
Voici Hunter Biden (accusé de trafic sexuel d’enfants) recevant un prix du fondateur du « Centre national pour les enfants disparus et exploités ».

QUE DIT LE POINT DE CETTE AFFAIRE
Cette semaine, une commission de la Chambre, lancée par les représentants républicains, s’est adonnée avec passion à un réquisitoire contre l’ingérence des réseaux sociaux en s’appuyant sur « l’affaire du portable de Hunter Biden ». C’est une sombre histoire de drogue, d’ordinateur piraté, de corruption, de politique et de censure, un feuilleton dont les remugles agitent les médias conservateurs avec enthousiasme, et les libéraux, à contrecœur.
Le rebondissement précédent datait du début du mois, quand le fils du président a lancé des procédures judiciaires contre, pêle-mêle, un réparateur de matériel informatique du Delaware ; Rudy Giuliani, ancien avocat de Donald Trump connu pour avoir conforté l’ex-locataire de la Maison-Blanche dans sa conviction que l’élection de 2020 lui avait été volée ; et diverses figures conservatrices.
De quoi s’agit-il au juste ? À l’automne 2020, les États-Unis sont en pleine campagne présidentielle, Donald Trump a prévenu dès l’été que la seule explication à son éventuelle défaite serait une fraude électorale et Joe Biden, depuis sa cave en raison du Covid, se pose en homme providentiel, raisonnable et conciliateur. Le 14 octobre, coup de théâtre : le tabloïd conservateur New York Post, l’un des journaux les plus anciens du pays, détenu par Rupert Murdoch, publie un article explosif. Dans la version papier, celui-ci est intitulé « Les e-mails secrets de Biden », avec en sous-titre : « Révélation : un employé ukrainien a remercié Hunter Biden de lui avoir donné “l’occasion de rencontrer” son père vice-président ». Sur le site Internet du quotidien, le titre qualifie les e-mails de « preuve irréfutable », littéralement « comme un pistolet fumant ».
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Selon le New York Post, ils prouvent que Hunter Biden « a présenté son père, Joe Biden, alors vice-président, à un responsable d’une entreprise d’énergie ukrainienne moins d’un an avant que Biden père fasse pression sur des hauts fonctionnaires ukrainiens pour qu’ils démettent un procureur qui enquêtait sur l’entreprise ».
Une copie du disque dur de Hunter Biden
Retour sur les faits. Pour commencer, les e-mails. Ils ont été trouvés dans un ordinateur portable du fils du président, déposé en avril 2019 chez un réparateur de l’État du Delaware, où vit la famille Biden, et jamais récupéré (la facture de 85 dollars n’a pas été payée non plus). Le FBI l’a saisi, mais le réparateur avait effectué une copie du disque dur, fournie à Rudy Giuliani, qui l’a lui-même passée au New York Post.
Ensuite, la mise en contact. Le 17 avril 2015, un certain Vadym Pozharskyi, membre du conseil d’administration de Burisma, une entreprise d’énergie ukrainienne, a écrit : « Cher Hunter, merci de m’avoir invité à DC (Washington, NDLR) et de m’avoir proposé de rencontrer votre père et de passer un peu de temps avec lui. » Joe Biden, alors vice-président de Barack Obama, était très impliqué dans les dossiers internationaux, sa spécialité puisqu’il avait siégé à la commission sénatoriale sur la politique étrangère de 1997 à 2009. En 2014, lorsque la Russie a envahi la Crimée, en Ukraine, Joe Biden a pressé Barack Obama de réagir. À la même période, Hunter Biden, son fils, est entré au conseil d’administration de Burisma, entreprise de gaz naturel qui avait fait l’objet de nombreuses enquêtes pour corruption. Il y touchait le coquet salaire de 50 000 dollars mensuels. Dans un précédent e-mail, en mai 2014, Pozharskyi lui demandait très directement des « conseils sur la manière d’utiliser son influence » en faveur de Burisma.
Enfin, l’affaire du procureur. Début 2014, Joe Biden, dans un coup de téléphone au président ukrainien Petro Porochenko, avait conditionné l’aide internationale à la lutte contre la corruption. « Il faut que vous soyez blanc comme neige, sinon le monde entier vous abandonnera », avait-il prévenu. Or en juillet 2015, des millions de dollars en diamants et en liquide avaient été trouvés chez deux procureurs. Le Royaume-Uni avait aussi gelé 23 millions de dollars de biens ukrainiens après que l’Ukraine avait refusé de fournir des documents pour une enquête portant sur du blanchiment d’argent. Et depuis des mois, des ONG ukrainiennes demandaient la démission d’un procureur, Viktor Shokin, qui refusait d’enquêter sur des affaires de corruption. En octobre 2015, une manifestation avait eu lieu devant chez lui. Joe Biden, lui, ne s’est penché sur la corruption ukrainienne qu’en décembre 2015. C’est la pression étrangère, exercée par le Fonds monétaire international, d’autres organisations, l’Europe, puis les États-Unis, qui ont fini par pousser le Parlement à démettre Viktor Shokin. Il est vrai que Shokin avait enquêté sur Burisma, mais c’était avant l’arrivée de Hunter Biden. Et aucune nouvelle enquête sur l’entreprise n’était prévue.
Des vidéos de sexe et de consommation de drogues
Quoi d’autre ? C’est là que cela devient sordide. Le disque dur contenait aussi des éléments affreusement gênants sur la vie personnelle de Hunter Biden. Il est de notoriété publique que le quinquagénaire, père de deux enfants, se débat avec ses addictions à l’alcool et à la cocaïne depuis des années. Une vidéo de 12 minutes le montre notamment « en train de fumer du crack tout en ayant des relations sexuelles avec une femme, de même que de nombreuses autres images sexuellement explicites », selon le New York Post. Les réseaux sociaux ont été inondés de ces vidéos qui ressortent de temps à autre.
Le scandale ne s’arrête pas là. Lorsque le 14 octobre 2020, le New York Post a tweeté le lien vers l’article, Twitter l’a supprimé pendant 24 heures, pensant éviter la propagation de matériel piraté. Les républicains ont crié à la censure, dénonçant un biais libéral chez le réseau social, qui aurait changé l’issue de l’élection présidentielle en protégeant Joe Biden des retombées de l’article.
Celui-ci était visible partout ailleurs que sur Twitter, où il n’a été banni que temporairement, mais les médias traditionnels ont refusé de le prendre au sérieux. À leur décharge, l’auteur principal de l’article du New York Post avait refusé de le signer, estimant que les vérifications étaient insuffisantes. Trump l’a utilisé dans sa campagne, mais l’attaque n’a pris que parmi ses partisans. Beaucoup de médias ont supposé que l’ordinateur ou les e-mails n’étaient pas authentiques. Ces doutes ont été balayés depuis, d’autant plus depuis que Hunter Biden a attaqué les responsables de la fuite. Dans sa lettre, son avocat accuse le réparateur d’avoir causé la circulation de « centaines de gigabits de données personnelles de M. Biden ».
Quelles accusations pour Hunter Biden ?
Sur le fond, pour quel motif Hunter Biden pourrait-il être inquiété ? La formulation de l’e-mail ne permet pas de savoir si la fameuse rencontre entre Burisma et Biden a bien eu lieu. Par ailleurs, la mise en relation relève tout simplement du lobbying, l’une des principales activités de Washington, où plus de 12 000 cabinets étaient actifs en 2022. Le choix de Hunter Biden de travailler avec l’Ukraine démontrait un sérieux manque de jugement et d’éthique, d’autant plus avec une entreprise corrompue, et dans un domaine pour lequel il n’avait aucune compétence. Mais rien de cela n’est illégal et il n’est d’ailleurs pas poursuivi. Au vu d’autres documents, il pourrait en revanche être accusé d’évasion fiscale.
Quant à Joe Biden, il a assuré en septembre 2019 n’avoir jamais parlé de ce qu’il faisait en Ukraine à son fils. Or deux mois plus tôt, Hunter Biden avait dit au New Yorker qu’ils en avaient parlé, quand il l’avait informé qu’il allait travailler pour Burisma, en janvier 2015. « Papa m’a dit : “J’espère que tu sais ce que tu fais” et j’ai dit : “Oui” », avait-il raconté. Biden a donc menti. La commission de Contrôle de la Chambre des représentants entend prouver bien plus, en enquêtant sur « la famille Biden », comme indiqué sur son site Internet. « Les Américains ont le droit de savoir si les liens du président avec les affaires de sa famille ont joué contre les intérêts américains et s’ils représentent une menace contre la sécurité nationale. » On n’a pas fini d’entendre parler du portable de Hunter Biden.
Petit à petit la vérité se fait jour, mais il demeure que tous ces gens continuent à agir en toute impunité et cela prouve un degré de corruption hors norme.
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Une telle déliquescence s’est installée dans tout l’Empire US et Colonies annexes que tous les dépositaires d’une quelconque parcelle de pouvoir (politique administratif ou de plateaux-repas) semblent s’accorder aujourd’hui par un mimétisme fiévreux : penser et agir en stratèges cohérents participe d’un luxe prohibitif.
Ainsi, pourrions-nous ne pas nous étonner qu’un jour (mais quand ?) l’EMbarrassé se mette à confondre mensonges éhontés et pensées secrètes inavouables, comme au jour où ceci lui avait échappé, affectueusement : -« Les non-vaxxinés, j’ai très envie de les emmerder jusqu’à la fin » …
Et comme dans la fable, tous ces animaux malades de la peste s’épancheront en fausse vérité, certes ! mais en trahissant leurs pensées funestes, pour ne révéler que ce qu’ils pensent de nous et d’eux :
-« Ces sots, ces gueux qu’une flagornerie ne peut atteindre ne sont bons ni à s’enrichir ni à flatter, ces sots, ces gueux doivent mourir de notre savante EMmerderie » !
Perso, je me délecterai de tels moments salutaires à l’entendement popoulaire …
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Un bureaucrate de la santé de plus dans une bureaucratie internationale à Genève ! Epitaphe sommaire mais bien méritée …
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Qu’est-ce qu’on peut reprocher à Jérôme Salomon dans la crise du covid-19 depuis 2020 ? Eh bien tout en vérité … d’avoir dissimulé l’origine du virus, d’avoir exagéré la menace, d’avoir employé des moyens démesurés pour combattre une épidémie somme toute limitée et enfin d’avoir été le marchepied des grands groupes pharmaceutiques pour de faux médicaments en phase d’essai exploratoire !
Qu’est-ce qu’il aura fait de positif ? Eh bien rien en vérité ! Il méritait donc une promotion internationale et un recasement positif après de tels états de service !
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C’est amusant que ni Salomon ni Buzyn ne trouve meilleur usage de leur personne que hors de France : le périmètre hexagonal étriquerait-il leur égo, aujourd’hui ?
Du coup, on rêve que l’Olive véreuse et son EMbanané suprême crêmeux les y rejoignent.
Avant la fin du mois ?
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Ils ont intérêt à se dépêcher de se recaser car l’Occident étant en train de perdre la main il ne m’étonnerait que même les institutions internationales comme l’OMS ne soient bientôt plus dans leurs mains ! Quand le dollar ne sera plus roi il faudra courir vite pour se trouver des places au chaud messieurs les politiques occidentaux !
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Que Dieu vous entende ! Bon ça ne fait rien, je suis un pur athée, mais le cœur y est !
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Je dois bien oublier deux trois trucs style avoir fait interdire dès le début de l’épidémie les rares médicaments susceptibles de combattre le virus comme l’ivermectine et l’HCQ ! Et d’avoir prescrit du doliprane mortel …
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La République qui se prévaut urbi et orbi avec arrogance et se gargarise des valeurs à transmettre au monde entier, vit dans un système d’inversion permanente et totale des valeurs, où tous les mensonges sont présentés comme vérités et réciproquement.
Suivant en cela le modèle anglo-saxon, en digne valet de l’Empire US qui espère nous entraîner via l’OTAN dans sa guerre contre la Chine et la Russie, lesquelles sont en bonne voie de casser l’hégémonie du dollar.
Quel est l’avenir d’une société où seuls sont promus les médiocres et les menteurs, en bons petits soldats du système….
Comment et quoi transmettre à la jeunesse autochtone et à celle issue de l’immigration?
Si on persiste dans ce système obscurantiste de fonctionnement intellectuel, sur un mode binaire et mensonger, les perpectives sont le déclin et le chaos.
Il faut au contraire préserver les débats contradictoires dans tous les domaines, et les racines culturelles et spirituelles, dans le respect des autres cultures.
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Personne et surtout pas les Américains dans leur ensemble ne mesure le gouffre vertigineux qui les attend quand le dollar ne sera plus roi de la planète ! Les parasites mondains comme le fils Biden et le Salomon de comptoir tomberont dans les oubliettes de l’histoire.
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Quand on y pense, c’est dingue que les proprios de l’EMpire US ont tout fait pour le détruire.
Depuis 1945, et précisément après la mort de Roosevelt (euthanasié ?) lorsque Harry Truman le petit binocleux, que Staline méprisait, a balancé les 2 bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki.
Depuis ces jours funestes, l’Empire US a sévi de carnages en carnages, où nous aimions en Europe croire opportun d’usufruiter de la pax americana, aveuglément.
Nous étions de pénibles crétins, et nous en payons aujourd’hui l’addition macronique ! toute à la mesure de notre misère morale …
En fait, nous sommes schyzos ! Héritiers de 2 mille ans d’une Histoire lourde et précieuse comme l’or, nous nous sommes laissé subjuguer par les paillettes de l’EMpire inutile or assassin, juste propice à lui-même mais à disparaître tôt de l’Histoire.
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Aujourd’hui macron emmène ses crs
visiter une usine.
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Une usine de casseroles ? Pour en interdire la fabrication, puis la distribution et l’usage sur la voie publique ?
Trop marrant ! L’EMbourbé finira par interdire l’encre à l’école parce que suspecte d’être écrite en slogans hostiles à son q. Puis de soustraire à l’alphabet la lettre q, parce que commune au peuple : de q il n’y aura que le sien, dont on dira : la chose itinérante et profonde …
On n’a pas fini de commencer à rigoler.
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Une usine de robocops ?
Pour leur implanter un nouvel OS (Operating System = sytème d’exploitation), plus performant dans la répression, moins scupuleux à supprimer des vies ?
Pour leur présenter de nouvelles armes de DM de GJ (Destruction Massive de Gilets Jaunes) dont le capteur d’alerte automatique de la dangereuse couleur jaune-fluo ?
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C’est amusant que dans le panel incommensurable de propositions qu’a pondues McKinsey, pour gérer la pseudo crise sanitaire, l’EMbaratté crêmeux ait choisi, par exemple :
– la messe curée par le mystique Salomon, crépusculaire sépulcrale quotidienne, au temple de la maladie et des égoïsmes
pour s’achever avec
– Pif-gadget et Playboy
tout aussi savamment !
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… pour s’achever avec
– les bels Cantos lors d’une présentation officielle pédestre du Harem de l’EMbaratté crêmeux
tout aussi savamment !
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Le CSI (Conseil Scientifique Indépendant) organise 2 journées de rencontre à Saintes (17100) les 18 et 19 mai 2023, à l’initiative de Louis Fouché.
Renseignements ici, et inscription (payante : 15 – 30 euros) pour assister aux journées de conférence-débat :
https://www.cityvent.com/events/umoegch4
Seront présents parmi les conférenciers :
Louis Fouché, Christian Perronne, Vincent Pavan, Hélène Banoun, Jean-Dominique Michel, Laurent Toubiana, Pierre Chaillot, Emmanuelle Darles, Alexandra Henrion-Caude, Christine Cotton, Hélène Strohl, Eric Menat, Nicole Delepine, Xavier Azalbert, Amine Umlil, Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignant, Virginie Joron, Martine Wonner, Michèle Rivasi, … et de nombreux autres intervenants.
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Ne seront pas présents :
Emmanuel Macron et sa grande EMmerderie, Jean-Luc Mélenchon, Eric Ciotti, François Ruffin, Sandrine Rousseau, Olivier Faure, Fabien Roussel …
Mais Jean Lasalle confirme qu’il sera bien présent !
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L’hegemon récompense ses petits laquais. Il y a peut-être aussi des douceurs offshore.
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Il faut y aller vite ! Le déficit commercial américaine est de 10 puissance 12 dollars – soit 1000 milliards – la population 330 millions donc cela fait 3000 dollars par personne et pour une famille moyenne américaine de 4 personnes, 12000 dollars par an ! Ils devront se serrer la ceinture de mille dollars par mois bientôt !
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Heureusement qu’en France, nous dirige un banquier d’affaires qui soit parvenu à rivaliser les USA dans la dette publique (c-à-d : particulière des Français) : 3 mille euros par Gaulois réfractaire ou pas réfractaire ! grâce à son quoi-qu’il-en-coûte absolument génial … et la destruction forcenée des PME-PMI.
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L’Olive véreuse nous parle ici des 100 jours prochains de l’EMpereur et de sa grande EMmerderie. Il parlerait à un miroir qu’il ne pourrait y voir que pire !
Aussi longtemps que nous les laisserons occuper l’espace sonore public, ils l’occuperont.
Parlant d’une crise de confiance envers les Institutions démocratiques, l’Olive véreuse nous parle d’un grand chantier généreux de replacer le peuple au centre de l’intérêt de son EMpereur : afin de mieux exercer la coercition punitive, cela va de soi car le peuple manifeste quelque turbulence qui soit inacceptable à la pérennité de l’EMpereur et de ses sbires, ivres de pouvoir sans devoir !
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McKinsey proposait aux futurs effrontés-sans-scrupules d’apprendre tôt le foutage-de-gueule comme support de communication subliminale, droit dans les yeux et les oreilles afin d’exploser les connexions neuronales des personnes ciblées. Edouard Philippe, le bi-coloré de l’époque pratiquait délicieusement cet art de l’insulte dissimulée !
Waterloo, Waterloo ! morne plaine où la garde impériale, dans 100 jours baignera dans son sang …
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