Manu tu cherches des islamistes ? Il y en a plein parmi tes copains … Ce sont les musulmans  qui  le disent . Tu veux des noms ?  En voilà , tu les connais …

 

 

 

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On n’est pas islamiste parce qu’on fait le ramadan  mais parce que l’on milite dans une organisation  liée aux Frères Musulmans .

La République ne sera pas sauvée des islamistes par Emmanuel et  Christophe  mais par des citoyens qui s’appellent Mohamed, Fatiha, Zineb ou Lydia . La République est malade des collabos à la Mélenchon , des juges complaisants et des politiques cyniques.

 

LE RAS LE BOL DES MUSULMANS : LA MOSQUEE DE PARIS ACCUSE CASTANER ET LE POUVOIR MACRONIEN DE COLLABORATION AVEC LES ISLAMISTES FRERO SALAFISTES

Abdallah Zekri responsable de la Grande Mosquée de Paris s’offusque des rencontres récentes de Christophe Castaner avec des islamistes comme le chef de la Ligue islamique mondiale rencontré à Lyon en septembre et de sa rupture du jeûne du ramadan avec le Frère Musulman Abdelhaq Nabaoui  de l’UOIF en mai dernier à Strasbourg. Castaner avait préférer se rendre à ses côtés plutôt qu’à la rupture du jeûne de la Grande Mosquée de Paris

https://www.youtube.com/watch?v=PcMxIxmdQjI&feature=youtu.be&fbclid=IwAR2as8KXCEpAaocjT4P0qzB9FbIahdw2jR8eYctx8LSx64BJpOhZ3YEt6_E

Mohamed Louizi  démontre que le pouvoir macronien livre pieds et poings liés  les musulmans aux fréro salafistes . Son site est la référence absolue  du combat anti islamiste

Une lecture attentive de ses enquêtes  permet  de débusquer les vrais islamistes autrement qu’en traquant  ceux qui portent la barbe ou font ramadan . Les soufistes sont des musulmans traditionalistes mais ils se trouvent aux antipodes des islamistes .

Mohamed Louizi dénonce Tareq Oubrou choisi par Macron pour diriger l’islam de France

Certains ont vu en la personne de Tareq Oubrou un futur «grand imam de France». Ils pensaient qu’il était «républicain», «progressiste», «libéral», «modéré», «rationaliste», «tolérant», «homme de dialogue», «humaniste», «réformateur», et que sais-je d’autre. Ils supposaient qu’il avait changé en le croyant sur parole, en lisant un communiqué de presse. Cependant, la vérité, sa vérité, est tout autre. L’essai qui lui est attribué le dévoile au grand jour avec ses mensonges, ses dissimulations, ses silences, ses escobarderies et ses approximations. Peut-on se revendiquer républicain et, en même temps, entretenir un désir mi-caché mi-flagrant de vouloir scier l’arbre laïque qui par ses racines et ses branches, son ombre et sa fraîcheur, protège la France et les Français ?

 

Un progressiste libéral ne réhabilite jamais l’héritage sulfureux d’Ibn Taymiyya. Un rationaliste avisé ne restaure jamais l’édifice takfiriste d’al-Ghazali, en espérant jouer sur les mots pour sauver la face et rassurer la meute. Un homme de dialogue et de non-violence cherche toujours les voies de la pacification sincère et sans calculs et ne laisse ouverte aucune voie qui pourrait conduire au recours aux armes. La réconciliation dans sa bouche n’est pas un vain mot pour la consommation médiatique. Elle peut avoir plusieurs sens mais jamais celui de la duperie et du mensonge.

 

Un homme de foi observe sa condition humaine à travers un Ciel dégagé, dans l’humilité de l’être, dans l’économie du paraître, et investit ses deux qualités jamais acquises totalement de manière désintéressée pour servir l’humain et non pour s’en servir. Un réformateur ne se prosterne jamais devant des idoles moyenâgeuses tels al-Bukhari, Abou Hourayra ou al-Shafi’î. Car la réforme est un dépassement permanent de soi. Une libération continue des jougs de la servitude. Toujours orientée vers l’horizon futur. Jamais une marche à reculons vers un passé idéalisé et momifié.

 

Il est minuit moins deux, si Emmanuel Macron persiste à vouloir introniser une autorité religieuse islamiste en France sur les vestiges d’une laïcité qu’il aurait lui-même affaiblie et ruinée. S’il veut impérativement mettre à sa tête Tareq Oubrou, l’escobar de l’islamisme, l’héritier du trio Shafi’î – Ghâzâli – Ibn Taymiyya, qui ont causé tant de mal, des siècles durant, au monde dit musulman, qu’il sache que cette supposée autorité ne représentera, in fine, que son désir jupitérien mais aucunement les citoyens français musulmans qui n’ont rien demandé. S’il doit nécessairement écouter Tareq Oubrou, et boire de ses «sagesses» sans limite, il y en a une qui me paraît d’une justesse incroyable et qu’il faut écouter : «vaut mieux gouverner les causes que les effets». Il sait de quoi il parle. La partie est désormais engagée.

 

Moi président devrait savoir qu’on ne peut imposer un tel schéma préconçu en espérant l’adhésion, voire la soumission, de tout un pan de la population au diktat islamiste. A force d’insister sur ce chemin, il réveille bien des consciences, et tant mieux, qui pensaient que la démocratie était un acquis pour toujours et non un combat de tous les jours. Elles s’organisent pour ne jamais se soumettre.

En avril 1936, Stefan Zweig, comme s’il écrivait pour notre temps, concluait son magnifique Conscience contre violence, par ce passage : «C’est en vain que l’autorité pense avoir vaincu la pensée libre parce qu’elle l’a enchaînée. Avec chaque individu nouveau naît une conscience nouvelle, et il y’en aura toujours une pour se souvenir de son devoir moral et reprendre la lutte en faveur des droits inaliénables de l’homme et de l’humanité ; il se trouvera toujours un Castellion pour s’insurger contre un Calvin et pour défendre l’indépendance souveraine des opinions contre toutes les formes de la violence.»

 Emmanuel Macron est désormais alerté. Il lui appartient de céder à l’islamisme en connaissance des conséquences. Mais il lui appartient aussi de tout faire pour combattre l’islamisme, toute obédience confondue, et «conserver la liberté sauvée avec tant et tant de peine», comme l’écrivait le général de Gaulle.

http://mohamedlouizi.eu/2019/07/14/tareq-oubrou-lescobar-de-lislamisme/#more-1949

http://mohamedlouizi.eu/2018/09/30/hakim-el-karoui-to-qatar-or-not-to-qatar-2/comment-page-1/#comment-7545

 

Barbara Lefevre  reprend l’enquête de Mohamed Luizi et démontre comment le « monsieur islam «  du président met en place un système dédié aux frères musulmans :

 

La France fut en effet « une et indivisible ». Elle ne l’est plus depuis que, devant une immigration de masse qu’ils n’ont souhaité ni contenir ni analyser les effets à long terme, nos dirigeants nationaux et locaux ont décidé de pratiquer une gestion communautariste des populations. C’est cela la cause de la partition ou sécession dont tous les politiques parlent aujourd’hui comme s’ils n’y étaient pour rien : ils en sont les premiers artisans. Les minorités tyranniques ne s’affirment que quand le camp majoritaire est las ou naïf.

Le wahhabisme né en Arabie au XVIIIe siècle s’inspirait du rigorisme de l’école hanbalite (IXe siècle) et d’Ibn Taymiya (XIIIe siècle), et illustre bien que l’islamisme n’a pas attendu les impérialismes coloniaux européens ou le méchant « orientalisme » occidental pour se forger, indépendamment, en idéologie politique.

 La classe politique et médiatique actuelle est inculte sur ces sujets. La paresse intellectuelle autant que le désintérêt mâtiné de mépris pour la « chose religieuse » font que nos dirigeants et nos élites parlent sans savoir, se reposent sur quelques agents d’influence dont ils sont bien incapables la plupart de temps de déceler au nom de qui ils parlent, au nom de quels intérêts ils proposent telle ou telle organisation de l’islam en France. L’ignorance de nos dirigeants sur l’islam est dangereuse. L’islam comme religion, comme fait social, comme doctrine juridico-politique ne peut être ignoré car il s’est imposé dans notre paysage politique du fait d’une immigration de masse doublée d’un dynamisme démographique avéré.

 

Cette inculture justifie qu’ils se satisfassent de la situation bipolaire actuelle. D’un côté, nous avons les beaux discours islamo-républicains tenus dans les diners d’iftar où nos élus, nos ecclésiastiques, nos pasteurs et nos rabbins jouent des coudes à qui mieux-mieux, ou dans les colloques dits « interreligieux » organisés systématiquement par les autorités catholiques, protestantes ou juives pour valoriser « l’islam des Lumières », plutôt que débattre de questions théologiques qui fâchent.

 De l’autre côté, nous avons la réalité du terrain, l’islam à l’échelle locale qui demeure revendicatif politiquement et largement irrigué par le courant fréro-salafiste qui n’a de quiétiste que le nom car Hassan al-Banna est peu connu pour avoir œuvré en faveur de la doctrine de « la passivité dans la quête spirituelle » !

 « L’islam de France » est un projet qui n’avancera pas parce que l’islam dominant actuel ne se laisse pas enfermer dans un cadre de minorité, qui plus est au sein d’une nation d’héritage judéo-chrétien. Toutefois, le dynamisme démographique étant du côté de l’islam, ce culte doit s’organiser en tant que tel. Mais l’acte politique programmateur doit revenir à la République et à elle seule, et non aux représentants autoproclamés de l’islam en France. Car eux exigeront sans se décourager, comme ils le font depuis 1999, d’obtenir un statut spécifique, des arrangements singuliers, une place à part.

 Voilà pourquoi le choix de notre actuel ministre des Cultes est inquiétant. Il a négligé le CFCM aux mains des Turcs proches d’Erdogan, ce qui n’est pas une mauvaise idée en soi, mais ce fut pour aller adouber le représentant de l’islam concordataire, Abdelaq Nabaoui qui préside le Conseil régional du Culte musulman d’Alsace. A l’instar de Tareq Oubrou, autre star frériste convertie récemment au républicanisme, Nabaoui est chevalier de la Légion d’honneur depuis avril 2017, et il est aussi un ancien militant actif de l’UOIF (habilement rebaptisée à la veille de l’élection présidentielle, Musulmans de France). L’UOIF est une des associations islamiques les plus importantes de France, elle contrôle de nombreux lieux de culte, écoles, centres de formations ; elle est liée à l’échelle européenne aux Frères musulmans, même si ses chefs s’en défendent mollement.

A la tête du CRCM depuis deux ans et demi, Nabaoui est un ancien aumônier des hôpitaux (et des armées de l’Est) qui a fait de Strasbourg la plateforme de lancement de l’islam de France dont rêve les ultralibéraux communautaristes pour qui l’argent est le nerf de la guerre. Beaucoup de ceux qui encensent le rapport El Karoui de 2016 (« Un islam français est possible ») pour avoir alerté sur l’imprégnation salafiste dans la jeunesse musulmane française, oublient les recommandations de ce dernier en faveur d’une profonde modification de la loi de 1905 afin que l’Etat prenne notamment en charge le financement des édifices religieux à l’issue d’un « audit des cultes ». Pour conduire son projet, Hakim El Karoui a lancé, fin 2018, l’Association musulmane pour un islam de France (AMIF) avec l’aval de son ami Emmanuel Macron rencontré à la banque Rothschild. Les statuts ont été déposés en avril dernier. Abdelaq Nabaoui est membre de l’AMIF, plateforme préparant « l’islam de France » macronien, comme le CFCM fut le bébé de Nicolas Sarkozy. A ses côtés, la fine fleur frériste reconvertie dans le républicanisme inclusif du Nouveau Monde : Tareq Oubrou ou Mohamed Bajrafil.

 L’AMIF ne servirait-elle pas aussi de plateforme de labellisation républicaine pour l’idéologie frériste ? Tout cela se ferait bien sûr « à l’insu de notre plein gré », à l’instar de l’Institut des Cultures de l’Islam dont le Conseil d’administration est dirigé par un duo pour le moins surprenant : Bariza Khiari, ancienne sénatrice socialiste ralliée dès 2016 à Emmanuel Macron, et Nacira Guenif-Souilamas, sociologue proche des Indigènes de la République.

A l’instar de son ami Hakim El Karoui, M. Nabaoui rêve de voir l’islam inclus dans le régime concordataire afin d’en faire la base arrière pour la construction de cet islam de France qui pourrait bénéficier des subsides publics, de libéralités pour enseigner dans les écoles publiques, etc. El Karoui écrit en 2016 dans son rapport que le régime concordataire est « un écosystème politique et juridique qui permet aux instances représentatives des musulmans de France et à la puissance publique de faire émerger un islam français. »Castaner vient valider le projet El Karoui/Nabaoui. Notre ministre a en effet déclaré lors de ce dîner de Ramadan : « À Strasbourg, le CRCM est un exemple, un laboratoire d’idées pour le futur de l’islam en France. »

Personne ne se donne la peine d’expliquer aux Français ce qui se joue, à savoir un énième blanc-seing offert aux idéologues fréristes, c’est-à-dire aux ennemis de la liberté, de l’égalité et de la démocratie. Aux ennemis de la nation.

 

La stratégie à la petite semaine de Christophe Castaner est révélatrice de l’indécision du pouvoir. Il y a fort à parier que si l’acte 2 du quinquennat qu’on nous annonce est aussi amateuriste et tourmenté que le premier, « l’islam de France » restera une Arlésienne car l’exécutif aura d’autres chats à fouetter. Et vu ce que prépare les amis du président, ce serait souhaitable pour le bien des musulmans eux-mêmes, pour la sécurité des Français également à long terme.

Car, sous prétexte de lutter contre l’argent sale des Etats étrangers qui viendrait pourrir l’islam de France, le projet El Karoui/Nabaoui équivaut à financer l’islam avec l’argent public sans nettoyer les écuries d’Augias, à savoir déraciner l’idéologie fréro-salafiste dominante dans la plupart des quartiers où les musulmans sont quasi majoritaires

https://www.causeur.fr/castaner-islam-france-crcm-musulmans-161926

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Manu et le frère musulman , copain d’ERDOGAN , patron du cfcm

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La Dame des 35h et le patron de l’UIOFCapture-d’écran-2017-02-08-à-10.10.59-768x460

Gérald,Xavier dans le lycée de l’UIOF mais heureusement X Bertrand a le courage  de suspendre les subventions…

https://www.lavoixdunord.fr/651691/article/2019-10-14/xavier-bertrand-suspend-des-subventions-pour-le-lycee-musulman-averroes?fbclid=IwAR2yxcMPvpt0wGYOTgkDwGyp6RWCQV_8Qh8IZZhWCQfDM3-sv7gk7bH_Kz0

 

DSzuuZCWsAEshifLa direction du cfcm au rapport chez le sultan

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Alain et le grand Imam et frère Tareq

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Manu et le frère Mohamed Saou

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Doudou et sa mosquée UIOF du Havre

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A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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