Le vaccin contre la varicelle pourrait avoir des effets secondaires et provoquer davantage de zona chez les adultes jusqu’à 75 ans après l’injection. Le taux de varicelle légère a diminué grâce à la vaccination, mais les enfants pourraient en payer le prix à l’âge adulte
https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6015493/
Les interactions biologiques entre la varicelle et le zona, deux maladies causées par le virus varicelle-zona (VVZ), continuent de faire l’objet de débats, notamment quant à leur effet potentiel sur les cas de zona suite à l’introduction de programmes universels de vaccination infantile contre la varicelle. Nous avons étudié l’impact de la vaccination contre la varicelle en Alberta sur l’incidence et la répartition par âge du zona sur une période de plus de 75 ans après la vaccination, en tenant compte de diverses théories plausibles de déclin et de renforcement de l’immunité.
La vaccination contre la varicelle a entraîné une diminution des cas de varicelle. L’incidence cumulée de la varicelle est passée de 1 254 cas pour 100 000 personnes-années avant la vaccination contre la varicelle à 193 cas pour 100 000 personnes-années 10 ans après la mise en place du vaccin. Nous avons observé une augmentation de l’incidence cumulée du zona tous âges confondus 10 et 25 ans après la vaccination contre la varicelle, ainsi qu’une variation mixte de l’incidence cumulée à 50 et 75 ans après la vaccination. L’ampleur de la variation était sensible à la date de naissance et variait de 22 à 100 cas pour 100 000 personnes-années 10 ans après la vaccination pour deux et sept ans de rappel respectivement (
p < 0,001). À 75 ans après la vaccination, l’incidence cumulée variait entre une baisse de 70 et une augmentation de 71 pour 100 000 personnes-années pour deux et sept ans de rappel respectivement (
p < 0,001). Les analyses de sensibilité ont eu un impact minimal sur nos conclusions, à l’exception de la suppression de l’effet du rappel.
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
La varicelle est-elle vraiment une maladie grave ? Mes quatre filles l’ont eue successivement. Et si l’une d’entre elles a attrapé un staphylocoque doré via ses nombreux boutons – ce qui l’a tout de même envoyée à l’hôpital pour savoir ce qui lui donnait une fièvre de cheval – aucune n’a de séquelle.
Faut-il donc injecter un poison à nos enfants pour les rendre plus malades… à long terme ? Personnellement, je dis que non.
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Je l’ai eue à 40 ans (plus ou moins 2 ou 3 ans de mémoire !), alors pas sûr qu’en rajoutant 40 ans (j’en ai 70 !) aux 30 à 35 déjà passés cet éventuel zona… me rattrape !
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Aucun de mes quatre enfants n’a gardé de séquelles de la varicelle, pas même des traces des boutons lavés comme il se doit avec l’eau de mer .
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Ah, l’eau de mer !
Ou plus généralement l’eau « salée » (chlorure de sodium/de magnésium); c’est antiseptique et antiviral, pourvu qu’on laisse sécher à l’air.
Idéal pour les petites affections respiratoires (ça débouche efficacement le nez) et calme bien les otites.
Et c’est… en vente libre !
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Il y a quelques dizaines d’années en arrière, il était presque un « devoir » d’attraper les maladies infantiles ( oreillons, rougeole, varicelle…..) pour garantir une certaine immunité. Mais ça c’était « avant »…… A l’époque, la santé des enfants ne posait pas de problèmes et suivait le cours normal accepté sans problème, cela faisait partie de l’enfance et peu d’entre nous echappait à ces passeports vaccinaux naturels qui nous garantissait une immunité à vie. De nos jours, je plains sincèrement tous ces parents obligés d’empoisonner leurs enfants avec des piquouses suspectes.
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Ping: le vaccin contre la varicelle efficace contre la maladie infantile mais il entrainerait une augmentation des cas de zona jusqu’à 75 ans après la … – Qui m'aime me suive…
A quel le super vax AR-haine contre le nez qui goutte lors du sport par temps froid ?
Un truc avec grand rapport bénéfice risque qui nous augmenterait les probabilités de cancer foudroyant d’un modeste 3000% pour les 80 ans suivant l’injection…
Oui mais on n’aurait plus la goutte au nez lorsqu’il fait froid, c’est l’A-Science !
Désolé de cet humour mais franchement la confiance n’est plus là car le simple bon sens est devenu introuvable.
Merci à ma jeune généraliste 30+ d’être ouverte, sans me prendre pour un enfant du double de son âge (le précédent était délirant sur ce point), tolérer mes recherches personnelles et admettre sans me faire la leçon que je me soigne par phytho et aroma quand c’est possible.
Si si ça existe encore !
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Mes parents m’avaient dit que les maladies infantiles créaient une immunité, qu’elles étaient nécessaires. (ils sont nés peu après la première guerre). On ne parlait pas de vaccin, mais on disait que le fait d’avoir la varicelle comme enfant protégeait du zona à l’âge adulte. Les oreillons étaient indispensables pour les garçons sinon ils risquaient de l’avoir plus tard d’avoir des conséquence sur leur fertilité. Quand un enfant avait une des “maladies infantiles”, tous les voisins et amis allaient jouer avec lui pour l’attraper: rougeole, rubéole, varicelle, oreillons. Leur forme était parfois si anodine qu’elles passaient presque inaperçues. La scarlatine était évitée parce qu’elle affecterait le coeur, et bien sûr la coqueluche si terrible pour les tout petits. Ces maladies sont beaucoup plus graves chez les populations non immunisées, donc aussi celles qui les ont évitées chez ceux qui ont été vaccinés contre elles. C’est là que les promoteurs des vaccins à répétition vont chercher les statistiques de dangerosité de ces maladies (ils incluent tous les pays). Exemple bien connu: « Dans les Amériques, le dépeuplement au cours du 14ème et 15ème siècle suite aux premiers contacts avec les envahisseurs européens a probablement été de l’ordre de 90 ou 95 %. Variole, typhus et rougeole https://www.ledevoir.com/rougeole?utm_source=recirculation&utm_medium=hyperlien&utm_campaign=corps_texte furent les infections les plus meurtrières auxquelles il faut ajouter le choléra, les fièvres typhoïdes, la grippe, la blennorragie, la scarlatine, la rubéole, la diphtérie, la coqueluche, la syphilis (variant européen).” https://www.ledevoir.com/opinion/idees/617103/histoire-epidemies-et-colonisation-de-l-amerique?
Je lis ceci sur le net: « En France, le vaccin contre la rougeole est mis sur le marché en 1966.(…) La vaccination systématique contre la rougeole, introduite en 1985” … quand on s’est rendu compte que l’immunité avait baissé ??? (Ou: que des médicaments injectés à la population mondiale rapportaient gros ?) Et maintenant on considère la rougeole comme dangereuse, voire mortelle, alors qu’elle ne l’était pas avant ??? Je n’ai jamais entendu parler d’une complication de la rougeole quand j’étais jeune: repos, aspirine, tisanes, bouillon et c’était fini… C’était un peu plus long à guérir que les autres, c’est tout. Il faut dire qu’on n’avait pas l’obsession de l’hygiène chimique à la maison et qu’on était donc beaucoup plus exposé au “microbes”, moisissures et bactéries de toutes sortes, donc beaucoup plus résistants. B.B
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