Aux Etats Unis le candidat de MCKINSEY ne pourrait même pas se présenter, en France les médias le protègent

Le recours à des conseils externes et à des consultants n’est pas le problème, il est souvent la solution car les enquêtes internes ne sont pas la panacée (cf le harcèlement de D Raoult par l’aphm).

Le scandale commence quand la collusion est complète entre une entreprise et un candidat à la présidence, quand cette entreprise finance la campagne et reçoit des contrats juteux comme retour sur investissement , pratique une optimisation fiscale scandaleuse et pour couronner le tout se voit confier un mandat sur la santé publique au moment même où on apprend son implication dans une monstrueuse affaire.

Les milliers de consultants qui travaillent en France ne sont pour rien dans ce scandale , ils le subissent comme les autres . Le mal est profond dans notre pays mais « Le poisson pourrit toujours par la tête« , ne nous trompons donc pas de cible.

Dans une démocratie les liens entre la Macronie et MCKINSEY suffiraient à discréditer le candidat sortant, aux Etats Unis, la firme vient de payer près de 600 millions de dollars pour ses responsabilités dans le pire scandale sanitaire de l’histoire…500 000 morts

Pour la première fois, aux États-Unis, le nombre de personnes décédées d’une surdose d’opioïdes a dépassé les 100 000 entre avril 2020 et avril 2021. Une augmentation de 30 % par rapport à l’année précédente.

Pourquoi le pouvoir refuse t il tout contrôle, tout débat démocratique et passe t il contrat avec une entreprise qui ne paie pas d’impôts en France?

Pourquoi le Pouvoir a t il confié une mission d’ordre sanitaire à une entreprise engluée dans un scandale sanitaire?

1 LA CRISE POLITIQUE ET FISCALE

Le contraste est saisissant, le Pouvoir refuse tout contrôle démocratique et multiplie les missions de consulting

L’État se permet de faire des contrôles aléatoires dans tous les domaines : identité, ébriété, laissez-passer, autorisations, licence, permis, état vaccinal, etc. Désormais, l’État contrôle aussi des publications sur les réseaux sociaux, et même, tout dernièrement, des prescriptions médicales.

La réciproque devrait exister. Le contrôle du bon fonctionnement de l’État par les Français ne devrait poser aucun problème, ni à l’État, ni à quiconque.

Pourquoi le président sortant n’accepte-t-il pas le débat avec les autres candidats du premier tour ?

Pourquoi, quand Laurent Toubiana dépose une pétition au Sénat pour obtenir les données sur la mortalité en France toutes causes confondues, sa pétition est-elle refusée ? Ces données devraient être librement disponibles et accessibles à tous.

Pourquoi, quand Me Protat demande une audition pour la question prioritaire de constitutionnalité qu’elle a formulée, le Conseil constitutionnel la lui refuse-t-il sans aucunement justifier sa position ? A minima une décision motivée devrait être de mise.

Pourquoi les décisions pour la gestion de la crise sanitaire sont-elles adoptées secrètement par un Conseil de défense ?

Pourquoi imposer une 4ᵉ dose alors que des traitements précoces sont utilisés efficacement dans bien des pays, ce alors qu’il n’y a eu aucune étude concernant la 4ᵉ dose ?

Pourquoi enfreint-on les règles évidentes de précaution et du consentement libre et éclairé ?

Xavier Azalbert

https://t.co/0i9w3GuNxA

En janvier 2021 la Macronie choisissait pourtant le même cabinet que Purdue, Olivier Marleix réagissait : «Absolument sidérant! Qu’est-ce que McKinsey vient faire là dedans? On a un ministère de la Santé, un ministère de l’Intérieur et un ministère de la Défense en gestion de crise… Pour peu qu’on sache les mobiliser. Après les ARS hors-sol, un cabinet de conseil US.»

Rien n’y fit, en Macronie, McKinsey, c’est la famille … et celle des Fabius

Karim Tadjeddine siégeait avec Emmanuel Macron à la Commission Attali. Ils avaient notamment rédigé 316 propositions « non partisanes ». Emmanuel Macron, en 2016, a préfacé un livre qui s’appelle L’État en mode start-up, dont Karim Tadjeddine était le co-auteur. Un an plus tard, en 2017, ce dernier a appartenu au staff de la campagne d’Emmanuel Macron. Il s’était engagé, entre autres, à monter un site Internet. On retrouve le nom de Karim Tadjeddine dans les Macronleaks, et ce dernier a d’ailleurs reconnu que c’était une erreur d’envoyer des mails à l’équipe de campagne du candidat avec son adresse McKinsey…

Aux Etats Unis le candidat de MCKINSEY ne pourrait même pas se présenter, en France les médias le chouchoutent

En janvier 2021, Marianne titrait « McKinsey, ce cabinet de conseil qui dirige le monde », et détaillait la façon dont il avait géré notre stratégie de vaccination. Depuis, l’influence de ce cabinet a été exposée au grand jour. Dernier épisode en date ? La commission d’enquête du Sénat sur l’influence des cabinets de conseil sur les politiques publiques accuse les entités françaises du cabinet McKinsey de n’avoir versé aucun impôt sur les sociétés entre 2011 et 2020.

LA PARTIE VISIBLE DE L’ICEBERG/ MCKINSEY  A REMPLACE LA HAUTE FONCTION PUBLIQUE  ET LE PARLEMENT, ne doit pas faire oublier l’essentiel, la capacité de la Firme à se substituer à tous les décideurs de la politique de santé

2 LA CRISE SANITAIRE

La presse américaine n’est pas tendre , je lui laisse la responsabilité de ce qui suit:

La Firme permet à Big Pharma de gagner beaucoup d’argent en écoulant son poison , puis elle conseille la prise en compte des empoisonnements et demande aux labos de verser des remises. MacKinsey enrichit grassement ses propres dirigeants via MIO Partners, une filiale spéculative qui investit dans Big Pharma.

Le poison tue , les labos paient et McKinsey aussi…Rassurez vous pour la Firme , MIO Partners a investi dans des entreprises chargées de réparer les dégâts des empoisonneurs … Rien ne disparait, tout se transforme en fric… C ‘est toute l’histoire du scandale des opioides aux Etats Unis, une histoire à 500 000 morts… McKinsey a négocié sa responsabilité pour 573 millions de dollars. Elle a ensuite payé 18 millions supplémentaires pour les pratiques de MIO Partners …

LES ACCUSATIONS DE LA JUSTICE ET DE LA PRESSE

L’une des principales entreprises pharmaceutiques jugée responsable de la crise est Purdue Pharma. Ce laboratoire commercialise l’OxyContin, souvent décrit comme un “opiacé tueur” par la presse américaine. Accusé d’avoir volontairement alimenté la surconsommation de ce produit en multipliant les campagnes de marketing et de lobbying — mais aussi en versant des pots-de-vin aux médecins — Purdue Pharma a été visé par plus de 2.000 plaintes aux Etats-Unis. Une avalanche de procédures judiciaires qui a conduit ses dirigeants à plaider coupable et à déclencher une mise en faillite, fin 2019, afin de pouvoir verser plus de 8 milliards de dollars d’amende, qui serviront dans la lutte contre la crise des opiacés.

Or, depuis 2008 et jusqu’à récemment, Purdue Pharma était un client important de McKinsey. Malgré les alertes sanitaires, les consultants du cabinet de conseil auraient aidé le labo à maximiser ses ventes d’opiacés, quitte à contourner les mesures de santé publique visant à en réduire la consommation. Les investigations de la justice américaine, relayées par le New York Times, ont notamment mis en lumière l’incroyable stratégie marketing proposée par McKinsey à Purdue Pharma en 2017, alors que la dangerosité de l’OxyContin était déjà clairement établie.

McKinsey, la prestigieuse société de conseil qui a conseillé Purdue Pharma sur la manière d’augmenter les ventes d’OxyContin, a recommandé au fabricant de médicaments de verser à ses distributeurs une remise pour chaque surdose causée par l’analgésique, selon un rapport du New York Times du 27 novembre .  

Le ministère de la Justice a noté qu’une société de conseil non divulguée avait aidé Purdue Pharma à augmenter les ventes d’OxyContin lors de l’audience du fabricant de médicaments le 24 novembre, au cours de laquelle il a plaidé coupable à trois accusations criminelles liées au marketing et aux ventes de l’analgésique. Des documents publiés devant un tribunal fédéral des faillites de New York révèlent que cette entreprise est McKinsey.

Les documents révèlent que McKinsey avait conseillé à la famille Sackler, propriétaire de Purdue Pharma, de « dynamiser » les ventes d’OxyContin à une époque où le gouvernement et l’industrie pharmaceutique savaient que des centaines de milliers d’Américains étaient morts d’une surdose d’opioïdes. Dans les 160 pages d’e-mails et de diapositives, une présentation de McKinsey de 2017 suggérait au fabricant de médicaments de payer une remise pour chaque surdose attribuable à OxyContin, estimant le nombre de clients de distributeurs tels que CVS ou Anthem pouvant faire une surdose.

La présentation de McKinsey a prédit que 2 484 clients CVS auraient soit une surdose liée aux opioïdes, soit développeraient un trouble lié à l’utilisation d’opioïdes en 2019, selon le NYT . La présentation, qui suggérait une remise de 14 810 $ par surdose, estimait que Purdue Pharma paierait à CVS 36,8 millions de dollars en 2019 dans le cadre de ce plan, a rapporté le journal.

« C’est la banalité du mal, édition MBA », a déclaré Anand Giridharadas, un ancien consultant de McKinsey, au NYT à propos du travail de l’entreprise avec Purdue Pharma. « Ils savaient ce qui se passait. Et ils ont trouvé le moyen de regarder au-delà, à travers, autour, pour répondre aux seules questions qui les intéressaient : comment faire gagner de l’argent au client et, quand les murs se sont refermés, comment se protéger. »

Un représentant de McKinsey a déclaré au NYT le 25 novembre que l’entreprise avait « coopéré pleinement aux enquêtes liées aux opioïdes » et avait annoncé en 2019 qu’elle « ne conseillerait aucun client dans le monde sur des activités spécifiques aux opioïdes ».

Le rôle du cabinet de conseil dans l’épidémie d’opioïdes a attiré l’attention en 2019, alors qu’un tribunal du Massachusetts a publié des documents montrant que McKinsey a aidé Purdue Pharma « à contrer les messages émotionnels des mères avec des adolescents qui ont fait une overdose ».

La filiale de fonds spéculatifs de McKinsey pourrait profiter du règlement des opioïdes de 573 millions de dollars de la société

Le 4 février, la société de conseil basée à New York, McKinsey, a accepté de payer 573 millions de dollars pour régler les enquêtes sur les conseils qu’elle a fournis à Purdue Pharma et à d’autres fabricants de médicaments opioïdes, mais un fonds spéculatif affilié entièrement détenu par la société pourrait bénéficier de cet argent, NBC News rapporté le 8 février .

L’accord règle les allégations de 49 États selon lesquelles la société de conseil aurait conseillé à Purdue Pharma et à d’autres fabricants de médicaments opioïdes d’augmenter les ventes à une époque où le gouvernement et l’industrie pharmaceutique savaient que des centaines de milliers d’Américains étaient morts d’une surdose d’opioïdes. 

McKinsey a été condamné à payer 478 millions de dollars du règlement dans les 60 jours, et l’argent sera alloué aux programmes de traitement, de prévention et de récupération des opioïdes. MIO Partners, un fonds spéculatif détenu à 100% par McKinsey, détient des participations indirectes dans des centres de traitement de la toxicomanie et un fabricant de médicaments qui fabrique des produits qui traitent les surdoses d’opioïdes. 

Les dossiers d’investissement montrent également que MIO Partners détenait des participations dans des entreprises qui ont profité de l’utilisation accrue d’opioïdes à l’époque où McKinsey conseillait aux fabricants de médicaments opioïdes de « turbocharger » leurs ventes d’opioïdes, selon NBC News .

Un porte-parole de McKinsey a déclaré à NBC News que l’entreprise « n’a aucune visibilité ni aucun contrôle sur la manière dont l’argent du règlement sera utilisé par les États ». Il a également déclaré que McKinsey et MIO Partners sont « opérationnellement séparés ».

La Securities and Exchange Commission des États-Unis a infligé une amende de 18 millions de dollars à un gestionnaire d’actifs interne qui investit la richesse des meilleurs consultants de McKinsey dans le monde pour n’avoir pas empêché les partenaires de l’entreprise d’utiliser les informations auxquelles ils ont accédé dans le cadre de leur travail pour les clients.

La filiale, MIO Partners, investissait des centaines de millions de dollars dans des entreprises que McKinsey conseillait, a déclaré la SEC. Certains des partenaires de McKinsey qui ont supervisé ses investissements « ont également eu accès à des informations non publiques importantes grâce à leur travail de conseil McKinsey »,

L’amende est le dernier coup coûteux porté à la réputation de la plus grande société de conseil en gestion au monde, qui a déboursé plus de 600 millions de dollars pour régler les réclamations liées à son travail pour les fabricants américains d’opioïdes. McKinsey avait précédemment versé 15 millions de dollars au ministère américain de la Justice pour régler les allégations selon lesquelles il n’avait pas divulgué les conflits d’intérêts dans les affaires de faillite, tandis que MIO Partners a payé 39,5 millions de dollars l’année dernière pour régler un recours collectif concernant la gestion de son fonds de pension.

Plus tôt ce mois-ci, les États-Unis procureurs inculpés un partenaire de McKinsey avec fraude en valeurs mobilières pour délit d’initié présumé, alléguant qu’il avait «exploité son accès à des informations importantes non publiques» pour réaliser un profit de 450 000 $ en négociant avant une acquisition de 2,2 milliards de dollars par son client, Goldman Sachs.

Rajat Gupta, ancien associé directeur mondial de McKinsey, a été condamné à une peine de prison pour délit d’initié plus de 10 ans plus tôt.

L’ordonnance de la SEC, publiée vendredi, indiquait que les partenaires de McKinsey qui supervisaient les choix d’investissement de MIO avaient régulièrement accès à des informations confidentielles sur les résultats financiers, les transactions et les plans de financement de leurs clients.

Un fonds d’investissement privé de plusieurs milliards de dollars affilié à McKinsey & Co., la société de conseil géante, a réglé les allégations réglementaires selon lesquelles il n’avait pas mis en place de politiques adéquates pour empêcher l’utilisation abusive d’informations privilégiées glanées dans sa vaste activité de conseil aux entreprises, selon aux documents déposés aujourd’hui par la Securities and Exchange Commission. 

Bien que la SEC n’ait pas affirmé que le fonds avait effectivement abusé d’informations confidentielles, elle a cité le double rôle joué par les partenaires de McKinsey qui ont supervisé les choix d’investissement du fonds massif alors même qu’ils avaient accès à des informations non publiques sur les clients. « Ces partenaires étaient régulièrement au courant d’informations confidentielles telles que les résultats financiers, les dépôts de bilan prévus, les fusions et acquisitions, les pipelines de produits et les efforts de financement, et les changements importants dans la haute direction de ces sociétés », a déclaré la SEC dans sa plainte. Les échecs du fonds d’investissement ont commencé « au moins en 2015 » et se sont poursuivis jusqu’en 2020, a indiqué le régulateur.  

Le fonds d’investissement McKinsey, connu sous le nom de MIO Partners, a accepté de payer 18 millions de dollars pour régler l’affaire, n’admettant ni ne niant les allégations. Le fonds investit au nom d’employés actuels et anciens de McKinsey et disposait d’actifs de 14,6 milliards de dollars, en décembre 2020.

https://www.marianne.net/monde/ameriques/crise-des-opioides-la-famille-sackler-sauve-sa-peau-en-liquidant-son-laboratoire-purdue

LA CRISE DE LA COVID

DOCUMENTS COMPLEMENTAIRES/ LES LIENS DE LA MACRONIE ET DE MCKINSEY

McKinsey devrait-il assumer une charge morale quant aux pénuries de biens médicaux observées dans le cadre de la crise du coronavirus, pour avoir conseillé massivement à des entreprises américaines de délocaliser leur production à l’étranger ? 

https://www.consultor.fr/articles/peter-walker-mckinsey-chine

https://www.consultor.fr/articles/peter-walker-mckinsey-chine

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
Cet article a été publié dans éducation prépa école de commerce. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

11 commentaires pour Aux Etats Unis le candidat de MCKINSEY ne pourrait même pas se présenter, en France les médias le protègent

  1. Jean Sentrais dit :

    Tout ça est effarant !

    Bravo et merci ! à Patrice Gibertie de nous offrir une synthèse très argumentée qui augure d’un tsunami gigantesque qui fait et fera très très très mal à l’UE et à la France …

    Demeurons bienveillants à l’égard de nous-mêmes, et des autres : c’est mon credo !

    Aimé par 1 personne

  2. Ping : Aux Etats Unis le candidat de MCKINSEY ne pourrait même pas se présenter, en France les médias le protègent | Qui m'aime me suive…

  3. JeanLouis 05 dit :

    « passe t il contrat avec une entreprise qui ne paie pas d’impôts en France » Mais non vous n’avez rien compris bien sur que Mc Kinsey paye des impôts en France il paye la TVA (récupérable d’ailleurs) sur les factures !! Dixit cet âne de G Attal, dont je finis par me demander s’il nous prend pour des idiots ou s’il est tellement bête et incompétent qu’il croit ce qu’il dit

    Aimé par 2 personnes

    • Greg dit :

      Il ne croit pas ce qu’il dit, mais il dit ce que les idiots veulent entendre !! Et ça marche !!!
      Ce dégénéré consanguin arriverait même à vendre des congélos aux Inuits !!!

      J’aime

  4. fraternel dit :

    un panier de crabes se gavant jusqu’à l’explosion

    Aimé par 1 personne

  5. Carolyonne89 dit :

    C’est tellement monstrueux ce que ce cabinet McKinsey a fait aux USA avec les opioïdes et tous ces milliers de morts, et ils s’en sortent si bien au final, une bonne corde autour du cou serait bienvenue pour tous ces pourris inhumains !

    J’aime

  6. Ping : Aux Etats Unis le candidat de MCKINSEY ne pourrait même pas se présenter, en France les médias le protègent – La vérité est ailleurs

  7. Ping : Aux Etats Unis le candidat de MCKINSEY ne pourrait même pas se présenter, en France les médias le protègent – PAGE GAULLISTE DE RéINFORMATION . Les médias nous manipulent et nous mentent, sachons trier le bon grain de l ivraie

  8. Dany le blond dit :

    bonsoir, au sujet de Mc Kinsey et de son rôle dans la crise du Covid, vous devriez consulter l’article publié par ce cabinet sur son site, intitulé « 10 lessons from the first two years of Covid 19 » ; en voici le lien pour que vous puissiez évaluer le contenu d’un tel document :
    https://www.mckinsey.com/industries/healthcare-systems-and-services/our-insights/ten-lessons-from-the-first-two-years-of-covid-19
    Je me demande si le Cabinet n’est pas au fond la source d’inspiration de l’exécutif français (et des autres…), tant il promeut des actions démontrées par l’experience et la litterature scientifique sans effet positif et/ou néfastes

    J’aime

Laisser un commentaire