Fraude scientifique majeure dans le traitement de la maladie d’Alzheimer, la « science » officielle AVAIT TRICHE pour nier les dangers de l’aluminium

A en croire les autorités il n’existerait pas de liens entre aluminium et Alzheimer et entre adjuvants dans les vaccins et des maladies auto immunes … La presse n’en avait que pour Robert Cohen et Bruno Lima, les lanceurs d’alerte comme Henri Joyeux n’étaient que des charlatans .

Comment pouvait il en être autrement puisque l’on savait qu’Alzheimer était la conséquence du dépot dans le cerveau de plaques amyloides . Mais ce que l’on savait reposait sur des photos truquées et une étude pipotée.

Contrairement à ce que pensaient jusqu’ici les scientifiques travaillant sur Alzheimer, la neuroinflammation du tissu cérébral n’est pas la conséquence de l’accumulation de plaques amyloïdes mais leur cause.

Il faut donc trouver d’autres explications à cette inflammation : défaillance du système immunitaire, aluminium ?

PLUS GRAVE : LA RESPONSABILITE DE L’ALUMINIUM DANS LES MALADIES AUTO IMMUNES

Il n’existe pas à ce jour d’études prouvant que l’adjuvant vaccinal aluminium est sans danger, c’est même le contraire.

Plusieurs études prouvent la responsabilité de l’aluminium dans bien des pathologies et pas seulement Alzheimer. Le consensus journalistico industriel prétendait que l’aluminium n’était pas dangereux et pourchassaient ce qui prétendaient le contraire, ils se sont trompés et l’on découvre même les conflits d’intérêt de Bruno Lima et de Robert Cohen

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Les chercheurs n’ont identifié aucune hypothèse biologique convaincante reliant l’aluminium et le développement de la maladie d’Alzheimer. Ainsi, le rapport de la HCSP conclut que « à ce jour, il n’est toujours pas raisonnable de considérer que l’aluminium a un rôle causal dans la maladie d’Alzheimer ».

Aujourd’hui nous savons que la thèse officielle depuis 20 ans était totalement pipotée

L’hypothèse d’un lien entre l’aluminium et la maladie d’Alzheimer est née d’une expérience réalisée en 1965 sur des lapins, qui a laissé penser que des sels d’aluminium pourraient provoquer dans le cerveau l’apparition de dégénérescences neurofibrillaires, caractéristiques de la maladie d’Alzheimer.

En 2014, Christopher Exley, chercheur à l’Université Keel (Royaume-Uni), avait déjà établi un
lien entre l’exposition à l’aluminium et la survenue de la maladie d’Alzheimer. Celui que l’on surnomme désormais “Monsieur Aluminium” travaille depuis plus de 20 ans sur les conséquences de ce métal sur notre santé. Il s’est fait récemment viré de son université, car il n’allait pas dans le sens de la doxa de ses financeurs, devinez qui ?

Grâce à la microscopie à fluorescence, l’équipe d’Exley a démontré chez les personnes décédées que “l’aluminium et la protéine bêta-amyloïde [le composant principal des plaques amyloïdes que l’on retrouve dans les neurones de certaines maladies neurodégénératives, dont la maladie d’Alzheimer, NDLR] étaient co- localisés sur les plaques amyloïdes ainsi que dans le système vasculaire” des patients.

Des traces d’aluminium ont également été retrouvées séparément de la protéine bêta-amyloïde dans les compartiments intracellulaires, y compris la glie (cellules gliales immunitaires de nutrition et de protection des neurones) et les axones neuronaux (les prolongements des neurones qui conduisent le signal électrique du corps cellulaire vers les zones synaptiques, NDLR).

Selon Christopher Exley, la présence d’aluminium dans le cerveau est responsable du développement de la maladie d’Alzheimer, et d’autres études doivent être menées pour en faire une certitude. La maladie d’Alzheimer est la plus fréquente des maladies neurodégénératives. Une nouvelle étude publiée dans la revue Journal of Alzheimer’s Disease Reports conforte à son tour un nombre croissant de preuves selon lesquelles l’aluminium contribue à la pathogenèse de la Maladie d’Alzheimer (MA). Les chercheurs ont découvert que l’aluminium était co-localisé avec la protéine tau phosphorylée, qui est l’un des premiers initiateurs de la MA. Cette étude s’appuie sur deux études publiées précédemment par le même groupe.

https://www.liberation.fr/societe/sante/soupcons-de-fraudes-medicament-a-lefficacite-douteuse-la- recherche-sur-alzheimer-dans-la-tourmente-20220727_452WLGK7O5CYBIYSXHBUAMCUEM/

Le premier auteur de cette étude influente, publiée dans Nature en 2006 , était un neuroscientifique ascendant : Sylvain Lesné de l’Université du Minnesota (UMN), Twin Cities. Son travail sous-tend un élément clé de l’hypothèse amyloïde dominante mais controversée de la maladie d’Alzheimer, selon laquelle les amas d’Aβ, appelés plaques, dans le tissu cérébral sont la principale cause de la maladie dévastatrice, qui touche des dizaines de millions de personnes dans le monde. Dans ce qui ressemblait à une preuve irréfutable de la théorie et à une piste de thérapies possibles, Lesné et ses collègues ont découvert un sous-type Aβ et semblaient prouver qu’il provoquait la démence chez le rat.

 Une enquête de 6 mois menée par Science a fortement étayé les soupçons de Matthew Schrag contacté pour fournir une expertise à propos d’un médicament concurrent de celui proposé par Lesné. Des milliards en jeu. Ont été soulevées à cette occasion des questions sur les recherches de Lesné. Un analyste d’image indépendant de premier plan et plusieurs chercheurs de premier plan sur la maladie d’Alzheimer, dont George Perry de l’Université du Texas à San Antonio et John Forsayeth de l’Université de Californie à San Francisco (UCSF), ont examiné la plupart des découvertes de Schrag à la demande de Science . Ils étaient d’accord avec ses conclusions générales, qui jetaient le doute sur des centaines d’images, dont plus de 70 dans les papiers de Lesné. Certains ressemblent à des exemples « scandaleusement flagrants » de falsification d’images, déclare Donna Wilcock, spécialiste de la maladie d’Alzheimer à l’Université du Kentucky.

Pour de nombreux scientifiques, il semblait clair que l’accumulation d’Aβ déclenche une cascade de dommages et de dysfonctionnements dans les neurones, provoquant la démence. L’arrêt des dépôts amyloïdes est devenu la stratégie thérapeutique la plus plausible.

Cependant, des centaines d’essais cliniques de thérapies ciblées sur l’amyloïde ont donné peu de lueurs prometteuses ; seul le décevant Aduhelm produit par la société Biogen (qui a rétropédalé début 2022) a obtenu l’approbation de la FDA. Pourtant, Aβ domine toujours la recherche et le développement de médicaments. Le NIH américain a dépensé environ 1,6 milliard de dollars sur des projets qui mentionnent les amyloïdes au cours de cet exercice, soit environ la moitié de son financement global pour la maladie d’Alzheimer. Les scientifiques qui avancent d’autres causes potentielles d’Alzheimer, telles que le dysfonctionnement immunitaire ou l’inflammation, se plaignent d’avoir été mis à l’écart par la « mafia amyloïde ».

https://www.science.org/content/article/potential-fabrication-research-images-threatens-key- theory-alzheimers-disease#main-story

Comme d’autres efforts anti-Aβ, la recherche sur les oligomères toxiques n’a engendré aucune thérapie efficace. «De nombreuses entreprises ont investi des millions et des millions de dollars,

voire des milliards… pour s’attaquer aux Aβ [oligomères] solubles. Et cela n’a pas fonctionné », explique Daniel Alkon, président de la société de biosciences Synaptogenix, qui a autrefois dirigé la recherche neurologique au NIH.

L’aluminium entraîne une dégénérescence neuronale chez le lapin, le chat et le chien. En effet, lorsqu’on injecte des sels d’aluminium directement dans le cerveau de ces animaux, on observe un déficit de la mémoire d’apprentissage, un ralentissement général et une perte de la curiosité.

L’ALUMINIUM DANS L’ALIMENTATION ET ALZHEIMER

Henri Pézerat, disparu en 2009 à l’âge de 80 ans. Il a passé 35 ans à travailler sur des questions de santé au travail. Si des milliers d’ouvrières et d’ouvriers de diverses industries ont été reconnus en France comme victimes de maladies professionnelles, s’ils ont obtenu la reconnaissance de la faute inexcusable de leurs employeurs qui avaient conscience du danger au moment où ils les exposaient à des cancérogènes, c’est en grande partie grâce à lui.

Sa première lutte, la plus longue et la plus importante est celle contre l’amiante. En 2004, il lance une nouvelle alerte, touchant un plus grand nombre de personnes encore que l’amiante : le rapport incontestable entre les taux d’aluminium dans l’eau du robinet et la proportion de malades d’Alzheimer dans la population qui la consomme.

Les études sur lesquelles se base le rapport de Henri Pézerat concluent pourtant à « une augmentation du risque de démence ou de maladie d’Alzheimer, risque estimé entre 1,5 et 2,5 pour une concentration hydrique d’aluminium supérieure à 100 ou 110 μg/litre ».

https://www.senat.fr/questions/base/2010/qSEQ10101056S.html

Autrement dit, le seuil de dangerosité est situé à 0,1 mg/litre. Or, ce code de santé publique a fixé le seuil qu’il est « préférable de ne pas dépasser » à… 0,2 mg/litre !

La norme de 200 microgrammes d’aluminium par litre d’eau fixée par l’OMS est discutable, elle ne constitue qu’une référence de qualité, non une limite, en l’absence de contrôle les compagnies des eaux se permettent souvent de la dépasser sans être tenues d’en informer le consommateur. Selon l’Agence française de sécurité alimentaire des aliments (AFSSA) en 2007 : 2,7 millions de français ont bu une eau contenant un taux de sels d’aluminium supérieur à cette norme.

https://www.canada.ca/fr/sante-canada/programmes/consultation-aluminium-eau- potable/document.html

Les recommandations officielles sont basées sur une valeur quadruplant dans l’absolu le risque de développer Alzheimer.

Impossible de ne pas trouver d’aluminium dans l’eau, de nos jours : le sulfate d’alumine est utilisé… par les stations d’épuration des eaux !!! Dans certaines villes françaises, le seuil de 0,5 mg/litre d’aluminium est parfois atteint !

De nombreux spécialistes recommandent de ne pas utiliser les produits qui en contiennent (capsule de café, pansement gastrique et vaccins adjuvés à l’aluminium…

Les adjuvants aluminiques sont utilisés depuis 1926. En France, on compte 30 vaccins avec adjuvant, soit environ 10 millions de doses par an. Pour leur part, les vaccins nourrissons actuellement sur le marché contiennent entre 0,125 et 0,85 milligrammes d’aluminium par dose. Par conséquent, par le biais des vaccinations recommandées, les nourrissons reçoivent environ 4,5 milligrammes d’aluminium au cours des six premiers mois de vie. 

Le Professeur Henri Joyeux fut un des rares en France à dénoncer la fausse piste des plaques amyloïdes et à dénoncer les radicaux libres. Il a publié récemment un important livre « Refusez l’Aluminium dans les produits de Santé – Plaidoyer pour des vaccins sûrs et sans danger ».La toxicité de l’aluminium s’explique et est démontrée scientifIquement, en particulier la neuro-inflammation. Il détaille dans ce livre les nombreuses pathologies aluminiques chroniques par bioaccumulation et biopersistance dans les organes.  De 1822, – la découverte de l’aluminium dans la bauxite aux Baux-de-Provence -, à 1922, – son incorporation dans les produits de santé-, puis à 2022, l’épopée de l’aluminium dans les produits de santé touche à sa fin, écrit-il.

Depuis de nombreuses années, la principale piste de recherche vise à s’attaquer aux plaques amyloïdes qui se forment entre les neurones au cours de la maladie, et aux agrégats de protéines tau formant les dégénérescences neurofibrillaires à l’intérieur des neurones.

Cette voie de recherche est vouée à l’échec, car elle confond les conséquences de la maladie, en l’occurrence les plaques séniles et les dégénérescences neurofibrillaires, avec ses véritables causes.

En effet l’accumulation de protéines bêta-amyloïdes (plaques séniles) et de filaments de protéines tau anormales (dégénérescence neurofibrillaires), qui provoque à terme la mort des neurones, ne sont que des débris protéiques qui résultent de la destruction de structures protéiques neuronales par les radicaux libres oxygénés toxiques pour vos neurones.

Des radicaux libres en surnombre ont aussi un effet visible sur le vieillissement de la peau. Ils sont impliqués dans de nombreuses pathologies comme des cancers et les autres maladies neurodégénératives.

SE POSE EGALEMENT LA QUESTION DE LA NOCIVITE DES ADJUVANTS D ALUMINIUM DANS LES VACCINS

Selon le chercheur israélien Yehuda Shoenfeld, les adjuvants dans les vaccins, et particulièrement l’aluminium, seraient responsables de la hausse de certaines maladies immunitaires.

Le Pr Philippe Even, Président de l’Institut Necker, renchérit en 2013. A la question : « connaît-on le fonctionnement des adjuvants des vaccins », il répond : « c’est complètement empirique. Ça ne repose sur aucune base scientifique ».

Le Professeur Joyeux dénonçait également les dangers de l’aluminium dans les adjuvants vaccinaux

Le problème est que l’Infanrix Hexa :

  • ▪  contient de l’aluminium et du formaldéhyde, deux substances dangereuses, voire très dangereuses pour l’humain, et en particulier le nourrisson, pouvant notamment provoquer une grave maladie, la myofasciite à macrophages.
  • ▪  contient le vaccin contre l’hépatite B soupçonné d’un lien avec la sclérose en plaques ;
  • ▪  et coûte jusqu’à 7 fois plus que les autres vaccins.En outre, vacciner les enfants contre 6 maladies graves d’un coup est en soi un geste médical risqué, qui peut déclencher une réaction immunitaire incontrôlée (choc anaphylactique), ainsi qu’augmenter le risque de maladie auto-immune sur le long terme.L’US EPA classe le formaldéhyde comme cancérogène, tout comme le Centre international de recherche sur le cancer et le National Toxicology Program. De plus, plusieurs études ont depuis établi un lien entre une forte exposition prolongée au formaldéhyde et certains types de cancer.Les vaccins utilisés contre le HPV, Gardasil et Cervarix, contiennent de l’aluminium comme adjuvant. Le Pr Joyeux, n’est pas contre ces vaccins, mais les déconseille formellement tant qu’ils contiennent l’adjuvant aluminium. Ce dernier peut être remplacé par un autre adjuvant sans danger : le phosphate de calcium ou un adjuvant végétal en cours de mise au point par ds laboratoires internationaux.

De forts soupçons pèsent sur cet adjuvant.

La Commission de Conciliation et d’Indemnisation (CCI) reconnait l’existence d’un lien entre la vaccination contre le HPV (Gardasil) et l’encéphalomyélite aigue disséminée développée par Océane Bourguignon. D’autres jeunes femmes, atteintes de pathologies diverses, ont déposé plainte. D’autres encore sont atteintes de myofasciite à macrophages, pathologie induite par l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal, après cette même vaccination.

LA PRESSE BIENPENSANTE LE CONDAMNA sans connaître les réalités scientifiques de la toxicité de l’aluminium qui n’a rien à faire dans le corps humain comme dans celui des animaux. De 1976 à 2022 se sont succédés concernant sa toxicité  : suspicions, puis alertes et désormais certitudes. Tellement que l’aluminium a disparu des principaux vaccins vétérinaires, mais persiste dans les vaccins pédiatriques.  

https://sante.lefigaro.fr/article/vaccins-des-accusations-peu-solides-contre-l-aluminium/

L’Ordre des médecins lui reproche l’ensemble de ses propos contre la vaccination et le fait d’être à l’initiative d’une pétition en ligne contre l’usage du vaccin contre l’hépatite B, appelé Infanrix Hexa. Cette pétition, largement relayée sur les réseaux sociaux et toujours en ligne, a été signée par plus d’1,1 million de personnes. Dans ce vaccin, le Dr Joyeux fustige la présence d’« aluminium et de formaldéhyde », deux « substances dangereuses voire très dangereuses », selon lui. De son côté, le président du Conseil national de l’Ordre, Patrick Bouet, médecin généraliste incompétent sur le sujet, dévoué à l’Etat et aux protocoles dictés par Big pharma, dénonce « un discours dangereux » et des « propos non appuyés sur des bases scientifiques [et portant] atteinte à la profession ».

Il serait bon que l’Ordre actualise ses connaissances scientifiques.

Le Conseil d’État a reconnu le lien entre Myofasciite à macrophages et aluminium vaccinal à 8 reprises (2012, 2013, 2014, 2015)3.

Le Conseil d’État a ainsi établi une solide jurisprudence : « Le lien de causalité entre la vaccination contre l’hépatite B subie par M. L. dans le cadre de l’obligation vaccinale liée à son activité professionnelle et la myofasciite à macrophages dont il souffre, doit être regardé comme établi ; que, par suite, la maladie dont souffre M. L. doit être regardée comme imputable au service. »

D’autres procédures judiciaires sont en cours, pour reconnaître le lien de cause à effet entre vaccination avec aluminium et myofasciite à macrophages.

Un rapport commandé par l’Agence du médicament (ANSM), contient des avis scientifiques basés sur une étude du professeur Romain Gherardi, ancien chef du service de pathologies neuromusculaires à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil, au sujet des risques de neurotoxicité liés aux sels d’aluminium contenus dans 8 sur les 11 vaccins qui sont obligatoires pour les jeunes enfants depuis le premier janvier 2018.

Ce rapport n’est en aucun cas « anti-vaccin », il ne pointe pas un danger direct pour la santé causé par les vaccins en tant que tels, mais il soulève de nombreuses questions scientifiques sur la neurotoxicité possible des sels d’aluminium contenus dans ceux-ci, et injectés dans les muscles des enfants en bas-âge, de 2 à 18 mois.

Risques de lésions musculaires et fatigue chronique ou fibromyalgie

Le professeur Romain Gherardi a pu effectuer l’étude sur les sels d’aluminium — qui a mené au rapport « oublié » par l’ANSM de mars — en bénéficiant d’une subvention de 150 00€ en 2014, mais qui n’a pas été suffisante, selon lui. Le chercheur n’est pas très content, et le fait savoir : l’ANSM a beau avoir conclu qu’il fallait approfondir les études, aucun signal n’a été donné dans ce sens depuis lors, et le rapport est resté entre ses murs sans que personne ne soit mis au courant de ses conclusions à l’extérieur. Trop dangereux pour les fabricants de vaccins qui ont des stocks énormes à écouler, tandis que les chercheurs, conscients des dangers de l’aluminium, essayent de nouveaux adjuvants, végétaux en particulier. 

Pourtant, malgré des débats au sein des scientifiques, les sels d’aluminium testés sur des rats permettent au Professeur Gherardi d’affirmer dans une interview toujours au Parisiendu 22 septembre 2017que « Nos études montrent qu’à trop rester dans les cellules, ils [les sels d’aluminium, ndlr] peuvent provoquer un burn-out immunitaire, c’est-à-dire fatiguer notre système immunitaire, voire le dérégler. Nous faisons le lien entre la myofasciite à macrophages (lésions musculaires, ndlr) et la multiplication du syndrome de fatigue chronique associée à des troubles cognitifs. »

Les sels d’aluminium — qui stimulent les substances immunitaires des vaccins — sont utilisés en adjuvant depuis les années 1920 et ont de nombreux défenseurs dans le monde médical, experts de la vaccinologie, très liés aux fabricants. Le plus fréquemment, cette défense tient au fait que la dose de sels d’aluminium serait très faible dans les vaccins, que la fréquence d’exposition est bien moindre qu’avec d’autres produits en contenant (comme les cosmétiques), et le fait que si sa dangerosité était réelle elle aurait déjà créé des alertes sanitaires vue la quantité de population vaccinée. Ces alertes se sont multipliées depuis les années 80. L’Etat et l’OMS les connaissent parfaitement, mais manipulés par les 5 fabricants mondiaux, gigantesques sponsors, ils ne peuvent imposer le retrait de cet adjuvant. 

Le professeur Romain Gherardi bat en brèche ces affirmations favorables à l’aluminium, et explique : « La grande différence avec le vaccin, du fait de l’injection dans le muscle, c’est qu’il passe entièrement la barrière cutanée. Sous une forme d’agrégats insolubles, il est propulsé à l’intérieur de notre organisme où il s’installe (…) L’immense majorité [des patients vaccinés, ndlr] ne présente en effet aucune atteinte clinique du système nerveux. Mais l’augmentation du nombre d’injections risque d’augmenter mécaniquement le nombre de problèmes. Notre étude pointe également qu’il y aurait une prédisposition génétique, d’où la nécessité de poursuivre nos recherches pour confirmer, comprendre et y remédier. »

Romain Gherardi travaille sur la myofasciite à macrophages qu’il a découvert depuis longtemps. Déjà en 1998, avec le docteur Michelle Coquet, il publiait une première étude sur cette pathologie encore inconnue, causée par les sels d’aluminium, selon la communauté de chercheurs qui l’accompagnait. Ce lien de cause à effet a été vivement contesté par d’autres scientifiques qui ont de liens d’intérêt directs ou indirects avec les fabricants, comme c’est encore le cas aujourd’hui. La temporalité est admise, mais pas question d’accepter la causalité.

Interrogé par Le Monde en 2012, le professeur Gherardi se plaignait du manque d’études poussées sur le sujet : « Ce que devient l’aluminium vaccinal dans l’organisme n’a presque pas été étudié : tout repose sur le postulat qu’il se dissout dans le liquide interstitiel avant d’être évacué, dit-il. En réalité, les seules expériences ont été faites sur deux lapins pendant vingt-huit jours. Ces résultats ont été extrapolés à l’homme, sans aucune étude sur le long terme. »  Et l’académie de médecine faite de médecins et pharmaciens pour la plupart retraités, pas toujours sans liens d’intérêt, a confondu en 2012, l’administration de l’aluminium pris par voie digestive, à celui qui passe par voie intramusculaire et sanguine.

Depuis, avec cette nouvelle étude, le Pr Gherardi et ses élèves estiment qu’il faut aller plus loin pour comprendre à quel point ces affections — liées pour lui aux sels d’aluminium vaccinal — touchent potentiellement certains publics prédisposés génétiquement et surtout confirmer de façon certaine ou infirmer les effets neurotoxiques précis de cet adjuvant contenu dans les vaccins.

C’est ce principe d’investigation que défend aujourd’hui le professeur Gherardi, plutôt qu’une «  mise sous cloche des études et des rapports ». Le chercheur défend les vaccins mais pense que si le public devient réfractaire à ceux-ci, ce n’est pas parce que des dangers sont mis à jour, mais à l’inverse parce que les recherches sur les vaccins ne sont pas prises en compte par les autorités sanitaires et que l’information à leur sujet devient par essence sujette à caution. La pensée du médecin pourrait être résumée à : « On craint et on refuse ce que l’on ne connaît pas et ce sur quoi on a un doute, mais on accepte ce qui a été scientifiquement prouvé comme sans danger, alors que de nombreux dangers existent ».page6image48318528page6image48318720

Sachant que si Romain Gherardi disposait des 500 000€ qu’il demande pour aboutir ses recherches et que la neurotoxicité des sels d’aluminiums dans les vaccins était prouvée, cela ne remettrait pas en cause les vaccins. En effet, le chercheur explique qu’il existe des alternatives à l’adjuvant aluminique, comme le phosphate de calcium et le Pr Joyeux insiste sur les adjuvant végétaux en cours de mise au point.

https://information.tv5monde.com/info/sels-d-aluminium-dans-les-vaccins-le-rapport-oublie-de-l- ansm-193141

OU ENCORE CETTE ETUDE CANADIENNE

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L’aluminium est une neurotoxine démontrée expérimentalement et l’adjuvant vaccinal le plus couramment utilisé. Malgré près de 90 ans d’utilisation généralisée des adjuvants à base d’aluminium, la compréhension de la science médicale sur leurs mécanismes d’action est encore remarquablement faible. Il existe également une rareté inquiétante de données sur la toxicologie et la pharmacocinétique de ces composés. Malgré cela, l’idée que l’aluminium dans les vaccins est sûr semble être largement acceptée par les autorités de santé, alors qu’elle est fausse, démontrée scientifiquement par des équipes en plus de la France, aux USA, Canada, Japon, Espagne… 

Cependant, la recherche expérimentale montre clairement que les adjuvants à base d’aluminium ont le potentiel d’induire de graves troubles immunologiques chez l’homme. En particulier, l’aluminium sous forme d’adjuvant comporte un risque d’autoimmunité, d’inflammation cérébrale à long terme et de complications neurologiques associées et peut donc avoir des conséquences néfastes profondes et généralisées sur la santé. Selon nous, la possibilité que les avantages du vaccin aient été surestimés et le risque d’effets indésirables potentiels sous-estimés n’a pas été rigoureusement évaluée dans la communauté médicale et scientifique. Nous espérons que le présent document fournira un cadre pour une évaluation très nécessaire et attendue depuis longtemps de cette question médicale très controversée.

https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/21645515.2014.1004026?gclid=Cj0KCQjw852XBhC6 ARIsAJsFPN1jahbQbhElhw2SHa6ky7bKXcWqdn-VlepmP5KdHIEnb4HLYS3ieu8aAoaa 

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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9 commentaires pour Fraude scientifique majeure dans le traitement de la maladie d’Alzheimer, la « science » officielle AVAIT TRICHE pour nier les dangers de l’aluminium

  1. Gieffe dit :

    Comment avoir encore la moindre confiance en la médecine ou en la  » science  » ?

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  2. Jean-claude PEREZ dit :

    Luc Montagnier alertait beaucoup à ce sujet

    Pour preuve

    [02/08 à 21:41] Jean Claude Perez: Jcp #lucmontagnier alertait sur ça, en particulier en s’appuyant sur un article de vétérinaires espagnols qui avait été censuré car sa preuve était trop nette

    [02/08 à 21:41] Jean Claude Perez: …/… »des patients de mon entourage tous décédés .C’est sans doute l’aluminium  utilisé comme adjuvant dans ces vaccins qui est la cause d’une réaction inflammatoire d’un système  immunitaire
    déjà perturbé. Les gens qui conseillent ces vaccinations sont des ignares ou des meurtriers. » LM (Luv Montagnier)

    [02/08 à 21:42] Jean Claude Perez: Ce que m’écrivait #lucMontagnier le 28 août 2020…

    Aimé par 2 personnes

  3. F-X Robert dit :

    Il semble y avoir un problème avec le lien de Libération « Soupçons de fraudes, médicament à l’efficacité douteuse: la recherche sur Alzheimer dans la tourmente ». L’article existe bien, mais d’où je suis, le lien ne fonctionne pas correctement.

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  4. Christophe Nicolas dit :

    beaucoup de gens défendent l’idée générale que les complots n’existent pas donc les falsificateurs de la science ont énormément de soutien inconditionnel. La truande où le travail motivé par l’unique ambition sont au contraire la règle générale de l’accession rapide au pouvoir, une petite mafia se constitue par népotisme et ça finit dans des complots contre les gêneurs qui font des reproches contre de telles irrégularités contre la déontologie d’où votre expression : mis à l’écart par la « mafia amyloïde »

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  5. Ia. Amare dit :

    Et quand vous comprendrez que les virus n’existent pas….
    L’humanité aura fait un grand pas !

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  6. Patrick Huet dit :

    Il ba falloir faire un grand ménage dans le milieu médical. Et pour cela comprendre auparavant ce qui a engendré cette manufacture de fausseté et de mensonges.
    Eh bien, nous n’avons pas à chercher bien loin.

    Au début du XX° siècle l’ultra-milliardaire Rockefeller a pris le contrôle du domaine médical aux USA, en y appliquant les mêmes méthodes par lesquelles il a pris le contrôle du secteur du pétrole, en chassant notamment tout autre type de médecine que celle fondée sur l’ultra-chimie (sa chimie) et le concept des vaccins et des virus.
    https://www.patrickhuet.net/voici-comment-rockefeller-a-pris-le-controle-de-toute-la-medecine-et-a-chasse-les-medecines-naturelles/

    Alors, il serait temps que les gouvernements enquêtent sur les actions de la fondation Rockefeller depuis sa création !

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  7. nora dit :

    ça ne donne pas que alzheimer malheureusement, ça rend aussi électrosensible comme tous les métaux qui polluent l’organisme, c’est à dire sensible aux champs électromagnétique. et je suis obligée non seulement de fuir les ondes (plus facile à dire qu’à faire dans notre monde connecté sans fil) mais de prendre un traitement à base d’antioxydants (papaye fermentée ou ginko biloba) recommandé pour alzheimer par les pr belpomme et montagnier en plus d’oméga 3 et plein d’autres à vie, non remboursés pour lutter contre les symptômes d’inflammation au niveau neurologique, digestif, articulaire, musculaire et tendineux

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  8. nora dit :

    et à mettre en lien avec les effets de potentialisation par les ondes comme cela a été montré par le labo toxseek qui a étudié les liens entre contamination de populations et d’animaux aux terres rares et exposition aux ondes et les problèmes de santé que cela induit. donc oui, les vétos et les éleveurs sont notre espoir !

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