LA PROTEINE SPIKE SEULE (virus et vaccins) et L’ACE2 , AU CARREFOUR DES CANCERS ,et des COVID

L’article est important, il a été légèrement modifié pour éviter les confusions : il s’agit bien de l’ACE2 impliqué par la spike et non de l’antigène carcinoembryonnaire connu en cancérologie . En ce sens ACE2 et spike sont bien au carrefour du sarscov2 et de certains cancers…

La protection assurée par la vitamine d contre la Covid tient à son rôle modulateur de l’expression de l ‘ACE2 qui est au carrefour de la progression de la Covid et de plusieurs cancers, en particulier celui du poumon . Personne ne comprendra pourquoi Véran entend combattre une molécule protectrice, essentielle même pour éviter les dégats de la spike y compris vaccinale .

L’antigène carcinoembryonnaire (ACE) est une protéine qu’on détecte normalement en très faibles quantités dans le sang des adultes. Il peut y avoir une hausse du taux sanguin de l’ACE1 en présence de certains types de cancer et d’affections non cancéreuses .

Ce n’est pas d’elle dont il est question mais de l’ACE« angiotensin-converting enzyme 2 »

LA PROTEINE SPIKE interragit elle avec l’ACE2…Le fait nouveau est de voir l’ACE2 dans certains cancers

Attention le but de cet article n’est pas de démontrer que les injections sont cancerigenes , aucune étude ne peut le démontrer ou l’infirmer faute de recul . Il s’agit simplement de porter un intéret pour la vitamine D, y compris pour limiter les effets secondaires de la spike vaccinale

Le fameux essais Pfizer porte sur un suivi moyen de moins de 3 mois et n’ a pas enregistré de données de décès significatives .

On sait seulement que les vaccins son peu eficaces pour les cancéreux

La pandémie révolutionne la connaissance des cancers , plusieurs études prouvent que les anti cancéreux ont un effet contre la covid, d’autres  mettent en évidence le rôle cancérigène de la protéine spike seule  ( du virus et des vaccins)  responsable de l’apparition et du réveil de nombreux cancers

On ne saura jamais ce qui est advenu au président du parlement européen … Une coïncidence…

Lundi dans l’après-midi, son porte-parole avait annoncé l’hospitalisation de David Sassoli « en raison d’une complication grave due à un dysfonctionnement du système immunitaire » et l’annulation de ses activités officielles.

Ayant souffert par le passé d’une leucémie, David Sassoli avait déjà été hospitalisé cet automne pour une pneumonie qui l’avait tenu éloigné du Parlement pendant plusieurs semaines. 

Le président du Parlement européen est décédé à l’âge de 65 ans. Il était hospitalisé depuis le 26 décembre à cause de complications de son état de santé.

Toujours d’autres coïncidences, l’explosion et le réveil de cancers…

QAu même moment nous assistons à une attaque contre la vitamine D:

TOUJOURS PLUS LOIN DANS L’INFAMIE LA MACRONIE VEUT INTERDIRE LA VITAMINE D AU MOMENT OU LES PREUVES SCIENTIFIQUES  DE SON EFFICACITE S’ACCUMULENT

Les britanniques en gavent leurs vieux , les scandinaves en mangent toute  la journée , la vitamine D est miraculeuse, la macronie  entend l’interdire comme elle l’ a fait pour des molécules qui guérissent  de la covid (ivermectine, hydroxychloroquine )

1Des mécanismes communs au cancers et aux covids graves

Pour nous infecter, le coronavirus SARS-CoV‑2 s’arrime par le biais de sa protéine Spike au récepteur ACE2, une protéine présente à la surface des cellules de nos muqueuses respiratoires.. Celles-ci peuvent-elles modifier l’interaction entre ACE2 De toute évidence, la protéine de pointe interagit avec l’ACE2 et l’épuise.

Les cas graves sont associés à un dérèglement de l’expression de l’ACE2

Walter M Chesnut

La protéine de pointe Spike imite le syndrome de Trousseau, je pense maintenant que la protéine de pointe peut être un « Flash Drive » génétique capable d’initier et/ou d’évoluer rapidement des cancers. En regardant l’interactome de la protéine de pointe, nous pouvons voir un paysage où il semblerait inévitable qu’un cancer agressif soit initié ou qu’un cancer existant, peut-être même occulte, devienne Il a été déterminé que la protéine de pointe interagit avec TLR4. Ceci est actuellement considéré comme étant impliqué dans l’apparition de la septicémie dans les cas graves de COVID-19. C’est certainement vrai. Le TLR4 a été au centre de l’attention en ce qui concerne son rôle contributif dans de nombreuses maladies inflammatoires, notamment le choc septique et l’asthme. Notamment, des preuves de plus en plus nombreuses ont prouvé que ce récepteur est exprimé de manière aberrante sur les cellules tumorale

le microenvironnement dans un large éventail de types de cancer et il est fortement associé à l’initiation de la tumorigenèse ainsi qu’à la progression tumorale et à la résistance aux médicaments. NEUROPILINE-1 La protéine de pointe interagit également avec la neuropiline-1. Il s’agit également d’un récepteur important dans le développement du cancer. Une immunoréactivité pour NRP1 a été observée dans les vaisseaux des tissus normaux adjacents au cancer et dans 98 à 100 % des carcinomes. L’expression des cellules tumorales de NRP1 a également été observée dans 36 % des carcinomes primitifs du poumon et 6 % des carcinomes primitifs du sein, mais pas de cancer colorectal.

La protéine de pointe porte une homologie avec la protéine prion humaine. Il a été déterminé que le mauvais repliement et l’agrégation de PrPC peuvent provoquer des maladies neurodégénératives mortelles (98). Des études menées ces dernières années montrent qu’il joue également un rôle dans le cancer. PrPpeut stimuler la progression du cancer en favorisant la prolifération des cellules cancéreuses, l’invasion/métastase, la résistance aux médicaments et le développement des cellules souches cancéreuses.

Compte tenu du fait que la protéine de pointe perturbe l’endothélium, lui permettant d’envahir pratiquement tous les organes, il se peut que même une infection asymptomatique puisse induire un cancer agressif. Ces mots sont inquiétants car les médecins du monde entier ont été signalant une augmentation marquée des cancers. Cancers particulièrement agressifs. La protéine de pointe semble être un « Flash Drive » avec un ensemble complet d’« instructions » pour induire et/ou accélérer les cancers hyper-agressifs.

https://sciencedirect.com/science/article/pii/S2001037020303779

viralzone.expasy.org/9077 https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/jcp.30166… https://prace-ri.eu/interactions-of-the-spike-protein-and-heparin/

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC7946539/

Les patients atteints de cancer présentent généralement un risque plus élevé d’infection au COVID-19 en raison des défenses de l’hôte compromises et des réponses immunologiques supprimées en raison des effets secondaires importants du traitement chimiothérapeutique ( Ganatra et al., 2020 ). Cependant, le mécanisme moléculaire de l’infection à COVID-19 à grande échelle chez ces patients n’était pas connu. Une explication possible pourrait être que l’expression induite de l’ACE2 chez ces patients cancéreux favorise l’infection virale. En fait, l’expression de l’ACE2 s’est en effet avérée élevée chez les patients COVID-19 qui souffraient d’une maladie pulmonaire chronique. Outre le cancer, les patients atteints d’affections préexistantes telles que le diabète, l’hypertension et la maladie pulmonaire obstructive chronique ont également présenté une expression régulée à la hausse de l’ACE2 dans les poumons lors d’une infection par le SAR-CoV2 

Par conséquent, l‘expression induite de l’ACE2 pourrait être un mécanisme compensatoire pour supprimer la croissance et la progression de la tumeur pulmonaire. Dans les tissus du cancer du poumon, l’expression de l’ACE2 était également étroitement régulée avec la forte atténuation de la voie RAS, soutenue par la réduction significative de l’activité de l’ACE

Les mécanismes de régulation de l’ACE2 et de la TMPRSS2 pourraient être ciblés à des fins préventives et thérapeutiques dans l’ensemble de la population et en particulier chez les patients cancéreux.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC7593730/

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fonc.2021.644575/full

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Coronavirus-COVID-19/Les-reponses-a-vos-questions

Que sait-on de l’innocuité des vaccins anti-Covid chez les personnes touchées par un cancer ?

Là encore nous manquons de données. Une étude observationnelle, reposant sur la cohorte Cov-POPART qui inclut des malades de cancer, est actuellement en cours.

https://www.covireivac.fr/vous-allez-etre-vaccine-contre-la-covid-19-faites-progresser-les-connaissances-en-participant-a-la-cohorte-anrs-cov-popart/

Pour éviter toute confusion nous parlons ici de l’ACE2 et pas de l’ACE1

L’antigène carcino-embryonnaire (ACE )  bien connue en cancerologie et qui n’ a strictement rien à voir.

Cliquer pour accéder à 2020_04_23_ACE_Expert.pdf

L’antigène peut être produit en plus grande quantité par certaines cellules cancéreuses ou inflammatoires et être détecté dans la circulation sanguine de l’adulte à cette occasion.

Ce sont les cancers colorectaux qui produisent le plus d’ACE. Mais d’autres cancers peuvent être en cause : cancer de l’ovaire, du pancréas et parfois du poumon.

Enfin, certaines maladies chroniques inflammatoires des intestins (maladie de Crohn, rectocolite ulcéro-hémorragique) peuvent aussi être à l’origine d’une majoration du taux d’ACE.

2) MODULER L’EXPRESSION DE L’ACE 2 AVEC LA VITAMINE D

La vitamine D module l’activité du système rénine angiotensine et l’expression de l’ACE2. Une étude chez des rats ayant un SDRA chimiquement induit a ainsi montré que l’administration de vitamine D augmentait les taux d’ARNm et de protéines ACE2, et que les rats supplémentés en vitamine D avaient des symptômes de SDRA plus légers et des lésions pulmonaires plus modérées que les rats témoins.En outre, la modulation de l’immunité adaptative par la vitamine D (stimulation de l’expression de cytokines anti-inflammatoires par les macrophages et limitation de la production de cytokines pro-inflammatoires par les lymphocytes T helper de type 17) pourrait aussi limiter les conséquences de l’orage cytokinique

On notera également que les principaux facteurs de risque de carence en vitamine D (l’âge avancé, l’obésité, ou les maladies chroniques) sont très semblables aux facteurs de risque de formes graves de Covid-19. En cas de Covid-19, plusieurs études ont ainsi montré, en prenant en compte les potentiels facteurs de confusion, que les personnes ayant une concentration de 25(OH)D basse étaient plus susceptibles d’évoluer vers une forme grave, de recourir à une ventilation non invasive,19 d’avoir une durée d’hospitalisation prolongée,mais aussi de mourir de la Covid-19,20 y compris dans les unités de soins intensifs.

Les (rares) études d’intervention publiées sont en faveur d’un effet bénéfiquede la supplémentation en vitamine D pour réduire la gravité des symptômes chez les adultes atteints de Covid-19. Ainsi, un essai clinique randomisé contrôlé contre placebo chez 40 malades Covid-19 initialement carencés en vitamine D a montré qu’une plus grande proportion de participants ayant reçu une forte dose de vitamine D (50 000 UI/j pendant 7 jours) n’avaient plus d’ARN viral du SARS-CoV-2 détectable à 21 jours sur les prélèvements oropharyngés par rapport au groupe placebo (63 % vs 21 % ).Sur le versant des bénéfices cliniques, un essai randomisé a rapporté, chez 76 adultes âgés en moyenne de 53 ans hospitalisés pour Covid-19, que ceux ayant reçu des suppléments de calcifédiol (c’est-à-dire de 25(OH)D) en plus des soins standards contre la Covid-19 ont eu significativement moins souvent recours à la réanimation que ceux n’ayant reçu que les soins standards ( 2 % vs soit 50 % ; ). Ces résultats sont confortés par deux études quasi expérimentales conduites en France pendant la première vague qui ont rapporté des formes moins graves de Covid-19 et une amélioration de la survie d’environ 90 % en cas de supplémentation régulière en vitamine D3 chez des personnes âgées soit hospitalisées, soit résidant en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Une étude anglaise a également rapporté que la prise de fortes doses de vitamine D3 (environ 280 000 UI sur une période de 7 jours) était associée à une amélioration de 87 % de la survie chez les patients hospitalisés pour Covid-19, indépendamment des concentrations initiales de 25(OH)D.

Dans le cas de l’ACE2, la régulation à la hausse était associée à une survie favorable dans le pan-cancer et dans plusieurs types de cancer individuels. Ces résultats suggèrent que l’ACE2 est un facteur de protection potentiel pour la progression du cancer.

  • La vitamine D, considérée comme une hormone joue deux rôles essentiels : elle augmente la capacité d’absorption du calcium (et du phosphore) par l’intestin en diminuant sa fuite urinaire et mobilise le calcium osseux.
     

Les données scientifiques tendent à démontrer que la vitamine D pourrait réduire le risque de certains types de cancer, notamment le cancer colorectal et le cancer du sein

La vitamine D agirait sur 4 mécanismes permettant au cancer de se développer:

  • la diminution de la multiplication des cellules cancéreuses,
  • la réduction du risque prolifération de ces cellules en diminuant la vascularisation des cellules cancéreuses,
  • l’inhibition de la transformation des cellules précancéreuses en cellules cancéreuses,
  • l’induction de la mort de certaines cellules cancéreuses (apoptose).

https://www.cancer-environnement.fr/531-Vitamine-D-et-cancer.ce.asp

Tout ce qui peut guérir doit disparaitre

Projet de loi incluant la vitamine D dans les perturbateurs endocriniens (en vue d’en limiter l’usage!)Il n’y a aucun rapporthttps://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?creatorScreenName=giberpa&dnt=true&embedId=twitter-widget-0&features=eyJ0ZndfZXhwZXJpbWVudHNfY29va2llX2V4cGlyYXRpb24iOnsiYnVja2V0IjoxMjA5NjAwLCJ2ZXJzaW9uIjpudWxsfSwidGZ3X2hvcml6b25fdHdlZXRfZW1iZWRfOTU1NSI6eyJidWNrZXQiOiJodGUiLCJ2ZXJzaW9uIjpudWxsfSwidGZ3X3NwYWNlX2NhcmQiOnsiYnVja2V0Ijoib2ZmIiwidmVyc2lvbiI6bnVsbH19&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1480869788545073152&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fpgibertie.com%2F&sessionId=e88209691e2d4596250be344e01fa55fc6002125&siteScreenName=giberpa&theme=light&widgetsVersion=86e9194f%3A1641882287124&width=550px

Il y a unanimité sur l’efficacité de la vitamineD , la confondre avec des perturbateurs endocriniens il faut oser, mais il faut casser l’évidence : c’ est la VITAMINE D QUI PROTEGE DE LA COVID PAS LE PFIZER  SEULEMENT 15% DES CAS GRAVES DE COVID NE SONT PAS CARENCES EN VITAMINE D

https://t.co/df7JIo4w3n

La Vit D est pourtant prescrite par les pédiatres les premières années de vie de l’enfant…

LE PRETEXTE UN ACCIDENT DE 2017

Le médicament était vendu depuis 26 ans en pharmacie. Mais, malgré plusieurs incidents recensés, c’est la première fois que son utilisation est soupçonnée d’avoir entraîné un décès. Les autorités sanitaires ont annoncé ce mercredi la suspension de la commercialisation de l’Uvestérol D, un produit très répandu à base de vitamine D et qui s’administre par pipette, après la mort d’un nourrisson le 21 décembre dernier en région parisienne.  

Ce jour-là, le bébé de 10 jours reçoit une dose du médicament à son domicile de Grigny (Essonne). Il présente immédiatement des signes de gêne puis s’effondre. Les secours constatent son décès et transfèrent le corps à l’hôpital de Corbeil-Essonnes, où un médecin pratique les premiers examens médicaux d’usage, c’est-à-dire visuels. « Les constatations font état d’un arrêt cardio-respiratoire consécutif à une ‘fausse route’ avec étouffement », indique le procureur d’Evry, Eric Lallement, à L’Express. 

Le médicament aurait transité par la trachée

Ce diagnostic suggère que le liquide est passé dans la trachée de l’enfant au lieu de l’oesophage. Plusieurs cas de « fausse route » avaient déjà été constatés chez différents nourrissons de bas âge au cours des dernières années, sans qu’ils ne provoquent de décès. « A cet âge-là, les enfants n’ont pas un réflexe de déglutition aussi opérationnel qu’un adulte. Ce genre d’incident peut se produire quand l’Uvestérol D est administré trop au fond de la gorge, plutôt que sur la langue ou sur le côté de la joue », explique le professeur François Chast, chef de service de pharmacie clinique à l’hôpital Necker (Paris). 

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/fait-divers/mort-d-un-bebe-apres-la-prise-d-uvesterol-d-la-piste-de-l-etouffement-se-precise_1865778.html

Les risques de surdosages existent mais bien moins forts que pour le Doliprane

Un médecin  prescrira une ampoule  de 50000 ui par mois pour un adulte sans risque , des cas toxiques existent quand cette dose est donnée …quotidiennement à des nourrissons…

Il existe une autre molécule toujours bien moins toxique que le doliprane qui est interdite en France, l’ivermectine … Les chiffres japonais issus du Centre John Hopkins montrent qu’ils ont quasiment éradiqué la pandémie avec l’ivermectine Mois passé 34 Morts pour 126 millions d’hab contre 5632 en France pour 67 Millions .

LA PROTEINE SPIKE SEULE (virus et vaccins) et L’ACE2 , AU CARREFOUR DES CANCERS ,et des COVID

Publié le 12 janvier 2022 par pgibertie

La protection assurée par la vitamine d contre la Covid tient à son rôle modulateur de l’expression de l ‘ACE2 qui est au carrefour de la progression de la Covid et de plusieurs cancers, en particulier celui du poumon . Personne ne comprendra pourquoi Véran entend combattre une molécule protectrice, essentielle même pour éviter les dégats de la spike y compris vaccinale .

L’antigène carcinoembryonnaire (ACE) est une protéine qu’on détecte normalement en très faibles quantités dans le sang des adultes. Il peut y avoir une hausse du taux sanguin de l’ACE1 en présence de certains types de cancer et d’affections non cancéreuses .

Ce n’est pas d’elle dont il est question mais de l’ACE« angiotensin-converting enzyme 2 »

LA PROTEINE SPIKE interragit elle avec l’ACE2…Le fait nouveau est de voir l’ACE2 dans certains cancers

Attention le but de cet article n’est pas de démontrer que les injections sont cancerigenes , aucune étude ne peut le démontrer ou l’infirmer faute de recul . Il s’agit simplement de porter un intéret pour la vitamine D, y compris pour limiter les effets secondaires de la spike vaccinale

Le fameux essais Pfizer porte sur un suivi moyen de moins de 3 mois et n’ a pas enregistré de données de décès significatives .

La pandémie révolutionne la connaissance des cancers , plusieurs études prouvent que les anti cancéreux ont un effet contre la covid, d’autres  mettent en évidence le rôle cancérigène de la protéine spike seule  ( du virus et des vaccins)  responsable de l’apparition et du réveil de nombreux cancers

On ne saura jamais ce qui est advenu au président du parlement européen … Une coïncidence…

Lundi dans l’après-midi, son porte-parole avait annoncé l’hospitalisation de David Sassoli « en raison d’une complication grave due à un dysfonctionnement du système immunitaire » et l’annulation de ses activités officielles.

Ayant souffert par le passé d’une leucémie, David Sassoli avait déjà été hospitalisé cet automne pour une pneumonie qui l’avait tenu éloigné du Parlement pendant plusieurs semaines. 

Le président du Parlement européen est décédé à l’âge de 65 ans. Il était hospitalisé depuis le 26 décembre à cause de complications de son état de santé.

Toujours d’autres coïncidences, l’explosion et le réveil de cancers…

QAu même moment nous assistons à une attaque contre la vitamine D:

TOUJOURS PLUS LOIN DANS L’INFAMIE LA MACRONIE VEUT INTERDIRE LA VITAMINE D AU MOMENT OU LES PREUVES SCIENTIFIQUES  DE SON EFFICACITE S’ACCUMULENT

Les britanniques en gavent leurs vieux , les scandinaves en mangent toute  la journée , la vitamine D est miraculeuse, la macronie  entend l’interdire comme elle l’ a fait pour des molécules qui guérissent  de la covid (ivermectine, hydroxychloroquine )

1Des mécanismes communs au cancers et aux covids graves

Pour nous infecter, le coronavirus SARS-CoV‑2 s’arrime par le biais de sa protéine Spike au récepteur ACE2, une protéine présente à la surface des cellules de nos muqueuses respiratoires.. Celles-ci peuvent-elles modifier l’interaction entre ACE2 De toute évidence, la protéine de pointe interagit avec l’ACE2 et l’épuise.

Les cas graves sont associés à un dérèglement de l’expression de l’ACE2

Walter M Chesnut

La protéine de pointe Spike imite le syndrome de Trousseau, je pense maintenant que la protéine de pointe peut être un « Flash Drive » génétique capable d’initier et/ou d’évoluer rapidement des cancers. En regardant l’interactome de la protéine de pointe, nous pouvons voir un paysage où il semblerait inévitable qu’un cancer agressif soit initié ou qu’un cancer existant, peut-être même occulte, devienne Il a été déterminé que la protéine de pointe interagit avec TLR4. Ceci est actuellement considéré comme étant impliqué dans l’apparition de la septicémie dans les cas graves de COVID-19. C’est certainement vrai. Le TLR4 a été au centre de l’attention en ce qui concerne son rôle contributif dans de nombreuses maladies inflammatoires, notamment le choc septique et l’asthme. Notamment, des preuves de plus en plus nombreuses ont prouvé que ce récepteur est exprimé de manière aberrante sur les cellules tumorale

le microenvironnement dans un large éventail de types de cancer et il est fortement associé à l’initiation de la tumorigenèse ainsi qu’à la progression tumorale et à la résistance aux médicaments. NEUROPILINE-1 La protéine de pointe interagit également avec la neuropiline-1. Il s’agit également d’un récepteur important dans le développement du cancer. Une immunoréactivité pour NRP1 a été observée dans les vaisseaux des tissus normaux adjacents au cancer et dans 98 à 100 % des carcinomes. L’expression des cellules tumorales de NRP1 a également été observée dans 36 % des carcinomes primitifs du poumon et 6 % des carcinomes primitifs du sein, mais pas de cancer colorectal.

La protéine de pointe porte une homologie avec la protéine prion humaine. Il a été déterminé que le mauvais repliement et l’agrégation de PrPC peuvent provoquer des maladies neurodégénératives mortelles (98). Des études menées ces dernières années montrent qu’il joue également un rôle dans le cancer. PrPpeut stimuler la progression du cancer en favorisant la prolifération des cellules cancéreuses, l’invasion/métastase, la résistance aux médicaments et le développement des cellules souches cancéreuses.

Compte tenu du fait que la protéine de pointe perturbe l’endothélium, lui permettant d’envahir pratiquement tous les organes, il se peut que même une infection asymptomatique puisse induire un cancer agressif. Ces mots sont inquiétants car les médecins du monde entier ont été signalant une augmentation marquée des cancers. Cancers particulièrement agressifs. La protéine de pointe semble être un « Flash Drive » avec un ensemble complet d’« instructions » pour induire et/ou accélérer les cancers hyper-agressifs.

https://sciencedirect.com/science/article/pii/S2001037020303779

viralzone.expasy.org/9077 https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/jcp.30166… https://prace-ri.eu/interactions-of-the-spike-protein-and-heparin/

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC7946539/

Les patients atteints de cancer présentent généralement un risque plus élevé d’infection au COVID-19 en raison des défenses de l’hôte compromises et des réponses immunologiques supprimées en raison des effets secondaires importants du traitement chimiothérapeutique ( Ganatra et al., 2020 ). Cependant, le mécanisme moléculaire de l’infection à COVID-19 à grande échelle chez ces patients n’était pas connu. Une explication possible pourrait être que l’expression induite de l’ACE2 chez ces patients cancéreux favorise l’infection virale. En fait, l’expression de l’ACE2 s’est en effet avérée élevée chez les patients COVID-19 qui souffraient d’une maladie pulmonaire chronique. Outre le cancer, les patients atteints d’affections préexistantes telles que le diabète, l’hypertension et la maladie pulmonaire obstructive chronique ont également présenté une expression régulée à la hausse de l’ACE2 dans les poumons lors d’une infection par le SAR-CoV2 

Par conséquent, l‘expression induite de l’ACE2 pourrait être un mécanisme compensatoire pour supprimer la croissance et la progression de la tumeur pulmonaire. Dans les tissus du cancer du poumon, l’expression de l’ACE2 était également étroitement régulée avec la forte atténuation de la voie RAS, soutenue par la réduction significative de l’activité de l’ACE

Les mécanismes de régulation de l’ACE2 et de la TMPRSS2 pourraient être ciblés à des fins préventives et thérapeutiques dans l’ensemble de la population et en particulier chez les patients cancéreux.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC7593730/

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fonc.2021.644575/full

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Coronavirus-COVID-19/Les-reponses-a-vos-questions

Que sait-on de l’innocuité des vaccins anti-Covid chez les personnes touchées par un cancer ?

Là encore nous manquons de données. Une étude observationnelle, reposant sur la cohorte Cov-POPART qui inclut des malades de cancer, est actuellement en cours.

https://www.covireivac.fr/vous-allez-etre-vaccine-contre-la-covid-19-faites-progresser-les-connaissances-en-participant-a-la-cohorte-anrs-cov-popart/

Pour éviter toute confusion nous parlons ici de l’ACE2 et pas de l’ACE1

L’antigène carcino-embryonnaire (ACE )  bien connue en cancerologie et qui n’ a strictement rien à voir.

Cliquer pour accéder à 2020_04_23_ACE_Expert.pdf

L’antigène peut être produit en plus grande quantité par certaines cellules cancéreuses ou inflammatoires et être détecté dans la circulation sanguine de l’adulte à cette occasion.

Ce sont les cancers colorectaux qui produisent le plus d’ACE. Mais d’autres cancers peuvent être en cause : cancer de l’ovaire, du pancréas et parfois du poumon.

Enfin, certaines maladies chroniques inflammatoires des intestins (maladie de Crohn, rectocolite ulcéro-hémorragique) peuvent aussi être à l’origine d’une majoration du taux d’ACE.

2) MODULER L’EXPRESSION DE L’ACE 2 AVEC LA VITAMINE D

La vitamine D module l’activité du système rénine angiotensine et l’expression de l’ACE2. Une étude chez des rats ayant un SDRA chimiquement induit a ainsi montré que l’administration de vitamine D augmentait les taux d’ARNm et de protéines ACE2, et que les rats supplémentés en vitamine D avaient des symptômes de SDRA plus légers et des lésions pulmonaires plus modérées que les rats témoins.En outre, la modulation de l’immunité adaptative par la vitamine D (stimulation de l’expression de cytokines anti-inflammatoires par les macrophages et limitation de la production de cytokines pro-inflammatoires par les lymphocytes T helper de type 17) pourrait aussi limiter les conséquences de l’orage cytokinique

On notera également que les principaux facteurs de risque de carence en vitamine D (l’âge avancé, l’obésité, ou les maladies chroniques) sont très semblables aux facteurs de risque de formes graves de Covid-19. En cas de Covid-19, plusieurs études ont ainsi montré, en prenant en compte les potentiels facteurs de confusion, que les personnes ayant une concentration de 25(OH)D basse étaient plus susceptibles d’évoluer vers une forme grave, de recourir à une ventilation non invasive,19 d’avoir une durée d’hospitalisation prolongée,mais aussi de mourir de la Covid-19,20 y compris dans les unités de soins intensifs.

Les (rares) études d’intervention publiées sont en faveur d’un effet bénéfiquede la supplémentation en vitamine D pour réduire la gravité des symptômes chez les adultes atteints de Covid-19. Ainsi, un essai clinique randomisé contrôlé contre placebo chez 40 malades Covid-19 initialement carencés en vitamine D a montré qu’une plus grande proportion de participants ayant reçu une forte dose de vitamine D (50 000 UI/j pendant 7 jours) n’avaient plus d’ARN viral du SARS-CoV-2 détectable à 21 jours sur les prélèvements oropharyngés par rapport au groupe placebo (63 % vs 21 % ).Sur le versant des bénéfices cliniques, un essai randomisé a rapporté, chez 76 adultes âgés en moyenne de 53 ans hospitalisés pour Covid-19, que ceux ayant reçu des suppléments de calcifédiol (c’est-à-dire de 25(OH)D) en plus des soins standards contre la Covid-19 ont eu significativement moins souvent recours à la réanimation que ceux n’ayant reçu que les soins standards ( 2 % vs soit 50 % ; ). Ces résultats sont confortés par deux études quasi expérimentales conduites en France pendant la première vague qui ont rapporté des formes moins graves de Covid-19 et une amélioration de la survie d’environ 90 % en cas de supplémentation régulière en vitamine D3 chez des personnes âgées soit hospitalisées, soit résidant en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Une étude anglaise a également rapporté que la prise de fortes doses de vitamine D3 (environ 280 000 UI sur une période de 7 jours) était associée à une amélioration de 87 % de la survie chez les patients hospitalisés pour Covid-19, indépendamment des concentrations initiales de 25(OH)D.

Dans le cas de l’ACE2, la régulation à la hausse était associée à une survie favorable dans le pan-cancer et dans plusieurs types de cancer individuels. Ces résultats suggèrent que l’ACE2 est un facteur de protection potentiel pour la progression du cancer.

  • La vitamine D, considérée comme une hormone joue deux rôles essentiels : elle augmente la capacité d’absorption du calcium (et du phosphore) par l’intestin en diminuant sa fuite urinaire et mobilise le calcium osseux.
     

Les données scientifiques tendent à démontrer que la vitamine D pourrait réduire le risque de certains types de cancer, notamment le cancer colorectal et le cancer du sein

La vitamine D agirait sur 4 mécanismes permettant au cancer de se développer:

  • la diminution de la multiplication des cellules cancéreuses,
  • la réduction du risque prolifération de ces cellules en diminuant la vascularisation des cellules cancéreuses,
  • l’inhibition de la transformation des cellules précancéreuses en cellules cancéreuses,
  • l’induction de la mort de certaines cellules cancéreuses (apoptose).

https://www.cancer-environnement.fr/531-Vitamine-D-et-cancer.ce.asp

Tout ce qui peut guérir doit disparaitre

Projet de loi incluant la vitamine D dans les perturbateurs endocriniens (en vue d’en limiter l’usage!)Il n’y a aucun rapporthttps://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?creatorScreenName=giberpa&dnt=true&embedId=twitter-widget-0&features=eyJ0ZndfZXhwZXJpbWVudHNfY29va2llX2V4cGlyYXRpb24iOnsiYnVja2V0IjoxMjA5NjAwLCJ2ZXJzaW9uIjpudWxsfSwidGZ3X2hvcml6b25fdHdlZXRfZW1iZWRfOTU1NSI6eyJidWNrZXQiOiJodGUiLCJ2ZXJzaW9uIjpudWxsfSwidGZ3X3NwYWNlX2NhcmQiOnsiYnVja2V0Ijoib2ZmIiwidmVyc2lvbiI6bnVsbH19&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1480869788545073152&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fpgibertie.com%2F&sessionId=e88209691e2d4596250be344e01fa55fc6002125&siteScreenName=giberpa&theme=light&widgetsVersion=86e9194f%3A1641882287124&width=550px

Il y a unanimité sur l’efficacité de la vitamineD , la confondre avec des perturbateurs endocriniens il faut oser, mais il faut casser l’évidence : c’ est la VITAMINE D QUI PROTEGE DE LA COVID PAS LE PFIZER  SEULEMENT 15% DES CAS GRAVES DE COVID NE SONT PAS CARENCES EN VITAMINE D

https://t.co/df7JIo4w3n

La Vit D est pourtant prescrite par les pédiatres les premières années de vie de l’enfant…

LE PRETEXTE UN ACCIDENT DE 2017

Le médicament était vendu depuis 26 ans en pharmacie. Mais, malgré plusieurs incidents recensés, c’est la première fois que son utilisation est soupçonnée d’avoir entraîné un décès. Les autorités sanitaires ont annoncé ce mercredi la suspension de la commercialisation de l’Uvestérol D, un produit très répandu à base de vitamine D et qui s’administre par pipette, après la mort d’un nourrisson le 21 décembre dernier en région parisienne.  

Ce jour-là, le bébé de 10 jours reçoit une dose du médicament à son domicile de Grigny (Essonne). Il présente immédiatement des signes de gêne puis s’effondre. Les secours constatent son décès et transfèrent le corps à l’hôpital de Corbeil-Essonnes, où un médecin pratique les premiers examens médicaux d’usage, c’est-à-dire visuels. « Les constatations font état d’un arrêt cardio-respiratoire consécutif à une ‘fausse route’ avec étouffement », indique le procureur d’Evry, Eric Lallement, à L’Express. 

Le médicament aurait transité par la trachée

Ce diagnostic suggère que le liquide est passé dans la trachée de l’enfant au lieu de l’oesophage. Plusieurs cas de « fausse route » avaient déjà été constatés chez différents nourrissons de bas âge au cours des dernières années, sans qu’ils ne provoquent de décès. « A cet âge-là, les enfants n’ont pas un réflexe de déglutition aussi opérationnel qu’un adulte. Ce genre d’incident peut se produire quand l’Uvestérol D est administré trop au fond de la gorge, plutôt que sur la langue ou sur le côté de la joue », explique le professeur François Chast, chef de service de pharmacie clinique à l’hôpital Necker (Paris). 

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/fait-divers/mort-d-un-bebe-apres-la-prise-d-uvesterol-d-la-piste-de-l-etouffement-se-precise_1865778.html

Les risques de surdosages existent mais bien moins forts que pour le Doliprane

Un médecin  prescrira une ampoule  de 50000 ui par mois pour un adulte sans risque , des cas toxiques existent quand cette dose est donnée …quotidiennement à des nourrissons…

Il existe une autre molécule toujours bien moins toxique que le doliprane qui est interdite en France, l’ivermectine … Les chiffres japonais issus du Centre John Hopkins montrent qu’ils ont quasiment éradiqué la pandémie avec l’ivermectine Mois passé 34 Morts pour 126 millions d’hab contre 5632 en France pour 67 Millions .

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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7 commentaires pour LA PROTEINE SPIKE SEULE (virus et vaccins) et L’ACE2 , AU CARREFOUR DES CANCERS ,et des COVID

  1. Kerstin Koppers dit :

    Super interessant l’article sur la vit D

    Ausuel le gouvernement apparemment veut limiter l’accès !

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  2. Jean-claude PEREZ dit :

    Voir

    Video Luxembourg
    Minutes 32 à 37 luc Montagnier
    #########

    https://www.chd.lu/ArchivePlayer/video/3523/sequence/191533.html

    J’aime

  3. Carolyonne89 dit :

    A reblogué ceci sur La vérité est ailleurset a ajouté:
    Attention le but de cet article n’est pas de démontrer que les injections sont cancerigenes , aucune étude ne peut le démontrer ou l’infirmer faute de recul . Il s’agit simplement de porter un intéret pour la vitamine D, y compris pour limiter les effets secondaires de la spike vaccinale

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  4. Danielle B. dit :

    Ainsi, après l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, l’artemisia,l’azithromycine, voilà que l’entreprise criminelle d’empêcher tous les traitements inoffensifs, peu onéreux et efficaces contre le covid-19 se poursuivrait avec la vitamine D ? C’est un cauchemar !!! Ne faudrait-il pas que les échanges entre les chercheurs et les médecins qui découvrent et utilisent de tels traitements en France soient cryptés, afin d’échapper à cette destruction systématique de tous les espoirs ?

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  5. Annick dit :

    Ca bouge, le passe n’est pas passer au sénat sauf avec moult modifications par rapport au projet initial, des modification qui rendent le texte complexe et inapplicable. Donc retour à l’assemblée.
    Personne ne comprend que Véran veuille interdire la vitamine D!!!, si nous comprenons très bien pourquoi il interdit tout ce qui peut-être bénéfique pour la santé de ses concitoyens, tant pour prévenir que pour guérir n’importe quelle maladie, il a juste décidé avec sa clique gouvernementale triée sur le volet par un homme illégitime dans sa fonction de détruire le peuple physiquement et psychologiquement. Seule l’injection toxique au marquage de la bête (composition atomique de molécules 666) doit avoir droit de cité pour parvenir à la dépopulation de l’objectif de l’agenda 2030 des mondialistes: 500 000 000 d’âmes sur la planète sois 39 000 000 en France. Contrairement à ce qu’annonce véreux sur les plateaux tv ce n’est pas 80 ou 90% d’injectés mais 60% dont environ 30% de non volontaires que l’on a fait se soumettre par la pression. Quand au sénat, il aurait dû s’expliquer à ce sujet, il a préféré s’enfuir… un homme courageux qui n’a aucun alibi pour sa défense, un mensonge de trop, sa mauvaise foi ne tient plus. Cela veut-il dire pour autant que sa fin est proche, que le narratif s’écroule?.
    Pour l’artémésia annua, il est possible de la cultiver, ça pousse comme de la mauvaise herbe, les graines ont juste besoin de lumière à semer sans recouvrir.
    Il nous conseillent le paracétamol et bien surtout pas mais de l’aspirine, le paracétamol est toxique pour les reins, le foie et les poumons, renseignez vous, je ne suis pas médecin ai juste écouté attentivement des spécialistes.

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  6. florence welkamp dit :

    buzyn avait interdit le tic-tox que de nombreux patients atteints de la maladie de lyme (qui n’est pas transmissible que par les tiques mais par piqûre de tous les insectes et qui est également sexuellement transmissible)… mais les uns après les autres , ils suivent les visions de PIKE Albert…. leur maître penseur qui avait déjà eu la vision qu’il fallait 3 guerres mondiales pour arriver à dominer le monde……………albert pike…ou spike ?

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