CLIMAT/ la vérité scientifique n’est ni celle des journalistes ni celle des politiques , elle est beaucoup trop complexe pour leur permettre de nous manipuler …

Cet été nous avons eu très chaud mais le nord de l’Europe et le Canada connaissaient des températures très basses . Et oui, rien n’est simple et ce n’est pas nouveau…

Savez vous qu’il y a 8000 ans le Sahara était vert et que c est un refroidissement climatique qui le transforma en désert?

Vers l’an 1000 les Vikings accostèrent au Groenland (terre verte) puis au Vinland(pays du vin), Terre Neuve alors couverte de vignes sauvages….Pourtant des courbes issues de modèles mathématiques vont à l’encontre de l’histoire et prétendent qu’il faisait alors bien moins chaud qu’aujourd’hui…

Fidèle à mes habitudes je vous donnerai tous les éléments pour réfléchir.

De nombreux documents viennent de revues officielles , d’autres ont été débusqués par l’infatigable Marco Nius marco nius @NiusMarco

Les médias et les politiques confondent météo et climat, la première est prisonnière de l’instant et du local, le deuxième suppose recul et analyse

1 Le temps des scientifiques, climatologues, historiens n’est pas celui des journalistes . Les journalistes aiment les catastrophes, les politiques également CAR ELLES LEUR DONNENT DES EXCUSES;ils l’avouent même: manipuler exige des simplifications …

Ne soyons donc pas surpris si l’International center for journalism qui coordonne la bonne pensée ( avec le financement de Pfizer et de Gates) sur la covid ou le réchauffement climatique et assure la censure sur Facebook donne des consignes précises: réduire la question au gaz carbonique et accentuer le catastrophisme… Consignes suivies même dans les choix des couleurs des cartes météo;;;

LA MANIPULATION EST ENSEIGNEE ALLEZ SUR LEURS SITES/ SIMPLIFIEZ POUR MANIPULER

Un autre thème commun était d’invoquer l’idée de chaleur par le biais de couleurs orange et rouge, de thermomètres et d’éclats de soleil.

« Trop souvent, la communication visuelle du changement climatique est négligée. En tant qu’universitaires et journalistes, nous pouvons être obsédés par la formulation exacte d’un article, puis joindre, presque négligemment, une image au document ou à l’article », ajoute-t-elle. Or, « les images sont un élément-clef du processus de communication, car elles façonnent notre façon de penser, de ressentir et d’agir en matière de changement climatique. »

https://ijnet.org/fr/story/ne-prenez-pas-le-choix-des-images-d%E2%80%99illustration-des-canicules-%C3%A0-la-l%C3%A9g%C3%A8re

https://ijnet.org/fr/story/comment-dynamiser-votre-couverture-du-changement-climatique

https://www.icfj.org/search/node?keys=climate

1200scientifiques ont lancé un cri d’alarme: » la science du climat est désormais basée sur « des croyances personnelles et des agendas politiques » et non sur des faits scientifiques.

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Depuis un demi siècle tous les scientifiques savent que le réchauffement climatique n’est pas un fait nouveau, le réchauffement climatique n’intensifie pas les sécheresses, les catastrophes naturelles.

Ce qui est une certitude; les annonces catastrophiques sont encore plus débiles que les prévisions des marabouts:

la fin des ressources naturelles prévue pour l’an 2000 (1970);

Un ouvel age glaciaire en l’an 2000 (1970)puis en 2024 (2004)

New York sous les eaux en 2019 (2009)

L’Artique libre de glace en 2013 (Al Gore 2008)

96 mois pour sauver la planete (Prince Charles 2009)

Le lundi 18 septembre 1995, le New York Times a écrit un article avertissant que les plages de la côte Est auraient disparu dans 25 ans.

Vérifiez si vous ne croyez pas

les plages de l’est américain 25 ans après

LE NIVEAU DES GLACES AUJOURD HUI …ON VA DE SURPRISE EN SURPRISE ET DIRE QU AL GORE ANNONCAIT LA FONTE GENERALE POUR 2014

Panique ! Une image rare de 2022 d’un glacier censé avoir disparu en 2017. 1987 1996 et 2022 (cnes). Légère exagération les mecs (Marco Nius)

Al Gore avait « prophétiquement » annoncé en 2007 le dégel complet de l’Arctique d’ici 2014 à l’occasion de son discours d’acceptation du prix Nobel de la paix. Il incombe donc aux médias consciencieux de continuer à réitérer cette prédiction ridicule, abstraction faite de ce qui se passe réellement dans les contrées arctiques. Cela ne peut manquer de se produire, c’est certain, puisqu’il y a un changement climatique !

Il est par ailleurs toujours utile, pour ceux qui voudraient éviter le piège de l’hystérie et des scénarios hollywoodiens, de consulter de temps en temps le Service permanent (de l’observation) du niveau moyen des mers, ou PSMSL, de son acronyme anglais. Le PSMSL recueille des données mensuelles et annuelles moyennes relatives au niveau de la mer de la part de plusieurs centaines d’organismes nationaux de surveillance océaniques répartis aux quatre coins de la planète.

Les inlandsis, tant arctique qu’antarctique2, augmentent en étendue et en épaisseur, dans la mesure où les précipitations augmentent sous l’effet du réchauffement périodiques des océans, qui s’évaporent par conséquent plus rapidement. Un tel phénomène, par ailleurs naturel, devrait lui-même entraîner une baisse du niveau des océans. Or, celui-ci augmente en raison des fontes locales périodiques de portions de glaciers terrestres côtiers (par exemple, le glacier Petermann dans le nord-ouest du Groenland). Phénomène qui se caractérise notamment par la chute plus rapide de la glace sur les flancs du Groenland en raison du réchauffement, lui aussi naturellement périodique, des cours océaniques environnants. Ce qui fait crier aux alarmistes, apparemment peu au fait des rouages du climat et des cycles arctico-marins : « réchauffement climatique » !

En réalité, le volume de glace susceptible de se détacher des terres polaires et de se déverser par conséquent dans les océans ne peut pas entraîner une forte hausse de leur niveau avant que l’augmentation de l’épaisseur des calottes n’entraîne, à contrario, une baisse de celui-ci. Cet équilibre magnifique est imparable, contre toutes les affabulations réchauffistes rapportées incessamment par les journalistes au service de l’alarmisme climatique.

Voyons donc, de nouveau, ce qu’indiquent les dernières données glaciologiques arctiques en cette fin de mois d’août 2022. En date du 21 août 2022, l’étendue de la glace de mer arctique était de 6,82 millions de kilomètres carrés, supérieure à celle des années 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 le même jour, d’après le graphique comparatif suivant du NIC Comparatif annuel de l’étendue de la glace de mer arctique5 :

.

https://www.wikistrike.com/2022/08/afp-20minutes-msn-menteurs-climatiques-parole-d-arctique.html

3 UNANIMITE DES SCIENTIFIQUES IMPOSSIBLE DE TROUVER UN LIEN ENTRE RECHAUFFEMENT ET SECHERESSE AUGMENTATION DES SECHERESSES OU DES TEMPETES

PRECISION UTILE POUR LES JOURNALISTES LES SECHERESSES NE S EXPLIQUENT PAS PAR LES TEMPERATURES MAIS PAR L INSUFFISANCE DES PRECIPITATIONS

Sous l’Equateur nous trouvons des températures très élevéees et une végétation luriante;;; il pleut

Par ailleurs il existe des déserts froids en Asie centrale

LE SAHARA A CESSE D ETRE VERT QUAND LE CLIMAT S EST REFROIDI IL Y A PRES DE 5000 ANS

Les scientifiques considèrent que la période l’ Holocene connut une période chaude il y a 8000 ans , c ‘est le moment du SAHARA VERT Elle se termine par un refroisissement et le Sahara devint un désert….

Toutes les régions composant cette zone géographique ont été touchées simultanément et avec la même importance, ce qui a permis une datation précise de la période humide africaine (à 200 ans près). Elle se serait terminée il y a 4.900 ans, en donnant naissance au Sahara tel que nous le connaissons

En effet, de nombreux indicateurs montrent que les températures estivales dans la région s’étendant du Groenland à la mer de Norvège auraient baissé il y a entre 6 000 et 5 000 ans.Par ailleurs, la baisse des températures au sol dans le Sahara bloque aussi la remontée vers le nord de la mousson, conduisant à une baisse des précipitations dans le Sahel. Ainsi, une variation de température aux hautes latitudes de l’hémisphère Nord pourrait avoir déclenché un effet en cascade avec des rétroactions qui ont finalement conduit à la disparition du Sahara vert

Il se trouvera bien un imbécile pour àmontrer que les activités humaines auraient déjà à l’époque du néolithique pu jouer un rôle déterminant dans la désertification du Sahara. 

https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/climatologie-voila-4900-ans-sahara-abruptement-passe-vert-jaune-45757/

DANS CERTAINES REGIONS DU MONDE ARIDES ON ASSISTE AUJOURD’HUI A UNE AUGMENTATION DES PRECIPITATIONS

Une équipe de chercheurs suisses et allemands vient d’apporter la preuve de la hausse significative, depuis la révolution industrielle, des précipitations dans la chaîne montagneuse de Karakorum, au nord du Pakistan

Une humidité comparable à celle de l’optimum medieval

Des années 1970 à la fin du XXe siècle, la région du Sahel a souffert d’une sécheresse dont la durée et l’intensité restent inégalées. Cette sécheresse a été particulièrement marquée entre 1970 et 1990, avec une baisse de la quantité de pluie annuelle de 200 mm en moyenne, soit un déficit de 50 à 60 % dans la partie nord de la région. La sécheresse s’étant progressivement atténuée au cours des années 1990, on a parfois parlé d’un « retour à la normale ». Certains auteurs ont même avancé que cette reprise des pluies était liée au réchauffement climatique mais  la pluie annuelle actuellement observée au Sahel reste inférieure de 10 à 15 % à ce qu’elle était lors des décennies humides 1950 et 1960, du fait notamment d’un déficit persistant d’événements pluvieux durant la mousson. 

Cette approche est cependant contestée, le Sahel connaitrait une phase longue de sècheresse depuis 200 ans https://www.insu.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/1600-ans-dhistoire-climatique-montrent-que-la-secheresse-actuelle-du-sahel-est-sans

Hélas Le nombre d’enfants qui décèdent en raison de l’insalubrité de l’eau et de l’absence d’assainissement est déjà plus élevé au Sahel que dans toute autre région du monde. Les conflits n’y sont pas pour rien et 2022 est une année de sècheresse

LES SECHERESSES EN EUROPE DEPUIS 1870

Vicente-Serrano et al. 2020 a examiné diverses mesures de la sécheresse européenne sur la période 1871-2018 et a conclu : « Les résultats révèlent une absence générale de tendances à long terme statistiquement significatives dans le domaine de l’étude

https://rmets.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/joc.6719

Variabilité et tendances à long terme des sécheresses météorologiques en Europe occidentale (1851-2018)

En général, les épisodes de sécheresse vécus au cours des deux ou trois dernières décennies ont des précédents au cours des 170 dernières années, soulignant l’importance de longs dossiers pour évaluer le changement. La principale caractéristique de la variabilité de la sécheresse en Europe occidentale est sa forte diversité spatiale, avec des régions présentant une évolution temporelle homogène.

Il n’y a aucun lien entre sècheresse et température, il n’y en a pas. La T° a augmenté depuis 40 ans (vous le saviez ?) Mais pas du tout les sècheresses.

Nature .:Baisse du nombre de cyclones depuis 1850 pour quand on vous dira que le réchauffement provoque plus de phénomènes extrêmes . à mon avis aucun lien entre les 2 . Bien qu’ils l’explique par la hausse des T° contrairement à ce qu’ils racontaient avant https://nature.com/articles/s41558-022-01388-4 Marco NIUS

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
Cet article a été publié dans éducation prépa école de commerce. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

27 commentaires pour CLIMAT/ la vérité scientifique n’est ni celle des journalistes ni celle des politiques , elle est beaucoup trop complexe pour leur permettre de nous manipuler …

  1. Ping : CLIMAT/ la vérité scientifique n’est ni celle des journalistes ni celle des politiques , elle est beaucoup trop complexe pour leur permettre de nous… | Qui m'aime me suive…

  2. nicolasbonnal dit :

    Excellent dossier comme toujours Patrice. Relire Leroy-Ladurie sur les famines meurtrières sous Louis XIV liées à la mini-glaciation. https://www.cairn.info/revue-regards-croises-sur-l-economie-2009-2-page-24.htm

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  3. UBU dit :

    Très intéressant et très bien documenté Merci
    Il est rassurant que des neurones fonctionnent encore correctement en ces temps d’abrutissement des foules par un système politique débile (mais qui sait très bien où il veut nous mener)

    A lire pour ceux que cela intéresse le livre d’Emmanuel Le Roy Ladurie
    Histoire humaine et comparée du climat
    Sous titre
    Canicules et glaciers XIII-XVIII siècle (2004 chez Fayard)

    Le dégâts du moteur diésel au XIII siècle sur les fleuves et les glaciers

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  4. Jean Sentrais dit :

    De quoi parle-t-on lorsqu’il faut craindre un changement climatique et des augmentations de température imputables à l’activité humaine ?

    Je suis perplexe, depuis qu’un premier frémissement audible tentait de nous alerter (pour ma part en 1985).

    Qui ou quoi est le grand-maître de cette peur savamment orchestrée ?

    Le Soleil, à lui seul organise le climat sur Terre.

    Postulons que le Soleil produise une égale somme d’énergie depuis des centaines de millions d’année par unité de temps (seconde, heure, jour, année, siècle, millénaire, etc.), est avéré que l’orbite de la Terre autour de lui est singulière et finalement complexe :

    1
    son orbite est elliptique ;

    2
    cette orbite est désaxée, décalée du centre elliptique ;

    3
    la Terre en rotation sur elle-même dispose d’un axe incliné, et que cet axe oscille comme une toupie mal lancée ;

    4
    que le noyau ferreux de la Terre se comporte comme une dynamo et produit un champ électro-magnétique instable susceptible également d’influer sur le climat.

    Qu’est-ce que le climat terrestre sinon qu’il définit par zones géographiques distinctes, de la température, du vent et de la pluviométrie. Or nous savons que température et pluviométrie ne sont pas liées au seul paramètre capable de définir seul le climat. Demeure leur résultante instable, aléatoire et extraordinairement complexe mais intiment lié à la température et à la pluviométrie : le vent.

    Autre croyance parfaitement erronée : le CO2, un gaz à effet de serre. Il y a 100 millions d’années la concentration colossale de CO2 dans l’atmosphère terrestre n’a pas produit des température infernales (!) mais a profité magistralement aux plantes … dont se sont gavé les dinosaures herbivores. La production végétale étant gigantesque (grâce au CO2), elle a constitué à terme une réserve fossile d’hydrocarbures (carbone emmagansiné).

    En 35 millions d’années la raréfaction du CO2 disponible aux végétaux affama les dinosaures, d’autant qu’une activité sismique et volcanique intense aurait produit tant de SO2 que des pluies acides (SO2 + H2O = H2SO3) sévirent longuement, participant à la destruction du biotope végétal cher aux dinosaures (seuls en survécurent les … oiseaux et de minuscules mammifères).

    Quant au climat : globalement, sont inchangés la somme globale d’énergie solaire captée par la Terre, engendrant température-pluviométrie-vent. Or, s’il pleut en France toujours la même quantité d’eau/an (1300mm en PACA, 750mm ! sur Paris), la sécheresse encourue et l’assèchement des nappes phréatiques sont le résultat d’une mauvaise gestion des pluies : endiguement des fleuves et rivières, rejet immédiat des eaux pluviales à la mer, agriculture industrielle intensive dont le sol est exposé au vent desséchant (mauvaise gestion des bois environnants, s’il en existe encore à proximité de la terre de culture : défaut d’ombrage alterné et pare-vent).

    Conclusion : dès lors qu’on peut craindre des mofifications éprouvantes du climat terrestre, il ne s’agit pas d’un réchauffement global, mais d’un déplacement de zones humides en sèches, chaudes en froides. Et vice-versa selon que l’on apporte à la région où l’on a prospéré une importance capitale : notre sédentarisation est maîtresse qui nous expose statistiquement à la ruine, et c’est ce que nous refusons d’admettre car, en cette affaire nous nous mentons beaucoup à nous-mêmes ! et agissons comme de misérables gourous belliqueux.

    Nos ancêtres au fil des âges étaient beaucoup moins vaniteux, qui eux ont toujours migré au rythme de la migration climatique, sauf au risque infime de disparaître de la surface de la Terre …

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    • Lefort dit :

      Pour votre information un gaz à effet de serre est un gaz présent dans l’atmosphère terrestre et qui intercepte les infrarouges émis par la surface terrestre.
      Un gaz ne peut absorber les infrarouges qu’à partir de 3 atomes par molécule, ou à partir de deux si ce sont deux atomes différents. Du coup ni l’azote – diazote pour être précis – ni l’oxygène – dioxygène pour l’être tout autant – ne sont dans la catégorie des gaz à effet de serre).
      Le CO2 répond donc à la définition d’un gaz à effet de serre, contrairement à ce que vous affirmez ci-dessus :
      « Autre croyance parfaitement erronée : le CO2, un gaz à effet de serre. »

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  5. guillaume rampon dit :

    Combien y a t’il de CO2 dans l’atmosphère terrestre ?

    réponse : 400 ppm (400 parties par million) soit
    0,04 %, l’augmentation de 0,005% du CO2 en 50 ans est il en mesure de changer le climat ?

    Voir :
    https://books.google.fr/books?id=JwVzDwAAQBAJ&pg=PT279&lpg=PT279&dq=spectre+d%27absorption+école+normale+supérieure+lyon&source=bl&ots=XNFRY9ll6k&sig=ACfU3U3dnXxKgHoY_83uR7De8yhW9Nx4oQ&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjyus_grOT5AhUAhM4BHbzmCys4ChDoAXoECAUQAw#v=onepage&q=spectre%20d'absorption%20école%20normale%20supérieure%20lyon&f=false

    Il y a des travaux forts intéressant de l’école normale supérieure de Lyon sur les spectres d’absorption accessibles par internet malheureusement je n’arrive pas à trouver les liens.

    Aimé par 1 personne

  6. Ping : Coupures et passe énergétique cet hiver : simple désastre énergétique dû aux sanctions ou habile Grand Reset ? Guy Debord évoquait le despotisme peu éclairé de notre apocalyptique élite occidentale ; en Angleterre, l’idiote Liz Truss promeut c

  7. Jean Sentrais dit :

    Et si la guerre en Ukraine n’était pour la Russie que devancer la migration climatique ?

    En y conquérant une terre agricole riche, ne serait-ce de s’assurer de l’avenir du grenier à blé de l’Europe afin d’asseoir sa prime indépendance alimentaire, et de l’augmenter ?

    Soyons certains que le César de Moscou utilement conseillé (notamment par ses génies nationaux puis par la Chine et l’Inde et les pays aujourd’hui affamés) est loin du dernier des idiots …

    Quant à une guerre de sauvegarde ou d’expansion, nous en outrer serait médire de notre propre histoire humaine : -« Nous sommes venu, nous avons vu, nous avons vaincu ».

    Et cette « guerre » russe en Ukraine ne procède guère du temps mensuel occidental : -« Quel sera mon solde bancaire au 5 de chaque mois » ?

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  8. Jean Sentrais dit :

    Le premier criminel climatique que la France ait connu est : Louis XIV !

    Dont on s’ajuste qu’il a ruiné son Royaume …

    Comment eût-il agi en ruine écolo-climatique ? Ben ! en endiguant la Loire sur plusieurs centaines de kilomètres (sur 1 voire 2 rives) en y affectant ses armées … un temps désoeuvrées entre 2 ou 3 ou 4 ou 5 expéditions de « conquêtes » proximitatives extérieures.

    Aujourd’hui 3 siècles plus tard, le Val de Loire souffre d’un déficit critique phréatique chronique.

    La solution : arraser toute digue, et permettre à la crue de la Loire d’abreuver son lit naturel et sa vallée étendue sur des millions d’hectares …

    A défaut, le Val de Loire ne pourra échapper à la redoutable migration climatique.

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    • Jean Sentrais dit :

      Nul doute que le divin EMmerdeur y répondrait, bonace méprisant pour couper court à telle audace : -« Et vous avez chiffré un tel chantier, puis ce n’est pas ni de mon lucre ni de mon intelligence » ?

      Et d’un ancestral général de Gaulle de répondre, alerte et saillant : -« Mon Bon, voyez donc l’intendance » …

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    • herve_02 dit :

      « Comment eût-il agi en ruine écolo-climatique ? Ben ! en endiguant la Loire sur plusieurs centaines de kilomètres »

      regarder les travaux du passés pour faire du green washing dessus me semble un poil hasardeux. suivez un peu le fil de la loire et regardez les villes qui sont construire « dessus » vous comprendrez qu’il est difficilement envisageable de la dé-diguée.

      quitte à partir dans ce genre de délire. Nous, en picardie, on est inondés pour éviter que paris le soit… on devrait détruire les digues et autres ouvrages du bassin versant pour laisser la seine, l’oise et l’aisne à leur libre court histoire de faire de l’écologie qui touche les écolos qui nous donnent des leçons (ils sont faciles à trouver ils habitent dans la petite couronne)

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      • Jean Sentrais dit :

        Cher Hervé_02,
        soyez bénis que Louis XIV vous ait ignoré : ensemencez gracieusement au terme de vos terres inondées.

        Quant à construire de Cités vouées à la ruine séculaire, les exemples sont nombreux, ne sont-ils pas ? Principalement en cette question de l’eau. Car, une Cité ne peut s’établir de façon pérenne que si l’eau y est abondante ; or le débat porte aux aléas climatiques furieusement incertains où l’eau, un temps excédentaire voire excessive se fait douloureusement rare … parce qu’elle finit toujours par tomber ailleurs, ailleurs, aileurs en quelques siècles ou milliers d’années : c’est toute l’histoire du Sahara et de l’Egypte antique pas si lointaine. Nous y procédons aujourd’hui, mais territoriaux à l’extrême nous prétendons à défendre notre territoire en maudissant qui et quoi que se soit.

        Que pensez-vous du Canal du Midi, cet entre-deux mers que je considère génial (oeuvre accessoire et rédibitoire du Louis XIV) ?

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      • herve_02 dit :

        cher jean

        je n’ai pas d’avis sur le canal du midi. mais j’ai un avis plus intéressé sur le jugement d’actes des siècles passées avec les connaissances et fantasmes actuels. je ne sais pas si la destructions des zones humides par louis jenesaisqui ou henri chose ont eu écologiquement la catastrophe que représente l’artificialisation des sols que nous vivons actuellement, artificialisation soutenue par les écolos bobos qui s’entassent dans des cages à lapin nécessitant d’artificialiser probablement 10 fois l’espace qu’ils occupent, afin de pouvoir faire leur course en trottinettes électriques et acheter du tofu fabriqué en allemagne avec su soja brésilien transformé en chine.

        Tout cela pour dire qu’il est un non sens de projeter en arrière des modes de pensée moderne. Peut être que sans cette artificialisation, tout un pan qui fut notre économie un temps n’aurait pas existé, qui peut le dire. il ne faut pas ré-écrire notre passé. il se passe maintenant à une échelle industrielle un saccage « inutile » de la nature. passons notre temps de cerveau disponible à lutter contre cela plutôt que de regarder le massacre des mamouth (et leur disparition soyons certains) par des hordes d’hommes préhistoriques….

        ps hors sujet : il y a un commentaire en attente d’être libéré parce que j’avais mis 3 liens

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  9. K2r dit :

    Excellente synthèse. Merci

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  10. Christophe Nicolas dit :

    Le fait remarquable climatique du siècle est la migration du pôle nord magnétique, du nord du Canada vers la Russie, et son affaiblissement.
    L’activité du soleil ainsi que la machinerie électromagnétique de la terre (champ magnétique et électrosphère) gèrent le climat à court terme car cette machinerie impacte les nuages or leur hauteur gère la température (nuages haut réchauffant et nuages bas refroidissant); le fonctionnement de cette magnine électromagnétique gère aussi la durée du cycle de l’eau qui fait la pluviométrie.

    Contrairement aux idées reçues, la trajectoire de la terre sur son orbite ne change absolument pas l’énergie reçue car lorsque la terre est loin du soleil, elle y passe plus de temps et inversement lorsqu’elle est près du soleil (loi de Kepler), cela change seulement la répartition de l’énergie sur la terre et cela pilote les grandes tendances avec d’autres paramètres comme l’obliquité, etc. (glaciations).
    La répartition des continents est également importantes pour la circulation des courants océaniques qui transportent beaucoup d’énergie thermique faisant les climats régionaux or c’est en rapport avec la lune donc ils ne sont pas près de s’arrêter comme le prétendent certains articles.

    En cas de chamboulement du champ magnétique à la baisse, il se créerait plusieurs pôles, l’atmosphère arrête le rayonnement nocif mais le climat serait très déréglé car cela bouleverserait localement les hauteurs des nuages et les durées du cycle de l’eau. Plus l’eau se condense vite, plus il pleut et plus l’évaporation est boostée donc c’est la transformation de la vapeur d’eau en gouttelettes qui pilote la durée du cycle de l’eau et l’intensité de la pluviométrie.

    Ce qui compte, c’est le champ magnétique terrestre or ce sont les réseaux électriques qui le perturbent car l’inducteur est de surface ce qu’une étude serrée des différents astres du système solaire permet de démontrer.
    Lorsque les écologistes proposent des solutions comme des centrales électriques solaires et éoliennes qui obligent à la mutualisation en réseau ainsi que les transports en commun comme des trains électriques, ils vont à l’encontre des buts qu’ils se fixent de préserver le climat et contribuent à son dérèglement. Il existe des solutions mais elles sont très différentes de celles prônées actuellement, elles restent confidentielles car elles sont combattues au nom d’une vision matérialiste de la science qui est une vision très restreinte, vision sponsorisée par beaucoup de politiciens qui ont toujours besoin d’une prostitué comme compagne afin d’embobiner les esprits. Ne suis pas poète avec certains de nos chers hommes de pouvoir qui se prennent pour des élues mais qui n’en sont pas du tout au sens christique; le seul sens Véridique.

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  11. Ping : CLIMAT/ la vérité scientifique n’est ni celle des journalistes ni celle des politiques , elle est beaucoup trop complexe pour leur permettre de nous manipuler … – PAGE GAULLISTE DE RÉINFORMATION . LES MÉDIAS NOUS MANIPULENT ET NOUS MENTENT,

  12. Sébastien Renault dit :

    Bonjour. Pour votre information, la version de mon texte – AFP, 20minutes, msn : Menteurs climatiques, parole d’Arctique – originellement postée en ligne le 25 août 2022 se trouve sur Réseau international, au lien suivant (qu’il serait heureux d’indiquer dans votre condensé de plusieurs contributions en ligne, quand vous pourrez) : https://reseauinternational.net/afp-20minutes-msn-menteurs-climatiques-parole-darctique/. Wikistrike a curieusement posté une version contenant une ou deux coquilles (l’omission d’un mot) et n’a pas pris soin de sourcer le lien originel sus-indiqué…

    Puisque nous menons en premier lieu une guerre féroce de l’information, je suis entièrement acquis à la diffusion et au partage de nos armes de prédilection (dont la plus pure, la plus puissante et la plus noble n’est autre que la vérité), dans cette lutte qui nous confronte à une machine de propagande et de tromperie massives sans foi ni loi. Mais, par souci d’équité, il est également important de correctement sourcer un lien ou retranscrire les propos de quelque auteur tirés de quelque papier posté et facilement relayé en ligne. Permettez-moi de signaler que j’ai remarqué que vous avez mis en italique une section de mon texte ci-dessus, et que vous l’avez fait précéder d’un paragraphe lui aussi tiré de la même portion de ce même texte, mais qui n’est pas indiqué en italique. Il s’agit du passage suivant :

    […] Al Gore avait « prophétiquement » annoncé en 2007 le dégel complet de l’Arctique d’ici 2014 à l’occasion de son discours d’acceptation du prix Nobel de la paix. Il incombe donc aux médias consciencieux de continuer à réitérer cette prédiction ridicule, abstraction faite de ce qui se passe réellement dans les contrées arctiques. Cela ne peut manquer de se produire, c’est certain, puisqu’il y a un changement climatique !

    Il me semble que l’ensemble du texte (y compris le passage ci-dessus) devrait donc être pareillement mis en italique, pour indiquer que le tout est entièrement une citation.

    Merci à vous !

    Pour ce qui est du format original, on peut y accéder au lien suivant : https://drive.google.com/file/d/11yuRW_aUEbFOLobPRh1XkUBmNJOhBIRE/view.

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    • herve_02 dit :

      je sais que je vais faire mon chiant, mais lutter contre la désinformations en partageant des liens google…

      si vous ne vous sortez pas des gafam, vous allez avoir du mal à vous battre en utilisant ceux qu’il faut combattre.

      mais c’est faire mon chiant.

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      • Sébastien Renault dit :

        Monsieur, cela n’a strictement rien à voir avec les « GAFAM ».

        Je ne fais ici que donner le lien vers la version PDF publique de mon article, par ailleurs mis en ligne (en premier lieu) sur Réseau international (https://reseauinternational.net/afp-20minutes-msn-menteurs-climatiques-parole-darctique/). J’ai créé ce lien public en utilisant le logiciel de stockage Google Drive, certes. Sauf votre respect, il est tout-à-fait absurde de déduire de l’usage d’un tel lien un quelconque rapport avec le googlisme institutionnel (que j’abhorre au plus haut point). Aussi absurde que de dire à quelqu’un qui lutterait contre la désinformation sur YouTube qu’il fait en quelque sorte partie de la conspiration de YouTube en matière de censure et de désinformation parce qu’il s’efforce encore de diffuser des informations de contre-propagande via YouTube (lorsque cela est encore possible).

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      • Michel C dit :

        Revenons au sujet. Parce parisiens, ces journaleux périmés prétendent détenir la vérité, la France étant selon eux le centre du monde puisque Paris est le centre du monde, occultant ainsi leur inculture.

        Il me revient le passé suivant : au bras de ma maman, 8-9 ans attendant que le feu passe au vert pour les piétons, se tenait un monsieur correctement habillé, une serviette à la main. Passe une DS 19 verte immatriculée à Paris.
        Et le monsieur d’éructer « sale parigot ».

        En 50 ans, rien n’a changé, sauf que le précipice se rapproche, le troupeau de moutons bêlants derrière le joueur de flutiaux. Aujourd’hui, je comprend fort bien ce monsieur, et je pourrais bien me trouver à sa place, avec des mots encore plus raffinés, car je suspect qu’il s’était retenu.

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  13. Ping : MACRON EST DANGEREUX, PLUS QU’HIER, MOINS QUE DEMAIN | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE

  14. Daniel dit :

    Bon dossier, merci
    La peur climatique repose notamment sur un mensonge : la mission du Giec n’est pas l’étude générale du climat, mais juste d’apporter des éléments de preuve dans la responsabilité de l’action humaine sur l’évolution du climat, qui est posée par principe. Le Giec n’est pas un organisme scientifique, mais un forum politique où les décideurs sont l’assemblée des ministres de l’environnement des pays de l’ONU; le résumé (du rapport Giec) pour décideurs est décidé par ce forum politique, ce qui « permet » ensuite d’adapter la synthèse du rapport, puis du rapport détaillé pour « coller » au résumé pour décideurs; in fine, le rapport est largement un rassemblement d’éléments relevant de la plaidoirie à charge et à sens unique.

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  15. Lefort dit :

    Faites svp attention à vos sources.
    En ce qui concerne le GIEC, par exemple, pourquoi encore prétendre que ce sont les gouvernements qui nomment les membres du GIEC.
    Résumé IPCC.CH, Sources :
    La procédure de sélection des auteurs est décrite aux sections 4.3.1 et 4.3.2 de l’Appendice A des Principes régissant les travaux
    du GIEC – Procédures à suivre pour l’élaboration, l’examen, l’acceptation, l’adoption, l’approbation et la publication des
    rapports du GIEC (http://www.ipcc.ch/pdf/ipcc-principles/ipcc_principles_french/ipcc-principles-appendix-a-final_fr.pdf).
    2 Les rôles des différentes catégories d’auteurs sont décrits dans l’Annexe 1 de l’Appendice A des Principes régissant les travaux
    du GIEC – Procédures à suivre pour l’élaboration, l’examen, l’acceptation, l’adoption, l’approbation et la publication des
    rapports du GIEC (http://www.ipcc.ch/pdf/ipcc-principles/ipcc_principles_french/ipcc-principles-appendix-a-final_fr.pdf).
    « La sélection s’effectue comme suit: un appel à candidatures est d’abord lancé auprès des gouvernements
    et des organisations ayant le statut d’observateur auprès du GIEC; des curriculum vitae détaillés sont
    ensuite remis et les auteurs sont sélectionnés en fonction de leurs compétences. Le GIEC s’efforce de réunir
    des équipes d’auteurs représentatives de la diversité des points de vue et des qualifications scientifiques,
    techniques et socio-économiques. Afin de parvenir à des rapports d’évaluation exhaustifs, c’est-à-dire qui
    ne favorisent pas un pays ou un groupe de pays mais tiennent compte des problématiques de chaque
    région, les équipes sont constituées d’une variété d’auteurs provenant de diverses régions et de pays
    développés comme de pays en développement.
    Le GIEC recherche aussi la parité hommes-femmes et un équilibre entre ceux qui ont l’habitude de
    travailler sur des rapports du Groupe d’experts et ceux qui n’ont pas cette expérience, notamment les
    jeunes chercheurs. Des experts du secteur industriel et d’organisations à but non lucratif, qui apportent une
    perspective utile à l’évaluation, peuvent également faire partie des équipes.
    Les équipes chargées des différents chapitres se composent d’auteurs coordonnateurs principaux, d’auteurs
    principaux et d’éditeurs-réviseurs2
    . Le Bureau du groupe de travail ou de l’équipe spéciale concerné(e)
    sélectionne des scientifiques soit à partir des candidatures nationales d’experts présentées par les
    gouvernements membres du GIEC et des organisations ayant le statut d’observateur soit parce qu’ils se
    sont fait connaître par leurs publications et leurs travaux.
    Les experts qui ont été désignés par leurs gouvernements ou par des organisations ayant le statut d’observateur mais qui n’ont pas été sélectionnés sont incités à apporter leur contribution en tant qu’examinateurs
    (voir la fiche d’information sur le GIEC – Comment fonctionne le processus d’examen du GIEC?).

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    • daniel dit :

      Lefort est dans l’errier sur la composition des équipes participant au rapport du Giec. Il donne la théorie, non la pratique
      Les candidats sont proposés par chaque pays, par son ministère de l’environnement ou équivalent, par les milieux qui adhèrent au processus Giec.
      Ils ne sont pas choisis pour leur compétence; il n’y a qu’à constater que des ratios H:F ou Ouest/Sud sont à respecter. Dans les premiers rapports, des piliers de la science mondiale ont été entourés de débutants encore de bas niveau, et mis en minorité pour la rédaction; ils se sont retirés du processus, c’est bien compréhensible.
      Des voix contradictoires peuvent participer au processus de revue des projets de rapport. Simplement, au fil des rapports, il est de moins en moins tenu compte de leur apport, de leur challenge au texte préparé. Là encore, ils se lassent de façon bien compréhensible.
      Un rapport ‘interacadémique’ des principales académies des sciences avait signalé il y a qq années ce type d’anomalies et le besoin du Giec d’améliorer son processus scientifique ; rien n’a eu lieu

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  16. Lefort dit :

    En ce qui concerne le GIEC, encore, pourquoi prétendre que le GIEC rédige son rapport général APRES le résumé destiné aux décideurs?
    Source : https://www.ecologie.gouv.fr/comprendre-giec
    Si l’originalité du GIEC est d’associer les États au processus d’élaboration des rapports d’évaluation, ceux-ci n’interviennent que lors de la phase finale : la rédaction du « résumé pour décideurs ». Ce texte est examiné puis adopté ligne par ligne par les représentants des gouvernements sous le contrôle des scientifiques, auteurs du texte initial. Ainsi, les États interviennent effectivement dans le processus d’acceptation de la synthèse des rapports d’évaluation, ce qui leur donne un caractère universel, mais pas dans le processus d’expertise scientifique qui consiste à rédiger le rapport extensif.
    Contrairement aux idées reçues, le Giec ne mène aucune étude scientifique et se contente de faire la synthèse de la littérature récente en matière de climat. Il peut aussi compléter ces études scientifiques par des rapports rédigés par des pouvoirs publics, des entreprises ou des organisations, ainsi que par des actes de conférence. Le Giec ne fait pas non plus de prévisions, mais produit des scénarios d’évolution, qui incluent des marges d’incertitude.
    Chacun des trois groupes se réunit à quatre reprises pendant une semaine pour se mettre d’accord sur la structure du texte puis les experts réviseurs rédigent chacun leur part. Tous ces textes sont relus par d’autres experts externes, puis par les représentants nationaux du Giec. Ces derniers sont chargés de s’assurer de la validité des données, mais n’influent pas sur les conclusions scientifiques elles-mêmes. Chaque rapport contient plusieurs centaines voire plusieurs milliers de pages, mais un résumé d’environ 15 pages est rédigé à l’attention du grand public et des décideurs.

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    • daniel dit :

      Lefort indique que le rapport scientifique du GIEC est écrit avant le résumé pour décideurs ; c’est vrai pour le seul projet de rapport et le projet de résumé scientifique du rapport.
      Mais le résumé pour décideurs est le document finalisé en premier; c’est lui qui est repris par les media.
      Mais il peut contredire les projets de rapport scientifique, il est parfaitement établi que cela a été plusieurs fois le cas; alors les documents scientifiques sont révisés pour correspondre au résumé pour décideurs, et publiés des mois après le résumé pour décideurs. Cela n’a aucune importance, car personne ne lit le rapport complet, et les media n’en parlent guère.
      Les redacteurs du rapport Giec sont choisis parmi les bien pensants; les autres ont été eliminés lors des premiers rapports, ou se sont désistés par desinteret face à un processus pipé.
      Ce n’est qu’en français que le Giec inclut le terme ‘expert’; il est absent de l’anglais ‘intergovernmental panel on climate change’ – l’IPCC est un organisme intergouvernemental, donc politique, et non fondalement scientifique

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