« Ce sont plus de deux mois d’extrême sécheresse et de températures élevées qu’ont connus les habitants de la France en 1911 », rappelle Catherine Rollet, autrice de La canicule de 1911 : observations démographiques et médicales et réactions politiques (Éditions Belin). Une hausse des températures significative qui touche « la totalité du pays mais plus durement peut-être le nord de la France », ajoute Patrick Zylberman, professeur émérite d’histoire de la santé à l’École des hautes études en santé publique (EHESP). Les températures atteignent vite les 36 °C et dépassent parfois les 40 °C sans jamais descendre sous les 35 °C. « En 1911, le pays connaît une vague de chaleur ainsi qu’une épidémie de diarrhée verte qui touche les très jeunes enfants », détaille l’enseignant.
Très vite la canicule touche toutes les strates de la société. « Au total 46 719 personnes meurent pendant cette période de fortes chaleurs », précise Patrick Zylberman. Parmi ces victimes, près de 30 000 bébés de moins d’un an, soit « la moitié des nourrissons décédés pendant l’année 1911 ».
Le symptôme très fréquent est la diarrhée. Attisée par les fortes chaleurs, une épidémie de fièvre aphteuse chez les vaches produisant le lait donné aux bébés a provoqué une grave pénurie de lait, d’où le recours à d’autres aliments inappropriés fragilisant les tout-petits en pleine canicule.
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
Ping: 1911,1947,1976 les canicules oubliées, 2025 battra tous les records de délires climatiques – Qui m'aime me suive…
Eh oui, les merdia ne font pas référence au passé qui parfois a été bien difficile à supporter pour les populations de l’époque. Nous savons, ces merdia, qu’ils sont tenus de nous mettre le stress au ventre. Alors, ne les écoutons pas trop. Ou pas du tout !
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en nous levant tous les matins nous sommes sur de la météo en regardant par la fenetre ou/et en franchissant le pas de porte .
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Les canicules s’emballent! (contrepèterie)
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Nous GAULOIS nous sommes de fervents adorateurs de LUG et de BELENOS !
Arrière les mous des genoux et les fragiles de la canicule, les Bayrou et les Retaillou !
Le Retaillou est un sensible : il s’étiole dès qu’un rayon de lune frappe sa peau !
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ah! 1976 l’été ou avec mes parents nous avons cueillis des mirabelles (toutes chaudes ) sur deux arbres .
chaud mais pas trop exténuant les branches étaient pleines de fruits .
Seul hic les guepes !
bon on s’en est sorti sans trop de piqures !
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1910 est aussi l’année de la grande crue de Paris, tout cela n’avertissait pas la future déflagration mondiale ?
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1910 est aussi l’année de la comète de Halley ; des anciens de chez nous, m’a-t-on rapporté, y voyaient l’annonce d’une guerre.
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Pour ceux qui auraient l’envie de dire les 4 vérités à nos journaleux et à quelques escrologistes du Climat qui nous pompent l’air avec le CO2 cause de tous les maux et leur « réchauffement climatique », voici un petit site (enfin petit je sais pas !) qui avec les données officielles fait des présentations tout à fait parlantes
https://www.infoclimat.fr/climatologie/globale/mois-de-mai/bourges/07255.html
Bon, pardon, j’ai pris l’exemple de chez moi, mais chacun peut choisir sa station de mesure. Pour Bourges de mémoire c’est l’aéroport, donc pas particulièrement un point « froid ». mais qu’importe; l’idée étant la comparaison en un même point.
Sur les graphiques mensuels vous avez les minimales, maximales et les « extrêmes » avec les courbes sur tout le mois.
Ce qui permet entre autres de noter la belle régularité des moyennes, basses et hautes. Pour Bourges c’est entre 1945 et 2025, en mai,entre le 1er et le 31/05 :
– Écart moyenne basse ; moins de 4°C (7 à 10,6 °C)
– Écart moyenne haute ; 4°C tout rond ! (17,2 à 21,2°C)
Si c’est pas de la … régularité, ça ne ne m’y connais pas !
j’ai essayé d’autres lieux, et c’est bizarre on retrouve quasi systématiquement les mêmes formes de courbes en valeurs moyennes, basses ou hautes. Pourtant quand on regarde les extrêmes il y a parfois de fortes variations d’amplitudes.
Conclusion; nos escrologistes se trompent de mise en scène en nous parlant des moyennes, qui en gros ne… varient pas (sinon les années récentes apparaîtraient beaucoup plus souvent) !
Mais n’est-ce pas parce qu’ils savent pertinemment que s’ils parlent des « records », ils n’auront plus d’eau à leur moulin, les « données du passé » étant accessibles à qui veut bien chercher.
En l’occurrence, pour Bourges, dans les « maximales », 2025 n’apparaît que 3 fois, le 02 avec la température la plus basse (27,2°C), et les 30 et 31 où là ce sont des records hauts (32,1 et 31, 7°C). On retrouve plus souvent les années 1945 (7 jours dont 5 d’affilée), 2022 (5 jours dont 3 avec des températures basses !), 2005 (3 jours). Puis ensuite 12 années où des records ont été établis, mais pour certaines dans la fourchette… basse (1950, 1992 1993, 2001, 2017, 2020…).
Amusez-vous !
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Bah, je laisse tomber. Parce que je sais que l’on nous ment en permanence.
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Là justement, ce site démontre que ces gens nous mentent, en plus rien de vraiment fixe il suffit de sélectionner ce qu’on veut et hop, les données brutes s’affichent.
On peut même prendre conscience du pourquoi souvent ils ne veulent pas remonter avant 1980, en particulier vers les années autour de la 1ère GM et après la 2è GM, car ces périodes cumulent encore aujourd’hui les records.
Le nature sait parfaitement se démerder toute seule pour nous faire cuire ou geler !
Du coup, leur raisonnement du réchauffement climatique de la faute EXCLUSIVE de l’activité humaine… tombe à l’eau, puisqu’on constate assez facilement que ce n’est ni progressif, ni général (pas même à l’échelle d’un pays), ni temporel.
Exit donc les modèles empiriques du Giec qui tablent sur une variation hyperbolique des températures, cette vérité va bien finir par atteindre quelques neurones dans les cerveaux embués de nos contemporains !
Je trouve même que leurs de leurs « micros trottoir », nos journaleux (toutes chaînes confondues) aient de plus en plus de mal à trouver des quidams ayant finalement qq chose à dire !
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Effectivement, lepiaf, : « La nature sait parfaitement se démerder toute seule pour nous faire cuire ou geler ! »
Et si nous étions intelligents – enfin, si le gouvernement voulait notre bien-être – ce qui pourrait être fait, c’est au niveau des constructions : isolation pour le chaud ou le froid, exposition des fenêtres, etc.
Seulement, nous voyons bien que rien n’est fait. Lorsque je vois le nombre d’écoles fermées actuellement, alors que peu ou pas du tout de travaux sont faits dans ce sens, je me désole.
Tout pareil par exemple en ce qui concerne la gare de Nantes, récemment « arrangée » : la passerelle est fermée pour cause de trop de chaleur. Mais quelle idée de faire des verrières partout !! Des fenêtres sur le côté, ça ne suffit pas ? Chacun sait que la chaleur monte :
https://www.francebleu.fr/infos/meteo/la-mezzanine-de-la-gare-de-nantes-fermee-a-cause-la-chaleur-c-est-inadmissible-reagit-un-commercant-2512390
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@Joviale;
Ah, oui la mezzanine de la gare de Nantes !
Coût 36 millions d’€ (Fr. TV, mais 37,5 M€ chez Le Figaro !), une paille, dont 30% financé directement par les Nantais !
Bon le reste c’est aux frais de tous les citoyens; hein, ne nous y trompons pas…
Et du coup, la SNCF, maître d’ouvrage il faut le rappeler, mange son chapeau et dit réfléchir à des « solutions » qui vont bien sûr avoir… un coût; encore !
Quant à l’architecte, Rudy Ricciotti, super en vue et hyper réputé du moment… silence radio ! Toujours dixit Fr. TV bien sûr.
On s’amuse, on(ils) s’amuse(nt)… avec notre fric !
bon en même temps l’élu escroligiste de la ville accuse évidemment le « réchauffement climatique qui n’aurait pas été pris en compte voir ici extrait de l’article du Figaro:
« Joint par nos confrères de Ouest France, l’élu écologiste nantais Simon Citeau évoquait lundi «une faute de conception manifeste» qui ne semble pas avoir pris en compte le réchauffement climatique. »
L’a bon dos celui-là; non seulement cet architecte est le même que celui du Musem à Marseille (eux là-bas n’ont pas l’air d’avoir de pb avec la chaleur !), mais en plus avoir 42-43°C sous une verrière quand il fait autour de 35°C dehors, chose courante apparemment à Nantes (toujours avec mon petit site), et en prenant Nantes-Atlantique comme référence, faute de mieux car pas de données avant 2020 pour Nantes-ville.
On peut donc plutôt se dire que la différence entre 35°C extérieur et 42-43°C sous la verrière n’est pas si scandaleuse, mais que simplement une verrière à cet endroit n’était tout simplement pas la solution.
Et les élus savaient déjà tout ça puisqu’il y avait des « précédents » (36,2°C le 22/06/2003…) comme on dit, 2025 n’a d’ailleurs pas établi de records au moment du constat en gare de Nantes; même s’il est étonnant qu’il y ait autant de « manques de dates » pour ce point de mesure !
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Ils s’amusent avec notre argent, effectivement ! … Et sans cervelle(s) malheureusement.
PS – Je ne sais pas ce qu’il en est des vitraux de Notre-Dame-de-Paris… 😉
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Rien qu’à voir la verrière à STRASBOURG qui cache la façade de cette belle gare il y a de quoi pester !
Sans compter la fin de nos buffets de la gare pour y installer des boutiques et des mange vite .
Etant un ancien cheminot j’ai heureusement pu vivre cette époque ou les gens s’attablaient pour un petit déjeuner le matin le petit noir au comptoir le plat du jour une petite bière l’été etc…
c’était un art de vivre !
un seul résiste encore en Alsace celui de la gare de Mulhouse .
Sans compter les gares de PARIS qui sont devenues des centres commerciaux beurk!
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Vive les gares en pierre de taille ou pour les plus petites celles en briques.
Pas ces horreurs de nouvelles gares vitrées à profusion
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Ping: 1540, 1718, 1911 : des canicules mémorables – Matière à réflexion