Quand le PR Scheibendogen de la Charité à Berlin avoue la terrible toxicité de la spike vaccinale et admet que 80 à 90% des covids longs sont vaccinés

La Prof. Dr. med. Carmen Scheibenbogen est une immunologiste renommée, adjointe à la direction de l’Institut d’immunologie médicale à la Charité – Universitätsmedizin Berlin. Elle est également connue pour ses travaux sur le syndrome de fatigue chronique post-COVID (ou ME/CFS post-infectieux) et les effets secondaires des vaccins contre le COVID-19. Le 10 novembre 2025, elle a témoigné devant la Commission d’enquête corona du Bundestag allemand (Enquete-Kommission Corona), une instance parlementaire chargée d’examiner la gestion de la pandémie, y compris les aspects scientifiques et sanitaires des mesures prises.

Lors d’une audience, elle a déclaré que 80 à 90 % de ses patients atteints de Covid long étaient vaccinés. Une déclaration qui parle d’elle-même – et qui prouve plutôt que la vaccination ne protège pas contre le Covid long, mais pourrait même le favoriser. Au vu des résultats « excellents » de l’étude, je m’attendais à ce qu’un nombre bien plus élevé de personnes non vaccinées soit recensé. Malheureusement, ce n’est pas le cas.

Lors de cette audition au Paul-Löbe-Haus du Bundestag, la Prof. Scheibenbogen a effectivement qualifié la protéine spike (la protéine S du SARS-CoV-2, utilisée comme antigène dans les vaccins à ARNm) de « protéine dangereuse » pour l’organisme humain. Voici un extrait direct de sa déclaration, rapporté par des sources fiables et des comptes rendus de l’audience :

« Das Spike-Protein ist in der Tat ein gefährliches Protein für uns. Es ist hoch immunogen, das heißt, es kann auch das Immunsystem dazu bringen, körpereigene Strukturen anzugreifen. Es gibt auch Daten, die zeigen, dass es nach der Impfung länger im Körper verbleiben kann, als ursprünglich angenommen. »
(Traduction : « La protéine spike est en effet une protéine dangereuse pour nous. Elle est hautement immunogène, ce qui signifie qu’elle peut inciter le système immunitaire à attaquer les structures propres à l’organisme. Il existe aussi des données montrant qu’elle peut persister dans le corps plus longtemps après la vaccination qu’on ne l’avait initialement supposé. »)

Cette affirmation s’inscrit dans une discussion plus large sur les mécanismes potentiels des effets secondaires des vaccins (comme le syndrome post-vaccinal ou les troubles auto-immuns), ainsi que sur la toxicité intrinsèque de la spike, qu’elle soit issue du virus ou produite par les vaccins.

indikativ.jetzt/mehr-als-spektakulaer-spike-protein-ist-toxisch/
À l’origine en allemand et traduit par
Plus que spectaculaire : la protéine Spike est toxique !

Le 10 novembre 2025, la professeure Carmen Scheibenbogen, docteur en médecine, directrice adjointe de l’Institut d’immunologie médicale et chef du service des immunodéficiences et des maladies post-infectieuses de l’hôpital Charité de Berlin, a fait la déclaration suivante devant la commission d’enquête sur le coronavirus au Bundestag allemand :

« La protéine Spike est effectivement une protéine dangereuse pour nous. Elle est hautement immunogène, ce qui signifie qu’elle peut également tromper le système immunitaire et l’amener à attaquer les propres structures de l’organisme. Des données suggèrent également qu’elle peut rester dans l’organisme plus longtemps après la vaccination qu’on ne le pensait initialement. »

Ce serait une déclaration explosive, qui anéantirait tout ce qui a été affirmé concernant le vaccin « sans effets secondaires ». C’est pourquoi les grands médias impliqués dans la campagne de vaccination ne la relayeront pas ou minimiseront ces propos. Il n’y aura aucune enquête approfondie de la part de cette commission d’enquête, où l’on voit une autre experte manipuler son téléphone au moment même où elle fait cette révélation fracassante. Il est néanmoins réjouissant de constater que de telles perles sont régulièrement mises au jour par les seuls véritables observateurs critiques.

Je ne suis pas un professionnel de la santé, mais en 2021, j’ai souligné à plusieurs reprises l’incohérence logique suivante à moi-même et à mon cercle de connaissances, qui ne s’intéressait que modérément à ce sujet.

Je tiens à préciser d’emblée que je pars du principe que les virus existent et que le coronavirus est issu de recherches sur le gain de fonction et présente assurément un potentiel de nuisance considérable. Ceci s’explique précisément par la toxicité de la protéine Spike, et son impact sur l’organisme importe peu, dans un premier temps, quel que soit le mode de contact initial. Néanmoins, je ne souhaite pas semer la panique car je ne crois pas qu’il soit capable de déclencher une pandémie mortelle.

Mais voici maintenant la rupture logique qui a failli me rendre fou, car je ne comprends pas comment on pourrait voir les choses différemment.

Le virus ne peut déployer tout son potentiel destructeur qu’une fois entré dans l’organisme. Pour cela, il faut d’abord être infecté. Ce qui n’est pas chose facile. Nombre de personnes non vaccinées ont tenté désespérément, en vain, de se faire vacciner, malgré leur détermination à prendre tous les risques. Si l’infection survient, le virus devrait se heurter à un système immunitaire affaibli, franchir la barrière des muqueuses et provoquer des ravages dans l’organisme. Ce scénario est plutôt improbable chez les personnes jeunes et en bonne santé.

Cependant, la transfection par les vaccins génétiques de Pfizer ou Moderna injecte dans l’organisme le code génétique de cette protéine Spike toxique. Pendant des années, quiconque avançait cette affirmation, désormais scientifiquement confirmée, était considéré comme un complotiste. La probabilité de contact avec la protéine Spike toxique est donc de 100 % au point d’injection (contrairement à une probabilité potentiellement nulle en hiver en cas d’infection !). Ce code génétique correspond à la variante toxique originale, c’est-à-dire la forme sous laquelle le virus de laboratoire a été rendu actif, mais qui avait cessé de circuler depuis longtemps au moment du lancement de la campagne de vaccination. C’est là que j’ai refusé. Pourquoi me laisser injecter une chose pareille ? Mais le pire est à venir.

Une fois que l’organisme a reçu le schéma de développement, il commence à produire des protéines de pointe et possiblement d’autres protéines dans tout le corps (même dans des zones normalement inaccessibles au virus). Ce processus se poursuit ensuite indéfiniment et en quantités indéterminées. Par conséquent, il convient d’abandonner complètement cette idée.

Mais le pire est à venir. Il ne s’agit pas d’ARNm, mais d’ARN modifié, ce qui engendre divers problèmes (temps de résidence, erreurs de transcription, incorporation de pseudouridine). Le tout est encapsulé dans des nanoparticules lipidiques qui transportent ces molécules partout. Elles traversent même la barrière hémato-encéphalique et le placenta !

De l’ADN bactérien présentant des séquences très préoccupantes, résidu du processus de fabrication, est présent en grande quantité dans les vaccins génétiquement modifiés. Outre le fait que ce processus n’a jamais fait l’objet d’une procédure d’autorisation, aucune valeur limite n’a été établie, d’autant plus que l’ADN est encapsulé dans des nanoparticules lipidiques (composés d’azote liquide). On soupçonne que cela pourrait favoriser le développement du cancer et son intégration dans le génome.

Quiconque possède un minimum de bon sens, même sans être médecin, peut comprendre qu’il est absolument insensé de faire injecter à plusieurs reprises des substances aussi toxiques dans le sang de jeunes personnes en bonne santé.

Si le statut vaccinal n’est pas enregistré, il ne faut pas prendre au sérieux le terme de « Covid long », d’autant plus que toutes les infections survenues pendant la période de vaccination étaient dues à des variants atténués, tandis que la protéine Spike transmise par le vaccin est toujours la forme originale, plus dangereuse. De tels cas existent peut-être, mais dans la grande majorité des cas, il s’agit probablement d’effets indésirables graves liés à la vaccination. Il est temps d’être honnêtes à ce sujet, d’aider les victimes et de demander des comptes aux responsables.

L’intégralité de l’émission-débat sur le coronavirus est disponible ici :

https://bundestag.de/dokumente/textarchiv/2025/kw46-pa-enquete-corona-1117438

L’extrait que j’ai coupé se trouve à partir de 1:53:55.

L’émission en question : Le 8 décembre 2022, dans l’émission Markus Lanz sur ZDF (chaîne publique allemande), Thomas Mertens participait à une discussion sur les effets secondaires des vaccins COVID-19. Une invitée, Tamara Retzlaff (une ancienne fonctionnaire municipale affirmant souffrir d’un syndrome post-vaccinal, ou « post-vac syndrome »), a témoigné de ses difficultés à obtenir une reconnaissance et une prise en charge de ses symptômes (fatigue chronique, troubles neurologiques, etc.), qu’elle attribue à la vaccination.

La déclaration de Mertens : Face à son désarroi, Mertens a répondu : « Si vous allez chez un médecin avec un dommage vaccinal présumé, dites simplement que c’est du Long COVID. Cela facilitera l’accès aux soins, car les assurances couvrent mieux les séquelles post-infectieuses que les effets vaccinaux. »

Avatar de Inconnu

About pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
Cet article a été publié dans éducation prépa école de commerce. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

8 Responses to Quand le PR Scheibendogen de la Charité à Berlin avoue la terrible toxicité de la spike vaccinale et admet que 80 à 90% des covids longs sont vaccinés

  1. Ping: Quand le PR Scheibendogen de la Charité à Berlin avoue la terrible toxicité de la spike vaccinale et admet que 80 à 90% des covids longs sont … – Qui m'aime me suive…

  2. Avatar de zebraska zebraska dit :

    QUEL COVID ??? vous dites n’importe quoi !!!!!!!!

    J’aime

  3. Avatar de practicallyc66ef89cd9 practicallyc66ef89cd9 dit :

    Tout cela a été dit et dénoncé par Mme Henrion Caude, , Le Dr Sabatier, , Hélène Banoun sur tous les tons, ils ont été traités de complotistes, que c’était des « Fake » mais là, en Allemagne c’est dévoilé au grand jour. A quand pour la France ?

    J’aime

  4. Avatar de Renaud Renaud dit :

    Vous avez écrit : « Nombre de personnes non vaccinées ont tenté désespérément, en vain, de se faire vacciner, malgré leur détermination à prendre tous les risques. »

    Je crois qu’il faut remplacer « se faire vacciner » par  » se faire infecter ».

    Aimé par 1 personne

    • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

      « Le virus ne peut déployer tout son potentiel destructeur qu’une fois entré dans l’organisme. Pour cela, il faut d’abord être infecté. Ce qui n’est pas chose facile. Nombre de personnes non vaccinées ont tenté désespérément, en vain, de se faire vacciner, malgré leur détermination à prendre tous les risques. Si l’infection survient, le virus devrait se heurter à un système immunitaire affaibli, franchir la barrière des muqueuses et provoquer des ravages dans l’organisme. Ce scénario est plutôt improbable chez les personnes jeunes et en bonne santé. »

      C’est toute la « démonstration » qui ne tient pas debout !

      On a vu sur toute l’année 2020 (sans vaxxin faut-il le rappeler !) que finalement de cataclysme il n’y avait pas eu; des lors comme c’est dit, l’infection « virale » était somme toute bien difficile; conclusion point besoin de ces poisons !

      Fin du discours.

      Et si c’était si difficile de ce contaminer avec le virus (mais beaucoup plus facile en effet dès lors qu’on vous injecte directement la protéine fortement néfaste, ce qu’ils savaient dès le début); alors, d’où viennent ces « malades » qu’on nous dit « non vaxxinés » ,

      Ah oui et si on reparlait de tous ceux qui ont reçu une ou 2 doses mais qui ont développé des pathologies diverses dans les 15 jours de l’injection !

      Décidément, avec ou sans traduction, on se heurte toujours au même mur !

      Covid est une farce, pas les injections !

      J’aime

    • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

      En résumé, 5 ans après le début de la farce, un « Covid Long » c’est un EIG des injections, point !!

      J’aime

Laisser un commentaire