La justice américaine dévoile des documents prouvant que Merck a menti sur l’absence d’ADN viral du VPH dans le Gardasil

Merck savait que son vaccin Gardasil était contaminé par des fragments d’ADN du VPH, mais n’a pas effectué les tests appropriés et les régulateurs ont contribué à dissimuler l’affaire.

Un procès historique contre Merck est en cours devant un tribunal de Los Angeles, marquant le premier procès devant jury de la société pour des allégations selon lesquelles elle aurait faussé la sécurité de son vaccin très rentable Gardasil contre le VPH.

Des documents récemment déclassifiés dans le cadre du procès ont révélé des détails troublants sur l’échec de Merck à effectuer des tests de sécurité clés.

Des courriels internes révèlent que Merck savait que son vaccin Gardasil était contaminé par des fragments d’ADN du VPH provenant du processus de fabrication du vaccin et a fait pression sur les régulateurs pour contourner les exigences de test.

Les documents judiciaires révèlent que Merck était pleinement conscient de l’existence d’un adjuvant supplémentaire dans Gardasil qui n’avait pas été divulgué aux receveurs et n’avait pas reçu l’approbation réglementaire.

Cette révélation soulève de profondes inquiétudes juridiques et éthiques quant au consentement éclairé des millions de personnes qui ont reçu le Gardasil sans avoir pleinement connaissance de sa composition.

Les adjuvants sont des substances ajoutées aux vaccins dans le but prétendument d’améliorer la réponse immunitaire.

Dans Gardasil, l’adjuvant à base d’aluminium (AAHS) est ajouté pour aider le système immunitaire à reconnaître la protéine L1 présente sur les souches du VPH.

Ces protéines L1 s’auto-assemblent en particules de type viral (VLP) qui, une fois combinées à l’AAHS, constituent la formulation vaccinale approuvée.

Cependant, il a été démontré que Gardasil contient également des milliards de fragments d’ADN L1 du VPH, qui proviennent du plasmide d’ADN synthétique utilisé dans sa fabrication.

@Merck a pris des mesures délibérées au cours du processus de fabrication pour préserver et protéger l’ADN du VPH, garantissant ainsi qu’il se retrouverait dans le produit final. Les VLP contenant l’ADN du VPH 18 ont été omises de l’étape de « désassemblage/réassemblage » – une étape de purification.

Aujourd’hui, les autorités réglementaires induisent le public en erreur en affirmant que le Gardasil ne contient « pas d’ADN viral ». C’est FAUX.

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Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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1 Response to La justice américaine dévoile des documents prouvant que Merck a menti sur l’absence d’ADN viral du VPH dans le Gardasil

  1. Avatar de lamerant lamerant dit :

    On comprend mieux pourquoi Brandy Vaughan a été « assassinée » en décembre 2020.

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