes.

Cette bactérie, qualifiée d’hypervirulente et de résistante aux carbapénèmes qui sont des antibiotiques de dernier recours, est en effet en train de se propager à un rythme inquiétant à travers l’Europe. Selon l’ECDC, la Klebsiella pneumoniae hypervirulente résistante aux carbapénèmes (CR-HvKP) représente une menace particulièrement préoccupante. Contrairement aux souches classiques de K. pneumoniae, bactérie opportuniste affectant généralement des patients fragiles, la version hypervirulente peut causer des infections sévères même chez des personnes jeunes et en bonne santé.

Son spectre de maladie est également plus étendu, avec une présentation multifocale et une dissémination métastatique fréquentes. Des abcès hépatiques pyogènes, des méningites, des fasciites nécrosantes ou encore des endophtalmies font ainsi partie du tableau clinique. Entre 2021 et début 2024, le nombre de pays européens touchés est passé de 4 à 10 selon l’ECDC. La France, l’Italie, la Norvège ou encore les Pays-Bas font partie des nouveaux pays rapportant des cas d’infection à cette souche baptisée CR-HvKP.

En parallèle, le nombre de cas recensés est passé de seulement 12 à 143 en l’espace de 3 ans. Une augmentation vertigineuse qui ne serait que la face émergée de l’iceberg selon les experts, la capacité de détection faisant encore défaut dans beaucoup d’établissements hospitaliers européens. Autre élément aggravant, cette souche combine hypervirulence et résistance aux antibiotiques de dernier recours. Si les premiers cas de K. pneumoniae hypervirulente ont initialement été décrits en Asie dans les années 1980-1990, sans résistance associée, la situation a désormais radicalement changé.

L’acquisition récente de divers gènes de résistance aux carbapénèmes confère à la bactérie une multirésistance très inquiétante. La CR-HvKP est ainsi redoutable à double titre. D’une part, son caractère hypervirulent lui permet de causer des infections graves y compris chez des personnes auparavant en bonne santé. D’autre part, ses mécanismes de résistance aux carbapénèmes compromettent sérieusement la capacité à traiter ces infections.

Or, les carbapénèmes sont considérés comme les derniers antibiotiques efficaces contre les bactéries multirésistantes. Face à la CR-HvKP, l’arsenal thérapeutique est donc extrêmement limité. Cette caractéristique est d’autant plus préoccupante que l’ECDC considère très probable que cette souche soit en train de devenir la cause dominante d’infections nosocomiales en Europe. Autrement dit, la CR-HvKP se propagerait de manière foudroyante au sein même des hôpitaux et cliniques du continent. Sa dissémination silencieuse chez des patients fragiles risque donc de mener à une augmentation sensible de la morbidité et de la mortalité dans un futur proche, craint l’agence européenne.

Face à ce constat alarmant, l’ECDC presse les États membres à réagir rapidement. Elle insiste notamment sur le besoin crucial d’augmenter les capacités de dépistage par des tests moléculaires rapides. Seule une identification précoce des porteurs, qu’ils soient symptomatiques ou non, permettra de déceler les chaînes de transmission nosocomiales et de les interrompre. L’agence appelle également à un renforcement des mesures d’hygiène et de confinement dans les établissements de santé. À défaut d’une mobilisation d’envergure de l’ensemble des maillons de la chaîne de soins, l’Europe court un risque sanitaire majeur. L’épidémie rampante de CR-HvKP pourrait rapidement échapper à tout contrôle et provoquer une crise aussi grave que mal anticipée. La flambée de cas survenue en quelques années doit servir de signal d’alarme avant qu’il ne soit trop tard, alerte l’ECDC. Alors, voilà la nouvelle pandémie infernale ? Peut-être…

https:// mostraak.com/la-prochaine-p andemie-se-profile/ …

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9758284/#:~:text=Doxycycline%20has%20also%20successfully%20treated,at%208%20h%20in%20K.

La ciprofloxacine est le meilleur antibiotique pour inhiber la croissance de Klebsiella pneumoniae non-BLSE et de Klebsiella pneumoniae BLSE par rapport au cotrimoxazole et à la doxycycline . L’effet inhibiteur augmente avec l’augmentation de la concentration.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37541531

Objectifs : Cette méta-analyse a examiné l’effet des macrolides sur la résolution de la pneumonie communautaire (PAC) et l’interprétation du bénéfice clinique en fonction de la microbiologie ; l’accent est mis sur les pays sous-déclarés (URC).

Méthodes : Cette méta-analyse comprenait 47 publications publiées entre 1994 et 2022. Les publications ont été analysées pour la mortalité à 30 jours (58 759 patients) et la résolution de la PAC (6 465 patients). Une méta-analyse distincte a été réalisée pour la prévalence des agents pathogènes respiratoires dans les URC.

Résultats : La mortalité après 30 jours a été réduite par l’ajout de macrolides (rapport de cotes [OR] 0,65, intervalle de confiance [IC] à 95 % 0,51-0,82). Le RC pour la résolution du CAP lorsque des macrolides étaient ajoutés au schéma thérapeutique était de 1,23 (IC à 95 % 1,00-1,52). Dans l’analyse de résolution CAP, l’agent pathogène le plus répandu était Streptococcus pneumoniae (12,68 % ; IC à 95 % 9,36-16,95 %). L’analyse de l’épidémiologie des pathogènes des URC comprenait 12 publications. Les agents pathogènes les plus répandus étaient S. pneumoniae (24,91 %) et Klebsiella pneumoniae (12,90 %).

Conclusion : L’ajout de macrolides au schéma thérapeutique a entraîné une diminution relative de 35 % de la mortalité à 30 jours et une augmentation relative de 23 % de la résolution du CAP.

Paramètres cliniques de la maladie hypervirulente de Klebsiella pneumoniae et du traitement à l’ivermectine chez les bébés otaries de Nouvelle-Zélande (Phocarctos hookeri)

Ces dernières années, l’utilisation de matières végétales comme complément alimentaire et comme médecine alternative a augmenté. Les herbes médicinales sont une riche source d’agents antimicrobiens. Dans cette enquête, les effets antimicrobiens des extraits de feuilles au méthanol et à l’éthanol d’Artemisia annua contre Staphylococcus aureus PTCC 1431, Salmonella enterica PTCC 1231, Klebsiella pneumonia PTCC 1053, Shigella dysenteriae PTCC 1188 et Escherichia coli PTCC 1399 ont été étudiés, en utilisant la méthode de diffusion par puits. Les extraits au méthanol et à l’éthanol obtenus à partir de feuilles d’A. annua ont présenté une activité antimicrobienne contre les micro-organismes testés. L’extrait méthanolique d’A. annua a montré une forte inhibition de la croissance de S. aureus PTCC 1431, S. enterica PTCC 1231 avec des inhibiteurs de 16,5 et 15,5 mm, avec une moyenne de 13,7 mm. Les résultats indiquent que des extraits d’A. annua pourraient être utilisés efficacement contre des maladies causées par des agents pathogènes humains sélectionnés

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35239682

https://www.researchgate.net/publication/264347453_In_vitro_Antimicrobial_Activity_of_Artemisia_annua_Leaf_Extracts_against_Pathogenic_Bacteria

Ces dernières années, l’utilisation de matières végétales comme complément alimentaire et comme médecine alternative a augmenté. Les herbes médicinales sont une riche source d’agents antimicrobiens. Dans cette enquête, les effets antimicrobiens des extraits de feuilles au méthanol et à l’éthanol d’Artemisia annua contre Staphylococcus aureus PTCC 1431, Salmonella enterica PTCC 1231, Klebsiella pneumonia PTCC 1053, Shigella dysenteriae PTCC 1188 et Escherichia coli PTCC 1399 ont été étudiés, en utilisant la méthode de diffusion par puits. Les extraits au méthanol et à l’éthanol obtenus à partir de feuilles d’A. annua ont présenté une activité antimicrobienne contre les micro-organismes testés. L’extrait méthanolique d’A. annua a montré une forte inhibition de la croissance de S. aureus PTCC 1431, S. enterica PTCC 1231 avec des inhibiteurs de 16,5 et 15,5 mm, avec une moyenne de 13,7 mm. Les résultats indiquent que des extraits d’A. annua pourraient être utilisés efficacement contre des maladies causées par des agents pathogènes humains sélectionnés

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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13 commentaires pour  Klebsiella pneumoniae (CRKP), la bactérie tueuse que la covid a fait exploser (et les injections?) Devinez les molécules efficaces?

  1. alienor13 dit :

    ce matin, discussion en toute discrétion (les murs ont des oreilles) avec une infirmière, elle m’a fait part du nombre hallucinant de cancers fourdroyants, et D-DIMERES totalement hors de contrôle

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    • lepiaf18 dit :

      Et ça c’est sans doute pas la … CRKP !
      L’antibiorésistance on s’en aperçoit 30 à 40 ans après seulement ? Mais u’est donc devenu le meilleur système de Santé du Monde ?
      On en rirait si ce n’était pas aussi triste. On rentre à l’hôpital sain on en ressort les pieds devant, ça laisse songeur !

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  2. Patrick Huet dit :

    Je reprends : « Cette bactérie, qualifiée d’hypervirulente et de résistante…. »
    Qualifiée par qui ?

    A mon avis par tous les sbires de Big pharma : de Tredos Bidule au CDC, en passant par toutes les fondations phinlanthro-corruptrices.

    Evidemment, ils ne vont jamais dire que les gens sont rongés de l’intérieur par le poison vaccinal.
    Après les pizzas, le fromage et le climat, ils nous sortent la bactérie tueuse.

    Ce n’est pas la bactérie Trucmuche qui les tue, c’est le poison dans leurs veines.
    Il faut donc extraire ce poison de leurs veines !

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    • lepiaf18 dit :

      Bon soyons clairs les bactéries c’est pas forcément bon et parfois même toxique mais aussi… concernant certaines … vital !

      Donc là, on serait en train de réinventer l’eau tiède ! Dans le clan, on a aussi E. Coli et bien d’autres…

      Et je retiens plutôt du discours; faute d’avoir étudié tous les liens fournis ici et histoire de voir quels pourraient être les biais de toutes ces études et qui aurait intérêt à « sortir » la nouvelle molécule miracle sous brevet (donc horriblement chère); qu’on parle d’administration d’ « antibios en dernier recours » alors qu’en préambule (ou presque) de l’article sont mentionnées les question suivantes:
      « Pourquoi cette explosion récente?
      Pourquoi les macrolides, l’artemesinine et l’ivermectine sont elles efficaces?
      Quid des injections??? »

      A la 1ère question; quand on lit en fait, eh bien non, c’est pas si récent que ça, les « maladies nosocomiales » et cette bactérie existe depuis bien longtemps, et sans doute même bien avant qu’on n’en parle. On savait pas vraiment ce qu’elle faisait et comment elle proliférait; c’est tout, comme le reste !

      A la 2è question; Eh bien comment dire, corollaire de la 1ère ! On sait pas, on traite de façon protocolaire et bing au bout d’un moment, le protocole ne fonctionne plus; zut alors ! Voilà ce qui arrive quand on ne réfléchis plus et que comme un automate on traite les effets et non les causes. Un manque de respect total de mère Nature et du domaine du vivant en perpétuelle évolution.
      Notre corps est une immense usine chimique comportant un nombre incalculable (et variable d’un individu à l’autre) de ces bactéries en perpétuelle interaction. Le système fonctionne à l’équilibre. Il faut donc changer de fondamentaux. C’est pas la bactérie ui pose problème, c’est ce qu’on croit en savoir !

      Et on le saura quand de vrais chercheurs auront mis en évidence les interactions entre ces substances et cette bactérie, … jusqu’à ce que la bactérie disparaisse ou gagne ! pour les Macrolides on commence à bien voir mais a panoplie des antibiotiques est large…
      Et ça n’intéresse pas big Pharma, ça ne rapporte rien; certaines molécules étant dans le domaine public !
      Enfin, … jusqu’à ce qu’il y ait de véritable hécatombes dans les services de soins intensifs !

      A la 3è et dernière: ben là il est trop tôt pour le dire, mais il est facile de penser que l’affaiblissement du système immunitaire puisse favoriser la prolifération de la bactérie, comme d’autres, et conduire à une issue fatale.
      Une infection bactérienne quand on n’est pas en bonne santé, c’est jamais bien bon !

      Pour le reste, tenter de faire peur en disant que celle-ci s’attaque même aux personnes en bonnes santé, ça me fait doucement rigoler !
      Combien de bactéries vous rendent malades alors que vous ne l’êtes pas ? Genre E. Coli ou Salmonella dans une pizza Buitoni ou dans des œufs.

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    • alienor13 dit :

      m’enfin, c’est billou notre sauveur que l’a dit ! douteriez vous de sa parole ?????

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      • Patrick Huet dit :

        Je pense qu’il s’agit surtout d’un test pour savoir ce qui va provoquer le plus d’effroi dans la public tout en ayant un aspect « crédible » aux yeux de ce public (et aussi des résistants).

        De façon à être sûr que les résistants autant que les ‘totalement soumis » relaierons l’angoisse sur tous les canaux.

        Donc, là, on tente le coup de la bactérie Klebsiella, demain on tentera la bactérie Isabella (ou autre).

        Puis ils analyseront ce qui marche le mieux pour ensuite lancer leur machine à propagande.

        Et ainsi les Résistants autant que les « soumis » seront d’accord pour crier ensemble la peur contre une bactérie qu’ils présenteront comme tueuse 100 %, alors qu’elle est quasiment inexistante….
        … et ne touche que 200 personnes sur milliards…., et encore des personnes à l’organisme très affaiblis, parce que quand on est dans un hôpital, c’est que l’organisme n’est pas capable de survivre tout seul, et n’importe quelle bactérie peut le faire tomber).

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      • alienor13 dit :

        rappelez vous, ils nous avaient sorti la variole du singe, puis la variole de la tomate, véridique !

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  3. pujos claude dit :

    Si Klebsiella est devenue résistante aux antibiotiques,elle est surement sensible à plusieurs huiles essentielles!Mais je suppose qu’il est criminel( n’est ce pas Big Pharma ) d’évoquer la chose?

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    • lepiaf18 dit :

      C’et une évidence puisque les huiles essentielles c’est des … extraits particulièrement concentrées de… plantes.
      Concernant les affections respiratoires, il y en a sans doute toute une panoplie qui doivent agir, regardez ici éventuellement:
      https://www.compagnie-des-sens.fr/quelle-huile-essentielle/.
      Je citerais de tête, Ravinstara, Tea Tree, Eucalyptus Radiata et sans doute aussi, Menthe poivrée (l’aspirine des huiles essentielles), Thym…
      Vous avez sur le site mentionné un nombre intéressant de « synergies », de quoi vous faire vos propres « cocktails ».

      Dont ce mélange contre les infections ORL:
      Réservée aux + de 6 ans. Déposez 3 gouttes du mélange sur le thorax et sur le haut du dos. À renouveler 6 fois par jour pendant 2 à 3 jours.

      60 gouttes d’huile essentielle de Ravintsara
      40 gouttes d’huile essentielle d’Eucalyptus Radiata
      20 gouttes d’huile essentielle de Laurier Noble
      40 gouttes d’huile essentielle d’Épinette Noire
      80 gouttes (4 mL) d’huile végétale de Nigelle

      Vous voyez en particulier apparaître l’huile de … Nigelle !
      De quoi soigner Covid, Grippes et « négocier » ou au moins bien ralentir cette fumeuse bactérie.
      Bonne lecture

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      • Patrick Huet dit :

        Merci pour l’info.
        C’est toujours utile pour calmer les peurs générées par la propagande.

        Mais, attention, ce que je vais dire, n’est pas dirigé contre vous à titre personnel ni contre l’auteur de l’article (auquel je porte un profond respect), mais une alerte aux « Résistants :

        rien que le fait de parler de « bactéries tueuses », c’est accepter le narratif de Bill Gates et de l’OMS qui nous Garantissent l’arrivée d’une telle bactérie.

        Et quoi de mieux que de se servir du réseaux de Résistance pour cela, en faisant paraitre comme crédible, une information totalement bidon !

        Or, j’ai l’impression que cet article, s’est complètement fait avoir par les relais de Bill Gates. Et que sans sans rendre compte, il a accepté l’idée d’une bactérie tueuse, impossible à guérir est en train de monter à des niveaux vertigineux (d’une dizaine à deux cents sur milliards)

        Faut-il applaudir les services de Gates, de la GAVI (c’est Gates aussi), l’OMS pour avoir su si bien infiltrer des angoisses bidons au sein de différents secteurs ?

        En ce qui me concerne, depuis le H1N1, quand j’entends parler de maladie ‘incurable », je sais exactement qu’il s’agit d’une manipulation, peu importe à quel point cela paraît crédible .

        C’est toujours une manipulation mensongère !

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      • Patrick Huet dit :

        petite rectification je voulais dire « épidémie d’une maladie incurable ».

        En ce qui me concerne, depuis le H1N1, quand j’entends parler d’épidémie d’une maladie incurable », je sais exactement qu’il s’agit d’une manipulation, peu importe à quel point cela paraît crédible .

        C’est toujours une manipulation mensongère !

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  4. CLERC dit :

    Bonjour, on la trouvé où cette ciprofloxacine ces extraits d’Artemisia annua ?
    Encore bravo a Patrice Gibertie dont je diffusé autour de moi ses lettres

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  5. Patrick Huet dit :

    Tiens, je viens d’avoir une idée.
    Puisque le camp de l’oppression est toujours avide de donner des étiquettes à ceux qui leur résistent, pourquoi ne ferions-nous pas de même avec ceux qui se sont inclinés devant leur campagne de terreur.

    Puisque nous sommes des Résistants, pourquoi ne pas les appeler les « Soumis ». ou les « ultra-soumis »

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