Quels sont les vrais buts de guerre? Défendre l’Ukraine ou faire éclater la Russie… et même la Chine . Ces thèses déterminantes pour notre avenir que vous devez connaitre

L’absence d’appels à la négociation pose problème, mais que veulent ils? Quels sont les véritables buts de guerre? De nombreux conseillers de nos gouvernants estiment qu’entre l’occident et l’Eurasie, une lutte à mort est de toute manière engagée, qu’il ne faut pas la différer mais profiter des difficultés de Poutine pour avancer les pions bien au delà de l’Ukraine

Des luttes d’influence complexes aux antipodes de la géopolitique gaulliste française et paradoxalement aux antipodes des fédéralistes européens

Les meilleurs connaisseurs voient pour moteur le vieux rève de l’INTERMARIUM, une unité panslave rejetant à la fois l’occident décadent et la Russie asiatique, regroupant Ukraine , Pologne et quelques autres , le rève des ultras d’Azov et de Pologne

La faiblesse serait la diversité ethnique de la Russie jugée trop asiatique

Les Russes ethniques forment environ 80% de la population. La langue russe distingue les Russes ethniques (Rousski) des citoyens de Russie (Rossianiny). Puis viennent les peuples « turcs », avec 8% : Tatars, Bachkirs, Tchouvaches, etc. Les peuples caucasiens constituent la 3 e grande famille, avec 4% : Tchétchènes, Ingouches, Balkares, etc. Mais on trouve aussi 11 autres familles ethnolinguistiques moins importantes, comme les Finno-ougriens, les Samoyèdes ou les Mongols. Ces peuples sont en majorité indigènes à la Russie : c’est l’empire qui, en s’étendant à l’est et au sud, a incorporé ces populations. Ce qui fait que les Russes sont le peuple slave le plus métissé :

Je me contente de citer ces analyses perçues en Russie comme en Chine comme des menaces vitales et utilisées comme telles pour mobiliser leurs populations

En Occident, les plus prudents recommandent avec insistance aux Ukrainiens de ne pas soulever publiquement la question du démantèlement ou de la dislocation de la Fédération de Russie. Ils affirment en effet que cela pourrait étayer le discours de Vladimir Poutine – lui qui disait mener une guerre défensive dans le but de protéger son pays contre les États-Unis et leurs alliés, dont l’Ukraine serait un instrument.

L’Ukraine a suivi la consigne mais pas Bruno Tertrais et bien des invités de LCI. La Chine ne s’y est pas trompée car elle redoute de voir sa propre unité contestée.

https://www.dw.com/fr/la-chine-malm%C3%A8ne-ses-minorit%C3%A9s/a-55275424

Assistons-nous aux prémices d’un conflit mondial ? Pour la première fois depuis le début de la guerre en Ukraine, la Chine s’est positionnée en faveur de la Russie. Lors d’une conférence de presse à Pékin ce lundi 30 janvier, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères chinois, Mao Ning, a accusé les États-Unis « d’avoir déclenché la crise en Ukraine » et d’ « être le principal facteur qui l’alimente » en fournissant des armes lourdes à Kiev.


Le démantelement de la Russie est devenu l’objectif déclaré de la Pologne et de la Lithuanie avec les déclaration de Walesa puis de l’actuel premier ministre polonais

Dénonçant l’invasion de l’Ukraine, Walesa montre que l’expansionnisme russe est une constante séculaire. Tous ces peuples, sans compter les autres minorités nationales qui sont également sous la coupe de Poutine, ont été asservis par les Tsars. Staline a parachevé leur travail. Poutine en est le continuateur.

Pour Walesa, toutes ces populations doivent être libérées de l’emprise russe. Et la Russie ramenée à ce qu’elle devrait être, c’est-à-dire à la seule Russie. Du temps des Habsbourg, on appelait l’Autriche-Hongrie la prison des peuples. Du temps de Poutine, c’est le cas avec la Fédération de Russie.

Au 16e siècle, Ivan le Terrible régnait sur un petit royaume appelé la Moscovie. Sa taille était réduite et il n’était guère dangereux. Puis Ivan se proclama tsar de toutes les Russies. C’est à cette époque que commença l’expansionnisme russe. Walesa plaide seulement pour un retour à la Moscovie.

https://www.causeur.fr/lech-walesa-liberation-peuples-russie-237714

Envisageons une alliance — appelons-la « Traité d’alliance des voisins ennuyés de la Russie » (TAVER) — qui se structurerait autour du noyau de la Pologne et de l’Ukraine, plus les États baltes, la Moldavie et la Géorgie. Ces pays pourraient convenir de mettre en commun leurs capacités de renseignement, d’analyse et de sécurité militaire, ainsi que de développer conjointement des capacités de résilience dans les domaines de la cybersécurité et de la lutte contre la désinformation. Il est important de noter que le TAVER devrait contenir une clause de coopération militaire permanente et la promesse de se défendre mutuellement en cas d’attaque contre le territoire et/ou la souveraineté d’un pays. Bien sûr, le TAVER aurait encore plus de punch et d’influence si les nations nordiques — Norvège, Suède et Finlande (et Canada ?) — s’y joignaient, même en tant que membres associés.

Une telle alliance permettrait de résoudre plusieurs problèmes stratégiques, tactiques et pratiques. Les États-Unis ne seraient pas tenus par leur arsenal nucléaire de défendre le TAVER. Dans le même temps, la Pologne et les États baltes continueraient à être couverts par le bouclier de l’article 5 en cas d’attaque sur leur territoire, mais pourraient répondre conjointement et séparément à tout défi en deçà du seuil de cet article (comme la Turquie l’a fait en Syrie). L’OTAN serait en mesure d’éluder l’épineuse question de l’adhésion de l’Ukraine et de la Géorgie, alors même que leur posture de sécurité s’en trouverait globalement améliorée. Les pays qui seraient des membres essentiels du TAVER devraient accepter le coût de l’engagement de leurs troupes dans une confrontation militaire — mais pour beaucoup d’entre eux, une telle confrontation a déjà eu lieu ou est en cours. Pour d’autres, un tel engagement serait réaliste si les crises actuelles ne sont pas désamorcées de manière proactive.

Étant donné que le TAVER s’inspirerait des normes de l’OTAN pour la gestion de l’appareil militaro-sécuritaire, et compte tenu de l’expérience des acteurs militaires responsables comme la Pologne, les États-Unis et les pays d’Europe occidentale seraient moins réticents à fournir des équipements militaires de haute technologie, y compris létaux, au TAVER. Dans le même temps, même sans transferts directs d’armes, le soutien aux industries militaires combinées de la Pologne et de l’Ukraine pourrait conférer à l’alliance une autosuffisance dans d’importants domaines militaro-industriels, des armes légères aux hélicoptères d’attaque et aux avions de transport.

Y a-t-il des risques ? Certainement. La possibilité d’un contact cinétique entre les forces russes et les forces TAVER augmenterait à court terme, car le Kremlin serait susceptible de tester la détermination de cette alliance. La Russie continuerait également à jouer les capitales d’Europe occidentale contre les pays de l’Est plus « téméraires », ce qui pourrait également trouver un écho auprès des électeurs occidentaux.

Pourtant, donner aux États du TAVER la capacité de se défendre de manière proactive contre le défi militaire et stratégique de la Russie pourrait renforcer le flanc oriental de l’UE et lui offrir une plus grande flexibilité stratégique et des outils de négociation, ainsi que plus de temps pour façonner sa politique à long terme avec la Russie. Quel qu’en soit le coût à court terme, il serait moins dommageable pour la sécurité européenne à long terme qu’un échec potentiel de la dissuasion en vertu de l’article 5 de l’OTAN.

https://desk-russie.eu/2022/01/14/la-russie-peut-etre-contree.html

Interrogé sur LCI, le premier ministre polonais a souhaité que «d’autres nations se libèrent de la Fédération de Russie» où elles sont, d’après lui, «en prison».

La Russie doit cesser d’exister dans les frontières d’aujourd’hui, l’effondrement de « l’empire agressif » apportera des avantages indéniables aux Etats démocratiques d’Europe et d’Asie centrale », estime le député.

«Il y a des parties de la Russie qui sont des prisons pour d’autres nations, affirme ainsi Mateusz Morawieck. Ces parties de la Russie pourraient être libérées, comme la Tchétchénie par exemple. Ils pourraient prendre leur indépendance. Ils se sont battus pour leur liberté pendant des siècles et depuis quelques décennies, ils se battent avec beaucoup de motivation. Je crois que ce pays mérite son indépendance».

«Il n’y a pas de choses telles que le gaz russe, le pétrole, l’aluminium, le charbon, l’uranium, les diamants, les céréales, le bois, l’or, etc. Toutes ces ressources appartiennent à des peuples individuels vivant sur ces territoires.

Le député a suggéré que les pays occidentaux réfléchissent au concept de création d’États «libres et indépendants» sur le territoire pro-russe, sur la base desquels seront les peuples autochtones, et l’Occident collectif devra contrôler le processus de démembrement de la Russie et de distribution de ses richesse nationale.

BRUNO TERTRAIS FAIRE DE LA RUSSIE UN NOUVEAU MORDOR OU MIEUX LA VOIR ECLATER

Bruno Tertrais

Conseiller géopolitique

Bruno Tertrais est directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique, le principal think-tank français sur les questions de sécurité internationale. Juriste et politiste de formation, il a obtenu son doctorat sous la direction de Pierre Hassner. Après avoir travaillé à l’Assemblée parlementaire de l’OTAN, il a été en poste au ministère de la défense et à la RAND Corporation, et a rejoint la FRS en 2001. 

Proposons trois (quasi-)certitudes et quatre scénarios. Première certitude : la Russie du milieu des années 2020 sera un pays miné par l’affaiblissement militaire, économique (sanctions), démographique (plus de 500 000 personnes ont déjà quitté le pays). Deuxième certitude : le pays se sépare de l’Europe. L’Ukraine était le « côté occidental » du corps russe, qui équilibrait son « côté oriental ». Sans elle, dont l’influence sur l’histoire et la formation des élites russes est parfois méconnue, l’héritage mongol et tatar de la Russie prendra une part plus importante dans la culture nationale.

Troisième certitude : elle entrera, après la guerre, dans une période troublée. On connaît l’histoire du pays : les débâcles militaires sont souvent suivies de bouleversements politiques, comme on le vit en 1905, en 1917 ou en 1989. 

Quant aux scénarios, le moins défavorable serait celui de l’Allemagne après 1945. Après le Götterdämmerung, la Stunde Null : le choc et le traumatisme, suivis de l’introspection et de la guérison. Mais elle n’a pas la tradition d’État de droit, même parsemée d’interruptions, qui était celle de l’Allemagne de l’époque. Sans compter qu’il sera difficile de lui faire subir un Nuremberg. Et qu’elle ne sera pas placée sous la tutelle d’un protecteur bienveillant… 

Plus probable, donc, voici le scénario nord-coréen : l’enfermement et la radicalisation d’une Russie-forteresse, dans lequel Poutine ou ses successeurs maintiendraient la population du pays dans un état de guerre permanent. Françoise Thom évoque un « empire autarcique » qui sèvrerait la population de l’influence occidentale. Elle cite l’écrivain Dmitri Gloukhovski, qui évoque un Poutine tissant « un cocon dans lequel la Russie devra s’envelopper pour hiberner pendant des décennies, voire des siècles« , ainsi que l’historien Vladimir Pastoukhov, qui imagine un « corps gelé« , « enfermé dans une gigantesque chambre cryogénique de la taille d’un septième des terres émergées« .

Un cran au-dessus dans l’échelle du pessimisme, la Russie deviendrait pour les plus inquiets une sorte de Mordor (« pays noir »), une contrée désolée dans laquelle les forces du mal préparent leur revanche et la reconquête de la Terre du Milieu. Cet ensauvagement de la Russie est déjà à l’œuvre, disent les amateurs de J. R. R. Tolkien, qui comparent déjà le comportement des militaires russes à celui des Orcs, ces soldats mi-bêtes mi-humains qui ne connaissent aucune limite dans l’horreur. Exagération ? Pas tant que cela si l’on réalise que la Russie se vide depuis dix ans de ses cerveaux les plus brillants et, de plus en plus, de ses classes moyennes. Or la société russe s’est criminalisée. « Des groupes se sont emparés des règles mafieuses, leur empruntant un style de vie, des attitudes physiques, une ‘morale’ sui generis, une hiérarchie formée de ‘parrains’ régnant sur leurs protégés« . 

La Russie de ce nouveau « temps des troubles » (smutnoye vremya, l’anarchie du début du 17ème siècle) pourrait-elle, à l’extrême, ressembler à la Somalie des années 1990, dans laquelle les milices et les gangs feraient la loi, leur vivier de recrutement alimenté par le retour de conscrits amers, dont nombre d’anciens prisonniers

Le scénario somalien serait aussi celui de l’éclatement de la nation-empire russe. Si la « verticale du pouvoir » édifiée par M. Poutine était détruite, comment imaginer le maintien d’un État trente fois plus grand et dix fois plus peuplé ? 

Comme on a pu le faire remarquer, l’empire russe, au vu des distances qui séparent le cœur de la périphérie, ressemble en fait à ses homologues européens du passé. La Russie pourrait-elle survivre à l’effondrement du mythe national entretenu par Moscou, celui d’une nation tutélaire supérieure aux autres et destinée à contrôler ses voisins ? 

Le scénario somalien serait aussi celui de l’éclatement de la nation-empire russe. 

Déjà, dans les républiques minoritaires, la révolte sourd. Il faut dire que les Bouriates, Touvains et autres Daghestanais, qui constituent une part disproportionnée de l’armée russe – l’enrôlement étant une stratégie d’ascension sociale dans ces régions pauvres – ont, en bonne logique impériale, davantage payé le prix du sang que les Russes. Et alors que M. Poutine – à son crédit – n’a jamais méprisé les musulmans du pays, privilégiant une conception nationale plutôt qu’ethnique de son pays, quelle place prendraient les mouvements islamistes dans une Russie où règnerait l’anarchie ? Mais le délitement pourrait aussi commencer par les régions distantes et « riches », à l’image de la Slovénie pour la Yougoslavie… 

https://www.institutmontaigne.org/analyses/la-chute-de-la-maison-russie

LES THEORICIENS DE L’APOCALYPSE :La guerre contre l’Eurasie

 Le journaliste et écrivain britannique Edward Lucas

Nous ne pouvons pas nous contenter de dire que la défaite militaire de l’armée des envahisseurs russes n’est pas seulement la principale mais la seule priorité, et qu’après peu importe. Je pense que ce serait irresponsable. Nous devons dès maintenant prévoir ce que nous pouvons faire dans une Russie post-poutinienne, post-impériale et post-Kremlin. Et cela suppose que l’on établisse des contacts à l’intérieur de la Russie pour échanger des informations et comprendre les problèmes et, ainsi, mieux cibler les efforts.

À vrai dire, nous avons raté l’occasion en 1991, quand nous avons laissé l’URSS s’écrouler — ce qui en soi était remarquable et dont nous nous sommes félicités de bien des façons. Mais nous avons aussi permis à la Fédération de Russie de tout hériter de l’Union soviétique sans poser aucune question. C’est à elle qu’est revenu le siège de membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, c’est elle qui a hérité de tous les actifs. Elle a pris à son compte, semble-t-il, une partie des obligations et des charges, mais pas les réparations. Il nous faut bien réfléchir aux erreurs que nous avons commises en 1991 pour ne plus recommencer.

L’autre grande question est la Chine. Nous sommes en concurrence géopolitique avec la Chine. Elle aussi est un empire, qui occupe la Mongolie méridionale, le Tibet et le Turkestan oriental (Xinjiang). Je pense que nous nous heurterons d’emblée au problème des relations avec la Chine, qui cherchera à stabiliser ses frontières, sans que cela soit dénué de tout fondement.

La situation actuelle est totalement différente de celle qui se présentait lors de l’intervention de l’Occident en Russie dans les années 1918-1922. La Chine était alors très faible et, géopolitiquement, tout à fait au second plan. Bien qu’à l’époque l’Occident ait commis de graves erreurs et que l’intervention de l’Entente dans la Guerre civile chinoise ait échoué, nous n’avions pas alors à nous soucier de la position de la Chine. Ce n’est plus le cas maintenant. Quelles que soient les initiatives de renforcement de l’État ou de reconfiguration politique de la Russie post-poutinienne que nous envisagions, nous aurons affaire aux Chinois. Il nous faudra associer garanties et dissuasion, ce qui supposera de sérieux efforts diplomatiques.

https://desk-russie.eu/2022/09/02/nous-nattendons-pas.html

La guerre en Ukraine et les vertiges de l’abîme

 Au-delà des destinées de l’Europe, c’est le sort du monde qui se joue, de l’Ukraine jusqu’au détroit de Taïwan. La Russie-Eurasie, la Chine populaire et l’Iran chiite sont en passe de former un bloc de puissances révisionnistes dirigé contre ce que l’on nomme ici, non sans emphase, l’« ordre international libéral ». Plus concrètement, il s’agit de détruire la séculaire hégémonie occidentale dont les États-Unis sont les héritiers.

De manière ouverte, Poutine et les siens s’inscrivent dans une telle perspective et se tournent vers la Chine populaire. Ils anticipent une rupture d’équilibre et un basculement général au profit de l’Asie, le « jeu » russe consistant à se placer dans le sillage de Pékin et à pratiquer une sorte de maraudage géopolitique. Mutatis mutandis, ce jeu n’est pas sans rappeler celui de la Moscovie à l’époque de l’Empire mongol, Alexandre Nevski et ses successeurs levant le tribut en Slavie orientale pour le compte du Grand Khan. Notons ici que les propagandistes du Kremlin, sur les ondes de la télévision russe, n’hésitent pas à invoquer le souvenir et l’esprit de l’Empire mongol.

 Jean-Sylvestre Mongrenier

https://desk-russie.eu/2022/07/29/la-guerre-en-ukraine.html

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18 commentaires pour Quels sont les vrais buts de guerre? Défendre l’Ukraine ou faire éclater la Russie… et même la Chine . Ces thèses déterminantes pour notre avenir que vous devez connaitre

  1. Bonnin dit :

    Comment peut’ on vouloir la destruction complète d’un pays? que ce soit les USA ou la Russie ou la Chine ou autres , comment peuvent ‘ils décreter la mort d’un pays, d’une nation? au nom de quoi? qui détient la vérité? qui détient le bien? je suis outrée de lire toutes les analyses des bien pensants , des analystes, des intellectuels qui développent leurs idées lumineuses!!!

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  2. Ursi dit :

    Ce sont des malades!
    D’ores et déjà la Grande Russie a gagné.

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  3. K2r dit :

    Fort heureusement, ces fantasmes n’ont aucune chance de se réaliser. C’est le bloc americano otanesque qui s’écroule économiquement et politiquement. La présence simultanée de psychopathes, sélectionnés par les neocons et les structures étranges comme le FEM de Davos, à la tête de nos pays, montre que la situation actuelle, assez périlleuse, n’est pas due au hasard ni au caprice d’un dirigeant qui se serait levé du mauvais pied. Espérons que ça ne se finira pas en franchise du Docteur Folamour.

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  4. Pierre Driout dit :

    Je n’extrapole pas trop sur cette affaire en disant que pour moi c’est une manière pour les Anglo-Saxons de fixer l’armée russe en un point et l’empêcher d’agir ailleurs dans le monde comme elle le fit en Syrie en contrecarrant les plans des Américains et de leurs alliés de l’Otan et d’Israël ! Une armée russe embourbée dans les terres grasses d’Ukraine – et dieu sait que c’est possible – c’est toujours ça de gagné doivent se dire les têtes pensantes de l’Otan et du Pentagone. C’est pourquoi c’est une guerre qu’on fait durer le plus possible sans résolution en vue.

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    • herve_02 dit :

      Le soucis c’est que l’armée russe broie du soldat et du matériel. et comme le dollar commence à ne plus être LA monnaie de référence, qui va financer le remplacement du matériel détruit ? Encore 6 mois comme cela en ucraigne et les russes arrivent à paris sans rencontrer la moindre résistance: plus d’armes, plus de soldats et plus de carburants pa facile de se battre à poil.

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  5. Jean Sentrais dit :

    Si les Occidentaux, tous vassaux opportunistes de l’empire US s’imaginent pouvoir gérer la crise russo-ukraino-étatsunienne comme ils ont géré la pseudo pandémie sans traitement mais avec de la vaxx assassine, alors oui ! la Russie rafflera les palmes d’une lourde victoire, à valoir pour cent ans …

    Je ris beaucoup de savoir que Pfizer et Moderna ont été les meilleurs alliés factuels de Poutine. Des alliés zélés qui ont oeuvré à détruire préventivement l’empire US en agissant de l’intérieur. Non ?

    Quant à l’UE, en s’immolant sur l’autel des sanctions anti-russes elle se promet davantage à perdre ses finances ses chars ses avions ses hommes en Ukraine.

    En conclusion : nous ne sommes qu’aux préliminaires du conflit dont ces instants fébriles nous offrent un lâcher ininterrompu d’idiots inutiles : ces idiots vocifèrent, juste pour recouvrir l’espace sonore des bombes et des cris des peuples qui souffrent.

    Cependant la stratégie des USA et de ses vassaux se découvre sans embages : oui ! détruire la Russie. Mais il y a un hic de choc : la Russie ne daigne pas « se laisser faire ».

    Ben ! voyons … c’est ce qui nous dérange en UE, là où l’art de se laisser corrompre procède d’un raffinement exquis.

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  6. Jean Sentrais dit :

    Jacques Baud : -« Le but des Russes est d’épuiser la capacité militaire de l’Ukraine » (vidéo diffusée le 30 janvier 2023, durée 44:41).

    Or, en fait de civivlisation, les Russes ne peuvent plus s’imaginer vivre à l’occidentale US … Et l’ont-ils un instant pensé ?

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  7. JEAN-LUC dit :

    Il ne fait aucun doute que les vrais buts du conflit provoqué par les US et ses vassaux, c’est bien le démantèlement de la fédération de Russie et, but accessoire des US, l’affaiblissement de L’Allemagne et de la France mise déjà KO par la commission UE qui a fait tout son possible pour démanteler EDF et le nucléaire, la SNCF, l’affaire Alstom……
    Car UE ou Allemagne industrielle plus la Russie et ses ressources, c’était un concurrent sérieux à l’hégémonie US et au dollar en perspective.
    Depuis la fin de l’URSS, l’empire US a donc tout fait pour éviter tout rapprochement de la Russie avec l’UE malgré les demandes réitérées de Poutine.
    Au sein de la Rand Corporation Condoleezza Rice avait dit, la Russie c’est 3% de la population mondiale, 15% des terres et 30% des richesses, il faudra régler ce problème.
    Au sein du groupe des néoconservateurs américains la théorie du démantèlement de la Russie a toujours été dans les tiroirs.
    Pour Brzezinski « il est impératif qu’aucune puissance eurasienne concurrente capable de dominer l’Eurasie ne puisse émerger et ainsi contester l’Amérique. »
    Donc il fallait absolument affaiblir la Russie, le seul vrai rival et pour cela libérer l’Ukraine de l’influence Russe.
    Le rapprochement de l’OTAN des frontières Russes procède du même stratagème.

    Il fallait aussi saper l’influence Russe dans le caucase et en Asie centrale, d’où les livraisons d’armes aux moudjahidin par la cia en Afghanistan contre les Russes.

    Il y avait aussi une vision messianique, l’hégémonie US était une bonne chose pour l’humanité, les US étant le pays le plus riche et démocratique etc……

    Tout cela les Russes le savent pertinemment, et sont dans une guerre existentielle pour laquelle ils sont préparés. C’est un remake de la grande guerre patriotique.
    80% des Russes sont derrière Poutine.
    La stratégie US d’affaiblir la Russie jusqu’au dernier Ukrainien va durer jusqu’à quand ? Ou jusqu’au dernier Européen ?
    Le temps joue pour la Russie et contre les économies Européennes.
    Et la Chine sait qu’après ce sera son tour, elle a donc peaufiné un partenariat stratégique avec Poutine.
    Je ne pense pas que les peuples Européens aient envie d’aller se battre pour préserver l’hégémonie au parfum totalitaire de l’oncle Sam.
    Il vaudrait mieux déposer les armes à l’entrée du saloon au lieu de faire les matamores.

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  8. Chris_Lvr dit :

    Absurde…
    Pas pour rien que les tchétchènes gonflés à bloc sont en première ligne… 😑
    C’est comme demander la libération des états des usa parce que Biden est cinglé et que chaque état doit pouvoir prospérer sans la tyrannie fédérale…
    Ou encore de prétendre devoir démanteler l’Europe au plus vite, car expansionniste et dangereuse pour l’est.

    Bref propagande… Les usa qui chapeautent l’occident sentent le vent tourner économiquement et comme à chaque fois, on fait la guerre pour rebattre les cartes et conserver l’hégémonie.
    Rien de neuf sous le soleil, surtout pour ceux qui ont fait leurs devoirs et savent ce que veulent les mondialistes avec leur nouvel ordre mondial.

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  9. christophe strugala dit :

    On comprend mieux pourquoi les Russes doivent se méfier de l’occident

    >

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  10. Paul-Emic dit :

    Je pense qu’il va falloir commencer à s’intéresser de près au démembrement des USA

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  11. Ping : Rappel : changement de la formule du blog. Un ou deux textes (500 mots) d’analyse par jour. Comment les Etats-Unis se dépeuplent en dépeuplant le monde ce soir : effondrement de la natalité, immigration, chute de l’espérance (sic) de vie&#

  12. venussa1 dit :

    Ecoeurant cet article et sans etre « pro- Poutine » à quel moment cet artilce va t’en guerre propose t il de voir l’autre côté du miroir …?!! et la Paix  bien sûre même pas évoquée …

    Aimé par 1 personne

    • pgibertie dit :

      Je pense que vous ne l’avez pas bien lu! c ‘est pour la paix et pour dénoncer l’attitude des occidentaux

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      • venussa1 dit :

        Merci , oui peut être n’ai je pas compris le sens de cet article , je vous remercie de m ‘avoir répondu , l attitude tres belligerente de nos élites nous mettent réellement en danger , et négocier avec Poutine ne semble pas leur désir ….il risque de réagir et nous en seront les premières victimes …la lâcheté de notre monde politique me fait penser que nous sommes comme en 1914 ou en 1939 pris au piège nos instances représentatives ou muettes face au risque de guerre soit partisantes  il faut avec Philippot et d autre leur dire impérativement NON  mais je pense que malheureusement nos voix ne seront pas entendu!

        Aimé par 2 personnes

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