
La contamination des produits injectés ne doit pas faire oublier les questions posées par la possible retranscription dans notre génome de l’ARN vaccinal et la multiplication des effets secondaires. Les études cliniques explosent, vous en retrouverez ci dessous; infos de Tatianna et d’Hélène Banoun…
Autant de lectures interdites par les fact checkers officiels dont on vient d’appendre qu’ils sont officiellement appointés par le pouvoir politique . En cause : la gestion du fonds Marianne, lancé quelques mois après l’assassinat de Samuel Paty en octobre 2020.

1 Rétrotranscription et intégration dans le génome humain de l’ARN viral et/ou vaccinal : que sait-on ?
Deux publications récentes ont fait beaucoup de bruit car elles laissent penser que la rétrotranscription de l’ARN viral ou vaccinal et son intégration dans le génome humain ne sont pas totalement impossibles. La transformation (rétrotranscription) de l’ARN en ADN a été reconnue comme possible dès 1956 par Francis Crick et a été prouvée il y a plus de 50 ans.
L’étude PNAS d’avril 2021 montre que des parties du génome du virus SARS-CoV-2 peuvent être rétrotranscrites et s’intégrer sous forme d’ADN dans le génome de cellules humaines. L’étude CCMB de février 2022 tend à montrer que l’ARN du vaccin peut être rétrotranscrit en ADN dans une lignée de cellules humaines d’hépatome en culture.
Des études poussées concernant cette rétrotranscription et intégration génomique auraient dues être menées en amont avant la phase de commercialisation et même avant les essais cliniques des vaccins à ARN. S’ils sont avérés, ces phénomènes pourraient expliquer les maladies auto-immunes dues à la présence de protéines chimères virales-humaines et les diagnostics positifs de PCR après le rétablissement, ainsi que l’apparition soudaine ou la réactivation de certains cancers.La presse de vulgarisation scientifique s’est empressée d’affirmer à la suite de ces deux articles que l’ARNm du vaccin ne pouvait pas s’intégrer dans le génome humain.
L’ARN de la spike vaccinale est rétrotranscrit en ADN après 6 heures d’exposition des cellules humaines au vaccin. De l’ADN correspondant à une partie de la séquence vaccinale est retrouvé dans la cellule. La quantité d’ARNm du vaccin délivrée dans une dose unique de BNT162b2 est suffisamment importante pour reprogrammer théoriquement le transcriptome de chaque cellule humaine qui peut en principe subir une rétrotransposition.
Il y a bien de l’ADN rétrotranscrit retrouvé dans la cellule (cytosol et noyau).
Pour savoir si cet ADN s’intègre dans le génome, il faut faire un séquençage complet de cellules exposées au vaccin ainsi que de cellules extraites de tissus de sujet vacciné ou bien proposer d’autres méthodes de contrôle.
Dans le cas des vaccins ADN anti-covid (Astra-Zeneca, Janssen, Sputnik), l’adenovirus injecte l’ADN dans le noyau ; on ne connaît pas non plus les effets à long terme de cette injection d’ADN.Qu’advient-il de cet ADN rétrotranscrit (ou injecté par les vaccins à ADN)? Est-il détruit et au bout de combien de temps :
Aucune étude de génotoxicité ou de carcénogénicité n’a été effectuée pour les vaccins, si l’ADN passe dans le noyau, ces études sont à faire car il peut être génotoxique même s’il ne s’intègre pas dans le génome.
Hélène Banoun
Les cellules germinales, immunitaires et nerveuses peuvent être amenées à exprimer des enzymes appelées rétrotranscriptases. Ces enzymes ont la capacité de convertir l’ARN viral en ADN complémentaire, pouvant être intégré dans le génome de la cellule humaine .
Il a été postulé par les fabricants de vaccins à ARN messager que les risques d’altération de l’ADN des personnes vaccinées et de transcription inversée étaient quasiment nuls, car l’ARN messager était supposé rester dans les cellules musculaires. Or une étude menée sur des rats a révélé des niveaux élevés de radioactivité dans d’autres tissus et organes, en dehors de la zone d’injection, après l’administration intramusculaire d’une dose unique de 50 µg d’ARNm. https://tga.gov.au/sites/default/files/foi-2389-06.pdf…
Suggérant ainsi que le matériel génétique pourrait se diffuser à partir du site d’injection vers d’autres parties du corps, ce qui pourrait expliquer certains effets secondaires tels que la myocardite, la péricardite, les troubles menstruels et nerveux rapportés.
Plus précisément, cette étude in vivo apporte des éléments indiquant que l’injection d’ARN peut entraîner une fuite de l’ARN dans le sang et affecter différents organes et tissus tels que le foie, la moelle osseuse, les ovaires, les glandes surrénales et la rate etc.
La première étude in vivo révélant une fuite de l’ARN dans le sang, remettant en question l’hypothèse que le matériel génétique du vaccin ne pourrait atteindre aucun organe, elle rend ainsi cette seconde étude in vitro plus importante que prévu. https://mdpi.com/1467-3045/44/3/73/htm…
Les expériences menées sur des cellules hépatiques humaines, et décrites dans ce papier, révèlent que le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 peut conduire à une transcription inverse intracellulaire de l’ARNm en ADN.

2 LES ETUDES FONT APPARAITRE UNE MULTITUDE DE CAS CLINIQUES DE MALADIES NEUROLOGIQUES PROVOQUEES PAR LES INJECTIONS
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@Andromaque19841 qui fait une fantastique bibliographie des effets indésirables publiés en revue internationale
5 cas de fuite de liquide céphalorachidien = cause de maux de tête chez des jeunes vaccinés Pfizer Japon
5 cas de fuite de liquide céphalo-rachidien chez des écoliers qui se sont développés après la vaccination avec le nouveau vaccin corona et ont été efficaces avec des patchs sanguins https://jstage.jst.go.jp/article/jspn/48/1/48_65/_article/-char/ja/… Tous les patients avaient des maux de tête, et tous les vaccins étaient communs. Une fuite de liquide céphalo-rachidien doit être envisagée chez les patients qui continuent à être malades après la vaccination avec le nouveau coronavirus.
for true and humane medicine
@tatiann6992262
Mort subite associée à des poussées de sclérose en plaques après COV19 : https://jkms.org/DOIx.php?id=10.3346/jkms.2023.38.e78…
https://jkms.org/DOIx.php?id=10.3346/jkms.2023.38.e78
Jeune H de 19 ans « 1 jour avant la mort subite, le défunt a dit à son collègue « Je ne dors pas bien ces jours-ci & j’ai l’impression de faire une crise la nuit ». »
Six mois avant sa mort, il a reçu une deuxième dose de vaccin à ARNm contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). Trois mois avant sa mort, il a fait pour la première fois des crises d’épilepsie. Dix-sept jours avant sa mort, il a été infecté par le COVID-19, qui a montré un cours auto-limité sous isolement à domicile. Plusieurs jours avant de mourir, il s’est de nouveau plaint de convulsions nocturnes. L’autopsie a révélé une décoloration gris-tan multifocale dans le cerveau. Histologiquement, les lésions consistaient en plaques démyélinisées actives et inactives dans la région périveineuse de la substance blanche. Une infiltration lymphocytaire périvasculaire et une prolifération de cellules microgliales ont été observées à la fois dans la substance blanche et le cortex. Les autres organes majeurs, y compris le cœur et les poumons, étaient sans particularité. Sur la base des antécédents ante mortem et des résultats post mortem, la cause du décès a été déterminée comme étant une sclérose en plaques avec une exacerbation suspectée. L’atteinte directe ou indirecte du cortex et de la substance grise profonde par la sclérose en plaques exacerbée peut expliquer la survenue de crises. Considérant l’absence d’autres anomalies structurelles à l’exception de la démyélinisation inflammatoire du cerveau, une arythmie fatale ou un laryngospasme dans la crise d’épilepsie terminale peut expliquer sa mort subite inattendue dans les circonstances bénignes. Dans ce cas, le début de la crise a été précédé par la vaccination COVID-19, et l’exacerbation de la crise a été précédée par l’infection COVID-19, respectivement.

Le bréviaire! Encéphalomyélite aiguë hémorragique (forme hyper aiguë rare ADEM) suivant 2 dose vax ARNm : homme 53 ans :Évolution maladie compliquée par thromboses multi organes et possible syndrome phospholipidique : l’issue a été hélas fatale . https://doi.org/10.3390/vaccines10122046
Ah tiens ! Neuropathie périphérique avec patients qui se sont présentés dans service neuro CHU Genève entre le 1er janvier 2021 et le 1er février 2022 post vax Cov : voir tableau 1 https://doi.org/10.3390/medicina59030501… NB elles ne sont hélas pas toutes transitoires…….
« Les cliniciens doivent être conscients que le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 est impliqué dans l’apparition du POTS. »
Aussitôt qu’un traitement par ARNm était annoncé (comme le saint-graal !) en 2020, Alexandra Henrion-Caude en expertisait la stratégie et la pertinence.
Or, son expertise craignait une retranscription de l’ARN vaxxinal (pharma-génique) en ADN humain (à raison d’une probabilité de 1/1 000 000 disait-elle), et en augurait d’obscures conséquences pour les « mutants ».
Elle livrait cette analyse très critique fin 2020, et fut vilipendée par les néo-docteurs de la Vérité scientifique ! partout à l’EMpire US (dont on découvre avec nausée, la vénalité scélérate pour bien mentir : le prix du mensonge sur notre santé et notre vie).
On connaît la suite, dont ce qui se manifeste aujourd’hui en effets secondaires dûs à la retranscription génique … Hélène Banoun le confirme sans détour.
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Le fonds « Marianne » (Marlène Schiappa) traduit la démence la plus haineuse, mal dissimulée à l’encontre de la République : se jouer de la tête de Samuel Paty comme joueraient des garnements aux billes dans un bac-à-sable en arrachant les ailes d’une mouche, d’un papillon …
De la pure abjection.
Informez-moi lorsque la carcasse de l’adipeuse Marlène se fera grouiller d’asticots !
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Madame Schiappa a exposé ses « asticots » en couverture de Play Boy
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Une bonne nouvelle pour les asticots, ils auront de quoi bouffer !
Seule question, pourra-t-on encore parler de « qualité »?
L’ARNm, la silicone, les résidus de malbouffe, ils vont digérer ça les asticots; ou bien les mouches vont changer de couleur?
Dans un autre domaine, qui a pu se rendre compte du rejet massif des Américains suite à la campagne de pub de la marque Bud Light détenue par ABinBV (marque d’origine Belge) avec un trans comme figure de proue?.
Les réseaux sociaux ne sont pas tendres et la démission de la Directrice du Marketing à l’origine de cette initiative est demandée.
Chute de ventes et perte de 6 milliards de dollars de capitalisation boursière en quelques jours !
Sur ce coup les aficionados de la famille woke et des délires des ligues LGBT ou les négationnistes du genre de tous bords se sont mis le doigt dans l’oeil.
D’un seul coup, je me sens mieux !
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Hi hi !
Lorsque des brasseurs de bibine belges sont partis à la conquête du marché nord-américain (USA + Canada), ils se sont souvent ramassés d’une triple glissade sur leurs frites pas cuites et trop grasses !
Yes ! quand le marché, au final commande – comme dirait Sarko – il s’auto-régule. Parfois parfois parfois …
Un cousin belge publicitaire installé à Montréal voici 40 ans, me contait son affliction de découvrir l’argumentation cognitive immatérielle délirante des brasseurs, tout d’abord médiocres en leur produit industriel.
En effet, la pub ne fait pas tout. Et dans la hiérarchie décisionnelle (dans l’acte d’achat) la qualité prime, en somme.
Essayez-vous à déshabiller de leurs emballages (autrement dit : soustrayez leur conditionnement !) vos « produits préférés », puis à les déguster : ce qui est de la merde vomitive vous sautera aux papilles !
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Bon sur la qualité des produits, moi qui suis buveur de bière invétéré (normal j’ai des origines généalogiques quelque part en Belgique puis dans le Pas-de-Calais !) je ne vous suivrai pas bien entendu.
Même s’il faut reconnaître à certains de ces breuvages qu’ils sont plus près de la pisse d’âne (là je pense à certains produits d’Outre-Rhin voire Français, d’Alsace par exemple) que de la véritable ancêtre qu’est la Cervoise.
Bon on va quand même pas fournir à ces expats déserteurs nos meilleurs produits, non plus !
Et c’est en effet avec un profond malaise que je constate qu’une fois encore le fric pollue tout !
Je suis d’accord avec votre dernière phrase.
Bon « en même temps » (décidément ça me poursuit !), oser mettre un trans qui ne ressemble à rien d’autre qu’à un avatar sur une canette de bière possiblement « dégustable » (je me méfie par essence des produits estampillés « Light ») en terrasse au vu de tout le monde, le choix ne peux pas être considéré comme… dirons-nous, judicieux !
Cette génération woke est-elle fondamentalement aussi kon que ça pour y avoir cru ?
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