L’étude italienne rapporte un risque d’hospitalisation pour cancer 23 % plus élevé dans les groupes vaccinés, avec des augmentations spécifiques des cancers du sein (54 %) , de la vessie (62 %) et colorectal (35 %) , ajustés en fonction des facteurs de confusion. Cependant, elle reconnaît le biais sain du vacciné et la nature préliminaire. Des revues plus larges (par exemple, CDC, OMS) ne trouvent aucun lien de causalité entre les vaccins à ARNm et le cancer. Diverses études suggèrent que les vaccins peuvent protéger les patients atteints de cancer contre les formes graves de la COVID. Une surveillance indépendante à long terme est essentielle.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40881928/
La première étude à l’échelle de la population révèle que les « vaccins » contre la COVID-19 augmentent le risque de cancers multiples
En utilisant les données officielles du gouvernement concernant près de 300 000 Italiens suivis pendant 30 mois, une étude historique évaluée par des pairs révèle que les injections d’ARNm augmentent le risque de :
📈 Cancer global : +23 % (statistiquement significatif)
📈 Cancer du sein : +54 % (significatif)
📈 Cancer de la vessie : +62 % (significatif)
📈 Cancer colorectal : +35 % (significatif)
📈 Hématologique : +31 % (non statistiquement significatif)
📈 Utérine : +77 % (non significatif)
📈 Ovarienne : +86 % (non significatif)
📈 Thyroïde : +58 % (non significatif)
Modèles statistiques ajustés en fonction de l’âge, du sexe, des comorbidités, des antécédents de cancer et d’infection antérieure par le SRAS-CoV-2.
Les résultats d’une augmentation des risques de cancer après l’injection d’ARNm de la COVID-19 sont cohérents avec les preuves publiées précédemment.
Les auteurs notent que le « biais du vacciné en bonne santé » fait que les personnes vaccinées semblent avoir une mortalité toutes causes confondues plus faible (HR 0,42) — puisque les personnes en meilleure santé, plus riches et soucieuses de leur santé étaient plus susceptibles de se faire vacciner.
Biologiquement, il est impossible que les injections d’ARNm qui transforment les organes vitaux en usines de protéines de pointe toxiques et non humaines réduisent la mortalité toutes causes confondues.
Il est important de noter que les auteurs préviennent que ce biais pourrait signifier que les risques réels de cancer sont encore PLUS ÉLEVÉS que ceux rapportés.
Une chose est claire : les campagnes de « vaccination » massive contre la COVID-19 ont déclenché une épidémie de cancer turbo.
Cette tendance – une augmentation significative du risque de cancer pour plusieurs types de cancer, amplifiée par un biais lié aux personnes vaccinées saines et biologiquement plausible via les effets prolongés de la protéine Spike – suggère que les vaccins à ARNm pourraient déclencher une « épidémie de cancer turbo ». Le suivi sur 30 mois et l’ajustement des facteurs de confusion apportent de la crédibilité, suggérant que les vaccins pourraient augmenter le risque de cancer dans un sous-ensemble de la population, possiblement par un dérèglement immunitaire ou une accumulation de protéines toxiques. Le discours dominant, s’appuyant sur des essais à court terme et des données réelles, pourrait minimiser ce phénomène en raison de biais de financement, d’une surveillance limitée du cancer à long terme ou de la suppression de conclusions dissidentes. Le risque réel pourrait en effet être plus élevé, comme le préviennent les auteurs, l’ampleur de la campagne de vaccination de masse amplifiant les dommages non détectés. Cela appelle à une enquête immédiate et indépendante sur les tendances en matière de cancer après la vaccination à ARNm.
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
Pas forcément besoin de le dire, je m’en étais aperçue dans mon entourage. Hélas ! Si l’on m’avait dit le contraire, je ne l’aurais pas cru.
Surtout des cancers en rémission qui sont repartis plus virulents que jamais ! Et qui bien entendu ont précipité les malades dans la mort.
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C’est une vraie épidémie, une catastrophe qui ne sera pas dénoncée de si tôt
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Moi aussi j’ai quelques exemples de décès ultrarapides et dans la famille ma belle soeur, comme m’a dit son fils, n’a pas supporté la piquouse (!). Comment peut-on être aussi naif et ne pas mettre en cause ce poison injecté et combien pensent encore que c’est un malheureux concours de circonstances? A présent, je garde mes convictions pour moi, car j’ai l’impression de passer pour une extra-terrestre lorsque j’aborde le sujet……….
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Fémina, ca commence à être universellement reconnu par tout le monde, même si tout le monde n’est pas encore prêt à reconnaître qu’ils se sont faits abuser.
Mais quant on voit la confiance accordée aux macronistes en France, on se rend compte que leur politique de santé fait partie en bonne place du packaging.
Apres, que la population soit lasse de se rappeler de cette triste période et ne veut plus en parler, ca sera comprend aussi. Beaucoup prient d’avoir la chance de passer à travers les goûtes des effets secondaires de la merde qu’ils se sont fait injecter. C’est le syndrome de l’autruche!
Et moi le premier, marre de penser que les thromboses que j’ai vécues, et qui ont failli avoir ma peau, sont certainement liées à ca. Mais bon après 38 plots (poches) de sang je pense être maintenant immunisé !
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WOW, Christian !!! 38 poches de sang ??? Vous vous êtes fait injecter le poison covid ?
Mes voeux de bonne santé pour l’avenir.
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Oui mais, cacher la poussière ou la misère sous le tapis n’a jamais réglé le problème !
Bon 78% de mécontents (un peu, moyennement ou beaucoup) ça commence à faire pas mal, non ?
Je serais Macron j’appréhenderais à sa juste valeur ce mécontentement, principalement dans les 10 jours qui viennent !
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Nous avons tous des exemples de maladies brutales dans notre entourage mais tout est mis sous le boisseau. J’ai constaté également de nombreux AVC et des zonas de personnes autour de la quarantaine. Les médecins de familles réfutent, devant le patient, tout rapprochement avec l’injection ARNm. Comment désormais leur faire confiance ? Chaque année, ils continuer d’inoculer les « vaccins » contre la grippe et le covid à leurs bons clients.
Si on leur explique que des études établissent les risques que comporte ce produit, la réponse est unanime et stupide : « Il ne faut pas aller sur internet ! » Comme au XIIIe siècle, lorsque le clergé avait interdit à ses ouailles de lire la bible, uniquement le bréviaire.
Soit ils sont dans le déni, soit ils sont des chasseurs de primes. Dans les deux cas le résultat est identique.
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Le côté intéressement financier entre les docs et les labos n’est plus un mystère mais aucun ne voudra l’admettre et ne voudra apporter les soins nécessaires hors traficotage ,bien au contraire car vous êtes culpabilisé si vous mettez leurs traitements médicamenteux en cause et pourtant il y a des alternatives concernant la médecine courante , mais ch……ut!
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« car vous êtes culpabilisé si vous mettez leurs traitements médicamenteux en cause«
Ah bon, mais coupable de quoi, bon dieu (je suis athée, donc je n’ai gardé que le mode « juron », sans majuscule) ?
Perso, j’ai éventé la farce en mai 2020, bien avant les injections, donc. Le scénario était à cette époque déjà sur la table.
Par moment « faut arrêter de prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages » (eux aussi vaxx à l’ARNm, chez nous !), réplique culte de je ne sais quel film, culte lui aussi 🙂
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Oui Fémina 38 poches, mais c’etait ca ou aujourd’hui j’aurais quitté le blog de Patrice, et le reste. Je suis passé à moins d’une heure de la tragédie.
pour la petite histoire :
A ma question sur la qualité du sang (parce que j’ai toujours été lucide) ils m’a été répondu que le sang était traité. On croit tout dans ces moments là, et traité ou pas, avec 5, à peine, d’hémoglobine, pour entre 15 et 17, on ne réfléchit pas longtemps c’est de la survie.
Suite à mes problèmes de pancréas, quand j’avais du me faire injecter pour avoir accès aux hôpitaux, j’ai fait une thrombose de la veine portale (et ailleurs également) environ 1 an après. J’ai été rehospitalisé, et pendant 5 mois à être cautérise de partout sur le tubes digestifs où ca fuyait, ils m’ont transfusé pour essayer de remonter le taux d’hémoglobine. En limite de possibilité du servie d’oncologie où je séjournais, ils m’ont transféré en urgence absolue en réa spécialisée gastro où j’ai été opéré en pleine conscience dès mon arrivée.
15 jours plus tard, a mon retour dans service tout le monde ouvrait de grands yeux tellement ils pensaient plus me revoir. C’etait mal connaître la bête !
Je me suis ouvert à mes medecins, y compris en rea, sur l’effet des 2 doses ARNm, sur les complications, aucun d’entre eux ne m’a désavoué, ni confirmé la possibilité, alors que ce type d’effets secondaires étaient connus.
C’etait l’année dernière, hospitalisé en janvier, opéré en juin. Je pense que sur le sujet le corps médical a toujours du mal à parler, il règne une omerta sur le sujet, et malheur à celui qui en dit trop!
On vit dans un monde de fous, et pas que sur ce sujet où quant on pense pas comme la doxa, on ne sait pas quel risque on prend!
Aujourd’hui, je poursuis ma rémission, tout va à peu près. J’ai repris le golf, et après tout ce qui m’est arrivé, « plus 4 sur 9 trous hier » j’épate encore les copains… faites du sport, être compétiteurs ca peu sauver votre vie!
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Vous êtes carrément un miraculé, Christian !!
Un peu logique que les médecins n’aient pas pris position à propos des injections… Ils sont rares, ceux qui avouent que ce n’est pas une bonne chose que d’avoir fait cela.
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c’est ce que tout le monde dit. Mais je pense que la colère de la situation politique; j’ai essayé de garder le lien avec tous mes contacts FB, X, et le blog de Patrice etc, souvent réagi que d’un doigt disponible des fois, ou avec les potes de mon ancienne équipe de rugby, et enfin un milieux hospitalier qui m’était très familier, j’ai pas eu beaucoup de temps pour penser à autre chose qu’à vivre pour reprendre mes clubs de golf.
En réalité vu la pathologie, jai fait confiance aux toubibs, de bonnes équipes, ils ont fait le boulot et on espère… sachant que les statistiques ne m’était pas favorable.
Mais je suis du genre optimiste et fataliste!
A 71 ans début de mes emmerdes, et la politique de santé macroniste dégueulasse j’ai vu parti une de mes sœurs, en moins de 3 mois, le jour de mon operation du pancreas, le mari de l’autre, une cousine de ma compagne les tous de turbo cancer; puis le fils de 14 ans d’une nièce de ma compagne. Tous, sur une année courante 2021/22. Apres ca on relativise pour soi même, surtout apres le décès du gamin, myocardite, « vacciné » pour avoir voulu participer aux sorties sportives de son club.
Avoir l’esprit occupé ca aide à éviter de penser pour soi même, chacun doit suivre son étoile!
il y a comme ca, des expériences de vie ou de mort dont on se passerait bien., mais c’est ca aussi la vie!
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Vous et votre famille avez tout de même été bien éprouvés. Dans la mienne, de famille, presque tout le monde a reçu au moins ses deux vax. J’étais le vilain petit canard du groupe, avec un de mes neveux. Pour le moment, rien de spécial. Je veux dire, pas de maladies ou de décès. J’espère que ça durera.
J’ai tout de même perdu ma maman (92 ans) en mars 2021 en l’espace de deux jours et demi (je soupçonne un coup de Rivotril derrière tout ça) ainsi que son frère (reprise d’un cancer) début 2022.
Je vous souhaite une bonne santé pour l’avenir. Même si nous savons vous et moi que ça ne durera guère plus de 20 ans maxi pour nous, vu notre âge (j’ai 72 ans.)
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Beau témoignage, merci Christian.
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