Nouvelle étude : Il y a une « tendance négligeable » dans la glace de mer arctique (ASI) depuis 2012 (-0 0,4 %/décennie).
La tendance à la baisse de l’ASI entre 1996 et 2011 ainsi que la tendance à la stagnation après 2012 sont toutes deux dues à la variabilité interne. Un « ralentissement » de l’ASI persistera probablement jusqu’en 2030-2040.
https://nature.com/articles/s41467-025-63520-0

Bin mince alors ! La canicule n’a pas atteint le pôle Nord ? Et la mer ne va pas monter ? … 😉
J’aimeAimé par 1 personne
Ben non. On ne va pas se noyer sous un tsunami du à la fonte du Groenland.
Et même la dilation de la colonne d’eau ne se manifeste pas près des cotes, à cause de la gravitation. Troporribl n’est-ce pas?
J’aimeAimé par 3 personnes
Hi, hi, hier au 13h de TF1 (à moins que ça ne soit dimanche je sais plus, j’écoutais d’une oreille distraite) ils faisaient un reportage dans le Nord près de la frontière Berge. Il y avait 2 monts d’environ 100 m d haut et en grattant la terre ils ont trouvé… du sable.
Et là, un scientifique (ça doit être un vrai… !) nous dit que c’est parce qu’il y a quelques millions d’années il y avait à cet endroit… la mer !
Boudiou, vous vous rendez compte ? 100m plus haut que maintenant…. !
Petits joueurs les gars du Giec !
bon je sais pas si à cette époque les Alpes et les Pyrénées avaient fait leur ramdam !
J’aimeJ’aime
Fort possible, lepiaf. Les continents se font et se défont. La géographie n’est pas immuable, la terre est vivante.
Voilà ! C’est cyclique, et nous n’y pouvons rien.
J’aimeJ’aime
Ping: Mauvaise nouvelle pour les escrologistes, la banquise de l’Arctique a cessé de fondre depuis 13 ans et les pêts des ours blancs n’y sont pour rien – Qui m'aime me suive…
Admirez la dernière phrase de la conclusion de l’article cité avec un magnifique raccrochage aux branches des politiques climatiques pour contrer le réchauffement anthropique
Fortunately, the impact of internal atmospheric variability provides a climate buffer period of 10–20 years, allowing for the implementation of essential emission reduction measures to address the impending catastrophic challenges.
Finalement, la nature ne se comporte pas comme nous le pensions, mais bon c’est sûr dans l’avenir elle va le faire et en pire si nous ne faisons rien.
Cette conclusion est à se rouler par terre de rire. C’est dommage parce que le reste de l’article est passionnant.
J’aimeAimé par 1 personne
Vous avez entièrement raison.
Je rajoute pour la bonne bouche la traduction en français du texte que vous mentionnez:
« Heureusement, l’impact de la variabilité atmosphérique interne offre une période tampon climatique de 10 à 20 ans, permettant la mise en œuvre de mesures essentielles de réduction des émissions pour faire face aux défis catastrophiques imminents.«
La revue de publication est « Nature »; normalement cette publication est plutôt orientée doxa ambiante, quand elle ne publie pas des articles trafiqués ou carrément frauduleux. Cette conclusion est donc dans la parfaite logique de cette doxa.
Notez également que l’abstract essaie aussi de minimiser
« The reduction of Arctic sea ice concentration (SIC) is a key indicator of global warming. In September 2012, SIC reached its lowest recorded value. »
En français: « La réduction de la concentration de glace de mer arctique (CGI) est un indicateur clé du réchauffement climatique. En septembre 2012, la CGI a atteint son niveau le plus bas jamais enregistré. »
En clair ils auraient pu dire que depuis 2012 plus de réchauffement…
Même si au final les résultats ne sont pas tout à fait ceux qu’ils attendaient, ou plutôt espéraient, pour certains sans doute.
« Since then, sea ice melt has slowed down, showing a linear trend of only −0.4±6.8%/decade from 2012 to 2023, compared to −11.3±3.3%/decade from 1996 to 2011. »
En français: « Depuis, la fonte des glaces a ralenti, affichant une tendance linéaire de seulement −0,4±6,8 %/décennie de 2012 à 2023, contre −11,3±3,3 %/décennie de 1996 à 2011.«
Comptez pas sur ces gens pour mettre en évidence la science, ils sussurent, parlent à mots couverts, admettent du bout des lèvres, mais font pas varier d’un iota leur position doctrinaire !
Ils continuent d’utiliser le terme « réchauffement » au lieu par exemple de parler de « variation ou de changement » alors qu’apparemment on est actuellement dans une phase de « refroidissement ».
Si ce n’était pas cette doctrine qui les guidaient ils mettraient en évidence le fait (c’est acquis par les scientifiques) que si ces variations sont bien significatives du climat elles sont surtout… cycliques !
J’aimeAimé par 1 personne