Pourquoi ne parle t on que de l’hydroxychloroquine alors que Raoult prescrivait également l’azithromycine ? Souvent de l’ivermectine, du zinc, de la vitamine d? Tout simplement pour détourner l’attention de l’essentiel.Le virus tue peu, les infections bactériennes qui l’accompagnent, tuent beaucoup et elles se soignent mais ces soins ont été interdits ! Pire ils ont été remplacés par du RIVOTRIL dans les ehpads
Les historiens et les scientifiques démontrent qu’hier comme aujourd’hui la stratégie du tout vaccin face à des virus mutants n’est pas la solution . Les virus provoquent une pathologie dont l’issue dépendra d’une infection bactérienne. Problème: il est difficile de mettre en évidence la présence d’une surrinfection bactérienne , dans la moitié des cas, il n’y a pas assez d’expectorations et quand l’analyse et possible les faux négatifs interviennent dans une autre moité des cas .
Combien de malades de la covid ou de la grippe sont ils également porteur d’une infection bactérienne? Très peu au début de la maladie :8 à20% mais personne ne peut le dire.
Combien parmi ceux qui sont intubés en soins intensifs? bien plus de la moitié. Le taux de mortalité est alors de83%
Pire , les études démontrent que ceux qui sont victimes de contamination bactérienne deviennent alors de supers contaminateurs des virus covid et grippe.
Antibiotiques, vitamine D, Zinc permettent de lutter contre les infections bactériennes . Les antibiotiques en milieu hospitalier peuvent favoriser des bactéries résistantes, mais PAS A DOMICILE
Il fallait faire croire que le virus tuait et que le vaccin était donc la seule solution
Dans ces conditions les autorités ont interdit l’usage habituel des antibiotiques en cas de covid… Depuis l’apparition des antibios les médecins n’hésitaient pas à les prescrire en cas de grippe et de maladie virale . Toutes les études prouvent que la grippe (y compris la H1N1 ou grippe espagnole) ne tue qu’en cas d’infection bactérienne.
La covid n’échappe pas à la règle : les covids graves qui conduisent à la mort ne viennent pas du virus sars cov2 mais des bactéries que pouvaient soigner les antibiotiques
GRIPPE ESPAGNOLE DE 1918, le virus H1N1 de la grippe a peu tué, les bactéries beaucoup et il n’y avait pas d’antibiotiques et de vitamine d
Les décès au cours de la pandémie de grippe de 1918-1919 ont été attribués à une souche de grippe hypervirulente. Par conséquent, les préparatifs de la prochaine pandémie se concentrent presque exclusivement sur la prévention vaccinale et le traitement antiviral des infections par une nouvelle souche grippale. Cependant, nous émettons l’hypothèse que les infections par la souche pandémique provoquaient généralement des maladies spontanément résolutives (rarement mortelles) qui permettaient aux souches colonisatrices de bactéries de produire des pneumonies hautement mortelles. Cette hypothèse d’infection séquentielle est cohérente avec les caractéristiques de la pandémie de 1918-19, l’opinion d’experts contemporaine et les connaissances actuelles concernant les effets physiopathologiques des virus de la grippe et leurs interactions avec les bactéries respiratoires
Fauci et al. concluent que la plupart des décès dus à la grippe espagnole étaient dus à la pneumonie bactérienne secondaire. >
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18680641/
Brundage et Shanks ( 1 ) ont étudié le délai de décès à partir de l’apparition des symptômes de la grippe pendant la pandémie de 1918 dans les populations militaires et civiles et ont trouvé un délai médian de décès de 7 à 11 jours. Ils soutiennent que ces données soutiennent l’idée que les décès pourraient être principalement dus à une surinfection bactérienne après la phase aiguë de la grippe. Nous avons observé un délai médian de décès similaire de 10 jours chez les soldats décédés de la grippe en 1918 ( 2 ), un résultat cohérent avec le délai de décès pour une surinfection bactérienne, en particulier la pneumonie bactériémique pneumococcique
Rôle prédominant de la pneumonie bactérienne comme cause de décès dans la grippe pandémique : implications pour la préparation à la grippe pandémique. Morens DM, Taubenberger JK, Fauci AS. J Infect Dis. 2008 ; 198 :962–970. [ Article PMC gratuit ] [ PubMed ] [ Google Scholar ]
L’exposition au soleil, source de vitamine D détermine la gravité de la maladie
La vitamine D régule à la hausse la cathélicidine qui est un puissant agent antibactérien + antiendotoxine, efficace dans le
Et la Covid? LES ETUDES PROUVENT QUE 8 à 20% au moins des malades de la covid ont une infection bactérienne en même temps mais quand la maladie s’agrave le pourcentage explose!
Les co-infections bactériennes chez les patients hospitalisés se sont révélées être des super-diffuseurs de germes résistants lors des précédentes épidémies de SRAS-CoV, chaque individu infectant potentiellement plus de dix personnes supplémentaires [ 34 ] .
Une étude de cohorte rétrospective a montré que 50 % des patients COVID-19 décédés avaient une co-infection bactérienne
Évolution clinique et facteurs de risque de mortalité des patients adultes hospitalisés atteints de COVID-19 à Wuhan, en Chine : une étude de cohorte rétrospective. Zhou F, Yu T, Du R, et al. Lancette. 2020 ; 395 :1054–1062. [ Article PMC gratuit ] [ PubMed ] [ Google Scholar ]
Une nouvelle étude confirme la réalité: les covid mortels associés à des infections bactériennes
L’infection bactérienne secondaire des poumons (pneumonie) était extrêmement fréquente chez les patients atteints de COVID-19, affectant près de la moitié des patients qui avaient besoin d’une ventilation mécanique. En appliquant l’apprentissage automatique aux données des dossiers médicaux, des scientifiques de la Northwestern University Feinberg School of Medicine ont découvert que la pneumonie bactérienne secondaire qui ne se résout pas était un facteur clé de décès chez les patients atteints de COVID-19. Il peut même dépasser les taux de mortalité dus à l’infection virale elle-même.
Des données récentes suggèrent qu'une pneumonie secondaire est présente dans jusqu'à 40 % des cas et des dommages sont présents dans plus de 90 % des échantillons d'autopsie prélevés sur des patients atteints d'une infection aiguë par le SRAS-CoV-2
Les scientifiques ont également trouvé des preuves que le COVID-19 ne provoque pas une « tempête de cytokines », si souvent considérée comme causant la mort.
L’étude a été récemment publiée dans le Journal of Clinical Investigation .
« Notre étude souligne l’importance de prévenir, de rechercher et de traiter de manière agressive la pneumonie bactérienne secondaire chez les patients gravement malades atteints de pneumonie sévère, y compris ceux atteints de COVID-19 », a déclaré l’auteur principal, le Dr Benjamin Singer, professeur agrégé de médecine à la Northwestern University Feinberg. School of Medicine et un médecin de soins pulmonaires et intensifs de Northwestern Medicine.
Les enquêteurs ont découvert que près de la moitié des patients atteints de COVID-19 développent une pneumonie bactérienne associée au ventilateur secondaire.
« Ceux qui ont été guéris de leur pneumonie secondaire étaient susceptibles de vivre, tandis que ceux dont la pneumonie n’a pas été résolue étaient plus susceptibles de mourir », a déclaré Singer. « Nos données suggèrent que la mortalité liée au virus lui-même est relativement faible, mais d’autres choses qui se produisent pendant le séjour aux soins intensifs, comme la pneumonie bactérienne secondaire, compensent cela. »
une association a été établie entre la détection de produits bactériens dans le sang et la gravité de la maladie chez les patients COVID-19. 3 Le diagnostic des co-infections est complexe dans le meilleur des cas et parce qu’il existe un désir d’éviter les procédures de diagnostic et de minimiser l’exposition au COVID-19 des travailleurs de la santé, diagnostiquer les surinfections bactériennes potentielles pendant le COVID-19 a été difficile
La plupart des pneumonies bactériennes détectées suffisamment tôt peuvent être traitées en toute sécurité et efficacement avec des antibiotiques, et les antibiotiques à large spectre sont largement utilisés chez les patients atteints de COVID-19
Les techniques de biologie moléculaire permettent l’identification d’un plus grand nombre d’agents pathogènes associés à la pneumonie communautaire (PAC). HELAS cette identification ne reussit pas toujours
Des agents pathogènes dans une étude, ont été détectés chez 367 des 935 patients atteints de PAC (39,2 %). Streptococcus pneumoniae (10,7 %) et le virus de la grippe (6 %) étaient respectivement les agents pathogènes bactériens et viraux les plus fréquemment identifiés
Seuls 28 % des patients atteints de COVID-19 avaient suffisamment d’expectorations pour développer une coloration de Gram, malgré le fait que 98 % des patients présentaient une atteinte pulmonaire bilatérale sur les radiographies pulmonaires [ 42 ] . Le fait que les agents pathogènes ne puissent être identifiés qu’à partir d’échantillons d’expectorations chez les patients atteints de pneumonie est encore entravé par le fait que seuls 23% des cas fournissent des résultats
Les caractéristiques cliniques et radiographiques étaient similaires dans les infections pulmonaires causées par des bactéries classiques, des virus respiratoires et des micro-organismes atypiques. Par conséquent, les tests microbiens pour les agents pathogènes respiratoires courants sont toujours nécessaires pour optimiser le traitement.
L’administration d’un traitement empirique à base de macrolides réduit le risque de mortalité jusqu’à 45 % chez les patients hospitalisés pour cause de pneumonie pneumococcique bactériémique (PPB) confirmée par culture.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7833845/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35795519/
Infection bactérienne secondaire et caractéristiques cliniques chez les patients atteints de COVID-19 admis dans deux unités de soins intensifs d’un hôpital universitaire en Iran pendant la première vague de la pandémie
La mortalité parmi les patients qui ont contracté des surinfections était de 83% contre une mortalité globale de 38,1% chez le total des patients COVID-19 admis. Nous avons trouvé une forte prévalence de bacilles à Gram négatif résistants aux carbapénèmes chez les patients COVID-19 admis dans nos unités de soins intensifs, avec une forte proportion de K. pneumoniae suivi d’ A. baumannii
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35281440
Les patients atteints de COVID-19 peuvent avoir un risque accru de développer des infections microbiennes concomitantes, ce qui nécessiterait un traitement antibiotique.
Selon diverses études, les antibiotiques peuvent traiter en toute sécurité et efficacement la pneumonie qui est reconnue tôt chez les patients atteints de COVID-19 et des antibiotiques à large spectre sont couramment utilisés [ 17 – 19 ]
Selon une revue basée sur les données de 19 essais (2834 patients), le taux moyen d’administration d’antibiotiques dans le COVID-19 est de 74,0 %, avec seulement 17,6 % de patients présentant des infections secondaires confirmées [ 20 ]
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
En médecine humaine on doit accepter une part d’empirisme et ne pas dire tout le temps : la science dit que ! C’est le minimum d’honnêteté qu’on attend d’un biologiste … considérez que la variabilité au sein d’une même espèce comme l’homme interdit de faire de la médecine prédictive exacte !
Ceux qui invoquent à tout propos le beau nom de science usurpe ses pouvoirs !
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… usurpent ses pouvoirs réels mais limités ! C’est la démiurgie à l’oeuvre dans ces vaccins à arn-messager qui est essentiellement fautive !
Les promoteurs croient pouvoir reprogrammer le système immunitaire ce sont leurs propres mots ! Folie douce … hubris et soif de l’argent magique !
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ils ont injecté un fragment génétique programmant pour la fabrication d’une proteine , qui n’a jamais été de celles fabriquées par l’espèce humaine.
Et en plus en ignorant une bonne partie de sa pathogénicité potentielle.
C’est de la démence ,et/ou de la malveillance.
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« C’est de la démence ,et/ou de la malveillance. »
Les deux sans doute… !
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Les malades atteints de covid sont morts de surinfection bactérienne car on a interdit la médecine, c’est-à-dire la prescription d’antibiotiques. Crime de masse par incompétence ou corruption des labos. Honte aux médecins qui se sont prêtés à ce jeu et poursuite des autorités pour refus de soins…
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J’ai un ami, presque 70 ans, totalement vacciné qui semblait être atteint par le (la ?) Covid. Son médecin (excellent) l’a fait traiter aux antibiotiques. Aujourd’hui, nous levons nos verre à sa santé (et à celle du médecin). Bien sûr, un cas n’est pas une généralité, mais…
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Donc, si je comprends bien : on nous a foutu la tête sous l’eau en nous disant que ne pas pouvoir respirer (de l’air frais) est dangereux … pour pouvoir nous fourguer des bouteilles d’un air vérolé ! Avec abonnement.
S’il existe de la science là-dedans, c’est celle de la maltraitance, de la torture et de l’assassinat.
Puis, c’est tout aussi dingue que 80% des Français s’y soient prêtés :
-« Quelle indignité » !
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Or, notre EMmerdeur qui est un crétin pathique considère, depuis les premiers symptômes de sa maladie, qu’un droit commercial (US) est supérieur au droit des Peuples de vivre librement et sainement, en bonne santé : pour lui, est légitime de maltraiter, torturer et assassiner s’il est apporté ou démontré que l’intention est commerciale ! Et en $ … par obligation US.
Tel est son programme ; il n’y en a pas d’autre.
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J’ai fait 11 COCO asymptomatiques suspectés minimum en 2020, à peu près autant en 2021 parce que je mouche souvent..
ça ne peut être que ça ? je ne vois rien d’autre
J’ai maintenu mon niveau de bactéries standard à coup d’eau de malt pour hydroalcooliser mon corps.. Et pourtant je me trimbale un COVID long asymptomatique post puceau du biceps
Mon gosse me dit que c’est la vieillerie…
bon allez, je vais m’en servir un…
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Un excès d’alcool (surtout à jeun !) va niquer votre flore microbienne intestinale, et vous bloquer la digestion pendant plusieurs jours jusqu’au point terminal de vous faire exploser … en une diarrhée qui ne préviendra pas !
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Est-ce toutefois un bon moyen (très) expéditif pour expulser du système digestif le virus du sars-cov-2 (tout variant) en … tirant-dans-le-tas ?
Je ne sais pas, mais la question mérite d’être soulevée pour y apporter une réponse mieux civilisée !
Nous savons également qu’une période de jeûne est appropriée afin de se maintenir en bonne santé.
Ou, ne s’alimenter que lorsque la faim devient prégnante (métabolisme alternatif d’extraction des réserves, des graisses notamment grâce à de l’eau que l’on boit), donc de façon irrégulière en fonction de ce que votre organisme vous réclame … afin de se maintenir en bonne santé.
Il est donc faux de croire que nos ancêtres (ayant lutté pour survivre à quelques millions d’années de l’évolution) nous auraient livré l’utilité absolue de se restaurer … à heure fixe ! et en quantité égale.
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Comment peut-on dire que le coco n’existe pas et qu’on en a fait 11 (!!!!) suspectés (!!!) tout en expliquant que le rt-pcr est une arnaque ? comment on peut dire que le covid n’est qu’une farce en regardant les cotations hospitalières (par des médecins) et décider en même temps que, tout seul :
1. on en fait 11 suspectés
2. qu’on fait un « covid long », qui est pour le moment assez peu consensuel dans le milieu médical sérieux.
C’est peut être du trouze millième degré ?
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hahaha vous arrivez à sculpter de la fumée même sur une grosse blague..
CQFD
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@ Hervé;
Désolé je n’ai pas de smiley’s à ma dispo; mais il semble bien que vous vous soyez fait piéger par la blague de @Stanislas !
Bref, vous ne vous êtes toujours pas posé les bonnes questions. Chez vous ce pseudo-virus semble avoir la vie dure !
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Il a une ou deux convictions et il sculpte de la fumée autour de la seule chose qu’il sait
Ceci étant c’est une blague de scout qui repose sur de la vraie science du COCO, puisque le COCO asymptomatique a bien existé, je me suis soigné mon multiasymptomatisage avec de l’eau de malt à 40%
une bande de putes s’est fout de nos gueules et il en résulte des HERVE 2 ..
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Le mot science est utilisé à toutes les sauces surtout comme principe d’autorité ! Mais il ne veut rien dire du tout si on ne précise pas son domaine d’utilisation ! S’agit-il d’une science purement descriptive ? D’une science prédictive ? D’une science théorique ou d’une science pratique ?
Il faut indiquer les domaines de validité et la précision validée – souhaitée ou désirable !
Tout le monde désire prédire les phases d’activité solaire intense personne ne sait le faire précisément, on observe des cycles et on essaye d’extrapoler mais qui connaît le mécanisme interne du Soleil ? Personne en fait ! La théorie est largement empirique …
Et pourtant nous dépendons tous de cette activité ! Notamment les satellites artificiels qui se font flinguer en cas de tempête géomagnétique du soleil !
On aimerait en savoir plus cela ne veut pas dire que nous saurons un jour !
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C’est très irritant d’entendre des gens comme Jean-Marc Jancovici ingénieur X Telecom parler avec autorité de choses dont ils ne comprennent pas du tout la complexité !
D’une manière générale la science est impuissante à décrire des systèmes très complexes ! Comment contourner la difficulté ? Beaucoup y travaillent par exemple en utilisant la géométrie symplectique qui permet de décrire un système mécanique complexe dans un espace de phases mais cela reste très flou et très peu prédictif au final.
Ce qui est vrai en physique des systèmes complexes comme l’atmosphère terrestre est évidemment encore plus valable pour les systèmes biologiques qui sont d’un degré de complexité encore supérieur !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Espace_des_phases
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Toute référence à Wikifugia est à proscrire ! car ce qu’on y trouve n’est que l’expression de ce qu’il faut croire, jamais de ce qu’il faut savoir …
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Oui, wikipedia est de plus en plus sujet à caution..j’en ai fait l’expérience par des corrections ( sur Blachier par exemple qui ont été effacées et d’autre)
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Heureusement, tout n’est pas qu’intox ou enfumage sur Wiki machin chose.
Il y a parfois quelques bonnes infos à en tirer; surtout quand les sujets sont « complexes », passant souvent sous les « radars » de la désinformation; car jamais repris par les journaleux des merdias puisque trop soporifiques et impossibles à transformer en « scoop ».
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La science n’est que ce que les savants en font, phénomènes complexes ou pas.
Il faut donc laisser au temps le temps de faire son oeuvre. Et le temps de la science n’est souvent pas à taille humaine.
Un exemple patent accepté par tous (c’est ça le principe de la science): Avant Galilée la Terre était réputée plate, après elle était … ronde ou presque (aplatie aux pôles si je me souviens bien). Même si ça a mis du temps, la « nouvelle idée » a remplace la 1ère.
Pour en revenir à des Blachier, Pfizer , Jancovici et Cie; le temps de la science, ils s’en foutent, ils sont dans l’immédiateté. Ce ne sont que des lobbyistes simplement dans des domaines différents.
Pour en revenir à Jancovici, un petit regard sur sa fiche Wiki machin (eh oui, c’est parfois instructif quand une « mise en valeur » démontre un endoctrinement massif et une magnifique soif de pouvoir) met en évidence l’égo du quidam.
Ses « idées » ne sont finalement qu’à visée « économique ». Il utilise certains phénomènes naturels comme « alibi » pour imposer sa vision dogmatique de ce que devrait être l’écologie.
Je suis à peu près certain que si on creuse un peu on va le retrouver dans des conférences au GIEC. Il doit faire partie des « idiots utiles ». C’est bizarre mais les date correspondent (1990… 2010… 2018). Il donne « la caution scientifique » que nos chères zélites recherchent, histoire d’asseoir la mystification intellectuelle.
Bon après les 3 ans passés, le discours semble un peu prendre l’eau, raison pour laquelle on nous rebat les oreilles avec ce « réchauffement climatique » qui se transforme de plus en plus en « changement climatique », le réchauffement étant de moins en mois évident au fur et à mesure que ces « visionnaires » se prennent les pieds dans le tapis des contradictions de leurs explications.
Y aurait-il quelques français commençant à ouvrir les yeux ou ne serait-ce simplement que les portes-monnaie qui soient vides ?
Malheureusement ce n’est pas ça la science. Personnellement, j’ai arrêté d’écouter Jancovici
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Rififi chez les promoteurs du virus et du vaccin arn-messager au tribunal, Pentagone, Moderna et Pfizer de se disputer les droits et les brevets !
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C’est toujours opportun de rapporter, encore et encore cette vidéo stupéfiante : un interview de Guiseppe (Joseph) Tritto par l’auteur de Hold-up (2020), Pierre Barnérias …
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