« Un grand nettoyage est nécessaire pour rétablir la confiance du public », justifie-t-il, reprochant aux membres limogés d’avoir trop de conflits d’intérêts (chaque membre devait divulguer systématiquement tout conflit d’intérêt potentiel au début des réunions publiques).

Aujourd’hui, nous franchissons une étape décisive pour restaurer la confiance du public en reconstituant entièrement le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (CCPV). Un grand nettoyage est nécessaire pour rétablir la confiance du public dans la science des vaccins. Le monde entier comptait autrefois sur les autorités sanitaires américaines pour trouver conseils, inspiration, impartialité scientifique et intégrité irréprochable. La confiance du public s’est érodée. Seules une transparence radicale et une science de référence nous permettront de la regagner.
Restaurer une « science de référence » est au cœur de la vision de Kennedy, mais, comme le souligne l’expert en santé publique, « n’allait pas se faire sans heurts ». La nomination de figures comme le Dr Jay Bhattacharya, un critique virulent des politiques de santé publique pendant la pandémie, signalait déjà une rupture avec les pratiques établies. Bhattacharya et d’autres prônent une science guidée par des données probantes, libre de toute influence externe. Pourtant, modifier des décennies de pratiques où le lobbying a souvent éclipsé l’intérêt des patients semble rencontrer une résistance farouche. Le système, habitué à sa mainmise, élève-t-il des barrières pour protéger son pouvoir, fruit d’une capture réglementaire de longue date et ainsi donner raison à Kennedy et Bhattacharya qu’une refonte en profondeur était nécessaire ?



Françoise Zannier
@psy_paris
Quel que soit le sujet, la science n’est pas un recueil de vérités dernières. Elle avance dans le temps long et au travers de controverses. C’est pourquoi prendre rapidement un parti plutôt qu’un autre – sans laisser du temps au temps – est souvent présomptueux et inéthique. Autrement dit le principe de précaution devrait toujours prévaloir et comme dit l’adage : dans le doute abstiens-toi !…
La science cause beaucoup mais elle ne dit pas que des choses profondément exactes, elle charrie aussi beaucoup d’à peu près !
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Ping: Kennedy ne veut plus que les décisions sur les vaccins soient « conseillées » par des « spécialistes » rémunérés par Big Pharma – Qui m'aime me suive…
La science est évolutive comme l’environnement, tout n’est qu’une question d’équilibre. Bloquer cette évolution pour en maîtriser les phénomènes revient purement et simplement à tuer la nature dans un but de gain financier stable et durable.
La médecine doit revenir aux causes avant de traiter les symptômes, notre santé s’en portera mieux….mais ça ne fera pas les affaires des maîtres du monde actuel !
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J’espère que nous sommes nombreux à vous avoir lu ! Merci pour vos propos simples et de juste équilibre
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@ Menard : je suis tellement d’accord avec vous ! Cependant, se préoccuper des causes des maladies reviendrait actuellement à revoir toutes les actions qui sont effectuées « contre les peuples », dirais-je, et dans notre monde de plus en plus corrompu, il ne me semble pas que cela se fasse d’ici peu. Ou alors il faudrait une grosse catastrophe pour que d’aucuns se penchent sur les chemtrails, les compteurs Linky, la 5/6G, les éoliennes, les pesticides, les engrais… et les plandémies programmées. + tout ce qui pollue et qui pourrait être évité (plastiques partout, par exemple)
La liste est longue de ce qui rapporte beaucoup à certains, et qui nuit au plus grand nombre. Et s’il y a au sein de la médecine des gens magnifiques qui prennent la santé de leurs patients très au sérieux, d’autres individus ne recherchent que le profit, malheureusement.
« Corruption » est le maître mot de nos malheurs à tous. Les guerres en premier lieu.
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