Ils avouent: il y a bien de l’ARNm dans le lait maternel des mamans vaccinées …et dans les bébés

Le gouvernement américain a déclaré qu’il était sans danger pour les femmes enceintes de recevoir le vaccin contre la COVID-19, car l’ARNm injecté restait dans le bras et ne voyageait pas à travers le corps. Mais voilà qu’une nouvelle étude du Lancet, qui a révélé la présence d’ARNm dans le lait maternel, montre que le gouvernement a menti.

Il n’y avait aucune raison de s’inquiéter, selon les experts, car l’ARNm injecté reste dans le bras et ne circule pas dans le corps. « Il est peu probable que le lipide du vaccin pénètre dans la circulation sanguine et atteigne les tissus mammaires », a assuré l’Académie de médecine de l’allaitement maternel dans un communiqué le 14 décembre 2020. « Si c’est le cas, il est encore moins probable que la nanoparticule intacte ou Transfert d’ARNm dans le lait. Mais voilà qu’une nouvelle étude cruciale, publiée hier dans le Lancet, révèle que cela a toujours été un mensonge.

Idem en France !

@BanounHelene

Détection ARNm du vaccin dans lait mères allaitantes 45h après le vaccin inquiétudes quant à exposition bébés à ARNm toxique via mère qui allaite Mères sous placebo dans essai Pfizer vaccinées 30 j après naissance : 29 bébés sous placebo /15 vaccinés pas terminé surveillance 6 m

Une étude évaluée par des pairs détecte l’ARNm du vaccin dans le lait des mères allaitantes peu de temps après le vaccin ! Cela soulève des inquiétudes quant à l’exposition des bébés à l’ARNm toxique via la mère qui allaite ! Les mères sous placebo dans l’essai Pfizer ont été vaccinées 30 jours après la naissance : 29 bébés sous placebo contre 15 bébés vaccinés n’ont pas terminé la surveillance de 6 mois !

THE LANCET : Des traces d’ARNm du vaccin COVID ont été détectées dans le lait maternel de certaines femmes allaitantes durant les 45 premières heures après la vaccination.

Nos résultats démontrent que l’ARNm du vaccin COVID-19 ne se limite pas au site d’injection mais se propage de manière systémique et est conditionné dans les BM EV. Cependant, comme seules des traces sont présentes et qu’une activité de traduction claire est absente, nous pensons que l’allaitement maternel après la vaccination est sans danger, en particulier 48 heures après la vaccination. Néanmoins, étant donné que la dose minimale de vaccin à ARNm nécessaire pour déclencher une réaction immunitaire chez les nourrissons de moins de 6 mois est inconnue, un dialogue entre une mère qui allaite et son prestataire de soins de santé devrait aborder les considérations avantages/risques de l’allaitement maternel dans les deux premiers jours suivant la vaccination maternelle.

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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3 commentaires pour Ils avouent: il y a bien de l’ARNm dans le lait maternel des mamans vaccinées …et dans les bébés

  1. Jean Sentrais dit :

    Ah ! l’émotion de l’Olive Véreuse est perverse : chacun se souvient qu’il se faisait filmer en (pseudo ?) vaxxinant sa collègue Olivia Grégoire enceinte ! juste pour montrer l’exemple …

    L’Olive et l’Olivia ne savent plus comment s’en démettre, sinon en mentant mentant mentant.

    L’émotion feinte et perverse de l’Olive Véreuse ne concerne que son triste sort, perso : un jour, ne le sait-il ? il devra en répondre par-devant toutes les femmes enceintes vaxxinées qui accouchèrent d’un mort-né, ou d’un enfant innocent qui porte en son corps – à vie – la malédiction tranhumaniste !

    L’Olive Véreuse est un sinistre Sire. De la pire espèce humaine …

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  2. Jean Sentrais dit :

    Je ne suis prosélyte en rien, or j’avais à cœur de retrouver une trace de ce que je savais déjà : la domestication du vent à toute bonne fin de délivrer de l’énergie de travail.

    Voici, des éoliennes millénaires … qui servent notamment à moudre du grain, en Iran :

    J’avais vu d’autres images de tels ouvrages en Mongolie. Et pas des moulins-à-prières tibétains … quoi que nos éoles enfantines des plages de Normandie flattaient tôt notre faculté humaine de la contemplation et de la méditation.

    Je me plais même à penser que le Trisquel breton est une représentation symbolique et mythologique de l’énergie du vent … N’avons-nous jamais été animistes ?

    J’écris ceci, peut-être pour échapper à la nuisance de notre EMmerdeur : car il eut mieux valu qu’il fît du vent.

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